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Société - Page 219

  • SEP: Importance de la vitamine D

    Les faibles niveaux de vitamine D associés aux maladies auto-immunes

    Une étude menée par des chercheurs de l’Université de Tel-Aviv et parue dans Autoimmunity Reviews  suggère que l’obésité et le manque de vitamine D jouent un rôle important dans le déclenchement et la progression des maladies auto-immunes comme la SEP. Dans les dernières décennies, les maladies auto-immunes ont connu une augmentation très importante dans les pays occidentaux. L’implication de facteurs environnementaux pourrait expliquer cette hausse. "De nombreux facteurs sont associés au risque de maladies auto-immunes -les infections, le tabagisme, les pesticides, le manque de vitamines. Mais depuis quelques années, l’obésité est également pointée du doigt " dit le Pr Yehuda Shoenfeld.

    Plusieurs maladies auto-immunes sont associées à de faibles niveaux de vitamine D. Le Pr Shoenfeld a mené une étude sur des souris atteintes de sclérose en plaques et nourries avec un régime méditerranéen riche en acides gras insaturés. Il a constaté que la carence en vitamine D était une conséquence de l’obésité et qu’une fois corrigée, la paralysie et la détérioration des reins associées à la pathologie étaient améliorées. Le pronostic et la survie des souris étaient aussi améliorés.

    Une nouvelle étude parue en septembre 2017 dans la revue Neurology confirme qu’un déficit en vitamine D augmente le risque de sclérose en plaques. Les chercheurs ont examiné l’association entre les niveaux de vitamine D chez 800 000 Finlandaises enceintes et le risque de souffrir de sclérose en plaques plus tard. Les femmes ont été classées en trois groupes : déficit ou insuffisance en vitamine D et niveau en vitamine D suffisant, correspondant respectivement à des concentrations en 25-hydroxyvitamine D < 30 nmol/L, comprises entre 30 et 50 nmol et > 50 nmol/L.

    Les résultats montrent que les femmes qui présentent un déficit en vitamine D ont un risque 43% plus élevé d’être atteintes de sclérose en plaques que celles aux taux suffisants et 27% plus élevé que les femmes avec des niveaux insuffisants en vitamine D. Une augmentation de 50 nmol/L de la concentration en 25-hydroxy-vitamine D diminue de 39% le risque de sclérose en plaques.

    " Nos résultats suggèrent que corriger le déficit en vitamine D pourraient diminuer le risque de développer une sclérose en plaques plus tard " disent les auteurs. "Il est difficile de faire des recommandations sur le moment le plus adéquat pour une supplémentation". Le mieux est de maintenir un niveau optimal en vitamine D sur le long terme compte tenu des multiples effets bénéfiques pour la santé.

    La vitamine D diminue le risque de rechutes

    Une étude de 2012 montre que la vitamine D pourrait aider les personnes atteintes de la forme récurrente-rémittente de la maladie. Dans cette étude, plus de 150 patients ont pris de la vitamine D3 (en moyenne 3.010 UI par jour) conjointement au traitement immunomodulateur (acétate de glatiramère, interféron béta 1a ou interféron béta 1b). Le taux de vitamine D dans le sang des participants a été multiplié en moyenne par deux pour atteindre plus de 40 ng/mL, une valeur considérée comme normale.

    Les chercheurs ont alors constaté que les personnes dont le taux de vitamine D avait bien augmenté avaient moins de risque de rechute. Chaque augmentation de 4 ng/mL du taux de vitamine D dans le sang diminue le risque de rechute de 13,7 %, une différence très significative. Toutefois le bénéfice ne semble pas s'accentuer au-delà de 40 ng/mL.

    Les chercheurs concluent que ces données confirment de précédentes études qui sont arrivées à la même conclusion et tout ceci sans aucun effet secondaire.

    Les fortes doses bénéfiques

    D’après une étude pilote parue dans la revue Neurology en décembre 2015 (5), une complémentation avec de fortes doses de vitamine D peut aider à contrôler la réponse immunitaire. Pour cette étude, 40 patients atteints par la forme récurrente-rémittente de la maladie ont reçu soit 10400 UI soit 800 UI de vitamine D chaque jour pendant six mois. Des tests sanguins au début de l’étude, à trois et six mois, ont mesuré les niveaux de vitamine D et la réponse des lymphocytes T qui jouent un rôle dans la SEP. Les effets secondaires de la vitamine D étaient mineurs et étaient similaires dans les deux groupes.

    Les personnes qui ont pris les fortes doses ont eu une réduction du pourcentage de lymphocytes T inflammatoires, liés à la sévérité de la SEP, en particulier les cellules IL-17+CD4+ et CD161+CD4+. Les personnes avec les doses faibles n’avaient pas de changement notable dans les pourcentages de lymphocytes T.

    " Ces résultats sont très intéressants, car la vitamine D a le potentiel pour être un traitement peu coûteux, sûr et pratique pour les personnes atteintes de SEP ", a expliqué l’auteur de l'étude, Peter Calabresi, professeur de neurologie à Johns Hopkins (Baltimore). " Nous espérons que ces changements dans les réponses inflammatoires des cellules T se traduisent par une réduction de la gravité de la maladie. "

    Par ailleurs, une revue parue en avril 2018 dans le JAMA (Journal of American Medical Association) affirme que la vitamine D est le seul complément alimentaire ayant fourni des preuves évidentes contre la SEP. Cette étude a analysé les données existantes sur l'effet de différentes vitamines et compléments chez les personnes atteintes de SEP. Si certaines vitamines ont des effets modestes sur la fatigue (vitamines A et B1), d'autres sur la force musculaire et la coordination (vitamine B7), la seule qui montre de vrais effets sur les rechutes et le nombre de lésions est la vitamine D.  Pour les auteurs, c'est le seul complément que l'on peut recommander et plébisciter pour l'instant, en cas de SEP.

    On comprends pourquoi dans certains pays qui mettent les femmes sous voiles intégraux, il y a de plus en plus de femmes atteintes de sep! Leurs foutus pères gâchent leur marchandise!

     

     

  • Toulousains, Toulousaines: marre des orages et du gris?

    Voici votre météo, ÉTÉ et HIVER 2018

    valable 50 km autour de Toulouse

    JUIN

    N'oubliez pas votre parapluie jusqu'à la mi-juin et prenez un parapluie anti-retournement car le vent sera plutôt fort…

    Ensuite, dernière quinzaine de juin, c'est beaucoup: temps plus calme et température plus chaude qu'habitude

    JUILLET

    On continue sur la lancée de fin juin; le temps sera sec, peu humide et assez chaud pour la période….

    Hélas, cela ne va pas durer: 2e quinzaine de juillet: fort vent, belle pluie mais il fera toujours très chaud!

    AOUT

    Première quinzaine, le temps sera moins sec, pas d'orage mais toujours très chaud pour la saison… attention à la grande vague de chaleur…..

    Oui, mais: 2e quinzaine, orages et fort vent; température plus basse.

    SEPTEMBRE

    1ere quinzaine: belle remontée des températures mais petite pluie et petit vent.

    deuxième quinzaine: cela va mieux mais plus de pluie et d'humidité et il fera encore très chaud pour un septembre

    OCTOBRE

    Même type de temps que fin septembre: petite pluie, petit vent; température assez haute

    Pour la 2e quinzaine, vous reprenez comme en début octobre.

    NOVEMBRE

    1er quinzaine: ce sera encore bien chaud pour un novembre avec un peu de vent et pas mal d'humidité (petite pluie) légère baisse des températures en vue.

    2e quinzaine: peu de pluie, même sec et peu de vent mais baisse des températures plus forte.

    DÉCEMBRE

    1ere quinzaine, temps clair, peu humide et belle descente des températures

    1e quinzaine même type de temps qu'au début du mois mais les températures vont bien plonger.

    Comme je le serine depuis le mois d'août 2018: l'été 2019 sera pourri!

  • Quand la gauchiasse dit ce que tu dois faire....

    ... pendant qu'elle escroque et arnaque à tout va!

    Edwy Plenel: quand la lutte finale n’empêche pas la lutte fiscale !

    Edwy Plenel dénonce les subventions reçues par les milliardaires de la presse écrite, mais il en a déjà eu et il n’est pas contre leur extension à la presse numérique au nom de "l’équité".

    Vous connaissez certainement Edwy Plenel, ce journaliste moustachu et grande gueule, issu du trotskisme, passé par la direction de la rédaction du journal Le Monde, "face cachée" incluse, puis fondateur du site de presse Mediapart en 2008 et interlocuteur d’Emmanuel Macron avec Jean-Jacques Bourdin lors du dernier grand show télévisé du Président.

    S’il compte quelques belles enquêtes à son actif, l’affaire Cahuzac par exemple, il a aussi ses fiascos, dont une accusation fantaisiste de financement du PS par le dictateur du Panama Noriega. Bien que Tariq Ramadan, (nananère toujours en tôle!) tête d’affiche des Frères musulmans en France, soit sous le coup d’une mise en examen pour viol, il demeure l’un de ses fidèles soutiens et il évolue indiscutablement et bruyamment dans le sillage de la gauche de la gauche, comme en témoignent clairement les récents articles de ses journalistes sur la réforme de la SNCF ou les Paradise Papers.

    C’est précisément là que les choses deviennent amusantes. Car si la moustache d’Edwy frémit d’indignation lorsque des entreprises ou des particuliers recherchent en toute légalité (cas des Paradise Papers) des taux d’imposition plus doux que ceux réservés à ses contribuables par la fiscalité française, il est bien évident que lorsque Plenel décide en toute illégalité et en toute connaissance de cause d’appliquer à Mediapart une TVA de 2,1% limitée à l’époque à la presse papier au lieu des 19,6% (puis 20%) prévus pour la presse en ligne, ce n’est ni de la fraude ni de l’optimisation fiscale, ce n’est même pas une malencontreuse erreur, c’est un combat citoyen et démocratique pour la pluralité de la presse et la liberté d’expression!

    Mieux, c’est une question de concurrence équitable entre la presse numérique et la presse papier dans laquelle Mediapart joue sa survie. Formidable! Devenu chef d’entreprise lui-même, Plenel a compris qu’une fiscalité confiscatoire et mal ficelée peut fausser le jeu naturel du marché et entraîner les entreprises à la faillite!

    Du reste, dans un article de mars dernier où il présentait la situation de Mediapart après 10 ans d’existence, il nous révélait des résultats financiers que beaucoup de chefs d’entreprise pourraient envier:

    Atteignant 13,7 millions d’euros en 2017, le chiffre d’affaires a augmenté de 20% par rapport à 2016. Le résultat net, après impôt, est de 2,2 millions d’euros, représentant 16% du chiffre d’affaires, taux exceptionnel dans notre secteur.

    Notons au passage que LVMH, dont nous allons parler plus bas, est à 13% de profit en 2017 selon le même critère.

    Comprenez-moi bien, chers lecteurs, je ne suis nullement en train de critiquer les profits ou plaider pour une fiscalité élevée. Je me borne à constater combien il est aisé pour un Edwy Plenel (exactement comme pour un Cahuzac, du reste) de faire la morale aux autres tout en ayant rigoureusement les mêmes préoccupations de gestion, quitte à les emballer dans un discours musclé contre les riches et les médias dominants qui sonnera agréablement aux oreilles trotskistes.

    Médiapart n’aura pas mené son combat en vain puisque le taux de TVA applicable à la presse, tous supports confondus, a été harmonisé à 2,1% à partir de février 2014.

    Ce qu’il faut noter cependant, c’est que les gens comme Plenel ont généralement l’habitude d’exiger des alignements sur le haut du barème, lequel n’est jamais assez élevé pour eux quand ils n’y sont pas assujettis. Dès qu’il est question de supprimer une taxe sur les riches, comme on l’a vu avec la limitation de l’ISF à la fortune immobilière, ils sont pris de graves palpitations morales. Mais comment va-t-on financer encore plus de transports en commun gratuits, encore plus de panneaux solaires et encore plus de Pass culture? Une question idiote, mais récurrente chez la gauche "morale" – que Plenel évite de se poser quand ça l’arrange.

    Et ce qu’il faut noter en outre, c’est que ce taux réduit est en quelque sorte une faveur à la presse, une de ces mesures qui ressemblent furieusement à une subvention – bien que Plenel se défende d’en recevoir – puisque l’immense majorité des biens et services reste assujettie au taux plein de 20 %. Même Bernard Arnault, bête noire officielle des anti-capitalistes et propriétaire du Parisien, Aujourd’hui en France et Les Échos, collecte essentiellement de la TVA à 20 %à travers ses autres activités dans LVMH.

    Mediapart n’est sans doute pas le média qui reçoit le plus d’aides directes à la presse alors que Bernard Arnault en est l’un des principaux bénéficiaires. Mais si Plenel en fait systématiquement un argument choc pour manifester sa parfaite indépendance médiatique contre les " médias dominants " et s’il ne manque jamais de dénoncer " les milliardaires de la presse gavés d’aides publiques et privées ", n’oublions pas que ses journalistes profitent comme les autres (mais contrairement au régime normal des salariés) d’un abattement spécial sur le revenu.

    De plus, Mediapart aurait reçu 200 000 € de subventions étatiques en 2009. La martingale sémantique est la suivante: les sites concernés ne demandent pas des aides publiques – ils sont contre, indépendance, blabla … – mais de l’équité !

    Nous étions d’abord demandeurs d’équité, étant entendu que les aides attribuées aux sites des médias traditionnels constituaient des distorsions de concurrence dans ce nouveau secteur de l’information en ligne.  (Rue89)

    Ajoutons que le Syndicat de la presse indépendante d’information en ligne (SPIIL), dont Mediapart est membre fondateur, milite activement pour obtenir que "le principe de neutralité des supports (guide) l’ensemble du soutien public à la presse" exactement comme il a guidé l’harmonisation du taux de TVA.

    Autrement dit, afin de garantir pluralité de la presse et concurrence non faussée, il conviendrait que les organes de presse numériques puissent bénéficier des aides d’État au même titre que la presse papier. Une évolution que la Cour des comptes recommande dans son rapport public annuel 2018 sur les aides à la presse (voir page 22 du lien).

    Ce développement n’est pas encore acquis, mais victoire, victoire, Plenel a au moins gagné "son" combat sur la TVA. Il n’empêche que le tribunal administratif, qui a rendu son jugement le 22 mai dernier, considère que la société éditrice de Médiapart est bien redevable de l’écart entre les deux taux pour l’entièreté de la période où elle s’est appliquée 2,1% sans justification fiscale, soit 3,3 millions d’euros. Disons-le simplement mais nettement: Mediapart a bel et bien été condamné.

    S’exprimant sur la question dans ses propres colonnes lundi dernier, Edwy Plenel se décerne cependant moult certificats de bonne conduite et parle de "première victoire judiciaire". Mediapart échappe en effet aux majorations de 40% du redressement fiscal qui lui auraient été appliquées si la cour avait été convaincue de son intention d’éluder l’impôt.

    À mon sens, Mediapart bénéficie surtout d’une forme d’indolence de l’administration fiscale. Celle-ci l’avait prévenu dès 2008 par courrier que le taux applicable à son activité était 19,6 % et non 2,1%. Le site n’en a pas tenu compte, silence radio de la part du fisc, et c’est seulement en décembre 2013 qu’est arrivé un contrôle fiscal. Résultat de ce retard à l’allumage, l’État est condamné à payer 1000 € à Mediapart. Pour Plenel, pas de doute, ce contrôle purement vengeur est venu "d’en-haut" suite aux révélations de Mediapart sur l’ex-ministre du budget Jérôme Cahuzac.

    Après tout, c’est possible. Mais gardons en mémoire que Plenel a l’habitude de se faire passer pour la victime des malversations vengeresses des autres. Lui est toujours tout blanc, qu’il s’agisse de Tariq Ramadan, de sa TVA ou de ses " profits ".

    Résumons: Edwy Plenel dénonce les subventions reçues par les milliardaires de la presse écrite, mais il en a déjà eu et il n’est pas contre leur extension à la presse numérique au nom de "l’équité". Il fustige l’optimisation fiscale des riches, mais il a pratiqué lui-même sa propre " optimisation ", ce qui lui a valu un redressement fiscal. Il fait partie de ces gens qui font une moue méprisante quand on leur parle de marché libre mais il réclame pour lui une concurrence non faussée. Il vilipende les profits des sociétés du CAC40, mais en 2017 son entreprise Mediapart a été encore plus profitable que LVMH !

    Tout ceci manque de cohérence, mais que voulez-vous, il est de gauche, ses intentions sont forcément pures et sans reproches!

    Contrepoints.org

     

  • ATTENTION: FRANCE EN DANGER!

    Un membre du GIGN nous dit de nous préparer!

    Suite à la fusillade de Marseille, un membre du GIGN avertit les Français: " préparez-vous"!

    Bobard? Réelle information? Intox? Libération de la parole chez les forces de l’ordre?

    Laurent Obertone nous livre le message d’un membre du GIGN, suite à la fusillade de la Busserine, à Marseille, ce lundi 21 mai.

    https://fr-fr.facebook.com/obertone.laurent/

    Laurent Obertone, journaliste, écrivain, auteur de "France Orange mécanique", de "La France Big Brother" et de "Guérilla" est un spécialiste des faits divers, mais de ceux qui n’intéressent pas la presse de gauche.

    Il estime en effet que "les deux tiers des infractions sont commis par des individus issus de l’immigration, ce qu’il considère comme un sujet tabou, nié pour des raisons morales".

    La fusillade du quartier de la Busserine, une cité de 4000 habitants connue pour ses trafics en tout genre, n’a fait aucun blessé grave. Était-ce une sorte d’avertissement de la part de narco-gangsters en butte avec des rivaux?

    "Une action d’intimidation" pour Le Monde, seulement "des policiers mis en joue" pour Libé qui rappelle qu’en février 2015, " une spectaculaire fusillade avait éclaté entre des policiers et des trafiquants de drogue qui avaient recruté des "mercenaires kosovars" pour une opération commando contre des concurrents dans une autre cité sensible de Marseille, à La Castellane ". Là aussi, sans faire de blessés.

    Bref, comme d’habitude, rien de méchant pour les médias.

    Pour les forces de l’ordre, il en va autrement: ce sont " des signaux faibles " pour les politiques mais les prémices d’une guérilla à venir pour les professionnels de la sécurité et du renseignement. Pour ne pas dire, qui sait, une guerre civile dans 10, 20 ou trente ans?

    Ce message, s’il émane véritablement d’un membre du GIGN, est étonnant pour plusieurs raisons:

    Car venant d’un militaire soumis au devoir de réserve et à la confidentialité, et plus encore, d’une unité d’élite

    Car mélangeant actualité mondaine, faits divers, revendications et considérations politiques, comme un " tract syndical "

    Car posant une énigmatique injonction: "préparez-vous"

    Ce " préparez-vous " est-il destiné aux voyous? Au Français? Et pour ces derniers, se préparer à quoi?

    Car enfin, la population autochtone reste bien démunie face à des racailles islamisées munies d’armes de gros calibre. Que pourrait-elle leur opposer: des bombes au poivre? Des fusils à plombs? Du calibre 12? Sans compter des lois et des juges impitoyables avec les tenants de la légitime défense. Alors la constitution de milices armées et d’opérations commando, n’en parlons pas!

    Sans partager sa ligne éditoriale, le site Breizh Atao analyse assez clairement la situation:

    "La population civile hexagonale, notamment dans les grands centres urbains de France, est à la fois sous l’étroite surveillance politique du gouvernement et exposée à une rééducation systématique, notamment via les médias d’état, sur la nature fondamentalement positive et bénéfique du processus de libanisation ethnique de l’Hexagone.

    Tout propos contredisant cette vérité d’état se conclut, pour le citoyen déviant, par un cocktail mêlant menaces de la part de la police sur ordre de la magistrature – donc du gouvernement – et procès politiques à spectacle.

    Si l’ultra-gauche bénéficie d’une bienveillance évidente de la part de la presse d’état et du gouvernement, qui vient par exemple d’allouer des centaines d’hectares aux Zadistes de Notre-Dame des Landes, le moindre local associatif réunissant des citoyens sceptiques quant à l’immigration de masse, l’islam radical ou le caractère criminogènes des bandes ethniques, est immédiatement ciblé par le sommet du pouvoir.

     

    En d’autres termes, il ne peut y avoir aucune "préparation" car l’instinct de conservation des populations a été méthodiquement détruit pour permettre, précisément, la balkanisation raciale et religieuse de l’Hexagone de s’opérer à leur détriment.

     […]

    Le socialisme d’état français […] tient la population autochtone comme le véritable ennemi stratégique et non pas les millions d’allogènes établis en France.

    L’État Français a déjà acté de son islamisation comme le démontre l’attitude d’Emmanuel Macron, ouvertement allié aux Frères Musulmans. Dans ces conditions, tout ce qui s’oppose à cette " évolution politique " soutenue au plus haut niveau est identifié comme un obstacle à éradiquer.

    Toute " préparation " des autochtones amènera, invariablement, l’État Français à durcir ses opérations contre la population hexagonale tentant de se révolter. "

    https://breizatao.com/2018/05/22/marseille-un-membre-du-gign-invite-la-population-francaise-a-se-preparer-a-un-scenario-de-guerilla-faute-de-reaction-politique/

    Mais face au terrorisme islamiste, aux embrasements réguliers des zones de non-droit, à l’invasion migratoire et, de facto, à l’islamisation de la société, museler les voix dissidentes, de plus en plus nombreuses, deviendra un exercice difficile voire intenable pour le gouvernement et ses serviteurs. Plus encore si les forces de l’ordre se rallient en masse à la cause identitaire, à la défense de la France et des vrais Français de cœur.

    Est-ce le sens de ce martial "préparez-vous"?

  • Cela fait très longtemps que ça dure…. et on n'en parle pas!

    Deux jeunes Afghans demandeurs d'asile s'en sont pris à une Dijonnaise âgée de 33 ans lui reprochant une tenue vestimentaire trop légère.

    Les médias français relatent que les deux individus ont insulté la victime, 33 ans, à cause de sa tenue vestimentaire qu'ils jugeaient trop légère. Selon Le Bien Public, la femme portait un décolleté.

    Les policiers ont ensuite interpellé les deux suspects, des demandeurs d'asile afghans âgés de 19 et 23 ans habitant à Dole, dans le Jura. Ces derniers seront convoqués prochainement devant le tribunal correctionnel.

    ANECDOTE VRAIE

    Il y a 7 ans, une de mes amies, médecin, habitant centre ville de Strasbourg, une rue menant à la mosquée sort de chez elle avec un top, donc épaules découvertes. Un groupe de Chance pour la France -qui allaient à la mosquée- en passant la traite de salope et autres joyeusetés de notre vocabulaire.

    Il Y A 7 ANS DEJA!

     

  • N'importe quoi, macrouille!!

    Rwanda: les raisons de l’intérêt soudain pour la Francophonie

    Les intérêts du Rwanda pour la francophonie sont ailleurs.

    Par Isidore Kwandja Ngembo.

    L’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) est une institution fondée essentiellement sur le partage de la langue française comme levier de coopération, et a pour vocation à promouvoir des valeurs fondamentales communes telles que la primauté du droit, la gouvernance démocratique, la consolidation de l’État de droit, le respect des droits de la personne et des libertés fondamentales.

     

    De par les mandats qui lui sont confiés par les États et gouvernements membres, d’agir notamment pour prévenir et résoudre pacifiquement des conflits dans l’espace francophone, l’OIF est reconnue également comme un acteur international qui contribue en faveur de la paix et de la sécurité mondiales.

    Le secrétaire général, clé de voûte de la Francophonie, est chargé justement de mettre en œuvre l’action politique et diplomatique, d’animer et de coordonner la coopération entre les États et gouvernements membres en vue d’atteindre les objectifs que ceux-ci se sont fixés.

    En effet, il nous paraît assez suspect l’intérêt soudain du Rwanda de prétendre à la direction de la Francophonie, lui qui a toujours accusé la France de complicité de génocide et a même banni la langue française dans l’enseignement et l’administration publique.

    Un soutien incompréhensible

    Le soutien potentiel de la France à cette probable candidature de la ministre rwandaise des Affaires étrangères nous paraît tout aussi incompréhensible que cela puisse paraître et difficilement justifiable compte tenu de l’état actuel des relations diplomatiques entre les deux pays.

    Rappelons que, depuis le génocide de 1994 et l’arrivée au pouvoir des autorités politiques actuellement au Rwanda, la France a déployé des efforts considérables pour rétablir le dialogue en vue de renouer les liens brisés avec ce pays, mais le Rwanda rechigne toujours à rétablir les relations diplomatiques saines avec celle-ci. La crise de confiance perdure encore, en dépit de toutes les tentatives bien intentionnées de la France.

    Les relations bilatérales entre les deux pays sont, pour ne pas dire exécrables, manifestement tendues, et ce, peu importe le nombre de fois où les deux présidents, Emmanuel Macron et Paul Kagame, se sont entretenus.

    En tout état de cause, la candidature rwandaise n’est certainement pas pour œuvrer au rayonnement de la langue française, ni pour faire la promotion des valeurs démocratiques prônées par l’OIF. Bien au contraire, cela aura pour effet d’annihiler tous les efforts déployés jusqu’ici par cette organisation en vue d’accompagner le processus de transition démocratique en cours dans un certain nombre de pays de l’Afrique francophone notamment.

    D’autre part, le Rwanda a fait preuve d’un certain laxisme dans l’acquittement de sa contribution statutaire à l’OIF dans les temps requis, et ce, pendant des années. En 2014, par exemple, l’Organisation a dû lui accorder une réduction de 50 % et s’entendre sur un calendrier de paiement régulier. Mais, malgré cela, le compte est resté en souffrance pour une maigre contribution de 30 000 euros l’an. Dans une récente réunion, le Comité sur les arriérés est revenu à la charge pour exiger du Rwanda le paiement de ses arriérés pour les années 2015, 2016, 2017 et 2018.

    Qu’à cela ne tienne, le Rwanda, pour des raisons que l’on ignore encore, est déterminé à prendre la direction de la Francophonie. Et, sa diplomatie s’active en coulisse autant sur les plans bilatéral et africain pour y parvenir. Les puissants médias de l’espace francophone sont mis à profit pour assurer une couverture médiatique ouvertement favorable à la candidature de Louise Mushikiwabo.

    Tout compte fait, les raisons sous-jacentes qui peuvent expliquer l’intérêt soudain du régime rwandais à l’égard de la Francophonie sont à rechercher ailleurs que dans la volonté de faire avancer les objectifs contenus dans la  » Déclaration de Bamako « , renforcée par la  » Déclaration de Saint-Boniface « , deux textes normatifs de référence, l’un sur le respect des règles de la gouvernance démocratique et de l’État de droit, l’autre sur la sécurité humaine et la responsabilité de protéger.

    Que reproche-t-on à Michaëlle Jean ?

    Sous la gouverne de Michaëlle Jean, l’OIF est fortement engagée dans un élan, à la fois, de la défense et la promotion de la langue française et de la diversité culturelle, et de la promotion des valeurs démocratiques chères à l’organisation.

     On se rappellera qu’en 2014, lorsqu’elle s’était lancée dans la campagne pour accéder à la direction de l’OIF, Michaëlle Jean promettait de faire de la Francophonie, une organisation toujours plus agissante, dans un monde en plein bouleversement et en perpétuel changement.

    Quatre ans après, elle a tenu sa promesse, sans désemparer, de hisser l’OIF à la place qui lui revient, au cœur du système multilatéral. Aujourd’hui, l’Organisation qui rassemble 84 États et gouvernements membres et observateurs, est tellement attractive que le nombre de demandes d’adhésion ne cesse d’augmenter.

    Michaëlle Jean a su positionner l’Organisation sur tous les enjeux de l’heure : objectifs de développement humain et économique durable et inclusif, changements climatiques, crises migratoires, lutte contre le terrorisme, prévention et gestion des crises, défense des droits et des libertés fondamentales, soutien à l’entrepreneuriat des jeunes et des femmes, renforcement des politiques et programmes en faveur de l’éducation, de la formation technique et professionnelle, stratégie numérique, appui structurant au renforcement des institutions, mobilisation de la jeunesse autour de la responsabilité citoyenne et dans la lutte contre la radicalisation, stratégie pour l’égalité entre les femmes et les hommes, etc.

    Qu’on le veuille ou non, l’OIF a considérablement intensifié ses efforts et continue de développer ses moyens d’action dans les différents domaines relevant de son mandat. Et, Michaëlle Jean poursuit sereinement la mise en œuvre de réformes substantielles en vue d’améliorer le fonctionnement et la gestion interne de l’Organisation.

    Par ailleurs, Michaëlle Jean est persuadée que c’est en adoptant une approche concertée et mieux coordonnée, en faveur de la paix, de la sécurité, du dialogue inclusif, du respect des processus démocratiques, que nous pourrons obtenir les meilleurs résultats. C’est ainsi que l’OIF est résolument engagée sur le terrain, en synergie avec ses partenaires internationaux, pour agir efficacement.

    En effet, les nouvelles réalités mondiales nous rappelle qu’aucun État, aussi puissant soit-il, ne peut à lui seul relever les immenses défis qui nous attendent, ni dicter sa volonté au monde, mais cela exige l’instauration d’un ordre international fondé sur un multilatéralisme plus efficace. Ainsi, au lieu d’affaiblir la Francophonie en la déstabilisant dans son action, il vaudrait mieux reconnaître et investir davantage dans sa plus value, en lui apportant des moyens supplémentaires à la hauteur de l’ambition légitime qu’elle porte et qui la définit.

    Il va sans dire qu’il serait préférable pour les chefs d’État et de gouvernement, dans leur grande sagesse, de faire preuve de réalisme en faisant en sorte de ne pas briser la dynamique engagée par ses prédécesseurs et poursuivie de façon accélérée par l’actuelle Secrétaire générale dès sa prise de fonction, et de la reconduire pour un second et dernier mandat, afin de poursuivre inlassablement tous ces efforts qu’elle a su engager pour assurer la pérennité des actions entreprises et des programmes déployés dans l’exécution de l’ambitieuse feuille de route qui lui a été confiée à Dakar.

    contrepoints.org