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Société - Page 20

  • Ils sont fous, ces Canadiens???!!!

    Canada: un lycéen arrêté pour avoir dénoncé la théorie du genre!!!

    "J’ai dit qu’il n’y avait que deux sexes et que vous étiez né soit un homme soit une femme, et cela m’a causé des ennuis".

    Josh Alexander est un jeune Canadien âgé de 16 ans. Il n’est pas près d’oublier sa scolarité à l’école secondaire (l’équivalent d’un lycée français) Saint-Joseph, un établissement catholique à Renfrew, en Ontario.

    Son tort? Avoir remis en cause la théorie du genre en classe. Il a défendu sa position en argumentant qu’en accord avec l’enseignement catholique et la Bible, il n’y a que deux genres, masculin et féminin — et que, par conséquent, les hommes biologiques ne devraient pas être autorisés à entrer dans les toilettes des femmes.

    Grand mal lui en a pris, ses opinions l’ont fait suspendre: fin novembre, l’école a décidé d’interdire son accès à Josh. Le 6 février, celui-ci a voulu retourner en classe et a été accueilli par le directeur adjoint de l’établissement assisté de deux policiers locaux, qui ont interpellé le jeune homme pour pénétration illégale dans l’enceinte d’un lycée dont il ne faisait plus partie.

    Il a été escorté, sans menottes, jusqu’au véhicule de police. Un avocat représentant le lycéen a déclaré que l’école ne le laissera plus assister aux cours tant qu’il n’acceptera pas "de cesser d’utiliser l’ancien prénom d’un étudiant transgenre, et de ne plus participer à deux cours de l’après-midi car ces cours sont suivis par deux étudiants transgenres qui désapprouvent les croyances religieuses de Josh".

    En réponse à cette polémique, Josh Alexander a déclaré au National Post que les étudiants transgenres qui rejettent ses opinions devraient peut-être réfléchir au fait qu’ils fréquentent une école catholique, ou du moins une école qui se dit catholique.

  • Retour de bâton!

    Il fallait s'en douter!.... bien sûr

    Le Mali face à la montée de l’islamo-nationalisme

    Le 7 février, Sergueï Lavrov, ministre russe des Affaires étrangères, se rendait au Mali. Une visite inédite témoignant du poids joué par le Sahel dans la géopolitique mondiale. Ce territoire se trouve aujourd’hui au cœur d’une bataille décisive entre la junte militaire au pouvoir à Bamako et les groupes terroristes.

    La fin de l’opération Barkhane, à l’été 2022, a accentué la présence de ces derniers dans la bande sahélo-saharienne. Bakary Sambe, enseignant-chercheur à l’université Gaston-Berger et directeur régional du Timbuktu Institute African Center for Peace Studies, a fait part de ses inquiétudes dans un entretien au Point.

    Cette situation favorise, selon lui, la progression du salafisme, qui s’impose désormais "non pas comme la religion des réfractaires au progrès social mais comme le mode de religiosité qui recrute le plus au sein des élites". Si les doctrines salafistes séduisent, c’est qu’elles sont perçues comme des " théologies de la libération".

    Bakary Sambe parle donc d’un " islamo-nationalisme", qui serait "favorisé par une conjoncture où, alors qu’émergent de plus en plus de revendications identitaires, l’imaginaire religieux et l’imaginaire nationaliste se rejoignent".

    Il observe ainsi une concordance de la gauche identitaire et des mouvances salafistes, "sous la bannière d’un mouvement de rejet du néolibéralisme et de contestation de la domination occidentale".

     

  • Scandale en Ardèche: les cathos veulent construire une église!

    Ce qui se passe à Saint-Pierre de Colombier, en Ardèche, est très grave. Des catholiques veulent construire une église, qui pourrait accueillir 3500 personnes.

    La gauche locale est vent debout contre le projet. (il y a encore des gens qui votent à gauche?????)

    Boudu! c'est tropporrible!

    Si les cons pouvaient voler, ils se satelliseraient autour de la lune!

  • Honteux! Pas étonnant que la France soit foutue!

    QUI GOUVERNE LA FRANCE? L'ETAT PROFOND DECRYPTE

     

    Honteux!  Pas étonnant que la France soit foutue!

     


  • HONTE  AUX  TENARDIER  DE  L'ELYSEE!

    Volaille française : la fin à venir des labels qualité comme le Label Rouge qui font de l’ombre aux lobbys industriels. La Commission Européenne va changer les règles avec l’aval de l’Élysée

    Par Périco Légasse - Marianne

    En torpillant la réglementation de l’élevage en plein air pour favoriser le lobby industriel allemand avec l’accord de l’Élysée, Bruxelles sonne le glas des labels de qualité dont dépend l’excellence de la volaille française.

    Absorbés que nous étions par le conflit poutino-zélenskien, par la crise énergétique, l’inflation menaçante, la guerre des retraites, le péril chinois, nous en avions un peu oublié les méfaits de ce fléau qu’est la Commission européenne. Qu’a-t-elle fait cette fois-ci?

    Rien de moins que de planifier l’éradication de la volaille française de qualité, notre bon vieux poulet dominical, en poignardant dans le dos les labels qualitatifs dont le consommateur se prévaut pour être sûr de son choix. La méthode est particulièrement sournoise et révèle, une fois de plus, le véritable objectif des instances européennes : éliminer toute entrave à l’enrichissement des marchés. Au nom de la libre concurrence, on détricote la loi pour permettre aux marchands de malbouffe d’éliminer ceux qui leur font de l’ombre. […]

    Cette filière obéit à des normes de production drastiques […]. Un niveau d’exigence spécifique à la France obtenu au terme d’un combat mené durant des décennies par des éleveurs soucieux de se distinguer de la filière industrielle et de ses horreurs. Comme pour certains autres aliments, comme le pain, on peut parler de conquête sociale au profit du consommateur […] […] présenté à Bruxelles en décembre 2022, un projet de nouvelles normes prévoit d’annuler le caractère obligatoire de la réglementation actuelle en rendant facultatives les contraintes liées à l’élevage en plein air et en liberté. Ainsi, à partir de février 2023, si la Commission ne revient pas sur sa décision, tout opérateur européen pourra user de mentions non réglementées pour étiqueter sa production.

    Ainsi trouvera-t-on sur le marché du "poulet des champs", de la "volaille de plein vent" ou du "poulet à l’air libre", dont l’intitulé ne correspondra à rien de vérifiable et de vérifié. De quoi désorienter le consommateur soudain exposé à un étiquetage quasi sauvage qui ne lui permettra plus de distinguer au premier coup d’œil un poulet label Rouge certifié "élevé en liberté", qui, lui, conservera son éthique de production, vendue aux alentours de 10 € le kg, et une volaille industrielle roumaine ou bulgare, nourrie avec des détritus, entassée dans des cages et vendue sous la mention "poulet libre" à moins de 5 € le kg…

    Si les initiés un peu vigilants pourront vérifier leurs achats, la grande masse des consommateurs, elle, se laissera abuser. Cette concurrence déloyale et trompeuse portera fatalement préjudice à la filière française de qualité, qui représente aujourd’hui 17% du marché de la volaille. Déjà que près de 90% de la volaille servie en restauration collective, cantines scolaires, Ehpad et hôpitaux est importée, c’est au tour de ce trésor alimentaire de faire les frais du néolibéralisme financier.

    Imposée par l’Allemagne, où le lobby industriel contrôle le réseau des élevages intensifs, dont les filiales s’étendent en Pologne, où l’on abat plus de 1 milliard de poulets par an, mais aussi en Roumanie et en Bulgarie, où sévissent des centaines d’usines, dont certaines comptent plus de 120 000 volailles, cette dérégulation brutale, allant dans le sens contraire de l’histoire et de la demande des consommateurs, est un coup dur pour l’agriculture française.

    Nous voudrions bien savoir ce qui a conduit l’Élysée et Matignon à consentir une telle REGRESSION aux lobbys bruxellois et au commissaire polonais à l’Agriculture, Janusz Wojciechowski. Il est vrai que, pour fabriquer un cordon-bleu, il n’est pas besoin de poulet tricolore. […]

    SOYEZ VIGILENT ET NE VOUS LAISSEZ PAS AVOIR PAR CES ESCROCS!

    Cherchez le prix au kilo LE PLUS CHER et la provenance POULET JAUNE DU SUD-OUEST…

  • Retraite des élus: si on en parlait!

    Et si on parlait maintenant pour changer de la retraite de nos élus, voici quelques questions tabous à se ou à leur poser .

    Sans faire d’antiparlementarisme, on peut constater que dans notre République égalitaire, certains sont plus égaux que d’autres!

    Et ce qui est extraordinaire c’est que de la NUPES au RN, il semble y avoir a consensus!

    De là à considérer que tout ce cirque des 64 ans est là pour amuser la galerie, il n’y a qu’un pas…

    Nous nous livrerons donc avec délectation à du populisme primaire, ça soulage!

    – Pourquoi un député au bout de seulement cinq ans de cotisation retraite touche une retraite moyenne de 1 500 €/mois alors qu’un employé pour 42 années de cotisation touchera 896 euros en moyenne?

    – Pourquoi, au bout de deux mandats de six ans chacun, un sénateur peut-il toucher plus de 3 700 € par mois de retraite?

    – Pourquoi la retraite des élus n’est-elle pas prise en compte dans l’écrêtement (8 200 €) des indemnités d’élus.

    – Pourquoi une cotisation retraite d’élu rapporte-t-elle en moyenne 6,50 € pour un euro cotisé pendant vingt ans alors qu’un salarié du régime général touche entre 0,87 et 1,57 € pour un euro cotisé pendant quarante-deux ans?

    – Pourquoi un élu peut-il cumuler ses différentes retraites (jusqu’à 5 retraites)?

    – Pourquoi un élu peut-il travailler en touchant sa (ses) retraite(s) d’élu complète(s) sans plafond de montant alors que le citoyen lambda ne peut le faire sans dépasser la valeur de son dernier salaire?

    – Pourquoi les élus ont-ils une retraite par capitalisation et l’interdisent-ils résolument aux " autres " qui n’ont droit qu’à une retraite par répartition?

    – Pourquoi les cotisations retraite des élus peuvent-elles être abondées par les collectivités, ce qui permet à un parlementaire de toucher sa retraite à taux plein avec moins d’annuités de cotisation?

    – Pourquoi une partie de la pension de retraite des parlementaires est-elle insaisissable (même en cas de fraude ou d’amende)?

    – Pourquoi un agent public qui voudrait se présenter à une élection législative ne devrait-il pas démissionner de la fonction publique?

    Un salarié le doit, lui, s’il veut travailler ailleurs!

    – Pourquoi deux ans d’allocations chômage pour un salarié lambda du régime général et cinq ans pour les députés?

    Ceux-ci ont-ils plus de mal à retrouver un travail?

    – Pourquoi les députés qui ne se représentent pas peuvent-ils toucher l’allocation différentielle et dégressive de retour à l’emploi?

    Un salarié qui démissionne n’a, lui, droit à rien!

    – Pourquoi faut-il avoir un casier judiciaire vierge pour entrer dans certaines professions et que ce n’est pas le cas pour être élu?

    – Pourquoi la fraude dans la déclaration de patrimoine d’un élu ne vaut-elle pas la prison mais seulement 30 000 € d’amende alors que la simple fraude d’un citoyen pour faux et usage de faux d’un document délivré par l’Administration est punissable de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 € d’amende?

    – Pourquoi un parlementaire (député ou sénateur) touche-t-il une IRFM (indemnité représentative de frais de mandat) de 5 770 € par mois pour un député et de 6 200 € par mois pour un sénateur, dont l’usage n’est pas contrôlable et pour lequel il n’a de compte à rendre à personne?

    – Pourquoi, durant son mandat, un élu peut-il s’acheter un bien qu’il nomme souvent " permanence ", le payer à crédit avec l’IRFM, qui est de l’argent public, et le garder ou le vendre pour son bénéfice personnel?

     

    – Pourquoi les parlementaires cumulards peuvent-ils toucher plusieurs enveloppes de frais de représentation (frais en tant que président d’agglomération, frais en tant que maire, IRFM en tant que député…)?

    – Pourquoi les restaurants trois étoiles (cinq étoiles?) de l’Assemblée nationale et du Sénat coûtent-ils si peu cher à l’élu?

    – Pourquoi un élu à revenu égal de celui d’un salarié paye-t-il moins d’impôt sur le revenu?

    – Pourquoi parle-t-on toujours de réduire le nombre de fonctionnaires mais jamais celui des parlementaires?

    – Pourquoi les sénateurs se sont-ils versé en 2011, au titre d’un "rattrapage exceptionnel", une prime de 3 531,61 € avant les congés d’été…?

    – Pourquoi aucun chiffre n’existe sur la présence ou non des sénateurs lors des séances au Sénat?

    – Pourquoi la pension de réversion d’un élu décédé est-elle de 66 % sans condition de ressources du survivant alors que celle d’un salarié du privé est de 54 % sous condition de ressources du survivant (aucune réversion au-dessus de 19 614,40 brut annuel!)

    – Pourquoi la retraite d’un élu est-elle garantie et connue d’avance alors qu’un salarié du régime général n’est sûr de rien?

    – Pourquoi un député peut-il cumuler plusieurs " réserves parlementaires " sans que cela se sache officiellement?

    – Pourquoi l’indemnité de fonction d’un député et son IRFM ne sont-elles pas imposables?

    – Pourquoi un député a-t-il droit au remboursement de frais de taxis parisiens (alors qu’il touche l’IRFM pour ça)?

    – Pourquoi un ancien sénateur ou un ancien député ont-ils droit à la gratuité à vie en première classe SNCF?

    – Pourquoi un ancien sénateur et son conjoint ont-ils le droit du remboursement de la moitié de 12 vols Air France par an et à vie?

    – Pourquoi un sénateur peut-il emprunter jusqu’à 150 000 € à un taux préférentiel?

    – Pourquoi les anciens ministres, leurs conjoints et leurs enfants ont-ils droit à la gratuité à vie des vols Air France et à la gratuité à vie des transports sur le réseau SNCF?

    – Pourquoi y a-t-il dans le service des fraudes un service spécial pour les élus?

    – Pourquoi une fraude d’élu est-elle différente des autres pour bénéficier d’un traitement de faveur?

    – Pourquoi un élu condamné définitivement ne rembourse-t-il pas les frais d’avocat dépensés pour lui par la collectivité?

    La réponse :

    On comprend mieux pourquoi ils se battent autant pour être élus… et réélus.

    Alain de Peretti