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  • Au Bout du Bout: la France trahie, la Nation anéantie!

    Nous y sommes. Le pays tout entier, meurtri, lassé, suspendu à la volonté d’un seul homme, contemple l’abîme. Ce blocage dont on nous parle n’a point surgi du néant: il est l’œuvre d’un esprit, le fruit d’un système, et la signature d’un homme. Ce nom, c’est celui d’Emmanuel Macron.

    Car il faut dire les choses simplement, mais avec cette gravité que commande l’amour de la patrie: le président de la République a trahi la France. Non par faiblesse seulement, mais par dérision. Il a tourné en dérision les institutions mêmes qui lui ont donné sa légitimité; il a usé du prestige de la Ve République pour s’en moquer, la plier à ses caprices, et la transformer en théâtre de son narcissisme politique.

    Depuis des années, la France se cherche: on lui répond par des artifices. Elle espère un cap: on lui donne des discours. Elle réclame une voix claire: on lui offre des postures. Sous ce règne d’apparences, la nation a perdu jusqu’au sens du bien commun. La France, ce grand corps historique, se trouve livrée aux convulsions d’un homme sans racines, sans continuité, sans fidélité autre qu’à lui-même.

    Qu’on fasse donc l’inventaire des maux qu’il a infligés à notre pays:

    Il a brisé le lien de confiance entre le peuple et son État;

    Il a dissous le prestige de la parole publique dans le bavardage médiatique;

    Il a sacrifié l’autorité à la communication, la compétence à l’image, la France réelle à la France virtuelle;

    Il a réduit l’idée même de patrie à un slogan de campagne;

    Il a foulé du pied la souveraineté nationale en livrant nos choix économiques, industriels et diplomatiques aux vents étrangers;

    Il a divisé les Français, dressé les uns contre les autres, en prétendant incarner l’unité.

     

    https://youtu.be/o8nHwjKqY2E

     

    Et voici que maintenant, paralysé par ses propres contradictions, il prétend encore régner. Mais l’heure n’est plus aux faux-semblants. L’impasse où il nous conduit n’est pas institutionnelle: elle est morale. Car si la Constitution ne l’oblige pas à partir, la conscience nationale, elle, le lui commande.

    Il y a dans le devoir du chef de l’État quelque chose qui dépasse les textes: l’honneur. De Gaulle, en 1969, en eut le courage. Il comprit qu’on ne gouverne pas un peuple sans sa confiance, qu’on ne triche pas avec la légitimité populaire. Macron, lui, n’est pas De Gaulle. Il ignore ce qu’est la fidélité à la France. Il confond la grandeur du pays avec la mise en scène de sa personne.

    Ainsi tout dépend aujourd’hui de son sursaut – que nul ne peut attendre. C’est pourquoi l’heure est grave. Grave, non parce qu’une crise institutionnelle menace, mais parce que la France se trouve suspendue à la vanité d’un homme.

    Et puisque tout semble bloqué, il ne reste qu’une issue – claire, simple, conforme à la morale républicaine et à la décence nationale: le départ du président de la République. Il n’en a pas l’obligation juridique, mais il en porte la nécessité morale. Qu’il s’en aille donc, et qu’en partant il emporte avec lui le fracas de son propre vide. Alors, peut-être, la France pourra recommencer à respirer.

     

    Jean-Jacques Fifre

  • Les seules réalités internationales, ce sont les nations!

    Alain Peyrefitte, dans le tome 1 de C’était de Gaulle (page 296), cite ce propos du Général: "Les seules réalités internationales, ce sont les nations!". La séquence politique désastreuse que nous vivons actuellement devrait nous inciter à méditer ces propos. Depuis trop longtemps, et particulièrement depuis 2017, les présidents de la République et leurs gouvernements n’ont eu, comme politique européenne, que celle qui consiste à transférer par pans entiers les attributs de la souveraineté nationale vers une entité supranationale que personne ne peut réellement définir.

    Certains parlent d’une sorte d’État "fédéral" qui coifferait tous les États de l’Union européenne, et qui pourrait s’apparenter à une sorte " d’États-Unis d’Europe ".

    Il se trouve que le peuple français a refusé en 2005 de s’engager dans cette voie. Les dirigeants n’ont pas voulu prendre ce refus en compte et ils ont continué à avancer comme si de rien n’était.

    Aujourd’hui, le résultat de ce fossé qui, année après année, s’est creusé entre le peuple et ce qu’il est convenu d’appeler l’élite dirigeante est que le pays ne veut plus être gouverné contre son peuple. Certains, refusant d’aller au fond des choses, préfèrent dire que " la France est devenue ingouvernable! ", comme si une sorte de fatalité s’était abattue sur elle.

    La réalité est bien différente.

    LA SOUVERAINETÉ POPULAIRE, CLÉ DE VOUTE DE NOTRE CONSTITUTION

    La clé de voûte de notre Constitution est la souveraineté populaire. Celle-ci ne peut se partager et encore moins se transmettre à une autre entité que le peuple français et c’est lui qui confère cette souveraineté à la nation. Or, nos dirigeants ont pratiquement tous été biberonnés au mondialisme. Ils ne veulent plus des nations, ni des peuples, et encore moins de la souveraineté populaire. Ils préfèrent maintenir l’idée d’un clivage droite-gauche qui, depuis une vingtaine d’années, a cédé la place à celui transpartisan de " mondialiste-souverainiste ".

    Il existe du reste dans le pays une sorte de code de bonne conduite des médias dits mainstream qui consiste à ne jamais mettre en lumière ce nouvel aspect des choses, ce qui fait qu’aucun souverainiste ne peut bénéficier d’une large diffusion de ses propos qui serait contraire à l’ordre établi non-écrit.

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  • Dette de l’Etat: la démission de Lecornu fait flamber le coût des emprunts de la France

    Ce lundi 6 octobre, l’effarante démission du premier ministre Sébastien Lecornu – quatorze heures après la nomination du gouvernement – a déclenché une poussée de nervosité sur les marchés obligataires. Le coût de l’emprunt français à dix ans a bondi de plus de 9 points de base et a momentanément dépassé 3,6%, avant de redescendre à 3,57%.

    Dans le même temps, le taux allemand de référence s’établissait à 2,72%. Résultat: le "spread" – l’écart de taux d’intérêt entre la France et l’Allemagne, considérée comme un emprunteur sûr – a grimpé à 89 points de base, au plus haut depuis janvier.

    Lorsque le "spread" s’élargit, le marché considère qu’il est plus risqué de prêter à Paris plutôt qu’à Berlin, et la France doit donc offrir une rémunération supérieure pour attirer les acheteurs de ses titres. Cette augmentation du "spread" alourdit donc la charge de la dette publique, autrement dit ce que l’Etat paie en intérêts à ses créditeurs.

    En 2024, la dette publique totale s’est établie à 3 000 milliards, soit 113% du PIB, et la charge de la dette s’est élevée à 58 milliards d’euros, soit une hausse de 7,4 milliards d’euros par rapport à 2023.

    Cette charge s’établissait à environ 2,0% du PIB français, et représentait le deuxième poste de dépenses de l’État, derrière les dépenses sociales (prestations sociales, retraites, etc.) et devant le budget de l’Éducation nationale. En chiffres actualisés, le montant de la dette s’établit à 3 400 milliards d’euros au premier semestre 2025.

    Sur les 8 dernières années – Bruno Le Maire étant ministre de l’économie et des finances – la dette s’est accrue de 1 000 milliards.

    L’augmentation des taux d’intérêt affecte aussi les banques françaises, fortement exposées aux titres souverains, dont les portefeuilles perdent de la valeur lorsque les taux montent. Enfin, elle renchérit les coûts de financement des entreprises.

    Cette nouvelle hausse du "spread" rappelle les tensions observées à la suite de la dissolution de l’Assemblée nationale en juin 2024, lorsque cet indicateur avait brièvement dépassé 81 points de base. La nomination du gouvernement Bayrou n’avait pas suffi à apaiser durablement les marchés. Les investisseurs doutent de la capacité de la France à redresser ses comptes publics dans un contexte politique mouvant, alors que le précédent gouvernement Bayrou visait un déficit à 5,4% cette année.

    La dégradation de la situation budgétaire française contraste avec le redressement observé en Italie. Longtemps mauvais élève de la zone euro, Rome a profité de la stabilité politique inédite de la coalition de Giorgia Meloni pour engager une consolidation budgétaire sans précédent: retour à un excédent primaire, déficit réduit sous les 3% du PIB en 2025 et note souveraine relevée par l’agence S&P. Résultat: les taux italiens à 5 ans sont désormais au même niveau que les taux français. La crise politique tricolore ne laisse plus guère de doute sur une probable dégradation de la note souveraine française par Moody’s à la fin du mois.

    La démission de Sébastien Lecornu a provoqué une réaction immédiate et négative des marchés financiers. L’indice boursier français CAC 40 a chuté de 1,70%. L’euro a également perdu 0,63% face au dollar, s’échangeant à 1,1688 dollar pour un euro. Ces mouvements reflètent une inquiétude marquée des investisseurs face à l’instabilité politique et économique en France, déjà fragilisée par un contexte budgétaire tendu.

    Marine Le Pen a qualifié la démission de Sébastien Lecornu de "farce" et estimé que "la farce a assez duré" .

    Elle a appelé Emmanuel Macron à dissoudre l’Assemblée nationale, affirmant que "nous sommes au bout du chemin". Elle a également critiqué les partis politiques, notamment Les Républicains et le Parti socialiste, les accusant de se décrédibiliser en cherchant simplement à obtenir plus de postes ministériels plutôt qu’à permettre de nouvelles élections.

    La situation catastrophique de la France, tant sur le plan économique que financier ou encore immigrationniste et sécuritaire, exige des mesures radicales qui ne pourront être prises que si le pays retrouve une stabilité politique, qui passe par la dissolution de l’Assemblé nationale, voire la démission du président Macron.

    Henri Dubost

    P.S. J'ai toujours entendu dire qu'au dessus de 3,5% la France était en grave danger!

  • La taxe Zucman: beaucoup de bruit, très peu de recettes.

    Notre dette est plus préoccupante que jamais. La classe politique, de LFI au RN, n’a qu’un mot à la bouche: "augmenter les impôts".
    La nouvelle mode? La taxe Zucman!

    La mesure est désastreuse, le remède serait pire que le mal. Il est temps de le prouver.  Quelle est l’idée de Gabriel Zucman, cet économiste très à gauche, qui signe des tribunes de soutien à la NUPES de Mélenchon et que l’on voit partout sur les antennes du service public? Taxer chaque année 2% des patrimoines de plus de 100 millions d’euros. Il prétend que cela rapportera 20 milliards d’euros par an à l’Etat. Même si son chiffre était correct, notre déficit annuel est de 170 milliards d’euros, donc sa taxe ne résoudrait pas le problème.
    Mais surtout, ce chiffre est très LARGEMENT EXAGÉRÉ.
    D’après Philippe Aghion et 6 autres économistes (Le Monde, 9/09/25), les recettes de cet impôt atteindraient péniblement… 5 milliards d’euros, soit 3 fois moins que ce que nous dépensons chaque année dans l’aide au développement! Pour leur chiffrage, ces économistes s'appuient sur l'étude de Jakobsen (2024), qui montre que pour chaque euro d’impôt supplémentaire, l’adaptation des comportements aboutit à une perte de recettes fiscales de 74 centimes. Bref, la réalité se venge.

    Les contribuables s’adaptent. Les entrepreneurs lèvent le pied: pourquoi faire des efforts dont les fruits vous seront presque tous confisqués? Les contribuables se lancent dans une optimisation fiscale qui nous coûte cher, quand ils ne partent pas tout simplement vivre et travailler à l’étranger.
    Retenez, en règle générale, que trop d'impôt tue l’impôt: à partir d’un certain taux, plus on augmente les impôts plus les recettes fiscales baissent. C’est la courbe de Laffer.

    1. Zucman l’avoue lui-même: cette taxe a un objectif idéologique, bien plus qu’économique.
      M. Zucman le dit noir sur blanc dans son livre: “détruire une partie de l’assiette fiscale peut être l’intérêt de la collectivité”. Traduction: sa taxe n'a pas réellement vocation à rapporter de l'argent à l'Etat, mais uniquement à punir les riches.
      On s’étonnait, en effet, de voir la gauche la plus radicale, qui ne s’est jamais préoccupée de nos finances publiques, réclamer aujourd’hui une taxe au nom de la réduction des déficits. On apprend donc, quand on creuse un peu, que ce qui l’obsède, ce n’est pas le peu de recettes qu’une nouvelle taxe engendrera, mais le fait d’assouvir ses pulsions idéologiques.

    TAXER LES RICHES, ON LE FAIT DÉJÀ ET CELA N’A JAMAIS PERMIS DE RÉDUIRE LA DETTE.

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  • Comment trouver son médecin traitant?

    Selon une récente étude, près d’un médecin sur deux n’accepte plus de nouveaux patients en ville. Une décision que les généralistes justifient par le fait qu’ils ont déjà un grand nombre de patients et qu’ils ne pourraient pas les suivre correctement s’ils en acceptaient davantage.

    Les professionnels qui préparent leur départ en retraite limitent également leur patientèle. Une situation qui rend difficile le fait de trouver un médecin traitant quand on n’a pas de médecin de famille, ou suite à un déménagement.

    La surcharge de travail dont ils sont victimes incite des nombreux professionnels de santé à ne plus accepter de nouveaux patients. Un choix qui compromet l’accès à un médecin traitant et à un bon suivi de santé pour les malades.

    UN MEDECIN GENERALISTE A-T-IL LE DROIT DE NE PLUS PRENDRE DE NOUVEAUX PATIENTS?

    Face au refus d’un médecin généraliste de prendre un nouveau patient, même en cas de maladie, on peut se poser la question de la légalité de ce choix. En France, la loi autorise un médecin à refuser d’accepter de nouveaux patients et à refuser d’être le médecin traitant d’un malade.

    Le seul cas où un praticien est obligé de délivrer des soins est celui de l’urgence. Dans un cadre de médecine de ville classique, il est donc tout à fait légitime pour un docteur de ne plus prendre de nouveaux patients.

    CONSEILS POUR TROUVER UN MEDECIN QUI PREND DE NOUVEAUX PATIENTS

    Pour trouver un médecin traitant qui prend de nouveaux patients, il existe plusieurs solutions. La première consiste à faire une recherche sur le site de la caisse d’assurance maladie "ameli". Ce site recense tous les médecins généralistes par secteur.

    La plate-forme Doctolib peut aussi aider à trouver les médecins qui prennent de nouveaux patients. Au moment de lancer une recherche, il suffit de sélectionner ce critère dans les filtres.

    COMMENT FAIRE QUAND ON N’A PAS DE MEDECIN TRAITANT?

    Avoir un médecin traitant permet de bénéficier d’un remboursement des consultations à 70% par l’assurance-maladie. C’est aussi l’assurance d’être mieux soigné pour le patient qui a un interlocuteur de confiance qui connaît bien son dossier de santé. Le médecin traitant est d’autant plus utile en cas d’urgence, ou face à des maladies comme la Covid-19 qui nécessite un suivi soigneux.

    Les patients qui ne parviennent pas à trouver de médecin traitant malgré leurs recherches peuvent saisir le conciliateur de l’assurance-maladie. Ce professionnel a pour rôle d’aider les malades à trouver un médecin traitant généraliste, afin qu’aucun assuré ne reste sans solution pour prendre soin de sa santé.

     

    Le conciliateur ne peut pas forcer un médecin à devenir le médecin traitant d’un patient, mais il peut tenter une médiation pour inciter ceux qui ont refusé de revenir sur leur décision.

    Pour trouver un médecin traitant qui prend de nouveaux patients, la meilleure solution est d’utiliser un site comme Doctolib pour rechercher les généralistes disponibles près de chez soi. En cas de problème, le conciliateur de l’assurance-maladie peut également aider les assurés à trouver un généraliste référent.

  • MORT EN DIRECT

    l’ARCOM excès de pouvoir et dérive partisane!!!

    Jean Pormanove était influenceur et ancien militaire. Un homme fragile, vulnérable, qui appelait au secours. L'ARCOM avait été sollicité pour lui venir en aide.

    Ce qu’il a reçu à la place? Des insultes, des humiliations, des violences.

    En direct. Sous les yeux de milliers de spectateurs.

    Ses bourreaux, Safine Hamadi et Owen Cenazandotti l’avaient transformé en spectacle :

    – nuits blanches imposées,

    – défis humiliants, punitions physiques,

    – manipulations psychologiques sordides,

    – et une pression constante, monnayée à coups d’audiences voyeuristes.

    Dès décembre 2024, des alertes avaient été lancées.

    Des signalements déposés. Des plaintes transmises.

    La plateforme Kick a laissé faire. Et l’ARCOM, pourtant saisie, n’a rien empêché.

    Dans la nuit du 17 au 18 août 2025, Jean Pormanove s’est effondré.

    En direct. Et cette fois, il était trop tard.

    L'ARCOM complice de sa mort

    Aucune sanction. Aucun contrôle. Aucune réaction.

    Jusqu’à ce qu’il meure.

    Il est mort sous leurs yeux. Et l’ARCOM n’a rien fait

    Et pendant ce temps, où mettait-on l’énergie ?

Blog d'une Française de FRANCE: vive la laïcité, vive la FRANCE et la République Française!