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actualités - Page 6

  • Sordide, infâme, écœurant…

    Val-de-Marne: une mère placée en détention pour le viol de sa fille de 6 mois

    Cette enseignante de collège s’est présentée d’elle-même au commissariat de Nogent (Val-de-Marne), jeudi soir. Un psychiatre a considéré que son discernement n’était pas aboli.

    Une mère de famille, exerçant comme professeur de musique au collège, a été placée en détention provisoire ce week-end pour le viol de son bébé.

    Les faits sont tellement sordides qu'on a du mal à croire qu'ils puissent être l'œuvre d'un individu sain d'esprit. Pourtant c'est bien en prison et non dans un hôpital psychiatrique qu'une habitante de Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne) a été envoyée ce week-end.

    Cette mère de famille de 41 ans a été mise en examen pour "viol incestueux sur mineur de moins de 15 ans", nous a confirmé ce lundi matin le parquet de Créteil. En l'occurrence, elle est soupçonnée d'avoir violé sa petite fille âgée de seulement 6 mois.

    C'est la maman elle-même, enseignante à temps partiel dans plusieurs collèges du Val-de-Marne et de Seine-Saint-Denis, qui s'est présentée au commissariat de sa ville avec une vidéo où elle commet les actes qui lui sont reprochés.

    Elle présente d'elle-même la vidéo aux policiers

    Ce jeudi soir, cette professeur de musique pousse la porte du commissariat de Nogent-sur-Marne. Elle est bien embêtée, explique-t-elle, parce que le rectorat de Créteil l'accuserait de pédophilie. Et de sortir son téléphone portable pour montrer aux policiers la vidéo qui poserait "problème". Le fonctionnaire jette un œil et tombe sur cette scène où la femme commet sur une table à langer des actes de pénétration digitale.

    Elle est aussitôt interpellée et placée en garde à vue. Le rectorat était-il au courant?

    "Nous n'avons eu aucune remontée sur cette affaire, soulignait ce lundi soir son représentant. S'il y avait eu le moindre soupçon, l'enseignante aurait évidemment été suspendue sur le champ à titre conservatoire. Et n signalement aurait été transmis au parquet".

    L'affaire est confiée à la brigade des mineurs de la sûreté territoriale. "Elle a expliqué qu'elle avait elle-même subi ce genre d'attouchements quand elle était enfant", précise une source proche de l'enquête.

    (Ce n'est pas une raison, barbare!)

    La mère de famille est évidemment examinée par un psychiatre. Le médecin conclut à une altération du discernement mais pas à son abolition. En clair, elle est pour l'heure accessible à une sanction pénale.

    "Elle fera vraisemblablement l'objet d'une seconde expertise psychiatrique au cours de l'instruction", avance cependant une source judiciaire.

    (Bien sûr, et elle va être libérée car, chez ces gens-là, c'est une question de culture ancestrale)

    "Quelqu'un d'extrêmement étrange", selon un parent d'élève

    L'affaire fait d'autant plus froid dans le dos que la mise en examen travaillait au quotidien avec des enfants. "Mon enfant l'a eue comme professeur de musique, se remémore un papa du collège Ronsard à Saint-Maur. C'était quelqu'un d'extrêmement étrange, très renfermé et qui parlait à peine français".

    (Non mais, qu'est-ce qu'ils foutent dans l'Education Nationale?

    Ben, ils nomment prof des gens qui ont obtenus 3 sur 20!)

    Honte à Blanquer

    www.leparisien.fr

  • ALERTE NATIONALE

    de l’Institut Pour la Justice: 10 000 délinquants relâchés dans la nature ou laissés en liberté.

    Et ce n’est pas fini!

    Alors que les Français souffrent chaque jour de ne pouvoir sortir de chez eux, alors qu’ils s’angoissent de ne pas pouvoir voir leurs proches, alors que l’économie du pays se détruit peu à peu parce que les gens ne peuvent plus aller travailler, alors que nous vivons tous dans la peur du lendemain, alors que nous sommes enfermés chez nous, madame Belloubet continue sa politique folle de remise en liberté des délinquants…

    Christiane Taubira, sur France-Inter, appelle à prendre des décisions "courageuses et justifiées", pour libérer davantage de criminels.

    Adeline Hazan, la contrôleur général des lieux de privation de liberté, estime qu’il faudrait aller au moins jusqu’à 13 000.

    Madame Hazan a été présidente du Syndicat de la magistrature. (Vous savez? le mur des cons) Autant vous dire que, pour elle, 13 000 détenus libérés, ce n’est qu’un début.

    Et parmi ces milliers de détenus relâchés, on trouve bien sûr… des radicalisés islamistes…

    Maître Goldnadel, l’un de nos experts, lui a vertement répondu: "Je peux vous dire qu’un détenu radical islamiste condamné à une prison ferme et mêlé dans une affaire de terrorisme, même s’il n’a pas du sang sur les mains, il a d’ores et déjà une bonne place pour figurer sur la photo de celui qui va poignarder trois ou quatre personnes au hasard. C’est tout à fait plausible. Quand on sait que les derniers qui sont passés aux actes étaient inconnus de la police, je ne sais pas qui était le plus déséquilibré de tous".

    En fait, ils ne sont même pas capables de détecter tous ceux qui sont radicalisés en prison. La vérité, c’est que l’administration pénitentiaire et la justice sont tout à fait incapables d’évaluer la dangerosité d’un détenu radicalisé. L’expérience l’a amplement prouvé.

    On nous parle de 130 radicalisés libérés, mais en réalité ils sont certainement beaucoup plus nombreux parmi tous les détenus déjà remis en liberté…

    Texte intégral et pétition sur :

    http://petitions.institutpourlajustice.org

    Jacques CHASSAING

    IMPORTANT : Tous les liens et renvois mentionnés dans cet article constituent des éléments factuels corroborés, à l’appui des opinions et des faits exprimés par l’auteur Jacques Chassaing, ici, ainsi que dans tous les articles qu’il signe.

    Texte en entier:

    https://ripostelaique.com

  • Des ponctionnaires dictatoriaux

    "Les Agences régionales de santé ont un vrai pouvoir de nuisance" : le coup de gueule d’un député LREM

    Benoît Simian, député LREM de Gironde, dit avoir été témoin de lourds dysfonctionnements de la part des ARS depuis dix ans. En pleine crise du coronavirus, il décide aujourd’hui de les dénoncer et préconise de les mettre sous la tutelle de l’Etat.

    Benoît Simian accuse les Agences régionales de santé "d’un manque total de transparence". FACEBOOK/Benoît Simian

    Depuis dix ans, en tant qu'adjoint au maire puis maire de Ludon-Médoc (Gironde), et en tant que député d'un territoire à la fois urbain, avec la métropole de Bordeaux, et très enclavé avec la presqu'île du Médoc, Benoît Simian dit avoir été témoin de lourds dysfonctionnements de la part des Agences régionales de santé (ARS). Face à la crise du coronavirus, l'élu LREM décide aujourd'hui de les dénoncer et préconise de les mettre sous la tutelle de l'Etat.

    En pleine crise sanitaire, vous poussez un coup de gueule contre les Agences régionales de santé. Pourquoi?

    BENOîT SIMIAN. Nous sommes plusieurs parlementaires de tous partis politiques à tirer la sonnette d'alarme. Moi, comme d'autres, nous nous étions émus des dysfonctionnements majeurs des ARS avant même le déclenchement de l'épidémie. Mais là, les ARS sont à l'évidence non seulement inadaptées à l'urgence sanitaire, mais, en plus, elles ont un vrai pouvoir de nuisance.

    Concrètement, que leur reprochez-vous?

    Les Agences sont devenues des technostructures qui se comportent comme un Etat dans l'Etat. Elles font preuve d'un manque total de transparence. Il est plus facile aujourd'hui pour un maire ou un député de joindre un ministre qu'un directeur d'Agence régionale de santé. Pire. Ce manque de proximité et de diffusion de l'information a des conséquences très négatives sur les moyens que les maires, les élus mais aussi les préfets et les sous-préfets – qui s'en plaignent aussi mais ne le feront jamais savoir publiquement — pourraient mettre en œuvre pour résoudre la crise.

    Sur quels points ce comportement est-il le plus préjudiciable?

    Tout d'abord, l'identification et la localisation des cas de Covid-19. On peut comprendre que les ARS ne les fassent pas connaître au grand public, mais elles font preuve d'une opacité inadmissible, et encore une fois nuisible, vis-à-vis des élus et des services de l'Etat. Si ces derniers étaient en mesure de détenir plus rapidement de telles informations ils seraient en effet plus à même de mieux faire respecter le confinement et de limiter ainsi l'épidémie. Il y a aussi le problème des masques.

    Elles sont responsables du manque de stock?

    Non. Mais les ARS ont fait de l'organisation des circuits de distribution des masques existants leur domaine réservé. Or, elles s'avèrent totalement défaillantes. Quand on se prétend le grand organisateur en matière de crise sanitaire, on procède à des réquisitions systématiques dans les entreprises qui avaient ces masques en stock afin de pouvoir les mettre à la disposition des plus fragiles. Elles ne l'ont pas fait.

    Il faudrait, selon vous, les supprimer?

    En période d'urgence sanitaire comme celle que nous traversons, je préconise de les mettre sous la tutelle des services de l'Etat. Je peux vous dire qu'un grand nombre de préfets le suggèrent également. Après la crise, c'est une réforme en profondeur que je réclame. Je suis un "girondin" donc très attaché aux pouvoirs locaux. Je reste favorable à cette décentralisation en matière économique. Mais j'estime plus que jamais nécessaire de re-centraliser les questions "sociales" comme l'aide à l'enfance, et ce, au nom de l'efficacité et de l'égalité de tous les Français. Avec l'Etat comme garant.

    http://www.leparisien.fr/politique

     

     

  • Ceux qui nous foutent la honte à l'international…

    … des Français de papier… c'est pas une excuse.

    Phuket (Thaïlande) – 7 Français arrêtés pour violation du décret d’urgence COVID-19 et possession illégale de narguilés

    La police de Phuket a arrêté le week-end dernier sept Français en visa touriste pour avoir violé le décret d’état d’urgence en organisant une soirée entre amis mais aussi pour possession illégale de narguilés, rapporte le journal local Phuket News.

    Les sept personnes arrêtées, 5 hommes et 2 femmes, tous français, âgés de 20 à 36 ans, étaient nommées: Abao Hakin, 28 ans; Hrarat Sani, 31 ans; Hassane Nordine, 36 ans; Janeledokme Elidrissi, 27 ans; et Elhedli Mehdi, 31 ans; Roune Yasmino, 20 ans, et Zied Larbita, 26 ans.

    La Thaïlande a imposé le 26 mars l’état d’urgence jusqu’au 30 avril afin de contenir l’épidémie de coronavirus qui a fait 26 morts dans le royaume depuis l’apparition des premiers cas d’infection en janvier. […]

    En plus de la violation du décret d’état d’urgence, les sept Français ont également été inculpés, pour leurs narguilés, en vertu de la loi sur les douanes pour possession illégale d’articles non taxés importés illégalement. Parmi les éléments de preuve saisis lors du raid, il y avait quatre narguilés, deux paquets de l’inhalant inutilisé et 21 morceaux d’inhalant utilisés. Il n’a pas été précisé si l’inhalant était à base de tabac ou non.

    Les sept personnes ont été inculpés d’avoir formé un rassemblement illégal en violation des réglementations sanitaires introduites en vertu du décret d’urgence pour empêcher la propagation du coronavirus COVID-19, a déclaré le major-général Rungrote. Ils ont également été inculpés en vertu de la loi sur les douanes pour possession illégale d’articles non taxés importés illégalement, a-t-il ajouté, c’est ainsi que la loi thaïlandaise décrit les narguilés et les substances utilisées avec eux.

    Sur les quelque 2.220 cas d’infections répertoriés en Thaïlande depuis janvier, les Français comptent au moins 22 cas, soit la 2e nationalité étrangère derrière les Chinois (au moins 34 cas) et devant les Britanniques (au moins 19).

    Le Petit Journal / Quotidien de Thaïlande / The Phuket News (anglais)

  • Nouvelles de la macaronie

    Jean Messiha balance tous les mensonges (fake news) de BFM TV sur le Coronavirus. Il ne manque pas d’ouvrage et c’est loin d’être terminé.

    Les médias ont passé 3 ans à essayer de couler @MLP_officiel sur la base du débat de 2017.
    Les mêmes médias viennent de passer 3 mois à couvrir l’incompétence et les mensonges criminels du gvt qu’ils ont mis en place en 2017.
    Ici une compil des #FakeNews de @BFMTV.
    Scandaleux

    pic.twitter.com/CPl4gsMNgY

    — Jean MESSIHA (@JeanMessiha) April 5, 2020

     

    Il paraît que c’est par souci de solidarité: Deuxième commande confisquée en une semaine. Alors que le jeudi 2 avril, une première commande de masques de protection, faite à l’initiative de la région Bourgogne-Franche-Comté, avait été " retenue par l’État " au profit du Grand Est, ce dimanche, c’est une nouvelle cargaison de deux millions de masques, arrivée dans la matinée à l’aéroport de Bâle-Mulhouse, qui a été " intégralement réquisitionnée par l’État, sans concertation, ni même information préalable ", indique le conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté dans un communiqué. "

    " En raison du confinement et de la situation sanitaire, des étrangers en attente d’expulsion sont relâchés, malgré des profils parfois inquiétants. " https://www.lepoint.fr/societe/quand-la-crise-sanitaire-ouvre-les-portes-des-centres-de-retention-05-04-2020-2370146_23.php#xtor=CS2-238

    À vos larmes: la bouleversante histoire d’amour du confinement, entre une veuve, Cathy, (depuis 1 mois et demi) de 64 ans et Adam, un beau réfugié tchadien de 21 ans. Plus que jamais, l’immigration est une chance pour la France. Qu’on se le dise. https://twitter.com/franceinter/status/1246696666868129793?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1246696666868129793&ref_url=http%3A%2F%2Fwww.fdesouche.com%2F1359275-la-veuve-et-le-refugie-la-fable-du-confinement-de-france-inter

     

     

     

  • Ils ont l'ordre de laisser les racailles tranquilles

    Un agent de police marseillais: "On a ordre de laisser les dealers tranquilles, sinon, ils vont mettre le feu aux cités et dépouiller les supermarchés"

    Paris Match du 2 au 8 avril, page 59

    A Marseille, des centaines de fumeurs paniqués se pressaient pour acheter leurs barrettes de shit, collés les uns aux autres dans une longue file d’attente.

    "50000 euros de chiffre d’affaires pendant les trois premiers jours de confinement aux Oliviers… C’est exceptionnel!" confie un policier étonné.

    Comment éviter que les quartiers ne s’embrasent?

    Ce même agent révèle le mode opératoire, simple: " On a ordre de laisser tranquilles les dealers et de chasser les clients. Si on s’attaque aux réseaux, les trafiquants vont mettre le feu aux cités, dépouiller les supermarchés, attaquer les camions alimentaires. On ferme les yeux. D’ici un mois, ils vont commencer à souffrir, avec la fermeture des frontières entre l’Espagne et le Maroc".

    Le temps peut sembler épais, long, y compris pour les "experts" en privation de liberté, tous ces prisonniers dorénavant dispensés de parloir et de ravitaillement. Situation tendue qu’un détenu des Baumettes synthétise: "Le shit manque. On devient fou. Je ne sais pas comment on va tenir ".

    Paris Match