Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Société - Page 110

  • Pendant que vous êtes bloqué-es chez vous...

    ... d'autres vont prendre la poudre d'escampette!

    Coronavirus: Belloubet vise la libération de 5000 détenus

    La garde des Sceaux Nicole Belloubet a annoncé lundi aux organisations syndicales du ministère de la Justice qu’elle visait la libération de 5000 détenus, afin de désengorger les prisons en cas de propagation du coronavirus, a appris l’AFP de sources syndicales.

    "Des ordonnances vont être prises permettant la libération anticipée des détenus en fin de peine. Ce qui permettra la libération d’environ 5000 détenus", a tweeté FO-Pénitentiaire, syndicat majoritaire chez les personnels pénitentiaires.

    www.lefigaro.fr

  • Bientôt danger pour tous!

    Chichon, coco, amphètes: ça va pas être la fête pour bobos et trafiquants…

    Frontières avec l’Espagne, la Belgique, l’Allemagne, l’Italie fermées, confinement et contrôles partout sur les routes ; faute d’approvisionnement, les stocks vont fondre comme neige au soleil. D’ores et déjà, de rudes pénuries s’annoncent.

    La crise du Coronavirus va asphyxier le commerce. Faute de clients, le chiffre d’affaires va chuter et la manne providentielle qui alimente la racaille des quartiers et leurs familles va durablement se tarir. Ce sont des populations entières qui vont se voir brutalement privées des ressources qui garantissaient une certaine paix sociale. Gros problèmes en perspective.

    Double effet: plus de pognon chez les trafiquants dans les quartiers, plus d’anesthésiques ni de fortifiants pour les bobos dans les villes, ni dans les campagnes où ça consomme tout autant. Un cocktail détonnant pour des populations qui ne supportent aucune frustration.

    On peut s’y attendre, ça va flamber dans les banlieues, ça va déprimer chez les bobos, les taux d’angoisse existentielle vont culminer chez les plus fragiles dans les campagnes. Instabilité sociale et ultra-violence à la clef.

    Décidément, ça se complique sérieusement pour le petit jeune homme arrogant qui va avoir beaucoup de mal à contrôler une crise multi-facteurs qui s’annonce longue et très violente.

    Confinement sévère, privations de libertés, rationnements alimentaires, pertes de revenus, familles les plus précaires privées de moyens de paiement à partir 5 du mois prochain, plus de pognon pour la racaille, plus de chichon, plus de coco, plus d’amphètes, ça va pas être le moment de tomber sur un os. Surtout que les places à l’hosto vont être chères et qu’on va y risquer fort d’y choper ce qu’on n’a pas. Pas le moment de se faire casser la gueule.

    Un conseil, pratiquez l’évitement et partez faire vos courses à plusieurs et en convoi.

    Sortir de chez soi va devenir dangereux. Chichon, coco, amphètes, faites en sorte qu’on ne vous fasse pas votre fête.

    Martin Moisan

  • Qui l'avait annoncé? Moi!

     

     

    Très gros ennuis après le 5 avril pour ceux qui ont cru Macron

    Paradoxe incroyable, la popularité de Macron vient d’exploser. Elle a gagné 13 points en pleine crise du Coronavirus. Elle se retrouve ainsi pour la première fois au-dessus de 50%, alors qu’il y a peu elle avait sondé en dessous de 20%. Alors, quelle peut bien être la cause d’une telle embellie?

    L’illusion Macron, les Français se croient en vacances, payés à rester chez eux ou dans leurs résidences secondaires. On imagine difficilement une manipulation des sondages à un tel niveau. On va donc considérer que, peu ou prou, ce sondage reflète une certaine réalité. Macron a annoncé que tout le monde devait s’arrêter de travailler, que tout le monde serait payé et que personne ne perdrait d’argent. Et les gens l’ont cru…

    Résultat, les homo festivus ont arrêté de bosser, ils se sont répandus sur les pelouses des parcs et jardins, jogging et balades en famille le long des voies d’eau. Aux tandems près, on assisté à une explosion de joie populaire comparable à celle de l’annonce des congés payés en 36. La capitale s’est en partie vidée, les bobos se sont rués sur les trains, direction leurs résidences secondaires à la côte.

    Ainsi 20% de la population parisienne a quitté la capitale. Les gens ne sont pas partis pour échapper au risque épidémique, ils sont tout simplement partis en vacances. La preuve: une fois à la côte, ils ont continué à enfreindre les consignes de confinement dans la plus parfaite irresponsabilité. Même chose chez les artisans et les indépendants en dehors des villes. Mon mécano, qui est un rustique que j’aime bien, m’a dit qu’il tirait le rideau et qu’il partait à la pêche.

    À la Saint-Luc, il m’aurait dit qu’il partait à la palombe… Dans les campagnes tout est à l’arrêt ou presque. Tout le monde a profité de l’effet d’aubaine, les gens sont dans leurs jardins, certains que Macron paierait et qu’aucun ne souffrirait. Demain on rase gratis, les Français l’ont cru, les doigts de pieds en éventail, ils ont remercié Macron de cette formidable embellie en portant sa popularité au plus haut. Cruelles désillusions en perspective.

    Très grosses déceptions en perspective. D’abord, les patrons de PME, les indépendants, artisans, professions libérales, auto-entrepreneurs et autres vont avoir beaucoup de mal à se faire payer. Les conditions d’éligibilité s’annoncent drastiques. Déjà il apparaît que seuls ceux qui ont été arrêtés par décision du pouvoir, tels les restaurateurs, seront éligibles aux aides. Il n’y aura rien pour les autres. On va leur expliquer qu’ils ont mal compris, qu’on ne leur a pas dit de s’arrêter mais de continuer en télétravail… Certains autres sont à l’arrêt de manière indirecte parce que leurs donneurs d’ordres ont arrêté net leurs missions. C’est le cas de certains cabinets de consultants ou de formation dont les entreprises ont repoussé les prestations sine die. Pour tous ceux qui n’auront droit à rien, les choses vont être extrêmement pénibles.

    Quant aux bénéficiaires, ils vont devoir justifier leurs pertes d’exploitation, ce qui va prendre du temps. Dans l’état d’incurie de l’administration, avec l’embouteillage des dossiers, les délais d’étude des dossiers vont être à perte de vue. Les bénéficiaires ne sont pas près de voir arriver l’argent. Comment vont-ils couvrir l’impasse de plusieurs semaines de perte de chiffre d’affaires?

    Même chose pour les salariés du privé. D’abord, ils ne toucheront que 80% de leur salaire net, hors primes et hors heures supplémentaires. Ça va faire très mal pour les salaires les plus bas qui bouclent tout juste leurs fin de mois et sont à découvert le 15. Ensuite, la loi d’exception qui vient d’être votée prévoit une imputation sur les congés payés et une remise en cause des 35 heures. Ça va pas être la fête chez certains homo festivus, privés de vacances cet été. Le pouvoir et le patronat profitent de la crise pour sarcler certains droits sociaux, très grosses contrariétés en perspective quand les gens vont atterrir.

    https://www.marianne.net

    Ceux qui ont cru Macron vont être déçus. Personne n’a vu l’ombre des 17 milliards que Macron avait promis aux Gilets jaunes. Je crains fort que l’illusionniste ait encore fait des promesses en l’air et que nombre de gens qui se sont crus en vacances ne voient rien venir, ou beaucoup trop tard, après que les banquiers leur auront tiré le tapis sous les pieds.

    Le 5 avril date fatidique. Dans ces conditions, rares sont ceux qui disposent de la trésorerie pour couvrir l’impasse. L’hécatombe va être extrêmement violente dans les PME, chez les artisans et indépendants. Pareil pour les salariés qui ne seront payés par leurs employeurs que jusqu’au 15 mars et qui devront attendre l’État pour prendre le relai.

    Pour nombre de ménages, c’est à partir du 5 avril, quand les rentrées n’arriveront pas sur les comptes et qu’il va falloir faire face aux échéances, que les choses vont se compliquer dramatiquement avec les loyers et les emprunts qui vont continuer à tomber. On peut compter sur les banquiers pour prélever leurs échéances d’un côté et repousser les chèques et bloquer les cartes bleues de l’autre.

    Toute une partie de la population totalement prise au dépourvue et totalement démunie à partir du 5 avril. L’atterrissage va être extrêmement brutal et la désillusion aussi. Nombre de gens vont se retrouver complètement dépourvus et pour certains, très nombreux sans doute, dans l’impossibilité d’aller au ravitaillement, privés d’argent et de moyens de paiement.

    Pénuries et rationnements. Cela va se combiner avec d’inévitables pénuries et avec un rationnement. En effet, de proche en proche, toute la chaîne de production agroalimentaire est en train de s’agenouiller et de perdre une grosse partie de ses capacités.  Les chaînes logistiques aussi. Il va donc très probablement falloir contingenter, et même rationner.

    Dans ces conditions, il y a tout lieu de penser que le mois d’avril sera celui de tous les dangers. Désillusion, frustrations de tous ordres, colère populaire, nous allons assister à des scènes tout à fait spectaculaires.

    Le pouvoir va se retrouver dans une situation d’impuissance totale, confronté à des populations trahies, exaspérées et qui ne respecteront plus aucune règle. Par ailleurs, le message de laxisme déjà largement envoyé aux populations des banlieues qui échappent à tout contrôle va également les autoriser à dépasser toutes les limites.

    À la crise sanitaire va s’ajouter un très violente crise sécuritaire multi-facteurs, que le pouvoir va avoir beaucoup de mal à contenir. Quid des forces de l’ordre envoyées sans protections sanitaires pour contenir des populations rendues folles? Seront-elles au rendez-vous?

    En France, le collapsus général du système approche et on ne voit aucune solution de reprise du pouvoir et de remise en ordre.

    Il y a tout lieu de penser que s’il s’installe, le chaos va durer avec un cortège de violences hallucinant.

    Martin Moisan

    https://ripostelaique.com

     

  • Nouvelle vague

    La Chine ne signale aucun nouveau cas national de COVID-19, mais les experts craignent une deuxième vague

    La Commission nationale de la santé en Chine a signalé qu’aucun nouveau cas de SARS-CoV-2 transmis au sein du pays n’était survenu depuis le mercredi 18 mars, soit deux jours. Il s’agit de la toute première fois que ce chiffre est nul en Chine depuis le début de l’épidémie, en décembre 2019.

    Cependant, la menace d’infection n’est peut-être pas terminée pour le pays, car 39 nouveaux cas parmi des personnes récemment rentrées en Chine ont été confirmés comme infectés. Les experts mettent donc en garde contre une possible deuxième vague.

    En dehors de Wuhan, l’épicentre de la pandémie, dans la province chinoise du Hubei, aucun nouveau cas indigène confirmé n’a été signalé pendant 13 jours consécutifs. Le nombre de nouveaux cas dans la ville de Wuhan était très bas la semaine dernière, pour finalement tomber à zéro mercredi. Cela signifie donc que, depuis le 18 mars, dans tout le continent chinois, l’augmentation des transmissions nationales avait été réduite à zéro.

    Ces chiffres contrastent fortement avec ceux observés il y a un mois, où plusieurs milliers de nouveaux cas étaient confirmés chaque jour. À présent, la principale inquiétude des autorités du pays est d’éviter que des personnes contaminées venues de l’étranger créent une deuxième vague épidémique.

    À Huanggang, une ville voisine de Wuhan, qui à un moment donné montrait le deuxième plus grand nombre de cas confirmés, aurait à présent libéré ses deux derniers patients guéris de COVID-19.

     

    Depuis le début de l’épidémie, à la fin du mois de décembre 2019, la Commission nationale de la santé en Chine a déclaré avoir reçu 80’928 rapports de cas confirmés, dont 3245 décès et 70’420 patients guéris et sortis de l’hôpital.

    Depuis le 23 janvier 2020, plusieurs villes de Chine qui ont été mises en quarantaine et la nouvelle de la réduction des cas de transmission au cœur du pays ont entraîné une levée partielle de la quarantaine de masse, permettant aux résidents des zones à faible risque de quitter la province du Hubei pour aller travailler.

    Les risques d’une deuxième vague

    Tandis que les mesures se lèvent, les experts avertissent que la maladie pourrait bien provoquer une deuxième vague. En effet, ayant infecté moins de 1% de la population lors de sa première vague, la plupart des Chinois n’ont pas contracté la maladie et pourraient toujours le faire.

    Et l’une des menaces les plus immédiates concernant une deuxième vague en Chine vient des " cas importés ". En effet, bien que le nombre de nouveaux cas au sein du pays fût de 0 mercredi dernier, la Chine a tout de même confirmé 39 nouveaux cas importés le même jour, pour un total de 228 cas confirmés qui ont été importés de l’étranger.

    "Ça va continuer à brûler. Le virus est toujours présent", a déclaré Michael Osterholm, directeur du Center for Infectious Disease Research and Policy à l’Université du Minnesota, aux États-Unis. " Nous nous attendons à ce qu’il s’infiltre à nouveau en Chine de par le reste du monde ", a-t-il ajouté.

    Basculement de l’épicentre de l’Asie à l’Europe

    À l’heure actuelle, le total des décès en Italie (soit 4000) a dépassé hier, jeudi 19 mars 2020, celui enregistré en Chine, qui s’établit désormais à 3248 morts.

    En Chine, les autorités sanitaires restent donc à l’affût. Le risque de voir une nouvelle vague de contaminations venues cette fois d’Europe, du Moyen-Orient ou d’Amérique, est important. " Dans de nombreux pays, la quantité de cas confirmés peut être considérée comme explosive. Si nous n’adoptons pas de mesures strictes (…), je crains que tous les efforts de précaution déployés au cours des deux derniers mois soient vains ", a averti mardi 17 mars la cheffe de l’exécutif hongkongais, Carrie Lam.

    Source : Commission nationale de la santé en Chine

     

  • Dans les quartiers "émotifs"

    Lutte contre la contamination: la police reçoit l’ordre d’éviter certains "quartiers sensibles"

    La lutte contre le covid-19 est une épreuve pour les forces de l’ordre. En Seine-Saint-Denis (93), les verbalisations s’accumulent, mais la police a, selon nos sources, l’ordre d’éviter certains quartiers sensibles dans le département voisin des Hauts-de-Seine (92). Au risque d’y voir la contamination progresser?

    La hiérarchie policière peine-t-elle à définir une stratégie d’application pour contrer les contaminations dans les quartiers sensibles? Si les policiers ont reçu pour instruction de durcir le ton en Seine-Saint-Denis (93) et d’emmener en garde à vue les resquilleurs à la troisième verbalisation pour irrespect du confinement, les patrouilles ont, dans d’autres départements, explicitement reçu l’ordre d’éviter certaines zones.

    Des sources au sein de la police en région parisienne ont communiqué à Sputnik des instructions relatives au maintien de l’ordre dans les Hauts-de-Seine (92). Selon le document auquel nous avons eu accès, les policiers "éviteront les quartiers sensibles comme Pablo Picasso, Petit Nanterre, Zilina ou Vieux Pont". Ils ne devraient donc voir aucun contrôle policier… au risque d’y voir la contamination progresser.

     

    fr.sputniknews.com

     

     

     

  • Les foireux

    17% des Parisiens ont quitté la capitale selon l’AP-HP

    17% des Parisiens auraient quitté Paris avant la mise en place du confinement selon l’Assistance publique – Hôpitaux de Paris qui se base sur la baisse des consommations d’électricité mesurées dans les 48h qui ont suivi les annonces des mesures de confinement.

     

    bfmtv