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actualités - Page 8

  • Agriculteur maintenu en taule, violeur africain libéré

    super, la justice!

    Voilà un moment que je n’avais pas poussé une gueulante… mais là je n’y tiens plus.

    Je lis sur le site Fdesouche qu’un agriculteur est maintenu en prison, sur décision du juge des libertés, alors qu’il a un domicile, un travail, une adresse, et donc une certitude de représentation au tribunal, puisque ce sont les critères essentiels de décisions de remise en liberté ou pas.

    De plus, cet agriculteur n’a fait que défendre son bien ; il n’a pas tué conformément au Code pénal et à l’article sur la légitime défense des biens… Il a tiré sur un voleur de carburant.

    Sachant bien évidemment que cela faisait plusieurs fois que cet agriculteur était volé… comme d’autres dans la commune ou la région, manifestement. Mais là, on en était quand même à 7 000 euros de préjudice, et chaque fois qu’il appelait les autorités, celles-ci mettaient une demi-heure à arriver, vu que dans la France rurale, on a fermé plein de commissariats et de gendarmeries!

    Bref, ce brave paysan, qui doit faire tourner une entreprise agricole, est maintenu en prison sur la seule décision d’un juge… cette caste qui décide de la vie d’un homme, sans jamais avoir de compte à rendre à personne.

    Cette caste qui laisse en liberté des dealers, des voleurs, des escrocs, des salopards, archi-connus de la police, mais qui laisse en prison un brave paysan… qui a eu le malheur de tirer sur un membre de la communauté des gens du voyages… en gros, un manouche.

    Cette même communauté, parfaitement intégrée à la vie sociale de notre pays, dont les membres sont, comme chacun sait, des gens très honnêtes, courtois, gentils et serviables, qui payent des impôts et règlent leur charges sociales. Ces braves voyageurs qui génèrent une bonne partie de la délinquance des lieux où ils s’installent et autour. Ceux-là mêmes qui se permettent de bloquer des routes, après avoir tronçonné des arbres, juste parce que l’un d’eux n’a pas eu le droit de sortir de prison pour aller à l’enterrement de son père. Mais qu’on ne touche pas, surtout pas, car c’est pire après.

    Ces mêmes personnes pour qui il faut aujourd’hui tout un bataillon de gendarmes afin d’interpeller un seul de ses membres. Bref des braves gens…

    Donc on laisse en prison un travailleur, qui a défendu son outil de travail contre des exactions d’un membre d’une communauté de nuisibles patentés… Ouah! super, la justice!

    Alors laissez-moi vous narrer une petite histoire.

    Le 31 janvier 2020, la fille d’un ami, lesbienne, jolie, jeune, faisait une petite fête avec des copains à Paris.

    Elle a été violée dans un bar, puis dehors, après qu’un salopard de prédateur lui a mis un produit dans son verre.

    Elle a déposé plainte.

    Inutile de vous dire que quand elle s’est retrouvée seule, perdue, en pleurs dans les rues de la capitale, aucun de ces connards de bons Français, bien-pensants, ne lui a porté secours ni prêté son portable pour qu’elle appelle son père. Non, ces Parisiens de merde l’ont laissée se démerder seule!

    Les policiers, et là, n’en déplaise à Schiappa ou Belloubet, ont reçu avec compassion, écoute et humanité, cette jeune femme.

    L’espèce de salopard qui a violé cette jeune fille a été interpellé au bout d’une semaine!

    Son ADN a été confronté avec celui relevé sur la victime.

    Bien évidemment, je ne vous donne pas l’origine ethnique de cette crevure, mais sachez qu’il n’est pas blanc. Disons qu’il est plutôt africain même…

    Et bien sachez, chers amis, que les juges ont décidé de laisser cette ordure en liberté, parce que c’était la première fois qu’il faisait cela. Ou du moins la première fois qu’il était attrapé.

    Alors oui, il est sous contrôle judiciaire. Mais qu’est-ce qui dit au juge que ce connard ne va pas rentrer au pays, et ne jamais reveni ? Rien.

    Alors, vous voyez, même si je ne porte hélas plus beaucoup les flics dans mon cœur depuis ce qu’ils ont osé faire aux GJ, et surtout depuis qu’on leur a retiré leur cerveau et leur libre arbitre pour 50 euros de plus par mois, il y a bien une caste que je déteste de toute mon âme: ce sont les juges!

    Hugh!

    Géronimo

    https://ripostelaique.com/agriculteur-maintenu-en-taule-violeur-africain-libere-super-la-justice.html

     

  • Votre voiture est dangereuse

    Des produits chimiques cancérigènes émanent constamment des sièges de nombreux véhicules

    Alors que de nombreuses recherches sur la pollution automobile se concentrent sur les polluants atmosphériques externes entrant à l’intérieur des véhicules et affectant de ce fait les passagers, une nouvelle étude montre que les produits chimiques émanant directement de l’intérieur pourraient également être préoccupants. Du moins, il s’agit de la conclusion d’une nouvelle étude réalisée par l’UC Riverside, publiée ce mois-ci dans la revue Environment International.

    L’étude révèle notamment que plus le trajet est long, plus vous êtes exposé à un ignifuge chimique cancérigène connu, et qui a notamment été éliminé de certains meubles. Bien qu’il existe d’autres produits chimiques qui sont généralement utilisés dans la fabrication d’automobiles, ce retardateur de flamme vient d’être ajouté à la liste des produits à éviter ou interdits.

    Certains scientifiques ont supposé que le produit chimique, appelé TDCIPP ou “tris chloré”, a cessé d’être utilisé après qu’il ait été placé sur la liste de la Proposition 65 en Californie, en 2013. Cependant, il est encore largement utilisé dans la mousse des sièges d’automobiles. L’étude montre que non seulement votre voiture est une source d’exposition au TDCIPP, mais que moins d’une semaine de trajets entraîne une exposition élevée à ce dernier.

    David Volz, professeur agrégé de toxicologie environnementale à l’UCR (Californie), a déclaré que les résultats étaient inattendus. " J’étais au départ plutôt sceptique, car je ne pensais pas que nous allions trouver une concentration significative dans ce court laps de temps, sans parler de l’importance du temps de trajet ", a déclaré Volz. " Nous avons donc été surpris deux fois, ce qui était vraiment inhabituel ".

    Impact sur le développement du fœtus, infertilité et risque de cancer

    Au cours de la dernière décennie, Volz a étudié comment divers produits chimiques affectent la trajectoire de développement précoce. En utilisant des poissons zèbres et des cellules humaines comme modèles, le laboratoire de Volz étudie depuis 2011 la toxicité d’une nouvelle classe de retardateurs de flamme appelés esters organophosphorés.

    Nous ne savons que peu de choses sur la toxicité de ces esters organophosphorés — dont le TDCIPP fait partie, mais il faut savoir qu’ils ont remplacé les anciens produits chimiques ignifuges, qui persistaient plus longtemps dans l’environnement et prenaient plus de temps à se métaboliser.

    En utilisant le poisson zèbre comme modèle, Volz a découvert que le TDCIPP empêche un embryon de se développer normalement. D’autres études ont rapporté une forte association entre le TDCIPP et l’infertilité chez les femmes suivant des traitements de fertilité.

    Sachant que son utilisation est encore répandue dans les véhicules, Volz s’est demandé si l’exposition totale d’une personne était liée à la durée du trajet. Les étudiants de premier cycle de l’UC Riverside ont fait d’excellents sujets d’étude, car la majorité d’entre eux effectuent de longs trajets quotidiens en voiture.

    L’équipe de recherche comprenait des collaborateurs de l’Université Duke et était financée par les National Institutes of Health (NIH) ainsi que l’USDA National Institute of Food and Agriculture.

    Les participants comprenaient environ 90 élèves, dont chacun avait des temps de trajet variant de moins de 15 minutes à plus de deux heures aller-retour. Tous ont reçu des bracelets en silicone à porter en continu pendant cinq jours. La structure moléculaire du silicone le rend idéal pour capturer les contaminants en suspension dans l’air.

    Étant donné que le TDCIPP n’est pas chimiquement lié à la mousse, il est expulsé au fil du temps et se retrouve dans la poussière (qui est inhalée), selon Aalekyha Reddam, un étudiant diplômé du laboratoire Volz.

    Une forte corrélation avec le temps de trajet

    Plusieurs esters organophosphorés ont été testés, mais le TDCIPP était le seul à montrer une forte association positive avec le temps de trajet. " Votre exposition au TDCIPP est d’autant plus élevée que vous passez de temps dans votre véhicule ", a déclaré Reddam.

    Bien que Volz et son équipe n’aient pas prélevé d’échantillons d’urine pour vérifier que le produit chimique a migré dans le corps des participants, ce dernier point est pour eux une certitude. " Nous supposons que c’est le cas en raison de la difficulté à éviter l’ingestion et l’inhalation de poussière ", a déclaré Volz. De plus, d’autres études ont examiné l’accumulation de TDCIPP dans l’urine, mais pas en fonction de la durée du trajet.

    À l’avenir, l’équipe de recherche aimerait répéter l’étude avec un plus grand groupe de personnes, dont les âges seraient plus variés. Ils aimeraient également étudier les moyens de protéger les automobilistes contre cette exposition, ainsi qu’à d’autres composés toxiques.

    Jusqu’à ce que des méthodes de réduction plus spécifiques puissent être identifiées, l’équipe encourage à épousseter fréquemment l’intérieur des véhicules et à suivre les lignes directrices de l’Environmental Protection Agency des États-Unis pour réduire l’exposition aux contaminants.

    Jusqu’à ce que des alternatives plus sûres soient identifiées, des recherches supplémentaires sont nécessaires pour bien comprendre les effets du TDCIPP sur les navetteurs.

    "Si nous avons pu obtenir des résultats significatifs en seulement cinq jours, qu’est-ce que cela signifie pour une exposition chronique à long terme, pour les personnes qui effectuent de longs trajets tout au long de l’année, durant des décennies?", s’interroge Volz.

    Source : Environment International

     

  • Les tribulations des Chinois en Chine

    Coronavirus, alerte maximale: on nous ment!

    On nous ment bien sûr. Et j’ai une petite idée sur les objectifs de ces mensonges. Mais examinons d’abord la situation. Le virus a  atteint maintenant presque tous les pays du monde, grâce aux bienfaits d’une mondialisation débridée que nous dénonçons depuis longtemps et qui ne profite qu’à une oligarchie déconnectée de la vie réelle qui a réduit nos dirigeants à l’état de pantins. .

    Où en est-on en Chine? Aux dernières nouvelles, selon Epoch Times, le crématorium de Wuhan, équipé de 30 fours crématoires dernier cri (sans jeu de mots) et de 346 lits mortuaires réfrigérés sur lesquels se succèdent à un rythme infernal les corps à  brûler, seul moyen d’éviter la contamination par les cadavres, fonctionne 24 heures sur 24.  Deux cents cadavres y sont brûlés par jour… pour l’instant, parce qu’à l’allure où le virus se propage, le nombre de morts est destiné à augmenter dans des proportions considérables. La Chine annonce cent mille personnes infectées avec un taux de 3 000 décès dus au virus. Ce qui ferait 3% de morts, si cependant les données s’avèrent exactes car l’on n’est qu’au début de l’épidémie et on ne connaît pas encore ce virus.

    Or la Chine, c’est un milliard et demi d’individus. Et des individus mobiles et dynamiques. Or d’une part ces chiffres sont ceux de la semaine dernière, donc largement minorés aujourd’hui, et selon la journaliste Jennifer Zheng (@jenniferatntd) il y aurait maintenant entre 5 et 7 crématoriums travaillant d’arrache-pied dans la ville. Autrement dit, bien plus que de morts annoncés. Ce que confirme un autre journaliste, William Yang (@WilliamYang120). D’autre part, les modes de propagation du virus restent inconnus à ce jour et les masques s’avèreraient insuffisants. En effet, les scientifiques qui travaillent sur le sujet ont constaté que les matières fécales des malades contenaient le virus qui ne se transmettrait donc pas seulement par les substances émises par la toux, les crachats et l’éternuement.

    Nous sommes face à une pandémie. Comme celle de la peste qui, partie de Chine, élimina au XVe siècle la moitié de la population de l’Europe. Ou la grippe dite espagnole à la fin de la Première Guerre mondiale qui fit quarante millions de victimes, plus que celles de la guerre. Certes, nous n’en sommes pas encore là et les moyens ont changé, du moins pouvons-nous l’espérer. Car on ne sait pas comment la maladie va évoluer. Mais tout de même, la société de données Bianco Research évalue le nombre de contaminés dans le monde à 184 millions à la fin de ce mois de février. Si l’on se réfère aux 3 000 morts en Chine la semaine dernière pour cent mille infectés, cela donne une mortalité de 3%. Donc sur les 184 millions de malades, il pourrait y avoir 5,5 millions de morts. Et dans les mois suivants? Dans l’année?

    L’OMS vient de décréter l’urgence internationale, malgré les pressions exercées par la Chine… tout en déclarant qu’il n’y a pas lieu de limiter les déplacements internationaux. On rêve!  Et de s’excuser: "il ne s’agit pas d’un vote de défiance à l’égard de la Chine", a déclaré son directeur général monsieur Ghebreyesus. Mais sans doute est-ce déjà trop tard, le mal est fait, le virus se balade tranquillement partout dans ce monde de migrations généralisées.

    Et chez nous, en France? Double discours, comme d’habitude. Certes Macron vient d’avancer que la France est dans la vigilance la plus extrême (mais quelles sont les mesures prises? Les conseils à la population? Rien, débrouille-toi tout seul, toi qui subis les effets de cette mondialisation dont tu ne voulais pourtant pas), et dans le même temps, les autorités se veulent rassurantes. Sans blague!

    En  Chine aussi tout a commencé par un premier patient, puis deux, trois, dix, cent, cent mille. Alors chez nous où on a annoncé 6 cas, à quelle vitesse la maladie progressera-t-elle? Et pourquoi mentir au peuple? On me taxera une fois de plus d’avoir l’esprit mal tourné, mais je ne puis m’empêcher de penser que le rêve des oligarques, c’est de voir disparaitre 80% de la population mondiale et de préférence en commençant par les personnes âgées, censées être les plus fragiles. Alors de là à établir un lien, je suis presque prête à sauter le pas.

    Louise Guersan

    https://ripostelaique.com/coronavirus-alerte-maximale-on-nous-ment.html

     

     

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  • Défoncés de la calebasse!

    vraiment basse, la calebasse!

     

    Le genre expliqué aux nuls!

    Envoyé par une amie médecin

    Dans le temps, on pouvait avoir mauvais genre, mais la notion d'être genré, n'existait pas et ne prenait pas la tète.

    J'ai du me  faire raconter cette histoire deux fois, pour être sûre d'avoir bien compris ( parce que c'était raconté un peu dans le désordre) et pourtant je suis assez au point sur le "genre".

    Il s'agit d'une très banale "histoire de genre" parfaitement loufoque comme on sait les faire maintenant

    Histoire drôle .... je vais remplacer Campagnol bientôt... :-)

    Un jeune homme part à Paris faire des études dans le "cinéma“.

    Au bout de quelques mois, il déclare à son père qu'il est finalement une fille, il se sent fille etc... Ce qui est possible après tout par les temps qui courent...

    Le père fait “gloup's“, puis se fait à l'idée.

    Le jeune homme fait une visite à ses parents à Noel, et leur avais dit "je vous amènerai mon copain"...

    Re-“gloup's“, mais quand on aime un enfant, on se fait à  l'idée qu'il pourrait être "homo" en quelque sorte, en plus de se sentir fille... donc les parents se préparent "mentalement"…

    donc le grand jour arrive... et les parents voient arriver: leur garçon (XY) habillé en garçon,  et son copain, mais il s'agit en fait d'une fille XX, mais qui se sent garçon.. et qui pour faire "joli" a mis une robe

    J'espère que vous avez tout suivi

    Donc, le père qui n'y connait rien à ses histoires de genre ne s'en remet pas ...

    Il y a un peu de quoi

    Ni l'un ni l'autre du couple, ne veut se faire opérer pour changer de sexe physique, et changent même de "genre"  quand ils veulent... si la fille se sent mec, elle est mec et vis versa.

    Ils sont gender fluid

     

    Tout ceci relève d'une "posture mentale", d'un " genre " qu'ils veulent se donner si je peux m'exprimer ainsi.

    (Opérationnellement et "médicalement", ou physiologiquement, ce sont une fille et un garçon)

    Bref: cela s'appelle du "déconstructivisme"  dont la pseudo théorie du genre n'est qu'une expression.

    Une pseudo-théorie perverse inventée par les féministes américaines sur aucunes bases scientifique, neurologiques, hormonales ou sociologiques (du bla-bla basé sur du vent)

    Si cette histoire vous rend bizarre, ou crée en vous de la dissonance cognitive, c'est tout à fait normal... :-)))) MDR

    Bon maintenant, comme toujours, il faut expliquer le plus drôle:

    Il y a le sexe "physique": XX ou XY, (ou assignation de genre: paf, t'est prisonnier d'un corps pas de chance :-) ), le genre, et l'orientation sexuelle

    Un garçon XY  peut se sentir fille, et se dire homosexuel: donc il couchera avec une fille...

    Au total, il y a 8 combinaisons

    micmac

  • Quand le camp de la tolérance dévore ses propres enfants

    La lutte toujours plus liberticide des militants au nom du "bien" crée une hystérie au sein de la société. À tel point que personne, pas même ses plus fervents militants, n’est épargné par cette nouvelle Inquisition que n’aurait pas pu imaginer Orwell.

    Le 7 janvier 2020, à l’occasion des cinq ans des attentats perpétrés par les frères Kouachi, le journal Charlie Hebdo a publié un édito dans lequel il dénonce les formes de censure qui se sont développées ces dernières années.

    Appels au boycott, suppressions "fortuites" de certains contenus sur les réseaux sociaux, criminalisation des opinions, mise à mort sociale – voire atteinte à l’intégrité physique – de ceux qui les professent, les méthodes sont diverses, mais ont toutes pour finalité de confisquer le débat et imposer une seule idéologie comme "vraie".

    Le Camp du Bien, nouveau clergé à la poursuite d’hérétiques

    Depuis quelques années, le militantisme de gauche, par une grille de lecture néo-marxiste de la société, mène une lutte sans merci contre les " fachos " et les " oppressions systémiques ", à savoir tout ce qui est lié au " capitalisme patriarcal et blanc " (autrement dit, la société occidentale), qui par nature oppresse les femmes et les transgenres, les minorités "racisées" (tous ceux qui ne sont pas blancs), les démunis, les handicapés, ou encore les animaux.

    Si initialement ces thèses extrêmes se limitaient à quelques milieux d’ultragauche, elles se sont installées dans les sphères intellectuelles. À tel point qu’elles sont la norme dans les facultés américaines, et commencent à s’implanter en toute impunité en France, non seulement dans les facultés classiques, mais aussi dans des institutions censées être prestigieuses.

    Universitaires qui avouent biaiser leurs travaux pour qu’ils collent à leurs idéologies quitte à créer des dérives graves, recours au sentimentalisme et rejet de la logique, campagnes de destruction de l’ennemi considéré "facho" par les activistes de gauche, les méthodes ne manquent pas.

    Or la bonne morale n’est pas l’apanage des militants purs : nombreux sont les membres de la sphère médiatico-culturelle à afficher leur bonne morale et leur tolérance… quitte à se couvrir de ridicule lorsque le public réalise à quel point ils sont détachés de la réalité, ce que n’a pas manqué de souligner Ricky Gervais lors des derniers Golden Globes. Tout plutôt que le risque d’être considéré comme un hérétique par les adeptes de ce nouveau clergé.

    "On est souvent puni par là où on a péché"

    Néanmoins, afficher sa bonne morale dans la sphère publique est à double tranchant ; pour peu qu’à un moment on ose se montrer sceptique à propos d’un aspect de cette religion du progrès, l’on risque de se heurter à la police du net prête à vous trainer dans la boue. Avoir été à un moment un porte-parole du Camp du Bien ne permet pas d’éviter qu’une telle situation ne se produise ; pire, ces défenseurs autoproclamés du Bien se montrent encore plus intransigeants à l’égard des hérésies.

    Preuve en est, la déferlante dont J.K Rowling a récemment été victime après avoir publiquement soutenu la scientifique Maya Forstater, virée pour avoir affirmé que le sexe biologique était immuable. Ce qui il y a encore quelques années était une évidence pour tout le monde est devenu la quintessence de la pensée transphobe.

    Critiquer cette nouvelle Religion du Progrès est devenu risqué, et l’étiquette " facho " ou " extrême droite " plane sur ceux qui osent faire preuve de bon sens et l’exprimer. À tel point qu’aujourd’hui, il devient presque impossible de réfuter les nouvelles thèses loufoques qui germent dans les hautes sphères intellectuelles. Phénomène prouvé par les sociologues Peter Boghossian, James Lindsey et Hélène Pluckrose par la création de fausses thèses à la fois absurdes et très biaisées.

    Si le résultat de cette expérience s’avère particulièrement drôle, il n’en demeure pas moins inquiétant : elle a prouvé que dans ces milieux, aucune idée, si terrible soit-elle, n’est jamais remise en question, pour peu qu’elle prêche le dogme du Camp de la Tolérance. Quiconque ose le faire risque une mise à mort sociale, comme ce fut le cas pour Rowling.

    Le parallèle avec les écrits d’Orwell est tentant. Non seulement car il ne faut pas oublier que "celui qui a le contrôle du passé a le contrôle du futur; celui qui a le contrôle du présent a le contrôle du passé", mais aussi car " en ces temps d’imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire. "Et il est plus que temps de se dresser et défendre les libertés d’expression et d’opinion. Car leur disparition est un pas de plus vers une dictature qui nous attend de pied ferme.

    https://www.contrepoints.org

     

    Sabine Lula

    Libertarienne égarée à Sciences Po, issue de prépa littéraire histoire-géographie, Sabine Lula est une jeune journaliste amateur qui a vécu dans plusieurs années dans des pays anglo-saxons.

  • Impensable!...

    ben, de toutes façons, c'est pareil en France!

    Les Suédois qui résistent à l’envahisseur finissent au tribunal

    "Nous, les Arabes, nous sommes ici pour prendre le contrôle de votre putain de pays, alors mettez-vous à genoux et sucez ma bite, vous les Suédois, bande de petites putes!", a dit l’homme arabe dans une diatribe publiée sur Facebook.

    Un Suédois de 53 ans lui a répondu sur un groupe Facebook appelé "Political Facts" (faits politiques) en prononçant des insultes similaires en réponse: "Que les sales crabes arabes disparaissent d’ici ".

    L’homme a été dénoncé à la police et appelé pour un interrogatoire à Kristianstad où on lui a demandé son avis sur l’immigration.

    Il a ensuite été condamné par le tribunal de district de Kristianstad pour incitation à la haine contre un groupe protégé et contraint de payer 22 200 couronnes suédoises (environ 2 300 dollars américains).

    La Cour a soutenu que les commentaires de l’homme visaient les Arabes et non seulement l’individu.

    L’homme a fait appel de la décision devant la Haute Cour, mais celle-ci a confirmé le jugement du tribunal de district, bien que son amende ait été réduite à 16 200 couronnes suédoises en plus des 800 autres couronnes suédoises qu’on lui a demandé de verser au fonds pour les victimes d’actes criminels.

    Malgré l’aggravation des problèmes dus aux immigrés (agressions sexuelles, attaques à la grenade et crimes violents), les Suédois qui se plaignent de la situation sont traînés devant les tribunaux.

    Une femme de 70 ans a été interrogée par la police et condamnée pour un message anti-musulman sur Facebook, dans lequel elle exprimait sa crainte que l’islam ne s’empare du pays.

    Une femme de 65 ans, victime d’une agression brutale de la part de migrants, a été condamnée à une peine de prison pour avoir écrit que " le niveau de QI en Suède va baisser en raison de l’immigration".

    Une femme de 32 ans de Göteborg a été interrogée par la police, son ADN a été prélevé et elle a ensuite été emprisonnée pour le " crime " d’avoir partagé sur Facebook une critique de l’islam.

    En 2017, une Suédoise de 70 ans a été poursuivie pour incitation à la haine parce qu’elle disait avoir vu des migrants mettre le feu à des voitures, ce qui arrive tout le temps en Suède.

    Paul Joseph Jackson, le 5 décembre 2019.

    oir aussi:

    Article original paru sur RR.

    Julien Martel

    https://ripostelaique.com