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france - Page 32

  • Le folklore de Noël plus profond qu'on pense

    Roland Bonenfant, o.f.m.

    Texte tiré du site de Communications et Société, un organisme sans but lucratif voué à la promotion de la qualité, du sens critique et des valeurs éthiques et spirituelles dans le monde des communications, dans une perspective chrétienne. C'est une association autonome dont les membres sont des professionnels et des organismes impliqués en communication. Elle porte officiellement le nom d'"Organisation Communications et Société OCS inc" depuis 1999. Reproduit avec le consentement de Communications et Société

    Le but de ces pages est de dégager la signification "symbolique" de quelques coutumes de chez nous à propos de Noël, en les éclairant par l'histoire chrétienne. Disons tout de suite que le symbolisme est le mode d'expression le plus parfait des relations humaines. Les symboles suggèrent, en ne disant pas tout, mais en exprimant l'essentiel. Prenons l'exemple des fleurs offertes à quelqu'un: la personne qui les reçoit comprend l'essentiel du message, à savoir: qu'elle compte beaucoup aux yeux du donateur. Par un petit geste symbolique, une relation devenue quelconque, parfois chaotique, peut se vivifier ou se rétablir à partir d'un geste symbolique; cela se voit tous les jours. Il y a donc en puissance, dans ce que nous appelons le "folklore de Noël", des chemins qui conduisent à une meilleure compréhension du grand Mystère de la Nativité: Dieu invisible et caché, devenant "visible" ou plus visible grâce à des symboles. Dieu proche aussi, réellement proche!

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  • Il y avait une fois un quatrième Roi-Mage ...

    L'histoire ne le dit pas, mais l'histoire ne peut pas tout dire. Le quatrième Roi venait d'encore plus loin que les trois autres Rois. Il arrivait de l'extrémité des Gaules, autrement dit du bout du monde, d'un pays nommé Pelloc'hoaz. Plus loin que son royaume, il n'y avait plus que la mer, et quelques îles, où criaient des nuées de goélands, des îles où l'on disait que s'arrêtaient les âmes des défunts avant que les anges de Dieu ne les appellent pour le ciel.

    Or le Roi de Pelloc'hoaz ayant été averti en songe de la venue sur la terre du Roi des Rois, que le monde entier attendait, décida de se mettre aussitôt en route vers le lieu qu'une Etoile nouvelle, soudainement apparue, et d'une brillance sans pareille, lui montrerait. Le Roi choisit, pour l'offrir à l'Enfant-Dieu, trois perles rares, les plus précieuses de tous les trésors hérités de ses pères.

    L'une était semblable à la nacre rose. Elle avait l'éclat et la délicatesse de tons que l'on voit à la mer au lever du jour, devant Carantec et Callot, dans cette partie de la baie de Morlaix qui se nomme le Paradis. La perle était en forme de cœur et en elle palpitait tout ce qui fait la joie et la douleur du monde. C'était une perle vive, et, en l'offrant, le Roi de Pelloc'hoaz voulait offrir ce qu'il avait le plus à coeur, ses affections et ses soucis, ses bonheurs les plus intenses et ses souffrances les plus secrètes.

    La deuxième perle était de couleur verte. Comme les prairies de Trogriffon dans un matin de givre, ou le val de Bigodou, sous le soleil d'octobre. En elle se miraient la campagne et les fleurs, la vie animale et la douceur des choses. En l'apportant au Fils de dieu, le Roi voulait lui faire remise de toutes ses possessions terrestres, non seulement ses propres richesses, mais encore la création tout entière, ce que de son donjon surplombant les flots, il pouvait admirer à loisir. Le Roi se disait que si les remous de la mer sont si puissants, et si grandioses les couchers de soleil entre Kerrec-Hir et l'Ile de la Vierge, combien plus somptueux encore étaient les hauts-fonds où des poissons zébrés d'or et d'argent frétillaient entre les algues de soie vivante, battant comme bannières au vent parmi d'étincelants trésors oubliés. La perle aux irisations vertes chantait les splendeurs du monde visible et celles de l'invisible, et le Roi voulait la donner parce qu'en elle il restituait au Créateur amour pour amour.

    La troisième perle était blanche. Ou plutôt elle était transparence. Elle n'était pas la lumière, mais elle diffusait la lumière. En la regardant, on était éclairé. On voyait le chemin qu'il convenait de prendre, le conseil que l'on pouvait proposer, la solution que depuis longtemps l'on cherchait. Au moyen de cette perle, la vie devenait simple, les choses trouvaient leur place et les rapports entre les êtres, leur limpidité originelle. En la présentant au Nouveau-Né, le Roi désirait lui remettre toute sa sagesse, son intelligence et son esprit.

    Donc, serrant dans sa cassette ces trois perles uniques, le Roi de Pelloc'hoaz se mit en marche. Le voyage, vous le pensez bien, fut très, très long et, plus d'une fois, le cortège dût s'arrêter en chemin, à cause d'événements imprévisibles. Lorsqu'enfin il arriva dans le pays où l'étoile s'arrêta, le Roi perçut une étrange clameur qui s'élevait des villes et des villages. C'était comme un immense pleur que rien ne pouvait consoler. Le Roi en eut le cœur déchiré et il se demandait ce que cela pouvait être, lorsque l'un de ses hérauts vint lui dire qu'un ordre barbare, émanant d'Hérode, avait répandu la mort dans les maisons des Israélites, en massacrant tous les petits garçons de moins de deux ans. A peine le héraut avait-il achevé son effrayant récit, qu'une femme au visage décomposé par l'horreur, fit irruption dans la salle de l'auberge où le Roi s'était arrêté. Elle serrait sur son cœur un enfant aux yeux affolés et elle se disait poursuivie par les tueurs d'Hérode.

    En effet, à la porte , arrivèrent les mercenaires d'Hérode, des hommes à la face de bêtes, tenant des épées rougies par le sang. Ils poursuivaient la jeune mère et avaient ordre de mettre à mort le petit juif. Le Roi de Pelloc'hoaz leur fit face. Les brutes ne voulaient pas démordre: il leur fallait l'enfant. Alors le Roi se fit apporter sa cassette et il en sortit la perle rose. Si rare était sa beauté que les mercenaires aussitôt jugèrent qu'ils ne trouveraient pas au monde une occasion de ce prix et qu'ils pouvaient subir jusqu'à la fin les ordres d'Hérode sans recevoir jamais pareille récompense. Ils se saisirent de la perle et laissèrent leurs épées sur le seuil de l'auberge.

    Le Roi de Pellôc'hoaz poursuivit son chemin, espérant découvrir l'Enfant-Dieu. Comment s'y prit-il et pourquoi l'étoile cessa-t-elle de briller au-dessus de sa tête? Il ne comprit pas. Toujours est-il qu'une fois, entrant dans un village, il croisa un cortège insolite: une escouade de soldats emmenait un jeune homme, qui se débattait et criait. Derrière eux venait un groupe de personnes entourant une femme d'âge, sans doute la mère du prisonnier. L'homme qu'on emmenait, en effet, était son seul fils, et elle était veuve. Il avait commis un vol, en effet, car ils étaient pauvres, et n'avaient plus rien pour vivre. En comprenant cela, le Roi de Pelloc'hoaz fut ému, et, bien qu'il ne pût approuver le vol, il n'approuvait pas plus la brutalité des gardes qui emmenaient l'homme, et il leur demanda de laisser libre le voleur. Comme les soldats refusaient, le Roi leur proposa un grand prix pour rançon du prisonnier. Les soldats refusaient toujours. Alors le Roi ouvrit sa cassette et en sortit la perle aux tons verts. Les gardes, subjugués, évaluèrent sur-le-champ la fortune que représentait le joyau et acceptèrent de rendre le jeune homme à sa mère.

    Le Roi n'avait plus désormais à offrir au Fils de Dieu, que la seule perle blanche. Il chercha et chercha longtemps l'enfant pour lequel il avait quitté son château près de la mer, son pays fleuri de bruyère, posé au bout du monde, il chercha bien pendant trente ans, dans la région où l'étoile l'avait conduit.

    Un jour qu'il approchait de la Cité de Paix, il vit accourir à lui une toute jeune fille qui se jeta dans ses bras. Elle fuyait devant des hommes qui l'assaillaient de coups de pierre, car ils l'accusaient d'avoir trahi son père alors que ses parents, des gens très pieux, l'avaient promise en mariage à un riche vieillard de leur parenté. La jeune fille ne voulait pas mourir et elle suppliait le Roi de Pelloc'hoaz de lui sauver la vie. Le Roi eut beau présenter aux poursuivants toutes les raisons de ne pas frapper la jeune fille avant de s'être assuré que leurs dires étaient justes et non des accusations fausses portées par des jaloux, rien n'y fit. Les accusateurs étaient d'autant plus féroces qu'ils avaient la loi pour eux et que certains faisaient profession de justice. Alors le Roi de Pelloc'hoaz résolut de se défaire de la dernière perle ...

    Lorsqu'il la montra aux furieux, ceux-ci reculèrent, stupéfaits. Leurs yeux flambaient de convoitise devant la perle lumineuse que le Roi tenait entre ses doigts. "Allez!" leur dit-il, en leur remettant le trésor, tandis que la jeune fille, haletante, s'évanouissait entre ses bras.

    C'est à ce moment-là que le Roi entendit une rumeur qui provenait d'une ruelle au bas de la cité. C'était des cris, des vociférations, des sifflets, accompagnant la montée d'un condamné à mort que l'on traînait hors les murs de la ville pour le supplice de la croix. Le répugnant cortège approchait. Le Roi de Pelloc'hoaz vit l'homme que l'on menait à la mort. Et l'Homme tourna vers lui son visage, Il posa sur lui son regard. Et le Roi sut que c'était lui. C'était l'Enfant qu'il avait si longtemps cherché!... Voilà ce que les hommes en avaient fait!...

    Le Roi de Pelloc'hoaz ouvrit les mains: il n'avait plus rien, plus rien à offrir en échange de la vie du Fils de l'Homme. Il avait tout donné en route. Alors sur le visage indescriptible de Jésus, le Roi vit ses trois perles. Elles brillaient, intactes, plus riches et lumineuses que dans l'écrin de la cassette, et comme vibrantes, toutes les trois, de ce qu'il avait voulu apporter à l'Enfant. Il entendit une voix qui lui disait: "Va en paix, ton offrande, je l'ai bien reçue!".

    Le Roi de Pelloc'hoaz comprit que tout ce qu'il avait fait pour les hommes au long du chemin, c'était à Dieu qu'il l'avait fait.

    Dominique de Lafforest

     

  • La pauvre députée LREM qui ne peut pas s'acheter une porsche Cayenne...

    Alors comme ça, aimer les belles bagnoles dans ce pays, c'est légal mais c'est pas moral? C'est, en substance, le cri du cœur de Véronique Hammerer, députée LREM de Haute Gironde.

    Selon Sud Ouest, il y aurait "quelques oublis" dans la déclaration d'intérêts de cette parlementaire. Nos confrères et consœurs du quotidien régional ont donc contacté l'élue pour en savoir un peu plus, ce vendredi 22 décembre.

    Et, surprise, elle leur a parlé de sa passion des "belles bagnoles". Véronique Hammerer lance ainsi:

    J’ai acheté il y a quelques temps une Coccinelle, un vrai bijou. Mais je vais la revendre. On en a discuté avec des amis et des militants: une députée en décapotable, ce n’est pas possible…  Avec mon mari on aime les belles bagnoles. Il voulait justement remplacer son Santa Fe de 12 ans d’âge par une Porsche Cayenne, je lui ai dit de ne pas le faire, sinon j’entends déjà les réflexions, il y a aura toujours des gens malveillants. C’est terrible en même temps!

    C'est terrible.

    Décidément, les temps sont durs pour les députés de la majorité. Il y a les problèmes d'argent soulevés par une autre élue LREM expliquant être obligée de moins aller au restaurant et de manger plus de pâtes depuis qu'elle est au Palais Bourbon. Il y a ceux qui craignent de voir le nombre de divorces exploser, à cause de l'intensité du rythme de travail. Des complaintes qui en agacent d'autres, comme Gabriel Attal, futur porte-parole de La République en marche, qui martèle que les députés n'ont "pas le droit de se plaindre". Il va falloir le répéter, tous n'ont visiblement pas compris le message.

    http://lelab.europe1.fr/une-deputee-lrem-trouve-terrible-que-son-mari-ne-puisse-pas-acheter-une-porsche-cayenne-parce-quelle-entend-deja-les-reflexions-3528176

    Marre de ces "pleureuses" à cocarde officielle.... t'avais qu'a ne pas y aller, pauvre tache!

    Macrouille doit être vert de rage d'avoir autant d'illetré-es dans son parti: c'est la marche des crabes... la marche sur le côté!!!

    Moi, j'ai pas voté pour cézigue! on doit payer les 7% d'augmentation du gaz... mais, en voyant ces fantoches tirés par des ficelles, on finit par en rire, de nos augmentations, tellement ils font (et sont) les pitres... je croyais me reposer les mandibules après la piteuse sortie de présiflan mais je vois qu'on change les mêmes mais ça recommence!!!

     

     

     

     

  • 22 décembre 2017

    Encore une fois, Emmanuel Macron a rétropédalé suite à son rendez-vous hier avec les représentants des cultes religieux.

    On attendait du Président de la République une position ferme sur la montée sans précédent de l'islamisme: rien.

    On attendait du Président de la République des propositions pour endiguer le communautarisme islamique et son prosélytisme dévastateur chez les jeunes : rien.

    En revanche, il n'a pas manqué de stigmatiser la laïcité et ses défenseurs, jugeant que celle-ci se radicalisait...

    Monsieur Macron, combien de morts ces dernières années au nom de la laïcité en France? Aucun.

    Combien de morts au nom de l'islam politique en France? 250 !

    Une fois de plus, on s'aperçoit que les discours de façade de vos Ministres, et notamment de M. Blanquer, ne sont que des leurres pour couvrir votre relativisme, votre multiculturalisme forcené et votre bienveillance incompréhensible face à la montée de l'islam politique.

    En refusant de clairement nommer le péril islamiste, vous fuyez vos responsabilités, vous fuyez la défense de notre pays, de nos concitoyens et de nos valeurs.

    En cette de fin d'année, nous vous invitons à avoir une pensée pour les victimes de l'islamisme et leurs familles que vous avez délaissées par calcul politique.

    Lydia GUIROUS

     

  • Au fou!.... lachez les chiens!!!!

    Où se place le racisme tout de même....

    La planète antiraciste s’éloigne tous les jours un peu plus de la Terre. La dernière poussée vers les confins de la galaxie paranoïaque nous vient de Londres, où une université s’est vue accusée d’avoir parlé de "campus blanc" à propos de la neige prévue.

    Le père Noël en reste sans voix. Campus noir ? Bleu ? Violet ? Non. Il fallait dire: "campus recouvert de neige qui, cette année, n’est pas blanche ". Enfin, pas tout à fait… À bien y regarder, elle est, heu… Ah, zut, déjà des voitures passent, des piétons piétinent, et ce qui était immaculé est maintenant marronnasse, bouillasseux. Campus bouillasseux. Voilà. Ouf… L’antiraciste dérangé respire. Noël 2017 se déroulera dans la gadoue de ses pensées tordues.

    Mais le point culminant de ce conte pitoyable n’est point là. Il y a plus fort. Et là débute le vrai surréalisme de l’affaire, car l’université s’excuse ! Le timoré-préposé au compte Twitter de la fac précise que, la prochaine fois, ils veilleront à choisir d’autres mots… Prieront pour qu’il ne neige pas. Détourneront les nuages, diront que le campus est de toutes les couleurs… Mais comment ont-ils pu commettre la boulette consistant à décrire la réalité? La honte les envahit…

    http://www.bvoltaire.fr/alerte-rouge-neige-blanche-campus/

  • Comment se comportent les "chance pour la France"....

    L’athéisme, ce tabou du monde musulman: " Mon propre père a porté plainte contre moi " raconte un ex-musulman

    Bahous aimerait bien ne plus entendre parler de l’islam. Et même ne plus en parler du tout. Mais quoi qu’il fasse, quoi qu’il dise, cet homme de 33 ans, vendeur à Voiron (Isère), y est toujours ramené.

    Son athéisme intrigue, ou dérange, c’est selon. Lorsque l’on est issu, comme lui, d’une famille et d’une culture musulmane, le fait de ne pas croire en Dieu – et, surtout, de le dire – ouvre la voie à une vie d’incompréhensions, de renoncements, de ruptures.

    La discrétion s’impose encore davantage dans les pays à majorité musulmane, où ce renoncement, s’il est public, suscite des réactions beaucoup plus violentes: brimades, persécutions, agressions, voire assassinats. L’athéisme n’y est tout simplement pas concevable.

    Même s’il n’existe pas, en arabe, de mot spécifique pour dire l’athéisme (les termes utilisés – mulhid, murtad ou kafir – évoquent davantage l’hérésie ou l’apostasie et ont une connotation péjorative), l’athée est parfois vu comme plus dangereux, encore, que le terroriste islamiste.

    Selon le Rapport sur la liberté de conscience publié par l’Union internationale humaniste et éthique, une organisation fondée en 1952 à Amsterdam (Pays-Bas), l’athéisme, considéré comme un blasphème, une offense à la religion ou un trouble à l’ordre public, est pénalisé dans une trentaine de pays musulmans.

    Dans quatorze d’entre eux, comme l’Afghanistan, l’Iran, le Pakistan, le Qatar, l’Arabie saoudite ou encore le Yémen, la peine encourue est la mort, même si la plupart des pays ont renoncé à l’appliquer. Toutefois, la répression se poursuit. Un des cas les plus médiatisés a été celui du blogueur saoudien Raïf Badaoui, condamné en 2013 à mille coups de fouet et dix ans de prison. Malgré une mobilisation internationale demandant sa libération, il croupit toujours dans une cellule pour avoir osé critiquer l’islam. (…)

    La réaction des autorités, mais également des islamistes, ne s’est pas fait attendre. Certains prédicateurs n’hésitent pas à appeler à tuer les apostats. Au Bangladesh, ils ont été entendus: au moins six blogueurs et un éditeur ont été assassinés depuis 2015 en raison de leur athéisme. (…)

    Aucun pays à majorité musulmane n’est épargné par le phénomène. En Turquie, pays pourtant autrefois laïc, la situation s’est beaucoup dégradée depuis l’arrivée au pouvoir de Recep Tayyip Erdogan, et en particulier depuis la tentative de coup d’Etat du 15 juillet 2016: agressions contre des femmes à cause de leur tenue vestimentaire ou contre des personnes ne respectant pas le ramadan, remaniement des programmes scolaires pour y remplacer la théorie de l’évolution de Darwin ou les principes d’Atatürk par des cours de religion et le récit du putsch raté.

    Même la Tunisie, qui fait pourtant figure d’exception dans le monde musulman, est concernée. Des mouvements de "dé-jeûneurs", qui refusent ostensiblement de respecter le ramadan, s’y sont développés, ainsi qu’au Maroc et en Algérie. Mais toujours dans la peur. "On a quand même du mal à dire qu’on est athée en Tunisie aujourd’hui, regrette la réalisatrice Nadia El Fani. J’ai été considérée comme terroriste simplement parce que dans mon film, Ni Allah ni maître, je défendais la laïcité. " (…)

    Paroles d’ex-musulmans: " Mon propre père a porté plainte contre moi " #abos | par @angelinemontoya https://t.co/rRSVNPxX3I

    — Le Monde (@lemondefr) December 20, 2017

    Le Monde