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Société - Page 118

  • Français: lâches… ou lâchés par l’Etat?

    Agression filmée dans le métro : pourquoi Marlène Schiappa ferait bien de se pencher sur les raisons profondes qui dissuadent les témoins d’intervenir

    Atlantico.fr : Une vidéo montrant une jeune femme se faisant violemment agresser par un homme, sur la ligne 9 du métro parisien, a fait le tour des réseaux sociaux. La Secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes, Marlène Schiappa, a déploré, sur Twitter, que les autres passagers du métro soient restés passifs.

    Si Marlène Schiappa n’a pas tort de déplorer la passivité de la plupart des voyageurs ayant été témoins de la scène, son commentaire n’est-il pas réducteur ? En effet, n’est-ce pas commettre une erreur que de réduire leur passivité à une sorte de lâcheté ?

    Gérald Pandelon: Je crois d’abord qu’il est toujours plus aisé de donner des leçons de morale et de civisme lorsque l’on peut se permettre de regarder les choses de loin ; d’ailleurs, j’aurais été curieux de connaître le nombre de ministres qui auraient eu le courage de s’interposer en pareilles circonstances… Il est effectivement davantage de politiques qui réagissent au fond de leur canapé au sein de palais feutrés que dans la réalité des coupe-gorge que sont devenus nos métros…Je crois, en effet, que la critique est aisée et l’art est difficile, surtout dans nos sociétés hyper-individualistes du chacun pour soi.

    D’ailleurs, en temps normal, des voisins de pallier ne s’aident que rarement, pourquoi voudriez-vous alors que ces mêmes personnes fassent montre de courage dans des situations plus exceptionnelles? La réalité c est que nos sociétés aseptisées produisent des lâches car la figure du guerrier est reléguée à la portion congrue voire ringardisée. C’est aussi l’un des motifs pour lesquels les sociétés holistes (l’Islam, notamment) qui font de la force une vertu s’imposent aussi facilement dans des sociétés individualistes comme les nôtres.

    Ensuite, les juges ont tendance en France à sanctionner ceux qui auront fait preuve de courage en intervenant physiquement de la même façon que les réels auteurs des faits.

    Il faudrait quand même que certains magistrats aient une réelle connaissance de la vie avant de juger, que le bon sens l’emporte sur une stricte application de la loi pénale. En même temps, que voulez-vous que connaissent à la vie un auditeur de justice fraîchement sorti de l’ENM à 23 ans ? Ce gamin sera sans doute, assez souvent, un bon juriste, mais n’aura aucune expérience. Je crois comme mon confrère Jean-Michel Darois (Le Point du 31 octobre 2019, p. 123), qu’il faudrait supprimer cette école pour ne recruter les magistrats qu’au sein de la société civile sur le modèle anglo-saxon.

    […]

    L’article dans son intégralité sur Atlantico

     

  • Mila : les dégâts du relativisme, dérive de tout un pays

    par h16

    On ne peut pas dire que les commémorations de l’attentat de Charlie Hebdo auront servi à quoi que ce soit, au contraire. Alors que des foules étaient sorties manifester dans les jours qui avaient suivi l’assassinat de la rédaction du journal satirique, les années qui ont passé ont très clairement permis aux opinions d’évoluer, mais pas du tout dans le bon sens : si le droit au blasphème semblait acquis en République française en 2015, il n’en va pas du tout de la même façon cinq ans plus tard.

    Beaucoup a déjà été dit dans " l’affaire Mila ", cette adolescente qui, lors d’une vidéo en direct, a exprimé aussi clairement que crûment son avis sur l’islam (" c’est de la merde " selon elle), entraînant insultes, menaces de mort à son encontre et sa déscolarisation expresse. Son développement actuel permet cependant d’illustrer la dérive de tout un pays.

    Tout d’abord, on ne peut que souligner l’incroyable lenteur et la mollesse consternante du soutien de tout ce que le pays comprend pourtant d’associations, souvent subventionnées à fonds publics, militantes tant pour le droit des femmes que pour le droit des lesbiennes ou pour la liberté d’expression.

    Une semaine après le début de la fièvre qui s’était emparée des réseaux (et avant qu’une autre fièvre, plus médicale celle-là, vienne définitivement faire oublier l’effervescence médiatique autour de Mila), les communiqués de presse des associations les plus concernées ne se bousculent pas, à tel point que Charlie Hebdo s’en est ouvert

    Alors que le moindre dérapage qu’on pourrait vaguement soupçonner, de loin, comme homophobe, déclenche généralement la montée en sauce immédiate de toute la garde et l’arrière-garde médiatique, depuis twitter jusqu’aux besogneux journalistes des inévitables journaux " engagés " en passant par les blogs plus ou moins connus, il aura fallu plusieurs jours d’insultes homophobes, de menaces de viol et de mort pour qu’enfin, quelques associations émettent de petits tweets dans lesquels elles se font fort d’expliquer qu’elles n’approuvent pas des masses ces réactions, tout en bardant leurs désapprobations calculées d’un petit " même si " qui montre clairement l’absence de soutien à l’adolescente.

    Quant au gouvernement, il est resté sagement muet, laissant bien sûr toute l’affaire se développer sans piper le moindre mot jusqu’au 24 janvier, une semaine après les faits, par le truchement de l’inutile secrétaire d’État Schiappa qui s’empressera à la fois de soutenir Mila (malgré tout) et de (bien sûr) charger l’odieuse récupération politique de l’affaire par l’extrême droite, sans quoi ce soutien de dernière minute aurait pu apparaître comme sincère.

    L’affaire est entendue : nous sommes dans le règne du " oui mais ".

    Tout ce que la France compte d’influents semble d’accord pour user d’une grosse louche de relativisme qui met sur le même plan les menaces de viol, de mort, de torture et les expressions d’opinion, parfaitement légales et autorisées, d’une adolescente de 16 ans. On murmure que oui, toutes ces menaces de mort, c’est tout même pas terrible, ça fait un peu tache dans une République du vivrensemble, et on s’empresse d’ajouter un petit " MAIS " pour embrayer sur une analyse plus ou moins subtile des propos tenus pour savoir, si, finalement, l’ado ne l’aurait pas un petit peu cherché, hein, m’voyez.

    À tel point que le procureur de la République saisi du dossier s’est empressé d’ouvrir une enquête sur les menaces de mort (eh oui, c’est la loi)… tout en ajoutant bien sûr une autre enquête sur la jeune fille (pour incitation à la haine raciale, la race islamique devenant apparemment un concept légal en France), histoire de faire bonne mesure.

    En cela, ce procureur n’est même pas différent du délégué général du Conseil français du culte musulman qui a expliqué que, je cite, " Mila l’a bien cherché ". Si quelques réactions ont bien été enregistrées à la suite de la saillie de ce piètre représentant religieux dont l’argument peut se décliner facilement sur d’autres modes (" Charlie hebdo l’a bien mérité " ou " Elle portait une jupe trop courte, elle a bien mérité son viol "), on regrette l’absence palpable de toute réaction devant l’enquête ouverte par le procureur alors qu’elle procède exactement du même raisonnement.

    En réalité, l’attitude de ce responsable du CFCM, de ce procureur et de ces associations montre l’incroyable dérive du pays.

    D’une part, on sent se refermer sur les ligues de protection féministes un piège paradoxal, illustré par la récente affaire du poster " Islam is right about women " qui avait outré tous les bien-pensants aux États-Unis : ces associations, trop souvent engluées dans des paradigmes gauchistes, se retrouvent entortillées dans leurs contradictions internes à vouloir tout faire d’un côté pour favoriser l’égalité homme-femme, tout en se gardant bien, d’un autre côté, de dénoncer le sexisme inégalitaire et souvent violent de certains musulmans. Elles savent pertinemment qu’une telle dénonciation serait immédiatement taxée d’islamophobie, ce qu’elles redoutent presque autant que les coups de mâles blancs cis-hétéros privilégiés de 40 ans qui mangent du quinoa.

    D’autre part, autant il semble acquis qu’en France, on peut amplement se payer la fiole du catholicisme, tant leurs pratiquants sont policés et que les débordements sont, de nos jours, plutôt rares pour ne pas dire inexistants, autant il semble plus délicat de se moquer du judaïsme qui déclenche plus facilement un tollé médiatique, autant il semble maintenant impossible d’émettre une critique même raisonnable de l’islam tant les réactions de certains sont extrêmement violentes, en ce compris des passages à l’acte : Mila aurait balancé un " Le catholicisme est une religion de merde ", elle serait encore inconnue des réseaux sociaux à l’heure qu’il est…

    À tel point qu’un blasphème, parfaitement légal en France, se voit pourtant assorti d’une petite enquête, au cas où, et histoire de montrer que la République sait s’aplatir quand il faut apaiser les passions dangereuses, n’est-ce pas (à ce titre, je n’ai pas souvenir de la moindre enquête jamais ouverte pour incitation à la haine raciale pour des propos blasphématoire anti-chrétiens ou anti-juifs).

    Ces deux éléments (le piège paradoxal dans lequel ont sombré trop de personnalités, et la violence maintenant prise en compte de certains coreligionnaires musulmans) montrent l’incroyable dérive d’un pays dont les institutions n’ont pourtant pas arrêté de harper sur leur neutralité religieuse depuis 1905.

    Cette dérive pourrait être limitée à quelques personnages du gouvernement, quelques figures de proue religieuses, quelques têtes de gondoles des associations féministes mais pas trop.

    Malheureusement il n’en est rien.

    La dérive est bien ancrée dans toute la société française qui cherche, au travers même de ses représentants, à museler les opinions dissidentes, cette liberté d’expression qui pourrait amener certains à se sentir froissés, à éprouver une gêne, à avoir les yeux humides et à piquer des colères lorsqu’on vient heurter, par des paroles ou des opinions tranchées, leurs petits sentiments d’êtres fragiles, et qu’aucun cerfa républicain ne suffira à apaiser.

    L’incroyable loi Avia, du nom de cette député qui a tenté de grignoter un chauffeur de taxi, en est le dernier exemple le plus consternant, qui vise à limiter la parole sur des motifs extrêmement flous ("lutter contre la haine sur internet"). Si on a bien du mal à définir ce que "haine" signifie effectivement, on voit en revanche très bien comment des pans entiers de la liberté d’expression seront passé au broyeur à poussins.

    À vouloir rechercher, à tout prix, l’apaisement et un vivrensemble chimérique, quitte à criminaliser les opinions qui dérangent, on a complètement vicié les rapports sociaux entre individus dans ce pays où chacun ne cherche plus qu’à faire taire l’autre au motif d’un respect impératif qui n’existe plus.

    Ce pays est foutu.
    —-
    Sur le web

  • Concernant la canicule de 2003

    En 2003, à l'occasion de l'épisode caniculaire, Libération avait interviewé Emmanuel Le Roy Ladurie.

    Emmanuel Le Roy Ladurie, 74 ans, professeur au Collège de France, a écrit une Histoire du climat depuis l'an mil (Flammarion, 1967), maintes fois rééditée, qui reste le livre de référence sur le sujet.

    Que faut-il penser de la canicule actuelle?

    J'aurais plutôt tendance à la relativiser; même si l'aggravation du phénomène d'effet de serre est une rupture dans l'histoire du climat qui peut ouvrir une nouvelle ère climatique avec un ou deux degrés de différence. Ce qui aurait des conséquences incalculables. Mais l'actualité d'un été chaud, c'est autre chose: ce genre de grande sécheresse n'a pas manqué dans l'histoire française.

    En 1168, la Sarthe a séché. De même, l'été magnifique de 1351, où le prix du froment a été multiplié par trois à cause de sa rareté, avec "échaudage“, comme l'on disait, ce qui entraînait des moissons et des vendanges très précoces, un vin en faible quantité mais excellent.

    Vous avez aussi des séries d'étés caniculaires consécutifs, des micro-ères climatiques: 1331-1334, quatre étés de suite, 1383-1385, trois étés, ou encore la première moitié du XVIe siècle, particulièrement douce, où l'on peut parler d'un petit âge du réchauffement. L'été, les glaciers reculent beaucoup, la neige fond très haut. En 1540, beaucoup de témoins habitant les Alpes l'ont noté.

    A partir de 1560, on entre dans une autre période climatique, le"petit âge glaciaire", les étés caniculaires se font plus rares. Il y en a cependant encore, par exemple en 1636, l'été du Cid, où les témoins évoquent "un effroyable harassement de chaleur" pendant plusieurs semaines à Paris.

    En cas de forte chaleur, quel est l'ennemi principal des Français?

    D'une part, la précocité et le faible rendement des récoltes, donc la rareté du grain, son prix qui flambe. D'où des phénomènes de disette, voire de famine. Mais la pluie est l'ennemi numéro 1, davantage que la chaleur: l'été pourri est plus redouté que l'été trop chaud.

    En revanche, la mortalité grimpe lors des étés trop chauds à cause de la dysenterie. Le niveau des fleuves et des cours d'eau baisse, l'eau puisée pour vivre et boire est plus vaseuse, infectée, polluée, et la mortalité est spectaculaire. 500 000 morts lors de l'été 1636 ou de l'été 1705,

    700 000 lors des étés caniculaires de 1718-1719, avec même l'apparition de nuées de sauterelles et une forme de climat saharien sur l'Ile-de-France.

    Ces morts, ce sont surtout les bébés et les petits de l'année. Il y a, régulièrement, des générations décimées en France par la chaleur.

    Actuellement, les principales victimes, dans une proportion moindre, ce sont les vieux. L'autre conjoncture catastrophique était ce que l'on peut appeler le "modèle profiterole", c'est-à-dire une accumulation rapprochée de catastrophes climatiques. C'est le cas du contexte prérévolutionnaire: en 1787-1789 se succèdent de fortes pluies à l'automne, la grêle au printemps 1788 et un été suivant caniculaire.

    Ce fut explosif: échaudage, disette, cherté du grain. C'est à partir de ce moment que la chaleur a mis les gens dans la rue, et n'a plus été acceptée comme une simple fatalité.

    d'où la révolution française! NDLaR

    C'est-à-dire que les Français, en période de chaleur, commencent à se tourner vers les pouvoirs publics?

    Moins les étés deviennent meurtriers, plus les gens se tournent vers l'Etat, et ce n'est pas un paradoxe: à partir du moment où l'Etat se mêle de plus près de la vie des gens, ceux-ci sont plus exigeants et plus enclins à dénoncer les incuries du pouvoir central. Ce processus historique accompagne la baisse de la violence, confisquée par l'Etat, ou la chute de la mortalité. Les interventions de l'Etat en période de canicule visent essentiellement à conjurer ou à limiter les effets de la famine.

    Dès la fin du XVe siècle, Louis XI tente d'instaurer un"maximum" (un contrôle des prix) en période de canicule. L'intervention massive vient avec Louis XIV et Colbert, très typique de la monarchie absolue: importations de blé, interdiction d'exporter, instauration de réserves dans les greniers d'abondance.

    Cela vise aussi à répondre aux deux principales accusations des Français en période de canicule: l'Etat ne fait rien ou, au contraire, ferait tout pour spéculer sur la cherté du blé, c'est ce qu'on appelle au XVIIIe siècle le "complot de famine".

    Comment les gens ou les autorités anticipaient-ils les étés trop chauds?

    Plus encore qu'aujourd'hui, les Français ne parlaient que de cela: le climat était le sujet principal de conversation. Les marchés, par exemple, étaient suspendus aux nouvelles. On trouve aussi des théories, assez tôt, non pas sur les prévisions, impossibles, mais sur les tendances.

    Les fontes de glaciers ou les séries étaient interprétées: Mme de Sévigné évoque le fait que"le procédé du soleil et des saisons a changé" pour expliquer une série d'étés caniculaires successifs. Les curés jouaient aussi un rôle spécifique, ils étaient les baromètres de l'époque, prédisant plus ou moins le climat à venir.

    Si bien que les autorités, souvent sous la pression des Français, pouvaient anticiper. Arrachage de vignes, par exemple (entre 1587 et 1600), ou même constitution de réserves d'eau potable, qui commencent dès le début du XIXe siècle dans certaines municipalités.

     

  • Français, pratiquez l’évitement...

    regroupez-vous hors des zones islamisées

    Les récentes déclarations du Président Macron sur la partition musulmane en cours ne laissent rien espérer de bon. Surtout comme l’ont déjà très bien dit Lucette Jean-Pierre et Josiane Filio, qu’il n’entend rien faire pour s’y opposer.

    Le président de la République française ne compte rien faire pour enrayer le mouvement. Au contraire, il nous recommande de nous y faire. Pire, on peut largement comprendre que son projet est justement de consacrer cette partition afin de finir de dissoudre ce qu’il reste de la France telle que nous l’avons connue.

    Les Français abandonnés. Nous voilà donc prévenus, les citoyens français sont laissés seuls face à la menace. L’État ne fera rien pour les protéger. Au contraire, il fera tout pour aggraver la situation: signature du pacte de Marrakech, laxisme judiciaire, libération et réimportation de terroristes avérés qui formeront l’encadrement militaire de la cinquième colonne, importation accélérée et sans contrôle de nouveaux venus dont certains sortent directement des prisons de leurs pays d’origine, immigration de masse et sans aucun contrôle, victimisation et légitimation de la vindicte des masses musulmanes.

    Dans ces conditions, nous ne pouvons plus compter que sur nous-mêmes. L’abandon est tel que dans nos vies personnelles, nous ne pouvons plus compter que sur nous-mêmes. Personne ne nous protège plus, ni ne nous protègera. Ainsi il n’est que de voir le déni de l’Éducation nationale face aux agressions barbares de professeurs ou d’enfants blancs par de jeunes barbares totalement désinhibés. Quel professeur, quel enfant peut se sentir protégé par l’Éducation nationale? Que dire de la justice? Et que dire des forces de l’ordre auxquelles il est donné consigne de laisser faire les barbares et de nous casser la gueule à nous?

    Que faire à titre personnel pour se protéger au quotidien? Il ne s’agit pas ici de savoir comment lutter au plan politique contre cette volonté de destruction du pays. Simplement de voir comment, à titre personnel, on peut se protéger des conséquences de cette avancée de la barbarie ou, plus simplement, échapper aux incivilités et à la promiscuité insupportable. Qui a envie de vivre dans un cloaque urbain au milieu de gens qui nous détestent, qui ne respectent aucune règle et qui au contraire vont tout faire pour vous pourrir la vie?

    L’évitement, seule protection du citoyen abandonné par l’État. Dans ces conditions et à ce point d’avancement de la pression et du risque pour chacun, l’évitement est la seule solution pour tenter de se protéger. D’ores et déjà, le niveau de la menace est devenu extrêmement prégnant. Qui n’a pas eu connaissance dans son entourage ou dans sa proximité géographique, d’incivilités récurrentes, d’une agression, d’une attaque, voire d’un assassinat ou d’un massacre?

    Qui peut sérieusement se dire qu’il ne risque strictement rien dans certains endroits, à certaines heures ou dans telle ou telle circonstance? Quelle femme n’est pas d’ores et déjà dans l’évitement, même si elle s’en défend pour se conformer au politiquement correct.

    L’évitement par un apartheid à l’envers. L’évitement consiste à raréfier au maximum les contacts avec ces populations, à éviter les zones où elles nidifient, à n’entretenir aucun commerce avec elles, aucun rapport. L’évitement consiste en une sorte d’apartheid à l’envers.

    Si on nous impose leur présence, alors qu’ils restent entre eux et nous entre nous. Bien entendu, cela n’est pas simple pour tout le monde, et il appartient à chacun, en fonction de sa situation personnelle, de définir les limites de ce qu’il peut faire et selon quel agenda. Mais, chaque personne inquiète de la tournure des événements et pessimiste quant à l’avenir doit se mettre en disposition d’échapper au gros du risque lié à un côtoiement subi.

    La localisation géographique, première condition de l’évitement. La première des dispositions est de s’éloigner des zones concernées. Sortez des villes gangrenées, fuyez au loin dans la France périphérique. Tant pis pour le travail, vous trouverez toujours à vous réorganiser ou à changer d’orientation. Surtout, vous y ferez des économies de loyer, ou sur l’acquisition de votre logement, la vie y sera plus agréable pour vous et pour vos enfants. Arrêtez de conditionner votre lieu de résidence et votre vie à votre travail. Conditionnez votre travail à votre lieu de résidence.

    Le regroupement dans des zones homogènes pour anticiper l’avenir. On en parle de plus en plus et certains auteurs commencent à y faire référence. Compte tenu de ce qui se prépare et, contre quoi il semble bien que nos ne puissions plus rien dans le registre de l’action politique globale, une solution pourrait être d’anticiper la confrontation finale en nous regroupant dans des zones homogènes, non encore envahies. Bien entendu, le pouvoir fait tout ce qu’il peut pour accélérer l’épandage et pour farcir le pays dans la profondeur. Toutefois, ce n’est pas encore fait et des zones subsisteront où nous serons encore largement majoritaires. Une décantation géographique permettrait de préparer la reconquête.

    Évitez de vous exposer. N’entrez plus dans les grandes villes. Pratiquez l’évitement social, culturel, scolaire, sortez vos enfants des écoles ou des clubs sportifs trop envahis, évitez les grandes zones commerciales, évitez les gares, les stades, les zones de forte concentration humaine où vous ne pourrez pas échapper au côtoiement.  Même chose au travail, n’entrez pas dans des boîtes qui font de la mixité une raison sociale.

    Boycottez les produits qui nous assomment de publicités ethniques. Bref, discriminez tout ce qui ne vous convient pas. Vous y perdrez peut-être en commodité, mais vous y gagnerez en sécurité, en cohérence personnelle et en estime de vous-même. Bref, ça ira mieux pour vous.

    La première des résistances, c’est de se soustraire à la soumission par la promiscuité imposée. Libérons- nous, regroupons-nous hors de zones tenues par les islamistes.

    Carte des zones sensibles. Les informations sont occultées et les cartes documentées ont disparu d’internet. Toutefois, il en reste une datant de 2010 qui recense toutes les ZUS. Vous y verrez le détail département par département et zone par zone, ainsi que les rues concernées au cas par cas.

    Enregistrez ce document tant qu’il est encore disponible et surtout regardez ce qu’il se passe à côté de chez vous et là où vous projetez de vous relocaliser. N’allez pas retomber de Charybde en Scylla. Si vous le pouvez, à titre personnel, mettez-le à jour en fonction de ce que vous aurez pu constater dans votre voisinage.

    ZUS

    Addendum. Bien entendu, je suis profondément nationaliste et jamais je ne me résoudrai à une partition territoriale. Malheureusement, le pire n’est pas exclu et il n’est pas inutile de s’y préparer. Surtout si par ailleurs, cela permet de mieux vivre.

    Martin Moisan

    Une décision lourde de conséquences. Suppression de l’ONDRP : “Autrement dit, toutes les statistiques sur l’état général du pays et sur la façon dont l’État s’acquitte de ses fonctions régaliennes, lourdement payées avec vos impôts, seront entièrement dans les mains de ceux qu’elles sont censées évaluer“. Un beau piège aménagé sur mesure pour des Français bien peu réactifs :

     https://www.dreuz.info/2020/01/23/la-disparition-bien-commode-de-lobservatoire-de-la-delinquance/?fbclid=IwAR0lz9Q8yxtpX3WoSd_qnJ3Ex1DC1f9am-hv7TO_qlQorYg2jbJDrroB_18

  • La Suède a quitté l'Europe (bis repetita)

    Des immigrés refusent d’être servis par des femmes dans un centre commercial, plusieurs d’entre elles démissionnent

    Le journaliste indépendant Joakim Lamotte affirme que les femmes travaillant au centre commercial Kista Galleria de Stockholm quittent leur emploi en raison du harcèlement d’hommes immigrés qui refusent d’être servis par des femmes.

    1. Lamotte a affirmé que plusieurs femmes l’ont contacté au sujet de leurs expériences au centre commercial. Elles ont déclaré avoir été harcelées sexuellement par des hommes immigrés.

    Les femmes auraient également affirmé que de nombreux clients masculins refusaient d’être servis par elles, exigeant d’être servis par un collègue masculin à la place. Lamotte a publié un clip audio de l’une des femmes qui confie qu’un homme avec une longue barbe et une casquette blanche ne parlait à aucun membre du personnel féminin. (…)

    “Mais ce n’est malheureusement pas la première fois que cela m’arrive. Mes collègues ont également été victimes de la même discrimination dégradante et, bientôt, ce sera quelque chose de quotidien“, a-t-elle déclaré.

    Nyheter Idag

     

     

  • La France, notre patrie,

     est un grand pays de l’Occident chrétien

    Photo: les bâtisseurs de cathédrale

     

    En France, sur son territoire, dans les quartiers islamisés, de grandes étendues ont été confisquées par des communautés venues de l’immigration voulue par Macron, que la France doit loger, nourrir et vêtir, et aussi financer les soins médicaux et les loisirs pour tous, avec des smartphones pour tous pour faciliter les communications avec le pays, la famille et les vacances pour tous au-delà des mers.

    Les frontières actuelles de la France sont devenues les frontières du monde entier. Cette situation géographique mondialiste présente des avantages pour Macron l’Africain progressiste mondialiste.

    Des avantages, parce que la France est ouverte sur la Méditerranée, le Maghreb et l’Afrique et parce que beaucoup de ces pays qui entourent la Méditerranée considèrent la France de Macron gay-friendly comme une colonie pour leurs populations exportées ou une semi-colonie, mais qui doit de toutes les façons rapporter des devises avec les mandats des migrants envoyés régulièrement au pays.

    Des inconvénients, parce que l’invasion des Africains, profitant de la proximité géographique, menace constamment l’existence même de la nationalité du peuple de la France dit de souche. La France est un pays peuplé de binationaux.

    Depuis la désagrégation de la communauté française, devenue société mondialisée voulue par Macron, l’histoire de sa civilisation est menacée et la nation est en danger en tant que telle.

    La France a produit nombre de grands penseurs, savants, inventeurs, hommes d’État, hommes de lettres et artistes, et elle a accumulé un trésor de monuments culturels. Mais aujourd’hui, la civilisation de la France est menacée bien que l’histoire de la France attestée par des documents écrits remonte à près de 2.000 ans.

    La nation française n’est pas seulement célèbre dans le monde par son amour de la liberté et riche en traditions révolutionnaires. Aussi l’histoire de la France montre que le peuple français n’a jamais toléré le règne des forces ténébreuses comme celles des LREM socialistes et de Macron et qu’il a toujours recouru à la révolution pour renverser et changer un tel régime anti-démocratique et répressif avec son État-policier.

    Depuis Macron autocrate totalitaire au pouvoir, le pays a connu des centaines de manifestations, et pas seulement à Paris et pas seulement des Gilets jaunes, grandes ou petites, parfois même des jacqueries au bord ou à la limite d’insurrections localisées, toutes dirigées contre la sombre machination de Macron et les lois fiscales abusives pour la domination de Macron sur le dos des retraités et de ceux qui ne sont rien.

    Dans la plupart des cas, les changements attendus ont été ignorés par le mépris de Macron l’arrogant juvénile gay-friendly. Cest pourquoi on peut s’attendre à des tentatives d’insurrection quand la nationalité du peuple de France, que Macron a toujours combattu, sera soumise au joug de l’islamisme étranger.

    Le peuple de France cherchera à tout prix à s’en libérer par la résistance ouverte ou clandestine pour retrouver sa liberté. Les grèves ont montré que les principaux syndicats responsables sont pour l’union sur une base de solidarité et d’égalité, contre l’oppression de Macron autocrate totalitaire au pouvoir et contre la répression violente de la Castapo de l’État-policier, contre les manifestants et contre le peuple.

    Au cours de son histoire deux fois millénaire, le peuple de France a donné nombre de héros et de chefs révolutionnaires.

    Aussi la nation française possède-t-elle une glorieuse tradition révolutionnaire et un remarquable héritage patriotique national. Bien que la France soit une grande nation, elle subit le régime socialiste LREM de Macron dans la souffrance et elle est entrée en récession sur les plans économique, politique et culturel.

    Les caractéristiques principales du système politico-économique de la France de Macron-socialiste ont dévoyé une économie financiarisée qui domine le pays au profit des banques et des ultra-riches qui en avaient besoin!

    Ce que Macron a voulu, c’est que la fiscalité arrache aux retraités et aux pauvres leurs faibles revenus, une fiscalité absurde destinée principalement à diminuer leur pouvoir d’achat et leur consommation.

    Et en même temps, la classe dominante accapare la plus grande partie des richesses disponibles! Avec Macron, qui exige toujours plus de taxes et impôts, la plupart des ultra-riches vivent de l’exploitation des retraités et des pauvres. Avec Macron, c’est le retour de l’État de classe des ultra-riches contre les pauvres.

    L’organe du pouvoir qui protège et maintient ce système d’exploitation des ultra-riches, c’est l’État-policier de Macron autocrate totalitaire au pouvoir.

    C’est un État absolutiste avec un pouvoir centralisé. Dans l’État absolutiste, Macron autocrate totalitaire au pouvoir se croit tout-puissant. Sous ce régime, les Français et les Gilets jaunes, soumis à l’exploitation fiscale et à l’oppression politique de Macron autocrate totalitaire, ont vécu dans la misère et la souffrance une colère de plus en plus grande et une révolte de moins en moins contenue, avec le sentiment qu’ils étaient privés de toute liberté d’expression individuelle et personnelle.

    Macron-tout-puissant, autocrate totalitaire au pouvoir, pouvait selon son bon plaisir, humilier sans honte et insulter la misère des Français du haut de son mépris de Macron l’arrogant juvénile gay-friendly.

    Les conséquences de l’exploitation et de l’oppression fiscale de Macron contre les Français, exercées au seul profit des banques et des ultra-riches, sont les raisons principales de la stagnation économique et sociale de la société française.

    La contradiction principale de la société progressiste mondialiste fiscaliste de Macron est celle qui oppose les classes moyennes, victimes de la spoliation de leurs caisses de retraite, à la classe des travailleurs en grève contre la réforme des retraites par points de Macron.

    Or, en présence de la réforme des retraites par points qui reste sur un plan abstrait, la Pravda LREM se borne à répéter, autant de fois qu’il faudra, que la réforme des retraites par points a l’apparence d’un contenu réel, et surtout que Macron ne fera pas baisser les pensions de TOUS les Français, pour combler la gabegie de l’État-socialiste-LREM pro-migrants, après le coup foireux de la spoliation de la CSG contre TOUS les retraités.

    TAKA Y CROIRE!

    On n’aboutit pas, de cette façon, à une particulière richesse universelle de TOUS les Français!

    Moralité : L’impitoyable exploitation fiscale et économique et la cruelle oppression politique de la part de Macron-tout-puissant, autocrate totalitaire au pouvoir, risquent de contraindre des Français de plus en plus nombreux à se lancer dans un grand nombre de révoltes et de soulèvements populaires, en souvenir de 1789 et des guerres révolutionnaires, au risque d’insurrections contre cette domination de Macron totalitaire qui agit en permanence contre TOUS les Français!

    TOUS les Français ? NON ! Mais surtout pas contre les profits des banques et des ultra-riches, les copains de Macron-tout-puissant, autocrate totalitaire au pouvoir !

    Thierry Michaud-Nérard

    https://ripostelaique.com/la-france-notre-patrie-est-un-grand-pays-de-loccident-chretien.html

    Il y a plus de pauvres que de riches, DONC

    Les petits ruisseaux faisant de grandes rivières, il est plus intéressant de plume l'oie chaque jour un peu, pour qu'elle ne crie pas trop et se laisse faire....

    JUSQU’À QUAND????

    Apparemment, le quand lui tombe sur la gu.... dès maintenant

     

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