Les scientifiques chinois annoncent que le virus peut s’attraper une seconde fois et devient alors plus meurtrier.
https://www.taiwannews.com.tw/en/news/3876197.
Bien sûr on pourra se poser des questions à ce sujet. Pourquoi plus meurtrier? Parce qu’on n’a pas réussi à faire des anticorps et que le virus est plus malin que nous? Ou parce qu’il revient sur des organismes déjà affaiblis" Ou toute autre réponse. Pour l’instant on n’en sait rien.
La seule chose que l’on sache, c’est que les Chinois, comme les Iraniens, mentent à leurs populations sur l’ampleur de l’épidémie, et qu’en Chine, ô horreur, des malades mourants ont été brûlés vifs sans attendre leur décès pour faire de la place dans les hôpitaux.
D’autre part le directeur de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré que la "fenêtre d’opportunité" pour endiguer la propagation du virus est en train de se refermer.
Cette déclaration ayant été faite avant les nouvelles contagions en Italie de cette semaine, et surtout en Iran qui s’évertue à cacher la réalité du problème, on peut se demander si la fameuse fenêtre est aujourd’hui refermée. Cela signifierait que la propagation du virus ne peut plus être endiguée. En France, bien que cela soit caché aux populations et que les informations restent strictement locales, il n’y a pas une seule ville, grande, moyenne ou petite, qui n’ait son ou ses cas de gens infectés. Le virologue australien Paul Hunter vient de déclarer que nous atteignons "le point de non-retour". Mais en tout état de cause, le virus est maintenant partout. Et en France dans toutes nos villes.
La troisième information a été donnée aujourd’hui: le coronavirus a infecté un chien paraît-il.
Affirmation à suivre bien sûr. Mais qui pose de nombreuses questions.
Reste à savoir si le virus va muter en se répandant, quel est son taux de mortalité, s’il y a des gens qui génétiquement ne peuvent le contracter, et si les scientifiques sont capables de mettre au point des traitements. Bref quelle est sa nature que l’on semble ignorer aujourd’hui. Mais les comportements auront aussi un rôle à jouer : entre autres éviter les regroupements et les lieux à forte densité de population ainsi que les contacts, car il n’y aura pas grand-chose à faire sinon attendre que ça se passe et faire ensuite le décompte des victimes.