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  • Comment trouver son médecin traitant?

    Selon une récente étude, près d’un médecin sur deux n’accepte plus de nouveaux patients en ville. Une décision que les généralistes justifient par le fait qu’ils ont déjà un grand nombre de patients et qu’ils ne pourraient pas les suivre correctement s’ils en acceptaient davantage.

    Les professionnels qui préparent leur départ en retraite limitent également leur patientèle. Une situation qui rend difficile le fait de trouver un médecin traitant quand on n’a pas de médecin de famille, ou suite à un déménagement.

    La surcharge de travail dont ils sont victimes incite des nombreux professionnels de santé à ne plus accepter de nouveaux patients. Un choix qui compromet l’accès à un médecin traitant et à un bon suivi de santé pour les malades.

    UN MEDECIN GENERALISTE A-T-IL LE DROIT DE NE PLUS PRENDRE DE NOUVEAUX PATIENTS?

    Face au refus d’un médecin généraliste de prendre un nouveau patient, même en cas de maladie, on peut se poser la question de la légalité de ce choix. En France, la loi autorise un médecin à refuser d’accepter de nouveaux patients et à refuser d’être le médecin traitant d’un malade.

    Le seul cas où un praticien est obligé de délivrer des soins est celui de l’urgence. Dans un cadre de médecine de ville classique, il est donc tout à fait légitime pour un docteur de ne plus prendre de nouveaux patients.

    CONSEILS POUR TROUVER UN MEDECIN QUI PREND DE NOUVEAUX PATIENTS

    Pour trouver un médecin traitant qui prend de nouveaux patients, il existe plusieurs solutions. La première consiste à faire une recherche sur le site de la caisse d’assurance maladie "ameli". Ce site recense tous les médecins généralistes par secteur.

    La plate-forme Doctolib peut aussi aider à trouver les médecins qui prennent de nouveaux patients. Au moment de lancer une recherche, il suffit de sélectionner ce critère dans les filtres.

    COMMENT FAIRE QUAND ON N’A PAS DE MEDECIN TRAITANT?

    Avoir un médecin traitant permet de bénéficier d’un remboursement des consultations à 70% par l’assurance-maladie. C’est aussi l’assurance d’être mieux soigné pour le patient qui a un interlocuteur de confiance qui connaît bien son dossier de santé. Le médecin traitant est d’autant plus utile en cas d’urgence, ou face à des maladies comme la Covid-19 qui nécessite un suivi soigneux.

    Les patients qui ne parviennent pas à trouver de médecin traitant malgré leurs recherches peuvent saisir le conciliateur de l’assurance-maladie. Ce professionnel a pour rôle d’aider les malades à trouver un médecin traitant généraliste, afin qu’aucun assuré ne reste sans solution pour prendre soin de sa santé.

     

    Le conciliateur ne peut pas forcer un médecin à devenir le médecin traitant d’un patient, mais il peut tenter une médiation pour inciter ceux qui ont refusé de revenir sur leur décision.

    Pour trouver un médecin traitant qui prend de nouveaux patients, la meilleure solution est d’utiliser un site comme Doctolib pour rechercher les généralistes disponibles près de chez soi. En cas de problème, le conciliateur de l’assurance-maladie peut également aider les assurés à trouver un généraliste référent.

  • MORT EN DIRECT

    l’ARCOM excès de pouvoir et dérive partisane!!!

    Jean Pormanove était influenceur et ancien militaire. Un homme fragile, vulnérable, qui appelait au secours. L'ARCOM avait été sollicité pour lui venir en aide.

    Ce qu’il a reçu à la place? Des insultes, des humiliations, des violences.

    En direct. Sous les yeux de milliers de spectateurs.

    Ses bourreaux, Safine Hamadi et Owen Cenazandotti l’avaient transformé en spectacle :

    – nuits blanches imposées,

    – défis humiliants, punitions physiques,

    – manipulations psychologiques sordides,

    – et une pression constante, monnayée à coups d’audiences voyeuristes.

    Dès décembre 2024, des alertes avaient été lancées.

    Des signalements déposés. Des plaintes transmises.

    La plateforme Kick a laissé faire. Et l’ARCOM, pourtant saisie, n’a rien empêché.

    Dans la nuit du 17 au 18 août 2025, Jean Pormanove s’est effondré.

    En direct. Et cette fois, il était trop tard.

    L'ARCOM complice de sa mort

    Aucune sanction. Aucun contrôle. Aucune réaction.

    Jusqu’à ce qu’il meure.

    Il est mort sous leurs yeux. Et l’ARCOM n’a rien fait

    Et pendant ce temps, où mettait-on l’énergie ?

  • ATTENTION!

    ATTENTION: pour les personnes de plus de 75 ans!

    TOUS les médecins et spécialistes ont reçu un courrier pour leur demander de ne pas trop "aider" les personnes de plus de 75 ans à se soigner et à faire, pour cela, des examens médicaux: radios, scanner, IRM..

    de leur donner des doliprane et autres rivotril pour les calmer et de résister le plus possible à leurs demandes

    J'en ai la preuve, l'hôpital a refusé de me faire un IRM

    sous un prétexte fallacieux…

    je me suis renseignée auprès de divers soignants qui n'ont pas aimé répondre à cette question!

    Résistez, ne vous laissez pas faire  et parlez-en à ceux de votre âge autour de vous!

  • Comment ils détruisent notre Nation...

    Incendies de forêts, arrachage de vignes,

    abattage des troupeaux: hasard ou nécessité?

    Quand la France brûle, Macron plante des panneaux solaires. Ce n’est pas une série de malchances, c’est une stratégie. Le feu est un outil, il dégage, il efface, il prépare le terrain. Et sur ce terrain dévasté, on installe une autre France.

    Une France sans paysans, sans éleveurs, sans vignerons. Une France des serveurs, d’objets connectés et de dépendance énergétique.

    MAIS AVANT DE CONSTRUIRE CE MONDE-LA, IL FAUT DÉTRUIRE L’ANCIEN.

    On ne modernise pas un pays enraciné, on le déracine.

    On commence par la vigne. En 2023, l’État propose une prime à l’arrachage, pas pour relancer, pour mettre fin. On appelle ça la réduction définitive du potentiel viticole.

    On offre de l’argent pour arracher, mais surtout on interdit de replanter. C’est le signal. Le vin français, ce pilier culturel et économique, devient une variable d’ajustement.

    La main de l’Etat n’aide pas les vignerons. Elle les paye pour abandonner. Une fois les ceps arrachés, les terres deviennent vides. Et ces terres vides sont alors convoitées.

    Non pas pour du maraîcher, non pas pour de l’agro écologie, mais pour du photovoltaïque. LES MULTINATIONALES INSTALLENT DES CHAMPS DE PANNEAUX SUR LES CADAVRES DE NOS VIGNES, DES MEGAWATTS.

    C’est l’écologie selon Macron: remplacer des hectares de biodiversité et l’histoire par des champs de silicium. On ne soutient pas le vin français, mais on importe des cuves d’Espagne, des bouteilles du Chili, des vins synthétiques des Etats-Unis. La viticulture française est vendue à la découpe.

    Août 2025. L’Aude s’embrase. 17000 hectares partis en fumée.

    Une femme meurt, des pompiers blessés.

    Et où est l’Etat? Absent.

    Quatorze Canadairs pour tout un pays, mais c’est une blague.

    Et encore, ce sont des modèles anciens, parfois cloués au sol pour maintenance. Macron avait promis quatre appareils supplémentaires. Il en a commandé deux.

    Et les crédits votés pour la flotte aérienne ont été supprimés en douce par décret.

    En parallèle, quatre-vingts dix véhicules blindés Centaure sont livrés à la gendarmerie pour réprimer les manifestations.

    LES FEUX DE FORET, NON. LES FEUX SOCIAUX, OUI.

    Ce n’est pas une négligence, c’est une hiérarchie des priorités. Ils laissent cramer les forêts, mais ils sont prêts à écraser la moindre flamme de colère.

    Et dans l’Aude, hasard étrange, le feu ravageait dans une zone promise à une centrale solaire. Un projet bloqué par les riverains, ralenti par les recours. Une fois le feu passé, plus d’obstacle, le terrain est libre, la végétation n’existe plus.

    Comme par enchantement, les travaux peuvent commencer. Le feu devient un bulldozer.

    Chaque incendie devient une opportunité.

    Une forêt qui brûle, ce sont des terres libérées de contraintes agressives. Des sols désencombrés, moins de haies, moins de biodiversité, donc moins de freins aux projets industriels.

    Les investisseurs arrivent après les flammes comme des vautours sur un champ de bataille.

    Des panneaux solaires, des éoliennes, des centres logistiques. L’incendie devient la première étape d’un chantier. Derrière les discours sur la sobriété, il y a une réalité: la marchandisation du vide.

    Les terres agricoles deviennent des déserts énergétiques stériles, gérés depuis des tours à Paris ou à Bruxelles. Les paysans, eux, sont expulsés du paysage, remplacés par des techniciens sous-payés. Le Green Deal (l’accord vert) est une opération immobilière.

    PENDANT QUE LES FORETS S’EFFACENT, NOS ELEVEURS CRIENT DANS LE VIDE.

    Une épidémie nommée DNC, dont personne n’avait entendu parler, devient le prétexte pour abattre des cheptels entiers. Même quand les animaux ne présentent aucun symptôme, même quand les tests sont négatifs, ordre est donné: euthanasie totale.

    Dans le Cantal, la Savoie, les Alpes, des éleveurs assistent à l’abattage de leurs vaches, de leurs veaux, de leur vie. Une femme raconte avoir nourri ses veaux au biberon le matin pour les voir mourir l’après-midi. Aucun recours, aucune pitié.

    C’est la politique du vide.

    Chaque troupeau supprimé ouvre la voie à autre chose.

    Importations sud-américaines, viande synthétique, solutions alternatives promues par les start-ups financées par Bill Gates ou BlackRock.

    Et les fermes, que deviennent-elles? Soit des friches, soit des terrains vendus pour d’autres usages: solaire, logistique, technologique. L’animal vivant gêne, la nourriture connectée rassure.

    LA VACHE MEURT, LE LABO PROSPÈRE.

    Dans ce pays qu’on déshabille, les moyens de secours s’effondrent, mais les moyens de contrôle explosent. Pas d’argent pour les Canadairs, mais des milliards pour l’armement, pour l’Ukraine, pour les intérêts de l’OTAN.

    Pas d’aide réelle pour les éleveurs, mais des chèques pour Amazon, Pfizer ou Microsoft. On privatise les profits, on nationalise les pertes.

    Les terres agricoles partent à l’étranger. Les subventions alimentent des programmes numériques absurdes. Les ZAP, zones agricoles protégées, conditionnent les exploitants à devenir dépendants. On appelle ça modernisation. En réalité, c’est un asservissement.

    Chaque feu de forêt est une justification pour accélérer la mutation. On prépare une agriculture sans hommes, sans terres, sans saisons. Et ceux qui refusent ce modèle sont traités d’extrémistes, d’anti-progrès.

    Ils sont ignorés jusqu’au jour où ils se révoltent. Pendant ce temps A PARIS, LA CASTE RIT.

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  • Nos dirigeants n’ont plus le pouvoir de garantir le bien commun

    En France, tout le système politico-médiatique conspire à nous faire croire que nos gouvernants gouvernent et que nos présidents président, conformément au texte de la Constitution de 1958. Personne, comme dans le conte d’Andersen, n’ose dire que le roi est nu, c’est-à-dire que nos gouvernants n’ont plus le pouvoir de garantir le bien commun au sein de la zone euro.

    Et, par conséquent, que les élections ne servent progressivement plus à rien dans l’Union européenne. C’est le grand secret que tous s’efforcent de nous cacher, mais de plus en plus difficilement.

    LA FICTION DU POUVOIR

    Les institutions nous font vivre dans un univers de fiction, comme si nous étions encore dans la France des années 1970.

    Comme on fait défiler nos soldats le 14 juillet pour faire croire que nous avons encore une armée à même de garantir notre indépendance, alors que nous nous soumettons à l’OTAN, qui veut nous engager dans des conflits qui ne sont pas les nôtres. Comme on n’a de cesse d’invoquer une République dont on a trahi toutes les valeurs fondatrices.

    Ceux qui sont "au pouvoir" nous font croire qu’ils prennent des décisions, alors que la réalité du pouvoir a fui les palais nationaux.

    Car aujourd’hui, les vrais décideurs résident à Bruxelles, à Francfort, à Berlin, à Washington, dans les prétoires, dans les salles de rédaction, dans les lobbys et dans les organes dirigeants des grandes entreprises mondialisées.

    Pas à Paris.

    La monnaie? De la compétence de la BCE.

    La politique commerciale? De la compétence de la Commission européenne. L’immigration? C’est l’affaire des juges.

    Les frontières? Ce ne sont plus que des passoires.

    La défense? C’est l’OTAN qui décide.

    L’économie et la finance? Elles sont dérégulées.

    Et tout à l’avenant.

    Pendant que nos parlementaires font mine de voter les lois, alors que pour l’essentiel ils transcrivent des directives de l’UE et qu’ils ne peuvent voter que ce que le Conseil constitutionnel et les juges, inamovibles et irresponsables politiquement, autorisent.

    Les prétendus "pouvoirs publics" n’ont plus de pouvoir.

    LE POUVOIR DE LA FICTION

    En réalité, ceux qui sont "au pouvoir" ne peuvent plus agir qu’à la marge: ils ne peuvent qu’aller dans le sens des orientations et de l’idéologie de l’UE. Ils peuvent accélérer (comme on le voit, par exemple, en matière "sociétale") ou freiner (beaucoup plus rarement), mais pas changer de direction. Sinon, ils seraient chassés du pouvoir et de ses avantages.

    C’est pourquoi également nos gouvernants sont devenus des perroquets communicants: de vrais moulins à paroles, tel Emmanuel Macron soliloquant pendant des heures lors du prétendu Grand Débat national de 2019, pour faire oublier qu’ils ne sont plus en mesure de faire quoi que ce soit de positif.

    C’est pourquoi aussi les présidences deviennent des "quinquennats pour rien": des quinquennats où il ne se produit rien de bon pour les Français.

    Mais ceux qui sont "dans l’opposition", hélas, trompent aussi: en faisant croire qu’une fois élus, ils feront entrer leurs belles promesses dans la réalité.

    Alors qu’à leur tour, ils subiront le même carcan idéologique et institutionnel de l’UE.

    Car, pour réaliser leurs programmes, il faudrait renverser la table, ce qu’ils ne semblent pas prêts à faire en réalité. Et s’ils promettaient de le faire, tout le Système se liguerait pour empêcher leur élection, comme on vient de le voir encore récemment en Roumanie.

    LA FIN PROGRAMMEE DE LA SOUVERAINETE POLITIQUE

    On a caché au peuple français que les transferts de souveraineté accomplis au profit de l’UE, imposés le plus souvent à la population par divers subterfuges comme le Traité de Lisbonne, ne nous rendaient pas "plus forts", comme le disait la propagande, mais qu’ils vidaient progressivement de son sens la politique dans les pays de la zone euro. C’est cela aussi, le Grand Secret.

    Et le projet de supprimer le droit de veto des États, porté par les européistes, détruirait complétement les fondements de toute souveraineté politique nationale, donc de toute démocratie.

    Tel est bien sûr "l’agenda" – comme ils disent – des artisans de cette "construction européenne" qui veut mettre fin au politique et donc à la souveraineté des peuples, pour imposer leur domination sans limite. Au nom de la vieille utopie de la rationalité et de l’administration des choses.

    UN GOUVERNEMENT DE SATRAPES

    Aujourd’hui, nos gouvernants ne sont plus que les satrapes d’un Système opaque, car il n’a même pas la qualité ni la présence d’une fédération ni d’un empire.

    On nous cache que nos gouvernants non seulement n’ont plus la volonté, mais surtout plus la capacité de faire ce que veut la population.

    Ni d’assurer sa prospérité et sa continuité. Ni de la protéger.

    Comme l’écrit significativement l’ancien commissaire divisionnaire Maurice Signolet dans son dernier essai: "La police ne peut plus rien pour vous".

    Mais ce constat s’applique de nos jours à presque tous les domaines de l’action publique.

    Nos satrapes ne sont là que pour assurer un certain ordre, pour empêcher toute révolte de la population et toute remise en cause de l’agenda mondialiste "européen".

    Pour "taper sur les Français" qui manifestent, comme Emmanuel Macron le fit lors du mouvement des Gilets jaunes ou lors des rassemblements contre la politique covidienne, contre la réforme des retraites ou contre la délinquance d’origine étrangère.

    Car le chaos ne gêne pas les satrapes s’il permet de sidérer encore plus la population, pour mieux la soumettre. C’est pourquoi cet ordre prend la forme d’une anarcho-tyrannie de plus en plus insupportable.

    UNE IDEE NEUVE: LE POUVOIR AU PEUPLE

    Mais bonne nouvelle: il devient de plus en plus difficile de préserver ce Grand Secret.

    Tout le monde voit désormais, en effet, les résultats de l’impuissance verbeuse de nos gouvernants: les usines qui ferment, la délinquance qui progresse, les services publics qui ne fonctionnent plus, l’immigration qui ne s’arrête pas, les dettes et les impôts qui augmentent, l’islamisation qui avance, les risques de guerre qui se multiplient…

    De plus en plus de Français voient que le roi est nu et qu’il ne dispose finalement que d’un pouvoir de nuisance. D’où l’image de plus en plus catastrophique de ces "dirigeants" qui ne dirigent rien.

    Et comme ce pouvoir n’est fort qu’avec les faibles, il est donc temps de montrer sa force.

    C’est pourquoi prendre le pouvoir pour redonner du pouvoir au pouvoir redevient progressivement une idée populaire et neuve en France.

    Michel Geoffroy

    https://www.polemia.com/

  • Il faut être idiot pour signer la pétition contre la loi Duplomb

    Ces dernières semaines, l’agriculture conventionnelle a subi une violente campagne de désinformation médiatique, dans la presse, à la télévision et sur les réseaux sociaux. Une manipulation de l’opinion publique scandaleuse, disons-le d’emblée, qu’il est nécessaire de dénoncer: car les faits scientifiques eux, ne mentent pas.

    La campagne, d’une rare virulence, vise l’irrigation des cultures et les retenues d’eau appelées "bassines", le glyphosate et la loi Duplomb adoptée récemment à l’Assemblée nationale.

    Celle-ci poserait un problème majeur de santé publique; en cause, la réintroduction dérogatoire de l’acétamipride, néonicotinoïde pourtant autorisé partout en Europe et dans le monde.

    Une pastèque, Marine Tondelier, secrétaire nationale d’Europe Ecologie Les Verts, parle de la loi "poison". Le 8 juillet, sur X, elle estimait que "tous les députés qui voteront pour la loi Duplomb voteront pour l’empoisonnement de vos enfants et la destruction de la biodiversité".

    SANS RIRE

    Une nouvelle étude au protocole bancal pour dénigrer le glyphosate

    Le 12 juin dernier, la presse relaye abondamment une nouvelle étude italienne qui démontrerait "qu’une exposition prolongée au glyphosate, dès la vie prénatale, entraîne une augmentation significative des cas de leucémies et de nombreux autres types de tumeurs".

    Le journal Charente Libre, qui ne rate pas une occasion de vilipender l’agriculture et la viticulture, estime que c’est un "scandale sanitaire en puissance" ignoré par les autorités sanitaires.

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Blog d'une Française de FRANCE: vive la laïcité, vive la FRANCE et la République Française!