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  • Horrifiant et même désespérant sur la nature humaine

    Pendant presque dix ans, un ancien responsable RH de la Rue de Valois a administré à des candidates des diurétiques avant de les isoler jusqu’à ce qu’elles urinent devant lui. Il consignait ses "expériences" dans un fichier Excel. Finalement attrapé pour avoir photographié les jambes d’une sous-préfète, il a été mis en examen fin octobre.

    Au ministère de la Culture, les entretiens pervers d’un haut fonctionnaire

    "J’ai uriné par terre, quasiment à ses pieds. J’étais humiliée et honteuse": Claire (1) est l’une des dizaines de femmes ayant passé un entretien d’embauche au ministère de la Culture avec Christian N., haut fonctionnaire du ministère de la Culture. Comme toutes celles qui ont subi ses agissements et que Libération a retrouvées, une question la hante: "Comment a-t-il pu faire autant de victimes, sans jamais être découvert ?" Dans cette affaire, les chiffres donnent le vertige. Entre 2009 et 2018, plus de 200 femmes - selon une liste qu’il a rédigée lui-même - ont été photographiées et/ou intoxiquées aux diurétiques, à leur insu, au ministère de la Culture puis à la direction régionale des affaires culturelles (Drac) de la région Grand Est. Elles l’ont toutes été par l’ancien sous-directeur des politiques de ressources humaines au siège du ministère, situé rue de Valois, à Paris. Son but: les pousser à perdre le contrôle et à uriner devant lui.

    L’affaire éclate le 15 juin 2018 à la Drac Grand Est, où Christian N. est en poste depuis plus de deux ans. Lors d’une réunion avec le préfet et une sous-préfète de Moselle, il photographie discrètement les jambes de cette dernière sous la table, comme il l’a déjà fait des centaines de fois avec d’autres femmes. Un collègue le prend sur le vif et le dénonce à sa hiérarchie. Sur la base de l’article 40 du code pénal, qui oblige un fonctionnaire à dénoncer au procureur de la République un acte pénalement répréhensible dont il aurait connaissance, la justice est saisie. Christian N. n’est pas n’importe qui. Il est alors directeur régional adjoint de la Drac, après une longue carrière au siège du ministère, et un passage à la Direction générale de l’administration et de la fonction publique. Entre 2013 et 2015, il a même siégé au Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes.

    Contacté par téléphone, Christian N. a d’abord nié avant de finalement reconnaître avoir photographié et parfois intoxiqué les femmes qu’il rencontrait dans le cadre de sa vie professionnelle. Tout en minimisant la portée de ses actes. "J’aurais voulu qu’on m’arrête avant. C’était compulsif, mais il n’y avait pas chez moi une volonté d’empoisonner ces femmes. Je ne pensais pas que le diurétique pouvait causer des problèmes médicaux", dit-il à Libération. Pour preuve de sa bonne foi, il explique même avoir testé le médicament sur lui. Mais il estime à seulement "dix ou vingt" le nombre des femmes qu’il a intoxiquées et assure que cela n’a eu lieu que Rue de Valois.

    En octobre 2018, Christian N. a été suspendu de la fonction publique avant d’en être révoqué trois mois plus tard, en janvier 2019, date à laquelle une enquête a été ouverte par le parquet de Paris. Il y a quelques semaines, fin octobre, l’ex-fonctionnaire, qui affirme être suivi psychiatriquement, a été entendu sous le régime de la garde à vue, neuf mois après l’ouverture de l’enquête. Selon nos informations, Christian N. a été placé sous contrôle judiciaire et mis en examen des chefs d’"administration de substance nuisible, d’agression sexuelle par personne abusant de l’autorité conférée par sa fonction, d’atteinte à l’intimité de la vie privée par fixation d’image, de violence par une personne chargée de mission de service public et d’infractions à la législation sur les médicaments".

    Fichier Excel

    Retour en juin 2018. Convoqué par sa direction, Christian N. est mis à pied. Dans son bureau, les enquêteurs de l’administration font une découverte déterminante. Sur son ordinateur, ils trouvent un fichier Excel, intitulé "Expériences". C’est là que Christian N. consigne la liste d’une partie de ses victimes. Là aussi qu’il conserve des photos et, pour celles qui ont subi ses "expériences", il note leurs réactions aux diurétiques, l’heure de prise du médicament et l’endroit où se déclenche l’envie d’uriner.

     

    Cinq femmes ont accepté de raconter à Libération les circonstances de leur rencontre avec ce fonctionnaire. Le récit commence souvent de la même manière, par un entretien d’embauche. "J’ai candidaté en juillet 2012, directement via le site internet du ministère, et finalement, c’est Christian N. qui m’a rappelée", se souvient Claire, qui a alors 35 ans. Pour Anaïs (1), c’était en août 2013: "C’était mon premier vrai boulot. Je postulais pour un poste aux ressources humaines" du ministère de la Culture. Elise (1), de son côté, sera mise en relation avec le haut fonctionnaire grâce à un contact en interne qui lui transmet son CV directement pour augmenter les chances de la femme de 22 ans d’entrer au ministère: "Il m’a recontactée et on a eu un entretien en mars 2012." Il n’y a que le récit d’Alizée, 22 ans aussi à l’époque, qui diffère de ce modus operandi. Elle travaillait déjà au ministère lors de sa rencontre avec Christian N., qui l’a reçue à la fin de son apprentissage, neuf mois au cours desquels elle a travaillé Rue de Valois entre 2010 et 2011.

    "Au bord du malaise"

    Lorsque l’homme reçoit ces candidates dans son bureau, la manœuvre est toujours la même: il leur propose un thé ou un café, s’éclipse, et revient quelques minutes plus tard, boisson en main. Entre-temps, à l’abri des regards, il a glissé une dose de diurétique, du Furosémide. Certaines victimes remarquent alors que l’homme a un comportement étrange: "Il donnait l’impression de jouer avec son téléphone, sur ses genoux." En réalité, Christian N. prend des photos sous son bureau. Après une brève discussion, il propose aux candidates de sortir visiter le quartier, en plein centre de Paris. Cap sur le Louvre, la place des Victoires, les Tuileries… Pour travailler au ministère de la Culture, il faut se familiariser avec le patrimoine. C’est alors le début d’un chemin de croix qui pour certaines durera plus de trois heures. Car le diurétique commence à agir et le plan est bien rodé: Christian N. va choisir un itinéraire permettant d’isoler ses victimes et de les éloigner des cafés ou des musées où elles pourraient trouver des toilettes. "Au bout d’un moment, l’envie est trop forte, je lui demande une pause technique", se souvient Karine (1). L’homme oriente leur déambulation vers les quais de Seine. "Je sentais mon ventre gonfler, j’étais au bord du malaise. Sous un pont, j’ai baissé mon pantalon et ma culotte, et j’ai uriné. Pendant ce temps, il tenait son manteau devant moi pour me cacher et regardait mon visage." Dans le tableau Excel, Christian N. relate l’"expérience" subie par Karine à son insu et note: "Elle commence à baisser collants et culotte (noire). […] Elle s’accroupit et lâche un jet très fort et très long." La jeune femme lui explique être au bord du malaise. Lors de son entretien dans les rues de Paris, Elise se souvient aussi de cette "envie fulgurante d’uriner". "Je lui dis clairement que je ne me sens pas bien. Je m’écroule de douleur. Des gens se sont agglutinés autour de nous, raconte Elise. Il a dit aux passants qu’il était DRH au ministère, puis m’a proposé d’uriner derrière un baraquement de chantier et de me cacher avec sa veste. J’ai refusé." Elle attendra leur retour au ministère pour utiliser les toilettes de l’accueil. On est loin d’une fixette lunatique et indolore, les conséquences sont réelles et graves: Elise sera hospitalisée pendant quatre jours après ce rendez-vous pour une infection urinaire "à la limite de la péritonite". Pour une autre victime, cela aurait pu être encore pire puisqu’elle suivait un traitement médical hautement incompatible avec la prise de diurétique.

    "J’avais tellement honte"

    En juin 2011, Alizée termine un contrat en alternance de neuf mois au ministère de la Culture, quand Christian N., avec qui elle n’a jamais travaillé, demande à la rencontrer pour faire "un bilan de [ses] missions avant de quitter le ministère". La demande est étonnante puisque ce n’est pas lui mais Alain Triolle, son supérieur hiérarchique à l’époque, qui l’a recrutée. Alizée se souvient: un café, une discussion d’une heure, une douleur terrible au bas-ventre et l’envie soudaine d’uriner. Christian N. "sourit", raconte-t-elle, et prend la jeune femme "par l’épaule" pour l’accompagner aux toilettes. "Pendant que j’y étais, il se tenait de l’autre côté de la porte comme pour tout écouter. Quand je suis sortie, il m’attendait tout souriant", raconte-t-elle aujourd’hui.

    En août 2013, Anaïs a uriné une première fois sur les quais de Seine après une heure et demie de marche dans Paris. "Il se tenait face à moi, c’était très humiliant", se rappelle-t-elle. Puis au ministère: "Je lui ai dit qu’il fallait que j’aille aux toilettes en urgence. Arrivée dans la cabine, je n’ai pas eu le temps de baisser mon pantalon, je me suis uriné dessus." De retour dans son bureau, Christian N. lui propose d’enlever son pantalon pour le faire sécher à la fenêtre, sur les grilles en fer forgé si caractéristiques du bâtiment. "Je me suis retrouvée en sous-vêtements dans son bureau. Il ne m’a rien proposé pour me couvrir. J’ai attendu une vingtaine de minutes et puis j’ai récupéré mes vêtements et je suis partie. J’avais tellement honte que je n’ai osé en parler à personne." Elle travaillera ensuite au ministère, sans jamais croiser Christian N.

    Pour toutes les victimes que nous avons interrogées, le traumatisme est fort. "Ça m’a bloquée pendant très longtemps, j’ai perdu confiance en moi", explique Karine. Le souvenir de ce "rendez-vous raté" ne quittera pas non plus Elise: "Il n’y a pas une fois lors d’un entretien où je n’y ai pas pensé. Je pensais que c’était de ma faute." Claire est encore choquée par ce qu’elle a découvert dans le tableau Excel, dont la police lui a lu des extraits. Une description clinique et glaçante des faits: "Il avait noté: "Heure de début 9 heures. Heure de manifestation 9 h 55. Heure de la demande 10 heures. Heure de libération 10 h 10. […] Elle baisse son pantalon avant même que je la protège. Divers: elle urine assez longtemps. Je lui propose un papier. Elle s’essuie debout juste devant moi.""

    Comment Christian N. a-t-il pu agir aussi longtemps et faire autant de victimes sans être inquiété dans une administration publique aussi prestigieuse ? Pour Anaïs et Alizée, la question est d’autant plus pesante qu’elles ont toutes les deux travaillé au ministère, où on les avait averties que ce haut fonctionnaire pouvait poser problème. "On m’avait dit que c’était un dragueur et un coureur. Visiblement, l’histoire des photos, ça se savait", se remémore Anaïs. Alizée a été prévenue de façon beaucoup plus directe: "Tout le monde m’a demandé si j’avais déjà rencontré "le photographe". On m’a dit qu’il prenait en photo les jambes des femmes à leur insu à la cantine. On m’a dit de m’en méfier car c’était un vrai pervers."

    "En mode photo"

    Sous couvert d’anonymat, Thierry (1), employé de longue date du ministère, confirme le témoignage d’Alizée, expliquant avoir été témoin direct de l’une de ces scènes. "Lors d’une réunion en 2009 ou 2010, il jouait avec son téléphone sur ses genoux. C’est là que j’ai vu que l’appareil était en mode photo. En face de lui était assise une femme en jupe, raconte Thierry. A partir de cet épisode, tout le service le surnommait "le photographe"." Liliane (1), une de ses collègues qui tient aussi à rester anonyme, s’étonne que les supérieurs de Christian N. ne se soient pas alarmés de ses déambulations: "Emmener les candidats à l’extérieur, ça ne se fait jamais ! On ne fait jamais un entretien dans ces conditions !" Pourquoi, alors, personne n’a tiré la sonnette d’alarme au sein de l’administration? "Normalement, c’est auprès de lui qui était DRH qu’il aurait fallu se plaindre. Du coup, on ne pouvait pas", résume Liliane.

    D’autres éléments auraient dû alerter la direction. En 2016, l’une des victimes, Marie (1), a envoyé deux courriers, que Libération a pu consulter, pour se plaindre du comportement de Christian N. Ils sont adressés à deux ministres qui se sont succédé Rue de Valois, Fleur Pellerin et Audrey Azoulay. A l’époque, elle ne sait pas que Christian N. lui a administré des diurétiques, mais elle dénonce la "situation à caractère sexuel et humiliant" à laquelle elle a été soumise. Elle se plaint de son "comportement voyeuriste et pervers": "J’ai agi à l’encontre de ma volonté. […] Je le suppliai presque de partir, d’aller le plus loin possible. Monsieur N. demeura malgré tout à moins d’un mètre de moi. […] Mon urine frôlait ses chaussures. Il se retourna alors que j’étais encore en train de faire, il me regarda ostensiblement, me tendit un mouchoir", écrit-elle dans sa lettre. Marie raconte enfin que Christian N. a conclu l’entretien en l’embrassant sur la joue. Ces courriers sont-ils arrivés à bon port, sur le bureau des deux ministres? Contactées, ni Fleur Pellerin ni Audrey Azoulay n’ont donné suite. Deux autres ministres de la Culture interrogées par Libération ont expliqué ne pas avoir eu connaissance des agissements de Christian N. lors de leur passage Rue de Valois.

    En 2016 toujours, Valérie (1) alerte la médecine du travail pour signaler le comportement suspect de Christian N. C’est elle qui avait obtenu à Elise son entretien d’embauche. Lorsque la jeune femme lui raconte comment s’est déroulée la rencontre, elle décide de dénoncer les faits en interne. "Je leur ai expliqué qu’une jeune femme avait passé un entretien qui s’était très mal passé, et qu’il avait eu un comportement déplacé. J’ai notamment raconté qu’il lui avait proposé d’uriner sur la voie publique, devant lui, ce que je trouvais absolument scandaleux." Selon Valérie et selon nos informations, aucune suite n’a été donnée à cette alerte. "Il faut que la police interroge la médecine du travail", suggère-t-elle aujourd’hui.

    "Quelqu’un de haut placé"

    A l’époque, la police, aussi, va refuser de s’intéresser à la situation. En 2015, Marie a tenté de porter plainte quelques semaines après son entretien avec Christian N. Sans savoir alors précisément quoi, la jeune femme est persuadée que quelque chose d’anormal s’est produit lors de la rencontre. Las. Dans un commissariat parisien, elle est éconduite: "Ils ne m’ont pas du tout prise au sérieux. Ils m’ont dit que c’était quelqu’un de haut placé et qu’on ne pouvait pas porter plainte comme ça." Cette situation perdurera même après la révélation de l’affaire. En mai dernier, le Canard enchaîné publie le témoignage d’une victime sous le titre: "Le parquet saisi d’une histoire à se pisser dessus". Choquées par cette formulation, plusieurs victimes se reconnaissent néanmoins dans les faits relatés par l’hebdomadaire et décident d’aller porter plainte. Claire a dû convaincre les policiers: "Ils minimisaient en disant que je n’allais pas porter plainte ou déposer une main courante pour avoir fait pipi. J’ai dû leur montrer l’article du Canard enchaîné pour qu’ils me reçoivent."

    Face à ces difficultés et à l’impossibilité d’obtenir le soutien du ministère, Alizée s’est tournée vers Marlène Schiappa. En juin, la jeune femme l’interpelle sur Twitter. Le compte de soutien à la secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes, "Avec_Marlene", lui répond. Derrière ce pseudo, il y a une conseillère du cabinet (2). Dans un échange de textos que Libération a pu consulter, cette dernière promet à Alizée de l’aider en la mettant en lien avec Agnès Saal, haute fonctionnaire chargée de l’égalité et de la diversité au ministère de la Culture. Contactée par Libération, la conseillère n’a pas donné suite. "Depuis, elle ne m’a jamais recontactée. J’ai relancé le cabinet de Marlène Schiappa début juillet, mais ils ne me répondent plus du tout, regrette Alizée. Moi, je suis suivie psychologiquement, mais pour toutes les autres victimes, on fait quoi ?"

     (1) Les prénoms ont été modifiés.

     (2) Son nom a été retiré à sa demande.

    https://www.liberation.fr

     

    Les sinistres de la culture non pas réagis: aussi perverses que les haut-fonctionnaires puisqu'elles en font partie!

    J'ai entendu en consultations les plaintes de personnes travaillant sous les ordres de ces gens-là dans divers ministères et même a l'administration du Ministère du Premier Ministre.

    Ce sont des pratiques, hélas, très courantes… et, comme à la préfecture de Police de Paris, on en parle en loucedé dans les services mais, personne n'a le courage de porter l'affaire à l'attention des responsables ni des médias…

    J'avais même envoyé un e-mail sur le site du Canard Enchaîné mais, ils ne m'ont jamais répondu…pourquoi? parce que j'ai dis que j'habitais à Toulouse? ils ont -donc- cru à une plaisanterie? (Mais, je dis toujours la vérité sur moi, quoi qu'il m'en coûte… je n'ai jamais su mentir pour les choses du quotidien).

    Comme on sait que les journalistes sont englués par le Milgram et le paradoxe de Simpson, on comprend vite que leur instinct gauchiasse prend le dessus sur leur charte de principes -enseigné dans leurs écoles- et leur professionnalisme, délités fortement au cours du temps.

    Les journalopes, ça bouffe à tous les rateliers de la gauchiasserie mais, surtout, ne pas leur dire qu'ils ne sont pas aussi sincère que la déontologie dont ils se réclament, sinon, ils vont vous tomber dessus et vous détruire socialement!

     

  • Salop….

    Décidément, ces raclu… ne seront jamais de JAMAIS comme nous!

    Le rappeur T.I emmène sa fille tous les ans chez le gynécologue pour vérifier qu’elle est toujours vierge

    Des révélations qui font frémir. Le rappeur T.I a expliqué qu’il s’assurait tous les ans de la virginité de sa fille de 18 ans.

    L’artiste, papa de six enfants, était interrogé par les deux animatrices du podcast "Ladies like Us" sur son style parental, en particulier avec ses filles.

    Alors qu’on lui demandait s’il avait abordé les questions liées à la sexualité avec elles, T.I a longuement évoqué son aînée, Deyjah Harris, actuellement en première année à l’université. "Non seulement nous avons eu cette conversation, mais nous avons aussi une visite annuelle chez le gynécologue pour vérifier son hymen", a-t-il ainsi déclaré, précisant qu’il l’accompagnait lors de ce rendez-vous.

    Et, tu lui fourre ta tête entre les cuisses?

    Une pratique mise en place après le 16e anniversaire de cette dernière.

    T.I a également expliqué que sa fille devait signer un document pour permettre au gynécologue de lui partager les résultats de l’examen de l’hymen de sa fille.

    Lors d’un de ces rendez-vous, le médecin avait expliqué à T.I que le sexe n’était pas l’unique cause de déchirure de l’hymen. Ce à quoi le rappeur d’Atlanta avait répondu que Deyjah Harris ne pratiquait ni équitation, ni cyclisme et globalement aucune autre activité sportive.

    Le retour du moyen-age!!!

    www.cnews.fr

     

     

  • Voleur! profiteur!

    ... et, en plus, il ment comme il respire!

    Argent public: Emmanuel Macron fait déraper les dépenses de l’Elysée

    Voitures, repas, ménage… comment Emmanuel Macron fait déraper les dépenses de l'Elysée

     […]

    En 2018, 89.669 euros supplémentaires ont été déboursés pour l’achat de nouvelles voitures.

     […]

    Autre poste de dépenses important : les frais alimentaires. La facture est cette fois plus élevée de 500.000 euros. Le palais présidentiel explique cette fois avoir dû organiser beaucoup plus de repas de travail…

     […]

    Concernant les frais de ménage, ils ont eux aussi explosé depuis l’arrivée de Macron à l’Élysée, note L’Obs.

     […]

    À cela s’ajoutent les travaux entrepris dans le Palais. La salle des fêtes en tête. Sa rénovation qui a duré cinq mois a pesé lourd dans les finances, en particulier la nouvelle moquette rouge et or qui a elle seule a coûté pas moins de 300.000 euros.

     […]

    Capital

  • S'il n'y a que cela pour te traumatiser….

    Tu sais pas ce que l'avenir te réserve, pauvre idiote!

    Bien sûr, tu va faire un procès.. le fric, c'est chic!

    Une végane "traumatisée à vie" par… un feuilleté à la saucisse

    Une jeune anglaise, Sharleen Ndungu, a fait sensation sur les réseaux sociaux et exige des excuses publiques.

    "Traumatisée à vie". Une Anglaise de 20 ans a fait sensation sur les réseaux sociaux, et notamment Twitter, après avoir croqué "accidentellement" dans une feuilleté à… la saucisse. Problème, Sharleen Ndungu est végane.

    La jeune femme a ainsi raconté sur les réseaux sociaux comment un employé de la chaîne de boulangerie britannique Greggs lui a servi par erreur ce fameux feuilleté à la viande alors qu’elle venait de demander la version végane.

    […]

    RMC

     

  • Combattre Zemmour, c’est se battre POUR la censure

    Mon vieux père, avant de disparaître, m’avait dit un jour que les Français finiraient par se déchirer à cause de l’immigration.

    Nous y sommes. Ce n’est pas encore la guerre civile annoncée par l’ex-premier flic de France, Gérard Collomb, mais la curée lancée contre Éric Zemmour est annonciatrice de lendemains tragiques. Ce qui se passe en France est gravissime.

    Nous assistons à une hystérie collective ahurissante, où les chiens de garde enragés de la pensée unique, qui chassent en meute l’écume aux lèvres, veulent la peau d’un des rares journalistes pour qui les mots "déontologie" et "éthique" ont encore un sens.

    Le "devoir d’informer", pour le journaliste et le "droit de savoir", pour le public, sont systématiquement bafoués, dès qu’il s’agit d’aborder l’immigration et l’islam. Vérité, rigueur, exactitude, intégrité, sont régulièrement passés à la trappe au nom du sacro-saint "vivre-ensemble", imposé par le pouvoir contre l’avis du peuple.

    Car rappelons que dans notre démocratie exemplaire, 66% des Français ne veulent plus d’immigration et jugent que l’islam est un obstacle à l’intégration.

    La furie anti-Zemmour est telle qu’on assiste à une incroyable lutte fratricide au sein de cette corporation, puisque les journalistes du Figaro en sont venus à réclamer la tête de leur illustre confrère! Hallucinant!

    C’est dire l’état de délabrement moral du pays et de cette presse totalement soumise à la pensée unique, qui part en croisade contre sa propre déontologie!

     

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    Combattre Zemmour, c’est combattre la vérité et la démocratie! C’est soutenir la dictature du politiquement correct, où la liberté d’expression n’a plus droit de cité. Combattre Zemmour, c’est se battre POUR  la censure!

    Quant aux juges qui s’arrogent le droit de décider de ce qu’on peut dire et ne pas dire, ils mettent en place une justice à deux vitesses, laxiste avec les minorités qui peuvent tout se permettre, mais intraitable avec les identitaires qui clament des vérités qui dérangent.

    C’est ainsi qu’on peut clamer "Pendez les Blancs" sans grand risque. Mais critiquer l’islam peut mener en correctionnelle, puisque cette religion devient de plus en plus protégée par un retour du délit de blasphème qui ne dit pas son nom.

    Par conséquent, dès lors que le parquet ouvre une enquête contre Éric Zemmour pour "injures publiques et provocation à la discrimination", il est clair que c’est à la fois la démocratie et la liberté d’expression qui sont menacées.

    C’est un délit d’opinion qu’on reproche à Zemmour, ce qui est un comble au pays qui se prétend encore le sanctuaire des droits de l’homme et des libertés !

    En diabolisant Zemmour, le pouvoir, la presse aux ordres et la justice, mènent un combat contre la "Vérité“ et donc contre le peuple.

    Ceux qui rêvent d’embastiller Zemmour ne comprennent pas qu’ils seront un jour à sa place, pour avoir simplement exprimé leur opinion.

    Mais quels sont donc ces propos intolérables qui ont ulcéré nos apôtres de la bien-pensance? Des insultes? Non. Des propos diffamatoires? Pas du tout.

    Mais le terrorisme intellectuel est devenu tel que la simple vérité, pour peu qu’elle dérange et conteste les bienfaits du "vivre-ensemble", doit être clouée au pilori par les gardes-chiourme de la pensée unique.

    "En France, comme dans toute l’Europe, tous nos problèmes sont aggravés – je ne dis pas "créés" mais"aggravés" – par l’immigration: école, logement, chômage, déficits sociaux, dette publique, ordre public, prisons, qualifications professionnelles, urgences aux hôpitaux, drogues; et tous nos problèmes aggravés par l’immigration sont aggravés par l’islam. C’est la double peine", a dit Zemmour.

    Où est la haine? Où est le racisme? Zemmour ne dit que des vérités.

    L’école? Faut-il rappeler le rapport Obin de 2004 sur la dramatique islamisation de l’école républicaine? Rapport aussitôt enterré par François Fillon?

    Faut-il rappeler ce cri de vérité de Luc Ferry: "Sans les 15% de quartiers pourris qu’il y a en France, nous serions classés numéro 1 au classement PISA"?

    Le logement? Faut-il rappeler que 2 millions de Français sont en attente d’un logement social alors que 15% du parc sont attribués à des étrangers ?

    Le chômage? Faut-il rappeler que le taux de chômage des immigrés extra-européens est de 19,3%  contre 8,5% au niveau national? Faut-il rappeler que ces mêmes immigrés sont deux fois moins diplômés que les Français? (Insee)

    Les déficits sociaux? Faut-il rappeler que la part de social dans les revenus d’un natif est de 4%, alors qu’elle est de 20% pour un Maghrébin et de 24% pour un Africain ? (Insee)

    Dette publique? Oui, l’immigration nous a ruinés. Elle est la cause essentielle de nos 2 400 milliards de dettes. Faut-il rappeler que plusieurs études, jamais démenties par le gouvernement, ont chiffré le coût de l’immigration au sens large à plus de 100 milliards par an? Faut-il rappeler que la contribution au PIB d’un immigré qui travaille est en moyenne deux fois moindre que celle d’un natif?

    Ordre public? Faut-il rappeler que la délinquance a été multipliée par 5 en 50 ans? Faut-il rappeler que les 2/3 des Français ne se sentent plus en sécurité nulle part avec plus de 1000 agressions gratuites par jour et plus de 100 000 viols par an?

    Prison? Faut-il rappeler les paroles de Jack Lang qui annonçait que les 2/3 des détenus étaient musulmans? Faut-il rappeler que  80% des délinquants sont d’origine immigrée selon les statistiques de la police? (DCPJ et DCSP)

    Qualifications professionnelles? Faut-il rappeler que 43% de nos immigrés ont un faible niveau d’éducation contre 24% chez les natifs? (source OCDE)

    Urgences? Faut-il rappeler la crise des urgences, saturées par les minorités?

    http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2019/02/dans-le-grand-debat-national.html

    Drogues? Faut-il rappeler que la Seine-Saint-Denis est la plaque tournante de la drogue avec Marseille?

    Oui, Zemmour a raison, l’immigration a tout aggravé.

    Mais venons-en au Grand Remplacement qui fait tant grincer des dents.

    Ce n’est peut-être pas un complot mais c’est bien une réalité incontestable.

    Avec une population de souche qui diminue compte tenu de son vieillissement et de son faible taux de fécondité, alors que la population immigrée augmente fortement, compte tenu de son fort taux de fécondité et des flux migratoires massifs, il y a bien un changement de population qui s’opère.

    Avec un taux de fécondité de 1,7 enfant par femme, la population de souche diminue de 15% par génération. Avec un taux de 3,4%, celle des immigrés augmente de 85%. Chiffres auxquels il faut ajouter l’immigration de masse annuelle.

    Nier le Grand Remplacement n’a pas de sens. On peut nier le complot, mais certainement pas la réalité des chiffres!

    Quant à l’islam, qui peut contester que nos banlieues sont soumises à la loi des caïds et des barbus? "La Kalach et la djellaba".

    Qui peut contester que 50% de nos jeunes musulmans, parfaitement manipulés par les islamistes, aspirent à la charia en rejetant la loi républicaine?

    Un commissaire de police rappelait récemment que le nombre de mini-califats explose dans les banlieues, échappant totalement à l’ordre républicain.

    Doit-on fermer les yeux quand un ex-ministre de l’Intérieur, l’homme le mieux renseigné de France sur la face cachée des cités, déclare: "Aujourd’hui on vit côte à côte… Je crains que demain on vive face à face"?

    Doit-on fermer les yeux sur la menace existentielle qui pèse sur la France, quand un président de la République avoue publiquement qu’on se dirige tout droit vers une partition du pays?

    Doit-on fermer les yeux sur les innombrables provocations, prières de rue, sur les abattages rituels qui ont gagné la moitié de nos abattoirs, sur le voile et le burkini  qui envahissent la sphère publique, sur les piscines prises d’assaut par des femmes voilées?

     

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    Doit-on nier les violences que subissent nos policiers, nos pompiers, nos enseignants, nos personnels soignants, de la part de minorités qui se comportent en terrain conquis parce que l’État a démissionné et donne systématiquement tort aux représentants de l’ordre et à ceux n’acceptent plus cette soumission permanente?

    Imagine-t-on des policiers américains se laisser griller dans leur voiture, sans oser se dégager avec leurs armes par peur de l’IGPN? C’est pourtant ce qu’on a vu en France, tant les politiques  et la justice se sont acharnés à priver les forces de l’ordre de toute autorité. L’ordre de laisser faire vient d’en haut.

    Ceux qui veulent la tête de Zemmour ont-ils oublié que l’islam a fait plus de 250 morts et plus de 1000 blessés depuis 2015?

    Tous ces Robespierre ne réalisent pas qu’ils sèment les germes de la guerre civile et de la destruction de la nation, en défendant l’indéfendable.

    Totalement anesthésiés, ils ne comprennent pas qu’ils détruisent l’avenir de leurs propres enfants, qui vont vivre l’enfer dans une France libanisée toujours plus violente.

    Mais quand donc vont-ils se réveiller? Combien de Zemmour faudra-t-il pour que ces illuminés du mondialisme et du multiculturalisme comprennent que l’immigration de masse va tout emporter?

    Oui, il y a bien une majorité de musulmans qui aspirent à vivre tranquillement, mais qu’attendent-ils pour combattre l’islam politique qui ne cesse de s’étendre sur le pays et de provoquer la République? On n’entend que les islamistes qui aspirent au jihad, attendant le jour où ils se sentiront suffisamment forts pour prendre le pouvoir.

    Pour ces derniers, les musulmans d’Europe n’ont pas vocation à s’intégrer. Et ils l’ont toujours dit.

    Rappelons une fois de plus les propos de Youssef al-Qaradawi, le maître à penser des Frères musulmans :

    "L’islam va retourner en Europe, comme un conquérant et un vainqueur, après en avoir été expulsé à deux reprises. Cette fois-ci, la conquête ne se fera pas par l’épée, mais par le prosélytisme et l’idéologie…"

    "Avec vos lois démocratiques, nous vous coloniserons ; avec nos lois coraniques, nous vous dominerons".

    Et que dire des propos tenus par l’ex-président du CCIF, Marwan Muhammad:

    "Qui a le droit de dire que la France, dans trente ou quarante ans ne sera pas un pays musulman? Qui a le droit? Personne dans ce pays n’a le droit de nous enlever ça. Personne n’a le droit de nous nier cet espoir-là. De nous nier le droit d’espérer dans une société globale fidèle à l’islam. Personne n’a le droit dans ce pays de définir pour nous ce qu’est l’identité française. "

    Voilà ce que nos bobos appellent une intégration réussie! Les intégristes nous contestent notre propre identité, mais tout va bien!

    Il est clair que pour bon nombre de musulmans qui n’ont jamais eu l’intention de s’intégrer et se foutent royalement d’un islam de France, le jihad a déjà commencé.

    D’abord silencieux, et ensuite, par la force. Le côte-à-côte avant le face-à-face. Tel est l’objectif de l’islam politique que Macron et nos élites refusent de regarder en face.

    La conclusion de tout cela est que ceux qui font aujourd’hui  le procès de Zemmour, trahissent nos ancêtres, bradent notre héritage culturel et se comportent en dictateurs ignorant la volonté du peuple.

    Jamais de Gaulle n’aurait accepté une telle capitulation de nos élites.

    "Quoi qu’il arrive, la flamme de la résistance française ne doit pas s’éteindre et ne s’éteindra pas. "Jamais le peuple français n’acceptera de disparaître pour le bon vouloir de ses élites.

    Jacques Guillemain

    Ex-officier de l’armée de l’air. Pilote de ligne retraité.

    https://ripostelaique.com/combattre-zemmour-cest-se-battre-pour-la-censure.html

     

  • La propagande

    On sait, en effet, que la propagande totalitaire n’a pas besoin de convaincre pour réussir et même que ce n’est pas là son but. Le but de la propagande est de produire le découragement des esprits, de persuader chacun de son impuissance à rétablir la vérité autour de soi et de l’inutilité de toute tentative de s’opposer à la diffusion du mensonge.

    Le but de la propagande est d’obtenir des individus qu’ils renoncent à la contredire, qu’ils n’y songent même plus. Cet intéressant résultat, l’abasourdissement médiatique l’obtient très naturellement par le moyen de ses mensonges incohérents, péremptoires et changeants, de ses révélations fracassantes et sans suite, de sa confusion bruyante de tous les instants.

    Cependant, si chacun, là où il se trouve, avec ses moyens et en temps utile, s’appliquait à faire valoir les droits de la vérité en dénonçant ce qu’il sait être une falsification, sans doute l’air du temps serait-il un peu plus respirable.”

    [Encyclopédie des Nuisances, George Orwell devant ses calomniateurs, Quelques observations.]