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  • L’État de droit contre la démocratie et les libertés

    Le mythe de "l’État de droit" est devenu l’arme préférée de ceux qui entendent neutraliser la volonté populaire. Derrière cette formule en apparence rassurante se cache un appareil juridique et judiciaire au service du politiquement correct, de la censure idéologique et de l’élimination des oppositions non conformes, comme par exemple Pierre-Edouard Stérin, violemment attaqué depuis quelques mois.

    Sous couvert de garantir la légalité, les juges déforment les textes, interprètent la loi à rebours de son esprit, et criminalisent la dissidence. Les institutions prétendument impartiales se muent en instruments de répression contre les forces réellement alternatives.

    Ce texte de Jean-Yves Le Gallou, président de Polémia, se divise en deux volets. Le premier montre comment le droit électoral, autrefois outil démocratique, est devenu un piège bureaucratique destiné à verrouiller le système. Le second démonte le faux consensus autour de " l’État de droit ", cette imposture moderne qui érige l’arbitraire judiciaire en dogme intouchable. Il est temps de dénoncer cette supercherie. Il est temps de restaurer la primauté du politique sur le juridique.

    FINANCEMENT DES CAMPAGNES ELECTORALES: LE DROIT CONTRE LA DEMOCRATIE

        Une nouvelle ingérence de la justice politique

        La justice s’immisce à nouveau dans le processus électoral, cette fois en remettant en cause les prêts accordés par Pierre-Édouard Stérin. Il convient de replacer cela dans son contexte.

        Le cadre juridique d’origine (années 1990)

        Le financement des campagnes repose alors sur trois piliers:

        – Un plafond de dépenses;

        – Un remboursement public à hauteur de 50%;

        – L’obligation de centraliser toutes les opérations dans un compte de campagne.

        Un dispositif initialement simple et démocratique

        Les banques jouent le jeu. Certaines, comme la Société de banque et d’expansion, créent des prêts spécifiques, préfinançant la part remboursable sans autre garantie qu’une assurance mutualiste équivalente à 5% du prêt. Le système fonctionne d’autant mieux que la CNCCFP fait preuve de souplesse.

        Une dérive progressive dès les années 2000

        Les guides comptables s’épaississent (jusqu’à 150 pages) et deviennent incohérents. Les candidats doivent s’entourer d’experts. Les banques se montrent réticentes. Les juges s’en mêlent avec excès de zèle. L’accès au financement devient un parcours d’obstacles.

        Une dépolitisation du processus électoral

        La candidature devient une épreuve comptable, juridique et judiciaire. Plus un candidat est indépendant, moins il est toléré. C’est là l’objectif implicite: étouffer la pluralité sous la norme.

        Le droit s’érige contre la démocratie.

    "ÉTAT DE DROIT": LA GRANDE SUPERCHERIE LIBERTICIDE

        Une invocation systématique et abusive

        Toute surinterprétation de textes généraux par les juges, toute condamnation d’une personnalité dissidente est saluée mécaniquement par les tenants du politiquement correct. On invoque alors "l’État de droit".

        Une violation du principe fondamental de liberté

        Ce concept, présenté comme protecteur, piétine en réalité une règle cardinale: la loi pénale est d’interprétation stricte. C’est le fondement même de la sécurité juridique en matière de libertés.

        Une extension constante du champ pénal

        Concernant la liberté d’expression (lois Pleven et consorts, DSI, harcèlement), l’interprétation est systématiquement extensive, au mépris du principe de stricte légalité.

        Des règles appliquées arbitrairement

        Le financement de la vie politique subit le même traitement: interprétations extensives, appréciations fluctuantes, et rejet systématique du doute au détriment des mis en cause.

        Une dérive judiciaire dénoncée dès hier

        François Mitterrand l’avait pressenti: les juges menacent la démocratie.

        L’" État de droit ", dans sa version actuelle, n’est plus une garantie: il est devenu une arme liberticide. Il faut le nommer pour ce qu’il est: une supercherie.

    Jean-Yves Le Gallou

     

    https://www.polemia.com/

  • Largage programmé de la Nouvelle-Calédonie:

    les loyalistes ont capitulé

    Les Chinois, qui lorgnent sur ce territoire depuis des décennies, doivent saliver. Car c’est bien une séparation du couple France-Calédonie qui est actée, en attendant le divorce définitif que convoitent les Kanaks.

    Ceux qui doutent de l’intérêt stratégique de la Nouvelle-Calédonie et de l’enjeu qu’elle représente aussi bien pour les Occidentaux que pour les Chinois devraient parcourir ce lien. Par ailleurs, les richesses minérales et halieutiques sont toujours bonnes à prendre…

     

    https://www.areion24.news/2024/12/30/quand-la-chine-frappe-a-la-porte-de-la-nouvelle-caledonie/

     

    Après la débâcle de mai dernier, Manuel Valls peut aujourd’hui pavoiser. C’est vers l’indépendance que se dirige la Nouvelle-Calédonie, sous couvert d’un statut bidon et temporaire, qui fait de l’archipel un véritable Etat dans l’Etat avant le divorce définitif.

    La "souveraineté avec la France" initialement rejetée par les loyalistes s’est finalement transformée en une arnaque totale pour ces anti-indépendantistes qui ne voient rien venir et se font rouler dans la farine avec le sourire.

    Ces bisounours ont accepté que la Nouvelle-Calédonie devienne un Etat au sein de la République, avec la double nationalité française et calédonienne pour les citoyens de l’archipel. Si ce n’est pas un aller sans retour vers l’indépendance, qu’est-ce que c’est?

    Les trois référendums ayant rejeté l’indépendance ont été passés à la trappe (2018, 2020, 2021). Française depuis 1853, la Nouvelle-Calédonie ne le restera plus très longtemps. Les Kanaks réclameront le divorce définitif. Manipulés par certains pays, comme l’Azerbaïdjan, ils jouent la carte indépendantiste sans aucun état d’âme.

    Dans l’immédiat, une Loi fondamentale réglera les questions identitaires, comme le choix d’un drapeau, d’un hymne national et d’une devise.

    Mais ensuite, après un vote du Congrès en 2026, le nouvel Etat pourra obtenir le transfert de certaines compétences régaliennes, dans les domaines de la diplomatie, de la sécurité, de la justice ou de la monnaie.

    Et tout cela en restant dans le giron de la France, veulent se rassurer les loyalistes! Quelle naïveté!

    Il est clair que l’archipel bénéficiant d’une diplomatie indépendante, il sera aussitôt courtisé par Pékin. Ceux qui s’imaginent que ce statut bancal va s’éterniser au sein de la République sont de doux rêveurs. Les Chinois n’auront aucun mal à faire miroiter aux Kanaks les bienfaits d’une indépendance totale.

    Personnellement je ne partage pas l’enthousiasme de l’Elysée et de Matignon. Si les signataires du projet se réjouissent, le FLNKS ne s’est pas encore prononcé.

    Rien n’est réglé entre les communautés et c’est un territoire économiquement exsangue qui ressort des récentes émeutes meurtrières qui ont ravagé le pays. 14 morts et 2 milliards de dégâts, cela laisse une plaie béante qui n’est pas près de se refermer.

    Cet accord historique a des relents de grande braderie. Macron ne s’est jamais intéressé à l’outre-mer. Souvenez-vous de " l’île de Guyane et des expatriés de Guadeloupe ". Tout cela ne représente rien pour lui.

    En lâchant la Nouvelle-Calédonie, il faut donc s’attendre à un effet domino dans tous nos territoires ultramarins. Après le Pacifique, ce sera le tour de l’Océan Indien puis des Antilles. Toutes les coutures de la nation finiront par lâcher une à une.

    La France perdra son statut de deuxième puissance maritime du monde avec son immense zone économique exclusive. C’est l’abandon de l’outre-mer que l’Elysée et Matignon saluent comme un accord historique. Pas de quoi s’en féliciter.

    Avec ce projet irresponsable, on ne peut qu’espérer que les Caldoches ne connaîtront jamais le sort tragique des pieds-noirs d’Algérie ou des Boers d’Afrique du Sud.

    Jacques Guillemain

     

    Merci Macron: j'ai toujours appris que "la République est UNE et INDIVISIBLE!"

  • 14-Juillet: VIVE  LA  RÉPUBLIQUE  FRANÇAISE!

    VIVE  NOUS!

    La fête nationale française, également appelée 14 Juillet, est la fête nationale et un jour férié en France. Le terme peut s'écrire "14-Juillet" avec trait d'union: La majuscule, c’est capital! disent certains lexicologues…

     

    Elle est instituée par la loi Raspail du 6 juillet 1880 ("La République adopte le 14 Juillet comme jour de fête nationale annuelle"), qui ne mentionne pas quel événement est commémoré: la prise de la Bastille du 14 juillet 1789, symbole de la fin de la monarchie absolue, ou la Fête de la Fédération de 1790, symbole de l'union de la Nation et premier anniversaire de la prise de la Bastille; tous deux étant des symboles de la Révolution française.

     

    Un défilé militaire a lieu chaque 14 juillet sur les Champs-Élysées de Paris. Son départ a lieu généralement à 10 heures juste après le passage de la Patrouille de France et la revue des différents corps armés par le président de la République.

     

    Ces spectacles nocturnes prennent place autour de sites dégagés au sein des villes, comme des esplanades, des parcs ou des cours d'eau. Malgré leur coût parfois élevé, les feux d'artifice sont des spectacles très appréciés de la population. Le feu d'artifice peut être tiré la veille au soir (13 juillet).

     

    De nombreux bals sont organisés dans le pays, notamment des bals musette ou des bals des pompiers. Souvent, le bal a lieu le 13 juillet, veille de jour férié, ce qui permet d'aller travailler le 15 juillet tôt le matin.

     

    La promotion dite "du 14 Juillet" est l'une des deux promotions civiles annuelles dans l'Ordre national de la Légion d'honneur. Et comme certains présidents de la république se poussent du col, des tas de pignoufs étrangers y ont droit… ce qui revient à diminuer le courage et l'honneur des militaires et forces de l'ordre tombés pour la France!

     

    Certaines années, le président de la République accorde une grâce collective à l'occasion de la fête nationale, aux alentours du 14 juillet ce qui permet de "soulager"  les prisons et de remettre des raclures dans la nature.

    Vive la République Française, vive la France!

    VIVE NOUS!

  • Les fonds de pension étrangers dictent la politique énergétique de la France

    Depuis quelques années, des fonds de pension internationaux accentuent leur présence dans les énergies renouvelables en France. Par exemple, CPP Investments (Canada Pension Plan) a acquis 49 % des parts dans Éolien Maritime France, aux côtés d’Enbridge et EDF Renouvelables, finançant trois parcs éoliens offshore (Saint Nazaire, Fécamp, Courseulles sur Mer), pour un investissement initial de 80 M€, avec 120 M€ supplémentaires prévus, et potentiellement plus de 150 M€ de plus sur les projets suivants: cppinvestments.com+10cppinvestments.com+10offshorewind.biz+10.

    À Fécamp, le parc de 497 MW, dont CPP est copropriétaire, fournit de l’électricité à environ 770 000 personnes: cppinvestments.com.

    https://www.pwc.com/gx/en/issues/business-model

    https://www.reuters.com/business/finance/who-owns-frances-debt-why-it-matters-2024-06-26/?utm_source=chatgpt.com

    Ces montants ne sont pas anecdotiques: ce sont des investissements à long terme – avec des attentes de rentabilité via des tarifs garantis, souvent indexés sur des cadres réglementaires incitatifs.

    LES MÊMES FONDS DÉTIENNENT LA DETTE FRANÇAISE.

    Clé du système: ces grands investisseurs ne sont pas seulement actionnaires d’actifs renouvelables, ils sont également créanciers de la France. Environ 50 % de la dette publique française est détenue par des non-résidents, parmi lesquels se trouvent des fonds de pension, des assureurs et des hedge funds .

     

    https://www.reuters.com/business/finance/who-owns-frances-debt-why-it-matters-2024-06-26/?utm_source=chatgpt.com

     

    Banques non françaises, investisseurs institutionnels et hedge funds sont les plus gros porteurs. En période de volatilité politique ou économique, ces acteurs peuvent réduire fortement leurs avoirs, faisant grimper les taux d’intérêt exigés par le marché.

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  • Il n'est pas trop tard!

    "Pâques longtemps désirées. Sont en un jour tôt passées".

    Proverbe français