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france - Page 48

  • Vi, je suis facho! la preuve? je suis brune!!!!

    Pour un journaliste de Marianne, ceux qui émettent des critiques à l’encontre de Sibeth Ndiaye sont des " fachos "

    Thomas Vampouille est " journaliste politique " à l’hebdomadaire de gauche Marianne.

    Sibeth Ndiaye est la conseillère en communication du président Emmanuel Macron.

    Les fachos jamais à court: après avoir pissé sur la mémoire de Simone Veil, ils s'en servent tranquillou pour vomir contre Sibeth Ndiaye

     

        — Thomas Vampouille (@tomvampouille) August 2, 2017

  • Mathieu Bock-Côté : « Le vivre-ensemble est une fraude grossière »

    Mathieu Bock-Côté voit dans un amendement adopté mardi dernier par l’Assemblée une étape supplémentaire vers un multiculturalisme d’inspiration nord-américaine funeste pour la liberté d’expression. Il nous met en garde contre une « dérive orwellienne » qu’il constate déjà dans son propre pays.

    LE FIGARO – Les députés LREM ont voté un amendement à l’article 1 du projet de loi de moralisation de la vie politique prévoyant une «peine complémentaire obligatoire d’inéligibilité» en cas de manquement à la probité. La probité impliquerait «les faits de discrimination, injure ou diffamation publique, provocation à la haine raciale, sexiste ou à raison de l’orientation sexuelle» précise l’amendement. Que cela vous inspire-t-il?

    Mathieu BOCK-CÔTÉ – Vous me permettrez et me pardonnerez d’être franc: j’en suis effaré. Et je pèse mes mots. Évidemment, tout le monde s’entend pour condamner le racisme, le sexisme ou l’homophobie. J’ajouterais que nos sociétés sont particulièrement tolérantes et ont beaucoup moins de choses à se reprocher qu’on veut bien le croire. Mais le problème apparait rapidement: c’est celui de la définition. À quoi réfèrent ces concepts? Nous sommes devant une tentative peut-être sans précédent d’exclure non seulement du champ de la légitimité politique, mais même de la simple légalité, des discours et des idées entrant en contradiction avec l’idéologie dominante. Il faut inscrire cet amendement dans un contexte plus large pour comprendre sa signification: nous sommes devant une offensive idéologique bien plus brutale qu’il n’y paraît.

    Prenons l’exemple du racisme. On a vu à quel point, depuis quelques années, on a amalgamé le racisme et la défense de la nation. Pour la gauche diversitaire et ceux qui se soumettent à ses prescriptions idéologiques, un patriotisme historique et enraciné n’était rien d’autre qu’une forme de racisme maquillé et sophistiqué. Ceux qui voulaient contenir l’immigration massive étaient accusés de racisme. Ceux qui affirmaient qu’il y avait un lien entre l’immigration et l’insécurité étaient aussi accusés de racisme. De même pour ceux qui confessaient l’angoisse d’une dissolution de la patrie. Cette assimilation du souci de l’identité nationale à une forme de racisme est une des tendances lourdes de l’histoire idéologique des dernières décennies. On l’aura compris, on accuse de racisme ceux qui ne se plient pas à l’idéologie diversitaire. Quelle sort sera réservé à ceux qui avouent, de manière articulée ou maladroite, de telles inquiétudes?

    LE FIGARO.Le politiquement correct est-il le corollaire du multiculturalisme?

    Mathieu BOCK-COTÉ. – Le multiculturalisme est traversé par une forte tentation autoritaire – pour ne pas dire plus. Il est contesté – plus personne ne croit sérieusement qu’il dispose d’une adhésion populaire. Il doit alors faire taire ses contradicteurs. Il le fait en les diabolisant. Ceux qui rapportent les mauvaises nouvelles à son sujet sont accusés de propager la haine. Une information qui ne corrobore pas les récits lénifiants sur le vivre-ensemble sera traitée au mieux comme un fait divers ne méritant pas une attention significative, au pire comme un fait indésirable qui révélerait surtout la psychologie régressive de celui qui en témoigne. D’ailleurs, on le voit avec les poursuites à répétition contre Éric Zemmour: on pensera ce qu’on voudra de ses idées, mais ce qui est certain, c’est qu’il est poursuivi pour ce qu’on appellera des crimes idéologiques. Il ne voit pas le monde comme on voudrait qu’il le voit alors on travaille fort à le faire tomber. Et on se dit qu’une fois qu’on sera débarrassé de ce personnage, plus personne ne viendra troubler la description idyllique de la société diversitaire. On veut faire un exemple avec lui. Je note par ailleurs que Zemmour n’est pas seul dans cette situation: Georges Bensoussan et Pascal Bruckner ont aussi goûté aux charmes de la persécution juridique. J’en oublie. Il s’agissait d’odieux procès.

    Tout cela pour dire que le multiculturalisme, pour se maintenir, doit diaboliser et maintenant pénaliser ceux qui en font le procès.

    Mais il faut voir que le multiculturalisme ne fait pas bon ménage avec la liberté d’expression, dans la mesure où la cohabitation entre différentes communautés présuppose une forme de censure généralisée où chacun s’interdit de juger des traditions et coutumes des autres. On appelle cela le vivre-ensemble: c’est une fraude grossière. On le voit quand certaines communautés veulent faire inscrire dans le droit leur conception du blasphème ou du moins, quand elles veulent obliger l’ensemble de la société à respecter leurs interdits moraux, comme on a pu le voir dans l’affaire des caricatures.

    […]

    Le Figaro

     

  • Petit à petit, la vérité sort du trou où on la planquée....

    Macron avait décidé de virer le général de Villiers avant le " coup de gueule " de ce

    L’avenir du général, ancien chef d’état-major, ne se serait pas joué lors de l’audition parlementaire du 12 juillet, mais au cours d’un conseil restreint de défense qui s’est tenu le matin même à l’Élysée.

    En l’espace de deux mois, les équilibres entre le pouvoir civil et les militaires ont spectaculairement évolué. Les principaux acteurs du monde de la défense sous François Hollande ont été contraints de quitter les postes où ils exerçaient des prérogatives majeures dans les domaines stratégiques, opérationnels, budgétaires et industriels. Il s’agit de Jean-Yves Le Drian, le respecté ministre de la Défense du dernier quinquennat qu’Emmanuel Macron tenait à bouter hors de son bastion, de son directeur de cabinet, le redouté Cédric Lewandowski, et du puissant délégué général pour l’armement, Laurent Collet-Billon. Celui-ci n’a pas été prolongé dans ses fonctions après neuf années aux commandes de la DGA.

    La démission du général Pierre de Villiers et l’onde de choc qu’elle a provoquée s’inscrivent dans le fil de cette volonté du chef de l’État, chef des armées, de reprendre en main les rênes de la défense et d’affirmer son autorité présidentielle.

    Le jeu de bascule s’apparente aussi à la "revanche de Bercy", après trois années durant lesquelles la Défense a somme toute tenu la dragée haute aux argentiers de l’État. Il n’est guère étonnant que les questions de budget aient été au cœur du maelström des dernières semaines. À deux jours de la Fête nationale, "Bercy a joué ses cartes à toute vitesse, pour faire passer ce qui n’aurait pas été possible sous Le Drian", raconte une source gouvernementale. Un haut fonctionnaire a joué un rôle clé dans l’ombre du chef de l’État: celui qui fut son directeur de cabinet lorsqu’il était ministre des Finances, Alexis Kohler, actuellement secrétaire général de l’Élysée.

    Une bonne source raconte ainsi comment se serait "noué le sort" du général de Villiers, ce 12 juillet au matin. Non pas lors de l’audition parlementaire à huis clos, tant commentée, qui se déroule en fin de matinée et à l’issue de laquelle le chef d’état-major des armées (CEMA) a fait part de son exaspération en des termes plutôt crus. Mais un peu plus tôt, lors du conseil restreint de défense qui se tient à 9 heures à l’Élysée. La veille, Gérald Darmanin, le ministre de l’Action et des Comptes publics, a évoqué les économies à réaliser dans une interview au Parisien , que nombreux au gouvernement, Défense en tête, jugent intempestive. Parce qu’il faut trouver 4,5 milliards d’euros au second semestre et qu’on veut baisser les prélèvements, il faut "taper tout de suite" dans le budget de l’État.

    Lors de la réunion à l’Élysée, le premier ministre, Édouard Philippe, confirme la réduction de 850 millions d’euros imputée au budget de la Défense en 2017. La ministre des Armées, Florence Parly, exprime alors son désaccord, soutenue par Jean-Yves Le Drian, le nouveau patron du Quai d’Orsay. Enfin, le général de Villiers prend lui aussi la parole. "Alexis Kohler en a été extrêmement mécontent", indique une bonne source. Aucune déclaration n’a filtré de ce conseil restreint couvert par le secret de la défense nationale. Il n’en ira pas de même lors de la commission parlementaire, quelques heures plus tard, d’où "fuite" la colère du CEMA. Un enchaînement d’événements retentissants est enclenché.

    "Ce qui a déplu à Alexis Kohler, c’est l’idée qu’on puisse imaginer revenir sur un arbitrage du président de la République en organisant la pression. On n’est plus sous Hollande", souligne une source proche de l’affaire. "Ce qui l’a excédé, c’est la contestation de l’autorité. L’argument selon lequel le CEMA aurait contrevenu au devoir de réserve (évoqué par Emmanuel Macron dans son discours à l’Hôtel de Brienne, NDLR) ne tient pas. Faire passer cette affaire pour une histoire de discipline, c’est de l’habillage médiatique", estime cette source. Selon celle-ci, la "fuite" des propos du CEMA devant les parlementaires a été "exploitée pour en faire une démonstration d’autorité". Le message aux 220 directeurs d’administration centrale et principaux responsables de l’administration est clair: "Attention, seuls les plus loyaux resteront." (…)

    Le général Puga, qui aurait l’oreille d’Emmanuel Macron, plaidait pour un CEMA ayant du temps devant lui et dont l’exercice coïnciderait avec la durée du quinquennat. Telles sont les perspectives du général François Lecointre, 55 ans, nommé le 20 juillet pour remplacer le général de Villiers. Sur le fond, rien n’est réglé. Le nouveau CEMA hérite d’une situation compliquée. D’après un de ses pairs de Balard, "ce ne sera guère évident pour lui de recomposer tous les morceaux qui ont été éparpillés façon puzzle".

    Le Figaro

  • Celle qui est aussi bête que son prénom!

    La chargée de com de @EmmanuelMacron à l'@Elysee @SibNdiaye à propos de S.Veil : "Yes, la meuf est dead". [@canardenchaine cc @Elysee_Com] pic.twitter.com/Jzf4WTvIs8

        — Jérôme Godefroy ® (@jeromegodefroy) August 1, 2017

    "Selon nos informations, Sibeth Ndiaye l'aurait en effet envoyé à un journaliste du service public, qui cherchait à avoir confirmation de la mort de Simone Veil. Choqué par sa réponse, le journaliste en question aurait montré le texto à plusieurs de ses confrères qui suivent l'Elysée."

    Et elle continue

    http://jforum.fr/la-shoah-c...

    Sibeth Ndiaye, la responsable presse et communication d’Emmanuel Macron, a déclaré devant les caméras de TF1 que les juifs détenaient un " copyright " sur les crimes contre l’humanité.

    Lorsque l'on a poste un poste important à l'Elysée, on ne parle pas comme la racaille de bas étage même si on a l'excuse de tomber de son baobab et donc de n'avoir ni nos codes, ni notre savoir-vivre ni une bonne éducation.

    Elle est payée (pas nos sous) pour parler correctement.

    Bien sûr, elle dément. Mais on n'oublie pas qu'elle a déclaré il y a 15 jours qu'elle "assumait parfaitement de mentir".

    De toutes façons, son prénom nous le dit d'avance.

     

  • Nan!!!! c'est pas vrai!!! hé si, c'est blesipo!

    Les passagers des trains des chemins de fer néerlandais (NS) seront accueillis à partir de décembre prochain par un "Chers voyageurs", neutre sexuellement, qui remplace le "Mesdames et Messieurs".

    Environ 24.000 annonces automatiques sont diffusées dans les trains de NS chaque jour. En outre, les employés des chemins de fer néerlandais réalisent eux-mêmes environ 70.000 annonces. Les textes ont été adaptés pour supprimer toute référence au genre.

    Les machinistes, conducteurs et annonceurs ont été sensibilisés.

    Le changement sera officiel le 10 décembre. "Nous voulons que chacun se sente le bienvenu dans nos trains", a commenté le directeur de NS, Roger van Boxtel. Le métro londonien a déjà procédé au même changement au début du mois de juillet, ‘Ladies and gentlemen’ a ainsi été remplacé par ‘Good morning everyone’ (Bonjour tout le monde).

    https://fr.metrotime.be/2017/07/28/actualite/aux-pays-bas-chemins-de-fer-sadresseront-aux-voyageurs-reference-genre/

    Tous ces dérangés du trouduc doivent être au maximum 0,0005% de la population mondiale; plus chiants que les moustiques qui sont des milliards!

     

  • La tyrannie s'établit au mois d'août

    La loi en cours de discussion rend inéligible pour dix ans toute personne ayant été condamnée pour avoir tenu des propos politiquement incorrects. On remarque qu'il est donné, encore une fois, un pouvoir politique aux juges, dont on a vu l'ahurissante partialité dans le déroulement de la campagne présidentielle.

    Son effet est simple: toute personne tenant des propos politiquement incorrects doit renoncer à faire de la politique et toute personne souhaitant faire de la politique doit renoncer à tenir, ou même à encourir le soupçon de tenir, des propos politiquement incorrects.

    Le politiquement correct est un pilier du Système. Cette loi interdit donc l'expression politique de toute critique cohérente du Système. On pourra critiquer certains aspects, mais toujours de façon parcellaire (en taisant par nécessité le principal) et, de ce fait, peu susceptible de séduire l'électorat. L'opposition politique au Système est rendue impossible.

    C'est, si les mots ont encore un sens (parfois j'en doute), la mise en place d'une tyrannie.

    Et ça passe comme une lettre à la poste.

    http://fboizard.blogspot.fr/2017/07/la-tyrannie-setablit-au-mois-daout.html#disqus_thread

    Surtout, lire les commentaires