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actualités - Page 11

  • Montant de l'aide internationale... et donc, de la France?

    Le roi d’un pays très pauvre d’Afrique s’offre 19 Rolls-Royce et 120 BMW

    Le roi de l’Eswatini, un pays touché par un haut niveau de pauvreté, vient d’offrir 19 Rolls-Royce à sa famille constituée de 15 femmes et 23 enfants.

    Jusqu’à l’année dernière, l’Estwatini s’appelait encore Swaziland. Ce petit pays situé au sud-est du continent africain est gouverné depuis 1986 par le roi Mswati III, qui avait succédé à son père dans la famille royale.

    Le peuple du pays est durement touché par la pauvreté mais son roi continue pourtant de se comporter comme la plupart des dictateurs africains depuis ces dernières décennies: en dilapidant l’argent du peuple dans des dépenses fastueuses.

    19 Rolls-Royce et 120 BMW

    Il vient d’offrir 19 Rolls-Royce (dont des limousines Ghost et des SUV Cullinan) à la finition très spéciale pour les membres de sa famille (qui compte 15 femmes et 23 enfants). On rapporte aussi qu’il aurait passé commande de 120 modèles BMW, et que son garage comprend déjà pas moins de 20 Mercedes-Maybach S600 Pullman en plus d’une Maybach 62. Il possède par ailleurs un jet privé.

     

        HEARTBREAKING NEWS: Amidst all the economic challenges eSwazitini, King Mswati III yesterday decided to bless his wives with very expensive wheels 2 pic.twitter.com/2g9P7Z32OW

     

        — Mzilikazi wa Afrika (@IamMzilikazi) October 30, 2019

    Turbo.fr / fr.motor1.com

  • Abonnez-vous d'urgence à Valeurs Actuelles!

    Barthès: roi du ricanement, empereur des coups bas

    Cette semaine, pour la première fois nous publions dans notre magazine une enquête sur le système Barthès et sa clique de l'émission Quotidien.

    Se croyant au dessus des lois, ceux-ci se sont permis de partager le contenu de notre dossier gratuitement sur les réseaux sociaux. En plus d'être déloyal, c'est parfaitement illégal!

    La malfaisance objective de Quotidien

    Pourquoi Quotidien et Yann Barthès partagent-ils notre dossier?

    La réponse est toujours simple et triviale: l'argent.

    Quotidien et toute la gauche morale avec eux rêveraient de nous faire taire.

    Taper au porte-monnaie est l'une de leurs nombreuses techniques de censure.

    Valeurs actuelles étant le seul magazine de droite qui s'assume, nous atteindre leur permet à chaque fois de gagner un peu plus de terrain.

    En plus de ne toucher aucune subvention, contrairement à la majorité écrasante des médias français, Valeurs actuelles fait face seul contre toute la bien-pensance gâvée d'argent public, jouissant de moyens disproportionnés et sévissant sur de nombreuses chaînes de télévision!

    Nous vous en parlions il y a quelques jours, la bien-pensance s'attaque depuis des mois au journaliste Eric Zemmour en le tapant au portefeuille: procès d'abord, puis les annonceurs Nutella, Groupama, MAIF, Monabanq qui retiraient leurs publicités de ses émissions.

    Un peu essouflée, la voilà qui change de cible:

    cette fois-ci c'est nous, Valeurs actuelles à qui l'on vient couper les sources de revenus.

    Faites d'une pierre deux coups:

    en courant acheter demain votre magazine dans votre kiosque le plus proche ou en vous abonnant au Club, vous soutenez Valeurs actuelles et en même temps vous infligez à Yann Barthès la punition qu'il mérite!

    Tentant non ?

    En plus, en vous abonnant cette semaine, vous ne paierez que 7,90€/mois et c'est sans engagement.

    Montrons à Yann qu'il n'est pas tout puissant

    Aidez-nous cette semaine à faire de ce numéro la meilleure vente de l'année 2019 de Valeurs actuelles.

    En achetant ce magazine, vous lirez non-seulement un passionnant dossier sur le système Quotidien mais vous effectuerez également un acte militant en montrant à la bobosphère qu'elle n'a pas tous les droits!

    Cette semaine, à chaque fois qu'un exemplaire de Valeurs actuelles est acheté, quelque-part en France un bien-pensant donneur de leçons tombe de sa trotinette éléctrique.

    Pourquoi rejoindre le Club Valeurs actuelles ?

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  • Education

    Maurice Berger: "Non, la violence gratuite n’est pas due à la ghettoïsation"

    FIGAROVOX/GRAND ENTRETIEN - Les violences gratuites sont en augmentation constante en France. Pour le pédopsychiatre Maurice Berger, auteur d’un livre sur son expérience auprès des adolescents hyper-violents, elles sont le fruit de facteurs psychologiques et culturels.

    Maurice Berger est pédopsychiatre, psychanalyste, ex-professeur associé de psychologie de l’enfant. Il travaille en Centre Éducatif Renforcé et enseigne à l’École Nationale de la Magistrature. Il vient de publier, Sur la violence gratuite en France. Adolescents, hyper-violents, témoignages et analyses (L’Artilleur, 2019)

    FIGAROVOX.- En tant que pédopsychiatre dans un centre éducatif renforcé (CER), vous êtes confronté quotidiennement aux jeunes qui commettent des "violences gratuites". Un terme revient souvent dans le débat public, surtout récemment: jugez-vous que l’on assiste à un "ensauvagement" de la société?

    Maurice BERGER.- Toutes les deux minutes, une plainte est déposée à la police pour une violence gratuite et tout citoyen peut être confronté à une telle agression. Pour moi, l’ensauvagement, c’est lorsque la parole ne fait plus tiers, lorsqu’existe un différend même minime entre individus.

    Il y a quelques années, 85% des mineurs traduits devant la justice changeaient de comportement après leur rencontre avec l’institution judiciaire, la parole du juge. Ils ne sont plus que 65% actuellement, et c’est d’eux dont je parle ici. L’impulsivité prime, l’autre n’est plus considérée que comme un objet sur lequel décharger la tension qu’on ressent dans l’immédiateté, comme une gêne à éliminer. Ceci soulève la question de savoir quelles sont conditions nécessaires pour qu’un individu se civilise.

    En tant que médecin, j’affirme que ces comportements extrêmes sont de plus en plus fréquents et de plus en plus grave. Cette évolution n’est pas soudaine, j’en écrivais la certitude en 1992. L’attitude des gouvernements successifs a été de penser implicitement "après moi, le déluge", déluge qui est là maintenant ; et aussi de se plier à une idéologie qui définit comme "sécuritaire" et animée d’intentions électorales toute personne qui alarme sur ce sujet.

    En tant que médecin qui, depuis 40 ans, a le plus travaillé en France sur la prise en charge des enfants et adolescents violents, j’affirme que ces comportements extrêmes sont de plus en plus fréquents et de plus en plus graves. Un facteur parmi d’autres est l’impunité importante concernant la première atteinte aux personnes, que j’appelle le droit de tabassage.

    En réadaptation fonctionnelle, où je travaille aussi, je reçois des adultes qui gardent à vie des séquelles physiques ou cérébrales définitives après une agression pour un supposé mauvais regard, et dont l’agresseur mineur n’est puni que d’un sursis car il n’était pas récidiviste. La vie ou la qualité de la vie restante de la victime est ainsi démonétisée. Or c’est simple, quand on n’est pas puni, on recommence.

    FIGAROVOX - À partir de votre expérience, vous choisissez d’écrire ce livre pour dénoncer certaines idées reçues sur la violence: selon vous, l’explication par la "ghettoïsation" et la "stigmatisation" n’est pas la bonne, pourquoi?

    Lorsqu’il existe de graves dysfonctionnements familiaux, donner 3 000 euros à une famille tous les mois n’arrêtera pas, par exemple, un homme de frapper sa femme devant leurs enfants petits, maltraitance qui est souvent liée dans mes recherches à une culture intégrant l’inégalité homme-femme. 69% des adolescents très violents ont été exposés à des scènes de violences conjugales pendant les deux premières années de leur vie. Ils ont en eux l’image violente de leur père qui resurgit lorsqu’ils subissent une bousculade ou un mauvais regard. Détruire, comme frapper, est le jeu de ceux qui n’ont pas d’imagination.

    Les causes premières de la violence se situent dans la petite enfance. Les mères elles-mêmes ont souvent eu une enfance tellement désastreuse qu’elles sont incapables de sourire à leur bébé, de lui parler, de comprendre quand il a besoin d’être rassuré par un câlin. Surtout, ces parents ne jouent jamais avec leur enfant petit (les jeux vidéos ne sont pas de vrais jeux). Ces enfants n’apprennent jamais le "faire semblant", et devenus adolescents, leur pensée est pauvre, le mot qui revient le plus souvent dans mes entretiens est "normal", sans plus d’explication sur leurs actes.

    Quand on n’a pas joué à faire des accidents avec des petites voitures, ou avec des figurines de pompiers qui viennent éteindre le feu en faisant "pin pon", on ne sait jouer qu’en vrai. Un jeune m’explique "on s’ennuyait, alors on a mis le feu à un entrepôt" (coût 1.700.00 euros totalement remboursés par les assurances responsabilité civile scolaires).

    Pas de "comme si" signifie que tout mot peut être pris au sens littéral. Ces adolescents ne comprennent pas le mot "rêvasser". Quand je demande ce qu’ils feraient s’ils gagnaient un million d’euros au loto, rêverie universelle, la réponse est "votre question est bête, je n’y penserai que lorsque j’aurai le million posé devant moi".

    Dans ce contexte, détruire, comme frapper, est le jeu de ceux qui n’ont pas d’imagination. Faire venir les pompiers pour les attaquer n’est pas une révolte contre l’uniforme en général, c’est un jeu des plus sommaires, qui peut être à "mort réelle".

    Il est évident qu’avec une pensée aussi endommagée, la scolarité au collège unique est vouée à l’échec et que ces sujets ne progressent qu’avec des dispositifs qui passent par des apprentissages manuels: "Il faut me montrer pour que je comprenne". Faute d’attention et d’échanges avec leurs parents, certains jeunes que vous accompagnez ne sont même pas capables de reconnaître les émotions d’autrui…

    Un bébé ne sait qu’il sourit que s’il rencontre un sourire en miroir sur le visage du parent, il ne reconnaît ses émotions que si un adulte lui nomme ce qu’il ressent. Conséquence, certains de ces jeunes ne sont pas capables de comprendre la structure d’un visage. Les émotions qu’exprime le visage d’autrui peuvent être aussi indéchiffrables et ses mimiques sont alors interprétées comme menaçantes, donc il faut l’attaquer. Aucun des jeunes que j’ai rencontrés n’a manifesté de réel sentiment de culpabilité pour ses violences.

    Le plus grave est l’absence d’empathie, de capacité de comprendre ce que l’autre peut ressentir. Ainsi je demande à un jeune qui a mis un adulte dans le coma pour un supposé mauvais regard, pourquoi il n’a pas tué sa victime. Réponse: "parce qu’un copain m’a tiré en arrière par mon sweat". Je l’interroge sur ce que cela aurait fait à la mère de sa victime si son fils était mort. "Elle aurait été triste un moment, puis il faut passer à autre chose, ne pas s’apitoyer toute sa vie, c’est ballot. Il aurait dû mourir un jour de toute manière". Aucun des jeunes que j’ai rencontrés n’a manifesté de réel sentiment de culpabilité pour ses violences, ce qui est très déstabilisant pour les professionnels, il faut passer par d’autres voies.

    FIGAROVOX - En quoi les structures familiales sont-elles en partie responsables de l’apparition de comportements violents?

    Je demande à chaque jeune que je rencontre de me raconter son histoire, et il apparaît que dans la région où je travaille, la grande majorité de ces mineurs sont issus de l’immigration originaire du Maghreb. Ce qui m’a amené à travailler à partir des écrits de psychologues maghrébins, et les membres de l’équipe de Centres Éducatifs Renforcés, en majorité originaires eux aussi d’Afrique du Nord, m’ont aidé à comprendre. Les codes du groupe priment sur la loi extérieure.

    Les familles concernées ici, et ce n’est pas le cas de toutes les familles d’origine maghrébine en France, où prime la solidarité, ont un fonctionnement clanique, c’est un corps dont chaque individu est un membre, sous l’autorité d’un patriarche ou d’une matriarche. Si un sujet s’éloigne géographiquement, ou se met à penser différemment, le groupe se vit comme amputé d’un membre et va chercher à le récupérer.

    Alors que le but d’une famille devrait être que les parents cherchent à ce que leur enfant se construise une pensée personnelle et puisse s’éloigner d’eux pour se construire un projet personnel, dans une famille clanique le mode de pensée est indifférencié, le but n’est pas qu’un sujet pense par lui-même, son identité est d’abord d’appartenir au groupe. Ainsi 50% des jeunes admis au CER ont pour projet de vivre à l’âge adulte dans l’appartement familial ou dans le même immeuble, et quand je demande ce qui se passerait si leur épouse souhaitait un appartement avec plus d’intimité, la réponse est "elle dégage".

    Dans ce cadre indifférencié, certains parents nous déclarent avoir décidé de ne jamais dire non à leur enfant! Les conséquences de ce fonctionnement sont d’abord que les codes du groupe priment sur la loi extérieure. Et la représentation que ces jeunes ont de la relation n’est pas de personne à personne mais de groupe à groupe. Si l’un d’eux est en difficulté dans une relation, il rameute son groupe: "mes frères vont venir te tuer". Un autre demande que le stage professionnel que l’éducateur lui cherche se situe précisément dans l’arrondissement où il vit. Le terme de ghettoïsation est donc inexact, car on est enfermé dans un ghetto ; alors qu’ici au contraire, la contrainte est intérieure, auto-sécrétée, car c’est l’éloignement qui est angoissant, en pensée, ou physiquement hors du territoire.

    FIGAROVOX - En quoi la réponse judiciaire est-elle insuffisante? Comment "mettre une butée", pour reprendre votre expression?

    Le plus souvent, il n’y a pas eu d’interdit cohérent dans ces familles, mais des moments de collage alternant avec des moments de rejet.

    Ces jeunes ont besoin d’un interdit d’agir réel, d’une butée matérialisée, pour comprendre que la loi a une existence.

    Les pères sont souvent partis car pas intéressés par l’enfant. Dans ces conditions, aucune loi ne peut être intégrée, sauf celle du plus fort. Nous, nous n’avons pas besoin d’agir pour savoir que la loi existe, alors que ces sujets n’ont pas la loi dans la tête, certains me disent que les lois ne servent à rien, et ils ont besoin d’un interdit d’agir réel et non symbolique, d’une butée matérialisée, pour comprendre que la loi a une existence et arrêter de commettre des actes au moment même où cela leur vient à l’esprit.

    Nous avons du mal à comprendre qu’il faut d’abord empêcher ces sujets d’agir pour qu’ils se mettent à penser. La décision judiciaire est très souvent le seul repère qui fournit à un jeune un reflet de la gravité de ses actes. La progressivité de la sanction prive certains de ce miroir nécessaire qui leur indique ce qui est permis ou défendu, sans même parler de ce qui est bien ou mal. Et certains jeunes ne profitent du travail éducatif qu’après un passage dans un lieu de privation de liberté, privation de la liberté de frapper. La question n’est pas la prison en soi, mais la qualité de contenance et de pensée qui peut y être proposée.

    La multiplication des sursis, cette justice de la dernière chance, peut alors être pour ces sujets précisément une perte de chance. Ceci est loin d’être compris par beaucoup de responsables politiques. Et c’est souvent seulement lorsqu’une réponse judiciaire est suffisamment ferme que certaines familles sont obligées de venir s’interroger sur leurs dysfonctionnements.

    FIGAROVOX  - Jugez-vous qu’en règle générale, y compris en l’absence de drames familiaux comme ceux évoqués précédemment, cette autorité tend à diminuer?

    Oui, l’autorité diminue. Elle vise à réguler les désirs de chacun, à passer du "je" veux ça au "nous". Qu’est-ce que cela donnerait si tout le monde faisait comme moi et ne respectait pas les lois? Mais pour un parent, poser un interdit cohérent nécessite d’accepter de ne pas être aimé temporairement par son enfant, de souhaiter avoir un enfant aimable par les personnes extérieures à la famille et qui ait envie d’être un citoyen; d’être un parent capable de sortir de son confort personnel pour faire l’effort d’interdire, donc de délaisser temporairement la télévision ou son jeu vidéo, et ne pas se dire que l’école ou le club de foot fera ce travail à sa place.

    Tout ceci est d’autant plus difficile à comprendre qu’à notre époque, les interdits ne sont plus "portés" par le groupe social, beaucoup de parents ne prennent plus en compte le "qu’en-dira-t-on", le regard des autres qui souligne que "ça ne se fait pas", sorte de honte qui aidait les parents à réguler les comportements de leurs enfants. Difficile aussi à notre époque où beaucoup de médias tournent systématiquement en dérision toute tentative de rétablissement des interdits nécessaires. Pourtant il est devenu inévitable de re-légitimer un principe d’autorité très ferme à tous les niveaux (école, respect de la police, etc.) pour restructurer notre fonctionnement collectif et pour empêcher la perte de toute idée de "bien commun".

    https://www.lefigaro.fr

  • Français: lis cela!

    La grande illusion, ou chronique d’un désastre annoncé

    Le Gal Antoine Martinez lors d’un passage à TV Libertés

    Rencontres de Bretagne 26 et 27 octobre 2019

    Discours prononcé le 26 octobre par le général Martinez

    Chacun s’accorde à dire que le quinquennat du Président Macron est entré dans ce que l’on pourrait appeler, dans cette comédie dramatique qui se joue dans le contexte théâtral que nous connaissons, l’acte II de son mandat.

    Et le passage à cet acte II correspond, ou plus exactement est la conséquence d’un acte I mené avec arrogance dans la conduite de sa politique, avec mépris pour les citoyens en désaccord avec lui et avec violence avec ceux qui souffrent et qui le manifestent dans la rue. Il n’a pas compris que ce comportement dans la conduite des affaires du pays, lui qui est, de son propre aveu, "le fruit d’une forme de brutalité de l’Histoire, d’une effraction", ne pouvait que conduire à l’échec.

    Comme l’un de ses prédécesseurs réélu en 2002 avec plus de 80% des voix mais qui n’avait pas compris, compte tenu des conditions de cette réélection, qu’il était en son pouvoir de nommer un gouvernement d’union nationale pour essayer au moins de rassembler la nation, le Président Macron, lui non plus, grisé par sa victoire, n’a pas compris qu’il était arrivé au pouvoir après un coup d’État institutionnel qui s’est traduit par un hold-up démocratique, après l’élimination dans les conditions que l’on sait du candidat pourtant donné vainqueur.

    Cela aurait dû l’appeler à plus d’humilité.

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  • Tellement écœurante leur débilité intellectuelle

    Comment peut-on croire qu'il faut intégrer ces salo….

    Royaume-Uni: la sorcellerie et la magie noire seraient responsables de l’augmentation des abus sur des enfants

    La sorcellerie et la magie noire seraient de plus en plus à l’origine d’abus sur des enfants, selon des données officielles d’associations de protection de l’enfance, montrant que les cas de maltraitance liés à des croyances ou convictions religieuses sont en augmentation d’un tiers par an en Angleterre, atteignant le nombre de 2.000.

    Le Lancashire, Bradford et Leeds ont enregistré le plus grand nombre de cas en 2018-2019, mais des travailleurs sociaux à travers tout le pays ont enregistré un nombre croissant d’incidents l’année précédente, dont 71 à Nottingham, 35 à Bristol et 34 à Southwark, rapporte le Guardian.

    (…)

    Les données ont également révélé que le nombre d’enfants identifiés par les services sociaux, dans le cadre d’une évaluation comme souffrant ou risquant de subir des mutilations génitales féminines, a atteint un niveau record, avec 1.000 cas de ce type en 2018-2019, en hausse de 6% par rapport à l’année précédente.

     (…)

    CNews

    Pendre ces “sorciers“ la tête en bas et  les émasculer pour éviter qu'ils ne recommencent ou ne continuent… ils pourront chanter “Manon“: on manque de castrats à l'opéra!

     

  • Bagarre sur la piste entre Juifs et bagagistes:

    Les voyageurs et les bagages venant d’Israël discriminés à l’aéroport de Lyon Saint-Exupéry?

        Vidéo de l'altercation entre des bagagistes et des voyageurs à la recherche de leurs valises sur les pistes de @lyonaeroports

        dimanche. pic.twitter.com/cxM4MUNIA4

        — Pierre Sautarel (@FrDesouche) November 12, 2019

    C’est ce que déclarent certaines personnes arrivées à Lyon ce dimanche en provenance de Tel Aviv avec un vol Transavia. Selon un passager qui nous a contacté, l’avion est arrivé à 17h20 et les voyageurs ont pu se présenter rapidement à l’arrivée des bagages, 10 minutes plus tard.

    Sauf qu’au bout d’une heure d’attente, les valises n’avaient toujours pas été distribuées. Parmi les personnes attendant, l’impatience est montée. D’autant que la rumeur se propage: ce type d’incident arriverait fréquemment avec les vols en provenance d’Israël.

    Après avoir interpellé un salarié de l’aéroport lyonnais, des passagers ont tenté d’aller chercher leurs bagages par leurs propres moyens. Sauf que ce type d’initiative inconsidérée à une époque où les infrastructures aéroportuaires sont surprotégées leur a valu d’être confrontés à un bagagiste.

    www.lyonmag.com

    Version des bagagistes

    Avec le point de vue de ces derniers, dont certains les accusaient à demi-mot d’antisémitisme en faisant exprès de retarder la livraison des bagages venant de vols en provenance d’Israël. En l’occurrence Tel Aviv pour cet avion.

    Selon Atef Ben Hamouda, délégué syndical d’UNSA, le retard dans la livraison des bagages n’était absolument pas volontaire". Un collègue était en train de décharger des bagages d’un vol Air Algérie quand il a vu débarquer une dizaine de personnes en furie, qui se saisissaient des valises en pensant que c’étaient les leurs. Il leur a demandé de retourner dans l’aéroport car elles n’avaient pas le droit d’être ici après avoir forcé une porte aimantée. Elles lui ont fracturé le doigt, il est arrêté jusqu’au 25 novembre. Une collègue a ensuite été étranglée. Les deux vont porter plainte", nous indique-t-il.

    "C’est déjà la deuxième intrusion sur les pistes après l’épisode de la voiture folle (en septembre 2018 ndlr). On ne se sent plus en sécurité", regrette Atef Ben Hamouda, qui trouve " choquant de passer pour des antisémites ".

    "Cela n’a rien à voir avec la provenance des vols et des bagages. C’est un problème de sous-effectif. Les passagers des vols d’Algérie, du Maroc, de Tunisie, ils attendent comme les autres ", nous indique un autre bagagiste lyonnais. Ce soir-là, de nombreux avions sont arrivés dans la soirée, et la situation était difficilement gérable pour les quelques bagagistes dépêchés sur les pistes.

    Lyon Mag

    Version d’un passager

    Nous avons atterri à Lyon Saint Exupéry dimanche 10/11/19 par le vol transavia en provenance de Tél Aviv

    L’avion s’est posé comme prévu à 17h20

    Au contrôle des passeports du terminal 1, d’habitude bondé, personne à part les passagers de notre vol.

    Si bien qu’en 10 minutes, soit vers 17h30, tout le monde était devant le tapis de bagages 02, comme indiqué sur les écrans, à attendre les valises.

    Vers 17h50, parmi les passagers, certains commencèrent à s’étonner du temps mis pour décharger nos bagages, d’autant qu’à ce stade des événements, nous sommes encore le seul vol en attente de bagages, les autres tapis étant déserts.

    Vers 18h, soit 30 min après notre arrivée devant le tapis 02, clairement on comprend que nos bagages sont sciemment retardés car aucun motif ne permet de justifier que nous attendions si longtemps alors que le terminal est quasiment vide aux arrivées.

    Une personne part demander des explications au service bagages et on lui répond que “c bon ça arrive dans 5 minutes“

    Ce qui arrive 5 min plus tard, ce ne sont toujours pas nos bagages mais un message audio quasiment inaudible ou l’on croit comprendre qu’on nous annonce nos bagages dans 10 min!!!!

    A ce stade et toujours sans aucune explication, nous en sommes à 45 mn d’attente …

    C’est alors qu’on voit des passagers d’un autre vol arriver, et étrangement en 10 min leurs valises arrivent

    La, pour le coup et au bout de 50/55 min d’attente, le public du tapis 02 commence à s’échauffer et il est clair que tout le monde a déjà compris ce qu’il se passe: les bagagistes retiennent volontairement nos bagages comme ils l’ont déjà fait plusieurs fois lors d’arrivée en provenance de Tél Aviv!!!

    Plusieurs personnes, et à juste titre, perdent patience, haussent la voix, et tout leur donne raison car à ce stade et après une bonne heure d’attente, aucun responsable de l’aéroport ne vient s’enquérir de notre situation, sachant que de nombreuses personnes âgées attendent depuis plus d’une heure leurs valises

    Se sentant sans doute, et à juste titre, délaissées, méprisées, ostracisées, attaqués pour ce qu’ils sont à savoir des juifs (pour 95% des passagers du jour), un petit nombre de personnes décident de trouver un responsable pour avoir des informations et connaître le motif de ce retard totalement disproportionné.

    La nature ayant horreur du vide, et n’ayant face à eux qu’une porte, à défaut d’avoir du personnel qui assume, ces personnes ouvrent une porte située à 2/3 m du tapis, dans l’idée de donner signe de vie et essayer de comprendre

    Elles se heurtent immédiatement à du personnel de l’aéroport qui joue la surprise, menace de représailles, feint de comprendre ce qu’il se passe face à une foule inquiète et mécontente du sort qui lui est réservée

    Face à une absence d’explications du personnel présent, et uniquement confrontés à des quolibets et des avertissements teintés de menaces, un ou deux passagers, croyant voir le chariot portant nos bagages ( situé à 20 m de la salle d’attente des bagages ), décident d’aller chercher eux mêmes leur valise.

    A ce moment là, un bagagiste intervient physiquement pour bousculer un passager!!!! et un début de rixe s’ensuit où tout est confus, mais très rapidement, au bout de quelques secondes, les passagers, aidés de 2/3 agents aéroportuaires, ramènent le calme afin d’éviter tout débordement

    Deux gendarmes arrivent dans la foulée, et tous, nous tentons, malgré plus d’une heure d’attente et surtout de mépris de la part du personnel, de retranscrire calmement la situation à l’officier de gendarmerie présent: certes quelques uns lèvent le ton mais sont rapidement circonscrits par la foule qui exprime surtout son ardent souhait de récupérer ses valises et d’en finir avec cette tartufferie.

    Et la, au lieu d’imposer la remise rapide de nos bagages, les gendarmes, puis successivement des agents aéroportuaires, vont nous tenir un discours du genre: “ ce n’est pas de notre ressort, les bagagistes, compte tenu des violences, sont désormais réticents à vous livrer nos valises etc etc “

    Que ne faut-il pas entendre??

    Nous sommes demeurés dignes et disciplinés plus d’une bonne heure!!!

    Alors que nos bagages auraient dû mettre 10/15 min maxi!!!

    Certains passagers avaient des trains à prendre et l’ont loupé à cause de la volonté manifeste d’un certain nombre de bagagistes salariés ou sous traitants de l’aéroport de Lyon Saint Exupery, de retarder sciemment, la livraison des valises aux voyageurs en provenance de Tél Aviv, capitale économique et touristique de l’état d’Israel, et ce n’est pas la première fois que cela se produit à Lyon Saint Exupery!!!

    De deux choses l’une: soit la direction de l’aéroport ferme les yeux et devra assumer des troubles lors des prochains vols car il y a fort à parier que la petite bande de bagagistes militants anti sionistes / anti sémites voudra réitérer son coup d’éclat, soit elle n’a pas les moyens ni le courage de mettre fin aux agissements de ces extrémistes et la c’est plus grave.

    Dans les deux cas, l’image de l’aéroport, de la compagnie Transavia, en pâtit car comme lors des fois précédentes, de nombreuses vidéos et témoignages vont sans doute circuler et à juste titre car il est regrettable et inadmissible qu’en 2019, en France, on mette deux heures pour livrer des valises à des passagers, pour des raisons politiques à forte connotation raciste et antisémite.

    Nous avons pu enfin, après avoir supplié le personnel présent, récupérer nos valises vers 19h20, soit deux heures après l’atterrissage!!!!!

    http://www.fdesouche.com

     

    Perso, j'ai été emm… plusieurs fois au téléphone par des gens (fonctionnaires ou simples employé-es de grandes entreprises) qui n'avaient pas ma diction française… et m'induisaient en erreur en répondant à mes questions... parfois, c'était tellement flagrant (car je connaissais la réponse, j'appelais juste pour confirmer) que c'était grotesque de les entendre soliloquer des conn.....

    je suis sûre que cela à dû vous arriver…

    Fort heureusement, dans deux cas au moins, ces personnes ont été virées de répondre au téléphone à la clientèle… il existe encore des chefs et sous-chefs qui s'aperçoivent de ces provocations de minables et le sabotage de l'entreprise....

    Le trop et le peu....