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fille - Page 50

  • un robot déguisé en bébé manchot

    Pas facile d'étudier la faune sauvage lorsqu'on est un balourd bipède harnaché de tout un tas d'appareils de mesure. Fort heureusement, les scientifiques sont des gens à la fois astucieux et dévoués. Prêts notamment à se déguiser, eux ou leurs appareils, pour approcher leur objet d'étude.

    Wired relaie ainsi l'invention ingénieuse d'un Français, Yvon Le Maho, spécialiste des manchots qui vit entre Strasbourg, Brest et l'Antarctique, comme le résumait ce portrait de 1997 de Libération. Pour étudier une colonie de manchots royaux, lui et son équipe ont récemment utilisé un robot... déguisé en bébé manchot! Recouvert d'un douvet tout doux, l'engin a moins effrayé les oiseaux qu'un robot présenté tel quel, écrit Cnet, en fibre de verre. Et a même pu approcher une «crèche», comme l'appellent les chercheurs, de bébés manchots!

    Dans un article publié dans le magazine Nature, Yvon Le Maho et son équipe racontent cette expérience, ainsi que les différentes réactions des manchots face aux robots. Pour les mesurer, les scientifiques avaient au préalable placé sur 34 de ces oiseaux un moniteur cardiaque dont les robots pouvaient capter le signal à distance, via une antenne RFID.

    A noter tout de même: si le robot nu a davantage effrayé la colonie, il reste moins perturbant qu'un humain:

     

    «[...] Le rythme cardiaque des oiseaux a moins augmenté et est retourné à la normale plus rapidement que lorsque la même tâche avait été effectuée par un humain avec un lecteur manuel», résume Wired.

    La même expérience a été menée auprès d'élephants de mer, qui n'ont visiblement pas bronché à l'approche du robot, même non camouflé, alors même «qu'ils réagissent fortement quand les humains [les] approchent», expliquent les chercheurs, cités par Wired (voir vidéo 3 sur Nature).

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    Ce n'est évidemment pas la première fois qu'une équipe tente de faire oublier sa présence sur un terrain d'observation grâce à l'astuce du camouflage. Nous avons tous en tête ces extraordinaires clichés d'employés du China Research and Conservation Center for the Giant Panda, déguisés en panda dans le but «de réduire le stress de l'animal et l'attachement aux humains», à en croire Andrea Muller de Pandas International, un organisme américain qui soutien le Centre chinois, cité par National Geographic. Le dévouement de ces employés irait même jusqu'au fait de s'asperger d'urine et de caca de pandas, poursuit le site.

    Moins extrême, National Geographic évoque également ces scientifiques qui se sont recouverts d'une couverture blanche pour voir si la pelisse pâle de l'ours Kermode (une espèce rare) lui permettait de mieux pêcher (apparemment oui); de ces observateurs qui placent un gant ressemblant à une grue; de tous ces robots qui ont un jour imité un crocodile ou un rocher.

     

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    Celle-ci n'a rien à voir avec ci-dessus: elle traînait dans mon ordi

     

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  • Dans la série: no futur.....

     

    cette vidéo a été réalisée en 2008

  • Accessibilité & handicap visuel : voici Qr Code Access.

    Qr Code Access est une solution innovante pour rendre accessible, grâce au Web, des informations et des contenus pour les personnes atteintes de déficience visuelle.

    Dans un souci d’assurer un accueil dans l’esprit de la loi 2005, QR Code Access propose de rendre accessible des informations pratiques à l’aide de page web conforme aux critères demandé par le W3C.

    Ces pages sont donc valides et codées en HTML5,WAI ARIA,CSS3 et utilise du javascript.

    QR code Access a utilisé également le RWD, Responsive Web Design, afin de permettre à l’affichage de s’adapter aux terminaux utilisés: smartphones, tablettes ou PC. Il est donc spécialement adaptée à l’ utilisation en mobilité.

    Une fois la page créée, Qr Code Access génère le QR Code associé.

    Ce QR Code peut être flashé et utilisé par tous, dès lors qu’il est visible au travers de: cartes de visite, supports publicitaires, publications commerciales, et bien sur, sur les lieux même.

    A l’aide d’un stickers possédant un repère en relief braille autour du QR Code, une personne déficiente visuelle peut flasher le code en toute autonomie, il suffit de lui placer entre les mains le code, et elle pourra accéder sur place à des informations pratiques qui seront lues par la synthèse vocale pré-installée dans le terminal mobile: par exemple au restaurant, elle accédera au menu du restaurant. Dans un festival, elle pourra accéder à un programme adapté. Les possibilités sont très nombreuses, et peuvent varier du menu de fast-food à la fiche immobilière accessible.

    QR Code Access a été pensé et réfléchi pour l’interaction avec des terminaux tactiles sous Talkback ou Voice Over, mais il fonctionne aussi avec NVDA et Jaws sur PC. De plus en plus de personnes déficientes visuelles se tournent vers l’apprentissage des terminaux tactiles et utilisent régulièrement un smartphone. Un smartphone se révèle être un très bon auxiliaire au quotidien: avec un iPhone ou un smartphone Android, un non voyant peut accéder à internet, suivre ses mails, lire la presse, utiliser des accessoires, des applications et même quelques jeux, scanner des produits,reconnaître des objets. C’est une révolution pour leur autonomie.

    Seule une très petite minorité des sites web mettent à disposition les normes d’accessibilité, et il faudra plusieurs années avant que ce faible pourcentage ne change significativement, dans ce contexte, QR Code Access propose une solution simple et facile à mettre en place, mais aussi économique et qui permet une présence sur le Web tout en assurant un accueil accessible.

    Il s’adresse aux commerçants, hôteliers, restaurateurs, structures culturelles, touristiques ou sportives, tous ceux qui reçoivent du public de manière permanente ou dans un cadre événementiel. Ce système est l’objet actuellement d’une campagne de financement participatif sur la plateforme de crowfunding KissKissBankBank. Cette campagne servira entre autres à financer l’achat de licences logicielles pour assurer certains développements et implémentations complémentaires, des nouveaux thèmes, mais aussi de terminaux pour mener tests et démonstrations.

    Comment la personne déficiente visuelle trouve-t-elle le QR Code?

    Sur place, nous proposons le stickers pour signaler le système, et permettre à toutes les personnes qui sont à proximité, de pouvoir flasher le QR Code: c'est le principe de l'universel.

    Pour la personne déficiente visuelle: lorsqu'elle arrive par exemple au restaurant, le serveur lui remet la carte et lui indique tout simplement ou se trouve le QR Code: "en bas de la page, à droite". De là, la personne peut aisément flasher le QR Code et devient libre de choisir tranquillement ses plats comme tout autre client.

    Vous pouvez soutenir QR Code Access en participant et en relayant le lien vers sa campagne de crowfunding auprès de vos contacts.

    Vous pouvez visualiser des exemples de page sur le site web de QR Code Access.

    http://www.kisskissbankbank.com/qr-code-access

    https://www.qr-code-access.fr

    Contact : postmaster@qr-code-access.fr

     

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  • La voiture volante est prête à décoller

     

    Un prototype avancé de voiture volante a été présenté mercredi à Vienne. L'AeroMobil 3.0 est destinée au grand public.

    Il s'agit du prototype de voiture volante le plus avancé du monde. Son nom: AeroMobil 3.0. Avec son cockpit de voiture de course et ses airs de libellule, le "Flying Roadster" peut rouler à 160 km/h et voler à 200 km/h.

    Ce véhicule a été présenté mercredi 29 octobre au Pioneers festival de Vienne. Selon le Guardian, cette voiture peut être garée dans n'importe quel parking et être approvisionnée dans une station essence classique.

    Moyen de transport régulier

    Doté d'ailes rétractables, l'engin a toutefois besoin d'une piste de 200 mètres de long pour décoller et de 50 mètres pour atterrir. "Même les voiture volantes peuvent être coincées dans les bouchons", rapporte le quotidien britannique.

    Stefan Klein, le designer en chef d'AeroMobil et Juraj Vaculik, le directeur de l'entreprise, sont convaincus qu'il ne s'agit pas seulement d'un gadget. Selon eux, il s'agit "d'une innovation qui pourrait changer le transport personnel à l'échelle mondiale".

    Pour ses concepteurs, cette voiture volante pourrait devenir un moyen de déplacement régulier pour les moyennes distances. Le "Flying Roadster" pourrait notamment être particulièrement utilisé dans les pays en voie de développement où les routes sont mauvaises.

    AeroMobile reste pour l'instant vague sur la commercialisation de sa voiture ailée. Les concepteurs ont encore des tests à effectuer avant d’offrir leur appareil au grand public.

     

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  • Quelle imprimante 3D choisir en 2015 ?

    L’impression 3D promet beaucoup et quiconque s’y intéresse se rend compte de l’énorme potentiel de cette technologie.

    Par Yoan de Hautcastel.

     Selon l’analyse Wohlers, le marché de l’impression 3D semble marquer le pas après trois ans de croissance exponentielle. 2014 confirme cette tendance mais nous éclaire sur une évolution surprenante : contrairement à l’attente des analystes, c’est l’entrée de gamme, qui subit cette désaffection.

    Or l’industrie, américaine et chinoise essentiellement, a investi massivement dans le lowcost en 2014 afin de proposer du makerbot mais moins cher. Des machines carrossées et plus simples à utiliser. Ainsi, A4 technologie, gros revendeur français mise beaucoup sur sa 3D UP BOX, vendue tout de même presque 1800€ (prix de lancement).

     

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     Les freins à l’adoption massive de l’impression 3D dans les foyers sont la complexité et le prix. C’est ce que toutes les études successives martelaient. Alors que l’industrie semble répondre aux attentes des consommateurs, quelles sont les raisons de ce repli ? Pourquoi ce marché potentiellement énorme marque-t-il le pas ?

    Selon Henri Queuille, les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent. L’impression 3D promet beaucoup et quiconque s’y intéresse se rend compte de l’énorme potentiel de cette technologie. Cependant il faut se rendre à l’évidence : malgré d’indéniables progrès, les machines d’entrée de gammes restent onéreuses et totalement inefficaces. Tout au plus, le particulier qui cède à la tentation pourra reproduire sans trop de peine, la crotte que le geek têtu aura eu tant de mal à imprimer avec son modèle d’imprimante Open Source.

     

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    Avec de l’entrée de gamme, il faut s’accrocher pour imprimer un objet…

    Avec un brin de mauvaise volonté, un journaliste du Temps, quotidien Suisse, témoigne des difficultés pour un débutant, d’imprimer en 3D avec une imprimante 3D vendue en grande surface. L’article relate une bonne partie des difficultés que rencontre tout débutant. Il n’y a rien de faux hormis la concentration des problèmes réunis au sein d’une seule expérience. Un brin exagéré certes mais pas délirant. Que d’effort, de temps et d’argent pour un buste de Yoda ou, en l’occurrence d’une figurine d’hippopotame…

    Les différentes études omettent toutes d’interroger les primo acheteurs ; pas les curieux qui suivent les tendances mais ceux qui ont pris conscience du potentiel et des contraintes techniques nécessaires pour le réaliser. En d’autres termes pour réaliser des impressions 3D satisfaisantes et utiles, il faut démultiplier son budget. L’impression 3D n’est pas prête à partir à l’assaut des particuliers mais elle débarque en force dans l’entreprise.

    Une fois de plus, l’innovation de vient pas des leaders mais de startups et aujourd’hui, les deux machines qui sortent largement du lot sont l’ECV-One de chez E-Crew Vis, jeune entreprise française dont les ventes explosent et la 3NTR A2 de chez 3NTR dont le site pourri ne reflète en aucune façon la qualité de leurs produits…

     

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    L’imprimante 3D 3NTR A2 de chez 3NTR

     

    l’ECV One dispose de deux extrudeurs et la 3NTR A2 en aligne trois. Indépendamment de celle qui a la plus grosse, notre choix se positionne en faveur de la machine de chez E-Crew Vis pour la passion et la compétence des jeunes français mais aussi pour certains détails qui font la différence comme le filtre à particules, bien utile quand on extrude de l’ABS, la facilité d’intervention et l’écran tactile, très intuitif. Cela dit, les deux imprimantes vous donneront entière satisfaction. Difficile, sinon impossible de rater une impression avec ces modèles.

    Bien entendu, le ticket d’entrée, bien que très raisonnable pour cette gamme de matériel, commence à 4500 euros hors taxe. Le prix, le poids et la taille rendent rédhibitoire leur accès au salon du particulier ou même dans un bureau. Cependant, si vous comptez créer votre entreprise ou étendre vos activités professionnelles à l’impression 3D, ces deux modèles sont incontournables.

    Cependant, n’existe-t’il pas malgré tout, une imprimante 3D de salon ou de bureau que je puisse m’offrir à Noël sans regretter mon achat ? Vais-je pouvoir imprimer autre chose qu’une crotte ayant vaguement l’aspect d’un buste de Yoda ?

     

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     Nous avions testé l’imprimante 3D Creatr de chez LeapFrog. Cette imprimante présente la caractéristique d’être très robuste et est présentée comme une imprimante 3D semi-professionnelle. Son tarif très raisonnable, surtout compte tenu de la qualité des matériaux et de sa finition irréprochable en font une championne potentielle. Néanmoins, la technologie de son lit d’impression est dépassée et l’adhérence du filament au plateau, fut-il du PLA, laisse à désirer.

     

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     Comme en 2014, la reine de l’entrée de gamme, reste l’Ultimaker 2, outre une bonne précision, cette imprimante offre tout ce que l’on est en droit d’attendre d’une telle machine

    consommable (filament) ouvert. Bannir toute technologie propriétaire

    logiciel ouvert

    connecteur réseau et/ou wifi

    précision

    fonctionnement silencieux

    robustesse

    vaste plateau d’impression

    réglages par défaut

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    Si la précision est votre priorité, alors la championne est la spiderbot dont l’originalité réside dans la liaison des bras articulés soutenant l’extrudeur: les rotules sont magnétiques. Elle évite ainsi les courroies ou les vis sans fin qui nécessitent parfois quelques réglages. C’est également cette particularité qui lui permet d’atteindre une précision hors du commun pour une machine de cette gamme.

     

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     Si, malgré toutes mes mises en garde, vous persistez dans votre désir d’apprendre et que votre choix se porte sur de l’Open Source, alors je ne saurais trop vous conseiller d’investir tant dans la machine que dans le service après vente. Tobeca, dont j’avais interviewé le dirigeant il y a quelque temps, s’impose: bonne machine couplé à un SAV qui ne vous laissera pas tomber.

     

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    https://www.contrepoints.org/2014/10/30/186439-quelle-imprimante-3d-choisir-en-2015

     

  • Les jeunes de chez moi!

    À Toulouse, étudiants et professeurs inventent le "campus du futur"

    Le nouveau campus de l’université Toulouse 3 devrait voir le jour en 2019. Sa conception se fait selon le principe du coworking, associant enseignants, chercheurs et élèves autour d’un projet innovant et écologique.

    L’Université Toulouse 3 Paul-Sabatier (UPS) lance son opération "neOCampus", qui prévoit d’ériger onze nouveaux bâtiments entre 2017 et 2019. Le campus s’étendra sur 56.000 m², soit près de 8 terrains de football. De nombreuses structures seront rénovées, ce qui entraînera en parallèle la destruction de bâtiments vétustes.

    Basé sur le "coworking", le projet réunit enseignants, chercheurs et élèves pour penser ce "campus du futur", écologique, numérique et mieux adapté aux handicapés. Les chercheurs collaborent à cette innovation au sein de huit laboratoires et au travers des thèses. Quant aux élèves de licence et master, ils conçoivent et réalisent des bancs, tables et autres meubles à travers leurs projets de stage.

    Même les élèves de l’IUP d’arts appliqués de Toulouse 2 - Jean-Jaurès ont été mis à contribution: ils travaillent actuellement sur le design, les fonctionnalités et l’agencement des salles de cours. De leur côté, les doctorants réfléchissent au pan écologique du projet. Plusieurs idées ont été lancées: l’amélioration de l’éclairage grâce à un réseau électrique basse tension, ou encore des réseaux de capteurs permettant de suivre la consommation énergétique des bâtiments.

    Une innovation écologique

     "L’université a toujours été très présente sur le développement durable, au niveau de la recherche comme pour la formation, où nous avons été les premiers à enseigner l’énergétique dans l’habitat", explique Bertrand Monthubert, président de Toulouse 3. L’établissement a logiquement à cœur de mettre en pratique ses enseignements: les bâtiments seront construits dans des matériaux isolants et à faible empreinte carbone. Quant à la consommation d’électricité, elle sera réduite par une distribution de chaleur optimisée. L’objectif est de réduire la consommation énergétique de 10% par an sur dix ans. Pour Bertrand Monthubert, "l’université doit être le premier lieu où l’on met en place les bâtiments du futur, ils sont des outils de recherche à part entière".

    Un campus intelligent…

    Le nouveau campus sera également intelligent: des capteurs identifieront les personnes entrant dans les salles de cours, le chauffage et l’éclairage s’adapteront à l’affluence et des services seront proposés aux usagers présentant, par exemple, un handicap. L’université devra alors mettre en place un système juridique afin de ne pas porter atteinte à la vie privée des étudiants, puisque le "campus intelligent" enregistrera de nombreuses informations.

    Le confort des étudiants est aussi une priorité. Des dispositifs seront ainsi installés dans l’université pour observer leur mode de vie et adapter le nouveau campus en conséquence: information en temps réel des places d’étude disponibles dans les bibliothèques, itinéraires adaptés aux handicaps, etc.

    … et numérique

    L’innovation se fera aussi sur le plan numérique. Une application mobile est en cours de développement et sera disponible pour les étudiants dès juin 2015. Elle comprendra notamment une carte interactive du campus, puisque celui-ci s’étendra sur plusieurs kilomètres! Une déclinaison est déjà envisagée pour les personnes handicapées: le logiciel leur indiquera, en fonction de leur position, un cheminement optimal et accessible vers leur point de destination. Une fonctionnalité devrait aussi permettre aux étudiants de calculer le temps d’attente au resto U, bien pratique pour les étudiants affamés!

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