Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

actualités - Page 5

  • Lrem voleurs? on le savait!

    Tewfik, ex-collaborateur de Véran, voulait palper sur les masques

    Selon Mediapart, un ex-collaborateur d’Olivier Véran a essayé de toucher une commission en plaçant auprès du ministère une offre de masques. Faut savoir qu’ils sont tous comme ça…les politicards et les proches!

    Et ce sont nos impôts qui entretiennent toute cette mafia. Donc, mi-mars, en pleine pénurie de masques, on pense ‘profit’… Des pourris de chez pourris!

    Le problème, c’est qu’une fois pris, ils démissionnent et ont une promotion. C’est la prime au délit!

    https://www.bfmtv.com/societe/un-ancien-collaborateur

    Pourquoi ne suis-je pas surpris? Il faut dire qu’on s’habitue à toutes ces magouilles et malhonnêteté de la part de la sphère politique. Tewfik Derbal, cette horrible bique, assistant parlementaire d’Olivier Véran en 2017, devenu entre-temps le collaborateur d’une autre députée LREM, ne voyait pas le problème de toucher une commission… Tous ceux qui tournent autour des ministères sont comme des chiens à flairer les bonnes affaires sans état d’âme!

    Le mec démissionne et sera placé dans un autre poste plus discret dès le mois prochain… J’en ai marre des politiciens.

    J’en ai marre de ces escrocs qui sont toujours protégés, à l’instar du citoyen lambda. Parmi tout ceux qui gravitent autour du monde politique actuel, vous avez: des “chances pour la France - CPF“, des véreux, des mafieux, de la racaille qui veut pédaler avec des dentelles autour du col! Un grand ménage est à faire, ça devient plus que nécessaire.

    Ils ne font pas de la politique pour nos beaux yeux mais pour se servir au passage et être "dans le gruyère". Il y a tellement d’avantages, tellement d’argent facile, tellement de passe-droits. Et nous, pendant ce temps là, on a uniquement les trous du gruyère!

    Il manquerait plus que l’on pleurniche en plus… Mais il y a de plus en plus de trous, et bientôt, il y aura plus rien à becqueter. Je suis persuadé que sans tous ces avantages, il y aurait beaucoup moins de ‘vocations.

    Il n’y a pas de trous dans le gruyère? C’est l’emmental, mon cher Watson…

    Jerôme Moulin

    https://ripostelaique.com

  • Émeutes en banlieue:

     vers l’embrasement général

    Depuis le début de la crise sanitaire, j’ai annoncé sur Riposte Laïque, comme sur mon blog personnel, qu’elle allait révéler cruellement ce qu’est le séparatisme des banlieues. Je n’étais pas le seul à le dire. Et ce qui devait arriver arriva: sous le prétexte d’une jambe cassée à Villeneuve-la-Garenne, les banlieues sensibles s’enflamment les unes après les autres: Villeneuve, Pantin, Aulnay-sous-Bois, Clichy-sous-Bois, Champigny-sur-Marne, Tourcoing, quartiers de Toulouse et Lyon… Chaque nuit, des dizaines de voitures sont brûlées, les policiers et pompiers attaqués au mortier ou au cocktail Molotov, affrontements armés… Une forme de guerre s’instaure dans les quartiers, les policiers déjà mobilisés sur tous les fronts se trouvent encore une fois en première ligne.

    Le plus étonnant et le plus scandaleux dans tout cela tient en deux mots: aveuglement d’abord, puis bienveillance du gouvernement et des médias.

    Il y a un mois, je publiais ici même une tribune intitulée "Le vivre-ensemble à l’épreuve des faits“.  D’autres collègues chroniqueurs ont alerté sur ce qu’il se passait. Sur la plupart des médias mainstream, c’était silence radio.

    Voyons les unes de la presse d’aujourd’hui. Le Monde titre "les jeunes crient à l’injustice, les policiers à l’impunité générale", renvoyant dos à dos les uns et les autres, comme s’il s’agissait de bandes rivales… L’article parle du ras-le-bol des banlieues confinées, des jeunes qui se sentent harcelés par la police, victimes de bavures… L’interpellation houleuse du jeune délinquant de Villeneuve-la-Garenne a été présenté d’office, sur BFM et ailleurs, comme une bavure, sans la moindre des précautions d’usage: les médias auraient-ils oublié la fameuse affaire Théo?

    Libération titre "La révolte gronde": les banlieues ne supporteraient plus le confinement, car il serait plus dur à respecter pour eux, qui vivent dans de petits appartements… Les mêmes arguments ont été entendus sur France Télévision, BFM TV, RMC Info etc. Personne ne parle de la cause réelle de l’agitation, que j’évoquais ici il y a un mois: la perte de chiffre d’affaires des dealers, qui assure des revenus à une part importante des jeunes de ces quartiers. Sur cette évidence, silence radio, personne ne dit mot: il ne faut pas ostraciser.

    Le Corse que je suis ne peut s’empêcher de rappeler que lorsque des truands insulaires sont mis en cause dans des exactions, les médias ne prennent pas tant de gants pour rappeler l’origine des gangsters… Personne non plus ne pointe les moyens utilisés: quand on vise des pompiers, des médecins, des infirmières et des ambulanciers au mortier ou au cocktail Molotov, ce n’est plus de la révolte, c’est de l’agression pure et simple.

    Quant aux membres du gouvernement, Macron et Castaner en tête, on a vu à quel point ils cherchaient à contourner le sujet en accordant une dérogation de fait aux quartiers: instructions laxistes à la police, et maintenant assouplissement des règles du confinement annoncé par le préfet des Bouches-du-Rhône pour les musulmans en période de ramadan…

    Les semaines qui vont suivre, entre prolongement du confinement et crise économique gravissime, verront une explosion sans précédent de la violence dans notre pays: il est grand temps de voir la réalité en face, et d’agir à temps et avec fermeté, plutôt que de laisser couler en espérant que ça se tasse…

    Olivier Piacentini

    https://ripostelaique.com/emeutes-en-banlieue-vers-lembrasement-general.html

  • Sordide, infâme, écœurant…

    Val-de-Marne: une mère placée en détention pour le viol de sa fille de 6 mois

    Cette enseignante de collège s’est présentée d’elle-même au commissariat de Nogent (Val-de-Marne), jeudi soir. Un psychiatre a considéré que son discernement n’était pas aboli.

    Une mère de famille, exerçant comme professeur de musique au collège, a été placée en détention provisoire ce week-end pour le viol de son bébé.

    Les faits sont tellement sordides qu'on a du mal à croire qu'ils puissent être l'œuvre d'un individu sain d'esprit. Pourtant c'est bien en prison et non dans un hôpital psychiatrique qu'une habitante de Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne) a été envoyée ce week-end.

    Cette mère de famille de 41 ans a été mise en examen pour "viol incestueux sur mineur de moins de 15 ans", nous a confirmé ce lundi matin le parquet de Créteil. En l'occurrence, elle est soupçonnée d'avoir violé sa petite fille âgée de seulement 6 mois.

    C'est la maman elle-même, enseignante à temps partiel dans plusieurs collèges du Val-de-Marne et de Seine-Saint-Denis, qui s'est présentée au commissariat de sa ville avec une vidéo où elle commet les actes qui lui sont reprochés.

    Elle présente d'elle-même la vidéo aux policiers

    Ce jeudi soir, cette professeur de musique pousse la porte du commissariat de Nogent-sur-Marne. Elle est bien embêtée, explique-t-elle, parce que le rectorat de Créteil l'accuserait de pédophilie. Et de sortir son téléphone portable pour montrer aux policiers la vidéo qui poserait "problème". Le fonctionnaire jette un œil et tombe sur cette scène où la femme commet sur une table à langer des actes de pénétration digitale.

    Elle est aussitôt interpellée et placée en garde à vue. Le rectorat était-il au courant?

    "Nous n'avons eu aucune remontée sur cette affaire, soulignait ce lundi soir son représentant. S'il y avait eu le moindre soupçon, l'enseignante aurait évidemment été suspendue sur le champ à titre conservatoire. Et n signalement aurait été transmis au parquet".

    L'affaire est confiée à la brigade des mineurs de la sûreté territoriale. "Elle a expliqué qu'elle avait elle-même subi ce genre d'attouchements quand elle était enfant", précise une source proche de l'enquête.

    (Ce n'est pas une raison, barbare!)

    La mère de famille est évidemment examinée par un psychiatre. Le médecin conclut à une altération du discernement mais pas à son abolition. En clair, elle est pour l'heure accessible à une sanction pénale.

    "Elle fera vraisemblablement l'objet d'une seconde expertise psychiatrique au cours de l'instruction", avance cependant une source judiciaire.

    (Bien sûr, et elle va être libérée car, chez ces gens-là, c'est une question de culture ancestrale)

    "Quelqu'un d'extrêmement étrange", selon un parent d'élève

    L'affaire fait d'autant plus froid dans le dos que la mise en examen travaillait au quotidien avec des enfants. "Mon enfant l'a eue comme professeur de musique, se remémore un papa du collège Ronsard à Saint-Maur. C'était quelqu'un d'extrêmement étrange, très renfermé et qui parlait à peine français".

    (Non mais, qu'est-ce qu'ils foutent dans l'Education Nationale?

    Ben, ils nomment prof des gens qui ont obtenus 3 sur 20!)

    Honte à Blanquer

    www.leparisien.fr

  • ALERTE NATIONALE

    de l’Institut Pour la Justice: 10 000 délinquants relâchés dans la nature ou laissés en liberté.

    Et ce n’est pas fini!

    Alors que les Français souffrent chaque jour de ne pouvoir sortir de chez eux, alors qu’ils s’angoissent de ne pas pouvoir voir leurs proches, alors que l’économie du pays se détruit peu à peu parce que les gens ne peuvent plus aller travailler, alors que nous vivons tous dans la peur du lendemain, alors que nous sommes enfermés chez nous, madame Belloubet continue sa politique folle de remise en liberté des délinquants…

    Christiane Taubira, sur France-Inter, appelle à prendre des décisions "courageuses et justifiées", pour libérer davantage de criminels.

    Adeline Hazan, la contrôleur général des lieux de privation de liberté, estime qu’il faudrait aller au moins jusqu’à 13 000.

    Madame Hazan a été présidente du Syndicat de la magistrature. (Vous savez? le mur des cons) Autant vous dire que, pour elle, 13 000 détenus libérés, ce n’est qu’un début.

    Et parmi ces milliers de détenus relâchés, on trouve bien sûr… des radicalisés islamistes…

    Maître Goldnadel, l’un de nos experts, lui a vertement répondu: "Je peux vous dire qu’un détenu radical islamiste condamné à une prison ferme et mêlé dans une affaire de terrorisme, même s’il n’a pas du sang sur les mains, il a d’ores et déjà une bonne place pour figurer sur la photo de celui qui va poignarder trois ou quatre personnes au hasard. C’est tout à fait plausible. Quand on sait que les derniers qui sont passés aux actes étaient inconnus de la police, je ne sais pas qui était le plus déséquilibré de tous".

    En fait, ils ne sont même pas capables de détecter tous ceux qui sont radicalisés en prison. La vérité, c’est que l’administration pénitentiaire et la justice sont tout à fait incapables d’évaluer la dangerosité d’un détenu radicalisé. L’expérience l’a amplement prouvé.

    On nous parle de 130 radicalisés libérés, mais en réalité ils sont certainement beaucoup plus nombreux parmi tous les détenus déjà remis en liberté…

    Texte intégral et pétition sur :

    http://petitions.institutpourlajustice.org

    Jacques CHASSAING

    IMPORTANT : Tous les liens et renvois mentionnés dans cet article constituent des éléments factuels corroborés, à l’appui des opinions et des faits exprimés par l’auteur Jacques Chassaing, ici, ainsi que dans tous les articles qu’il signe.

    Texte en entier:

    https://ripostelaique.com

  • Des ponctionnaires dictatoriaux

    "Les Agences régionales de santé ont un vrai pouvoir de nuisance" : le coup de gueule d’un député LREM

    Benoît Simian, député LREM de Gironde, dit avoir été témoin de lourds dysfonctionnements de la part des ARS depuis dix ans. En pleine crise du coronavirus, il décide aujourd’hui de les dénoncer et préconise de les mettre sous la tutelle de l’Etat.

    Benoît Simian accuse les Agences régionales de santé "d’un manque total de transparence". FACEBOOK/Benoît Simian

    Depuis dix ans, en tant qu'adjoint au maire puis maire de Ludon-Médoc (Gironde), et en tant que député d'un territoire à la fois urbain, avec la métropole de Bordeaux, et très enclavé avec la presqu'île du Médoc, Benoît Simian dit avoir été témoin de lourds dysfonctionnements de la part des Agences régionales de santé (ARS). Face à la crise du coronavirus, l'élu LREM décide aujourd'hui de les dénoncer et préconise de les mettre sous la tutelle de l'Etat.

    En pleine crise sanitaire, vous poussez un coup de gueule contre les Agences régionales de santé. Pourquoi?

    BENOîT SIMIAN. Nous sommes plusieurs parlementaires de tous partis politiques à tirer la sonnette d'alarme. Moi, comme d'autres, nous nous étions émus des dysfonctionnements majeurs des ARS avant même le déclenchement de l'épidémie. Mais là, les ARS sont à l'évidence non seulement inadaptées à l'urgence sanitaire, mais, en plus, elles ont un vrai pouvoir de nuisance.

    Concrètement, que leur reprochez-vous?

    Les Agences sont devenues des technostructures qui se comportent comme un Etat dans l'Etat. Elles font preuve d'un manque total de transparence. Il est plus facile aujourd'hui pour un maire ou un député de joindre un ministre qu'un directeur d'Agence régionale de santé. Pire. Ce manque de proximité et de diffusion de l'information a des conséquences très négatives sur les moyens que les maires, les élus mais aussi les préfets et les sous-préfets – qui s'en plaignent aussi mais ne le feront jamais savoir publiquement — pourraient mettre en œuvre pour résoudre la crise.

    Sur quels points ce comportement est-il le plus préjudiciable?

    Tout d'abord, l'identification et la localisation des cas de Covid-19. On peut comprendre que les ARS ne les fassent pas connaître au grand public, mais elles font preuve d'une opacité inadmissible, et encore une fois nuisible, vis-à-vis des élus et des services de l'Etat. Si ces derniers étaient en mesure de détenir plus rapidement de telles informations ils seraient en effet plus à même de mieux faire respecter le confinement et de limiter ainsi l'épidémie. Il y a aussi le problème des masques.

    Elles sont responsables du manque de stock?

    Non. Mais les ARS ont fait de l'organisation des circuits de distribution des masques existants leur domaine réservé. Or, elles s'avèrent totalement défaillantes. Quand on se prétend le grand organisateur en matière de crise sanitaire, on procède à des réquisitions systématiques dans les entreprises qui avaient ces masques en stock afin de pouvoir les mettre à la disposition des plus fragiles. Elles ne l'ont pas fait.

    Il faudrait, selon vous, les supprimer?

    En période d'urgence sanitaire comme celle que nous traversons, je préconise de les mettre sous la tutelle des services de l'Etat. Je peux vous dire qu'un grand nombre de préfets le suggèrent également. Après la crise, c'est une réforme en profondeur que je réclame. Je suis un "girondin" donc très attaché aux pouvoirs locaux. Je reste favorable à cette décentralisation en matière économique. Mais j'estime plus que jamais nécessaire de re-centraliser les questions "sociales" comme l'aide à l'enfance, et ce, au nom de l'efficacité et de l'égalité de tous les Français. Avec l'Etat comme garant.

    http://www.leparisien.fr/politique