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france - Page 49

  • Celui qui aime la France!!!!

    Quand Patrice Quarteron donne une leçon de patriotisme à ceux qui haïssent la France

    Du Figaro  Vox:

    Drapé dans les couleurs de la France après sa victoire en boxe Muay thai, l’athlète Patrice Quarteron s’est attiré les foudres d’une partie des réseaux sociaux, qui l’ont qualifié de " traître " et de " bounty". Pour Fatiah Boudjahlat, cela révèle la haine de la France d’une partie des enfants d’immigrés.

    Fatiha Boudjahlat

    Patrice Quarteron a remporté une victoire importante dans la discipline de boxe Muay thai. Il a exprimé une joie légitime, en se revêtant du drapeau français. Mais selon ses détracteurs qui se sont déchaînés sur les réseaux sociaux, il a eu le tort de mêler les couleurs nationales à sa victoire, il a eu le tort d’afficher et de verbaliser son patriotisme.

    Il leur a répondu par un post des plus intéressants:

    "Quand vous portez un drapeau d’un pays où vous ne vivez pas, on vous dit "bravo, j’adore, c’est courageux, c’est un signe d’ouverture. Quand on porte le drapeau du pays dans lequel vous vivez, où vous payez vos impôts, avec lequel vous souffrez, aimez, combattez, on vous dit: "t’es un chien, un putain de facho". Je porte mon drapeau fièrement. Et j’emmerde les fils de putes qui préfèrent se sentir américains, marocains, russes etc, tout ça parce qu’ils vont en vacances une semaine dans un autre pays et reviennent en se sentant étrangers à leur propre pays. Soyez patriotes et reconnaissant. Vous devez tout à la France".

    Le ton virulent est propre aux réseaux sociaux, il est aussi dû au caractère de ce sportif, ainsi qu’à la nature et à la véhémence des insultes essuyées.

    Afficher les couleurs nationales, aimer son pays, assumer sa fierté d’être français ont valu à Patrice Quarteron de se faire traiter de facho, mais aussi, et il y a plus à en dire, de "bounty" et de traître. Ces insultes sont devenues classiques quand il s’agit de désigner les enfants d’immigrés bien dans leurs baskets françaises et aimant la France. Elles sont complétées par celles de "harki", de "collabeur", de "nègre de maison", termes dont j’ai été moi-même gratifiée. Elles renvoient à une trahison supposée: celle de son vrai pays, celui des origines, au bénéfice de son faux pays, celui où l’on vit. Elles sont les manifestations des métastases indigénistes et gauchistes de l’identité qui n’ont rien à leurs symétriques identitaires.

    Un bon noir, un vrai noir digne, qui s’assume, ou un bon arabe n’est pas censé aimer la France sauf à avoir une mentalité d’esclave.

    La violence se déchaîne parce qu’il est noir. Et un bon noir, un vrai noir digne, qui s’assume, ou un bon arabe n’est pas censé aimer la France sauf à avoir une mentalité d’esclave. Il est question d’authenticité. On est un vrai arabe, un vrai musulman, un vrai enfant d’immigré etc, quand on vante le bled et que l’on cultive l’indifférence voire le mépris à l’endroit de la France.

    Puisqu’eux brandissent l’accusation de trahison, il faut convenir que le vrai sujet est celui de I’allégeance, ce terme désuet qui désigne la fidélité que l’on doit au souverain. Et en République, c’est le peuple qui est souverain. Refuser l’allégeance au pays dans lequel on est né, dans lequel on vit et dans le même temps la réserver à celui dans lequel on ne va qu’en vacances, avec un pouvoir d’achat européen, c’est faire de la France un simple guichet de services.

    Patrice Quarteron a raison de dénoncer l’hypocrisie de ses détracteurs.

    Le patriotisme est brocardé, dénoncé, moqué, criminalisé quand il concerne la France, mais il est respecté, vanté, normalisé quand il concerne le pays d’origine. Houria Bouteldja, égérie du Parti des Indigènes de la République, écrit ainsi dans son ouvrage Les Blancs, les Juifs et Nous:

    "J’ai laissé mon pays libre, comme une étoile scintillante. Je suis allé au pays des impies, le pays de l’obscurité", et plus loin, avec un talent poétique certain: "Ô mes frères, mes sœurs, Ô mes frères mes sœurs, des Français je suis dégoutée. J’accepte de ne porter qu’un tricot mais je ne veux pas qu’on m’appelle "bicot". O mon Dieu, ma foi est meilleure que la leur. Celui qui critique le pays [l’Algérie], que la rivière l’emporte".

    Que n’entendrait-on pas si ces mêmes propos avaient été tenus à l’endroit de ceux qui critiquent la France! Et il faut être honnête, je n’ai jamais vu un élève asiatique afficher le drapeau du pays de ses parents, alors que tant de mes élèves affichent sur les écrans des ordinateurs du collège, sur leurs carnets de correspondance les drapeaux des pays du bled, Afrique du Nord et Afrique noire.

    La nostalgie entretenue par les parents et par les pairs se vit sur le mode du combat, du conflit de loyauté.

    La nostalgie entretenue par les parents et par les pairs se vit sur le mode du combat, du conflit de loyauté. Cette volonté obsessionnelle de déraciner ces enfants est pourtant "la plus dangereuse maladie des sociétés humaines".

    Ce n’est pas anecdotique, c’est politique et c’est donc emblématique. Ceux là-mêmes qui voient du nationalisme quand il s’agit du drapeau français ne sont en rien gênés par l’esprit cocardier de ces jeunes, pourvu qu’il se fasse au bénéfice d’un pays autre que la France. Ce n’est donc pas le patriotisme en lui-même qui est rejeté, c’est la France. J’ai pris l’habitude d’exiger de ces élèves qu’ils dessinent ou affichent un drapeau français de la même dimension que celui dessiné.

    Autant il est difficile de leur faire verbaliser le fait qu’ils sont français et que la France mérite tout autant d’être respectée et aimée que les pays du bled, autant ils réalisent combien leur attitude pose problème quand on inverse les pays: si une personne née et vivant en Algérie d’origine Française n’affichait que le drapeau français, clamait qu’elle n’était pas Algérienne, ne cessait de critiquer l’Algérie, tout cela en y vivant, comment régiraient les Algériens? Mal, les élèves en conviennent.

    Patrice Quarteron a raison: c’est le drapeau Français qui est honni, quand ceux du bled ou de la Palestine fleurissent dans les manifestations festives, sportives ou politiques. Ce n’est pas le drapeau qui gène, c’est la France.

    Quand c’est un autre pays, c’est un patriotisme sain et juste. Quand c’est la France, c’est l’expression d’un nationalisme destructeur d’altérité.

    Quand c’est un autre pays, c’est un patriotisme sain et juste. Quand c’est la France, c’est l’expression d’un nationalisme destructeur d’altérité.

    Un élu de Saint-Denis, Madjid Messaoudène, a fait la promotion sur son compte twitter de boîtes de mouchoir aux couleurs de l’Algérie. Jamais il ne lui serait venu à l’esprit d’avoir le même esprit cocardier vis-à-vis de la France. Il se dit binational comme une immunité diplomatique, mais ne dit jamais de bien de la France, n’affiche jamais ses couleurs, au contraire de l’Algérie.

    La binationalité consiste dans son cas (et dans le cas de beaucoup de ceux qui ont insulté Patrice Quarteron) à lier une nationalité de raison, la nationalité française, celle que l’on subit, à une nationalité de cœur, celle du pays des parents, qui suscite tendresse et nostalgie. L’allégeance ou le patriotisme ne se vit pas sur le mode de l’alternative pourtant: on peut aimer les deux pays et on ne trahit pas l’un en aimant la France.

    Les contempteurs de Patrice Quarteron se dépêchent de préciser qu’ils sont Français, comme une bravade. Qu’ils sont donc –ici- chez eux.

    Chiche. Qu’ils en tirent toutes les conséquences: être ici chez eux implique un sentiment d’appartenance, pas une rente viagère. Mais ils ajoutent qu’ils n’ont pas choisi d’être français, qu’ils n’ont pas choisi de naitre et de vivre en France. Ont-ils plus choisi d’avoir des parents algériens ou marocains? Cela ne les empêche pas d’afficher les couleurs de ces pays. Ils présentent le fait de vivre en France comme une fatalité, une souffrance. Mais il y a pourtant un opting out, un droit de sortie de la France: les frontières sont ouvertes. Pourquoi ne pas l’exercer, puisque la vision de Français d’origine étrangère et aimant la France les insupportent à ce point?

    Houria Bouteldja répond dans le même livre, à la page 109: "Ce sera notre éternel dilemme: rester et subir l’humiliation, partir et crever la dalle". Mais alors, leur patriotisme, leur amour de leur pays tient à peu de choses: au pouvoir d’achat et au standing. Il est vénal. Eux construisent le dilemme, l’alternative. Eux construisent un conflit de loyautés qui empoisonne la vie des jeunes.

    C’est à eux de questionner leurs sentiments patriotiques à l’égard du pays de leurs parents, ce n’est pas à nous de remettre en cause ceux que nous éprouvons vis-à-vis de la France. Dans notre République, ce n’est pas la souche, l’ancienneté de la présence qui compte, c’est l’enracinement permis par le consentement. La communauté nationale repose sur deux éléments selon Renan: "L’une est la possession en commun d’un riche leg de souvenirs ; l’autre est le consentement actuel, le désir de vivre ensemble, la volonté de continuer à faire valoir l’héritage que l’on à reçu indivis". Indivis: le noble et l’ignoble, le glorieux et le honteux. C’est en se tenant sur ces deux pieds que naît le sentiment d’appartenance. On ne l’attend pas d’immigrés de travail, mais comment ne pas l’attendre de leurs enfants nés et vivant en France? Comment trouver normal l’appartenance à une communauté internationale comme l’oumma, ou à celle au pays de ses parents et rejeter l’appartenance à la communauté dans laquelle on vit?

    Laissons le french bashing aux ennemis de la France, assumons d’aimer la France.

    La République n’est pas qu’un cadre juridique, axiologiquement neutre. Il convient de nous interroger tous. Pourquoi n’afficher nos couleurs que lors des victoires sportives? Pourquoi ne tolérer et ne goûter l’hymne nationale que lors des rencontres sportives? Pourquoi a-t-il fallu attendre la série d’attentats meurtriers pour oser, timidement, pavoiser les façades de nos logements de nos couleurs? La République est aussi un contenu en termes de valeurs qu’une catégorie de l’imaginaire qui se nourrit de symboles. Il faut, comme l’écrit JP Salazar, convenir que "la République est une forme forte de politique, une violence même faite au vivre-ensemble". La République ne peut plus être le lieu neutre du "venez comme vous êtes". L’État a trop mis en avant sa neutralité. Au point de ne plus offrir de contenu éthique, de chemin vers la vie bonne. Au point de ne plus offrir de vie collective riche, de ne plus constituer une transcendance. Celle là même qui permet de se dépasser et d’être meilleur. Il faut enseigner et assumer la vertu civique, dont Vauvenargues écrit qu’elle se confond avec "la préférence de l’intérêt général au particulier". C’est l’exemple que nous offre la joie de Patrice Quarteron. La joie de faire gagner son pays. Mais il est vrai que l’État Français a été trop laïque vis-à-vis de lui-même, autorisant et protégeant tous les cultes sauf celui de l’État, et que, réduit à un guichet de prestations et à un ensemble de procédures, il ne peut susciter affection et allégeance.

    Laissons le french bashing aux ennemis de la France, assumons d’aimer la France. Le patriotisme républicain s’apprend, s’il s’enseigne. Associons-le à la bravoure, à la victoire. Il faut redonner le goût d’aimer la France, ailleurs que lors des veillées funéraires. Apprenons à servir plutôt qu’à se servir, au sens de Bernanos, c’est-à-dire en "gardant vis-à-vis de ce qu’on sert une indépendance d’esprit absolue. C’est la règle des fidélités sans conformisme, c’est-à-dire des fidélités vivantes". Dans le même ordre d’idée, Mark Twain définissait le patriotisme comme le fait de "défendre son pays en toute circonstance, et son gouvernement, seulement quand il a raison".

    Au final, soyons humbles. Contentons nous de demander pour la France ce que Houria Bouteldja ressent et exige pour l’Algérie.

    http://resistancerepublicaine.eu/2017/07/30/quand-patrice-quarteron-donne-une-lecon-de-patriotisme-a-ceux-qui-haissent-la-france/

    Ce n’est pas la première fois que P. Quarteron démontre ainsi son amour pour la France et fustige sur les réseaux sociaux les CPF qui crachent dessus. Il est bien plus digne de nous représenter que certains sportifs. Quand on pense que toute la racaille veut que Benzema revienne en équipe de France… Je préfère un million de fois Patrice Quarteron.

     

  • Aux temps des imbéciles, la France est perdue!

    Son prédécesseur se voulait normal mais s’est contenté d’être insuffisant; lui se veut jupitérien mais semble se contenter d’être suffisant.

    Qui osera lui rappeler qu’en tout domaine, l’enthousiasme et l’ambition n’ont jamais remplacé le talent, voire même qu’en politique, "une ambition dont on n’a pas le talent est un crime" (Chateaubriand)!

    Il y eut des augures. Des symboles d’abord, le déplacement initial en command-car, la visite aux soldats blessés, le déplacement au Mali, toutes choses qui apparaissent désormais comme des figures imposées d’un Président de la république-chef des armées d’un pays en guerre. Hormis le command-car, François Hollande (qui voulait trancher avec les maladresses de son prédécesseur vis-à-vis des armées) avait fait de même et Emmanuel Macron y a ajouté quelques touches plus "américaines", voire "poutiniennes",  avec ses visites "en panoplies". Tout cela était sympathique mais restait quand même de l’écume.

    Le changement de dénomination du ministère redevenu, celui "des armées", c’est-à-dire celui de l’outil mais plus celui de l’emploi fut un indice plus sérieux. Trois types de personnalités ont occupé traditionnellement ce poste: les ambitieux frustrés, les fortes personnalités sans ambition présidentielle et les purs techniciens. Avec le remplacement de Jean Yves Le Drian par Sylvie Goulard et surtout Florence Parly, on glissait de la seconde à la troisième catégorie sans le poids politique du premier mais sans non plus l’appétence et la connaissance de la chose militaire qu’avait pu avoir un André Giraud dans les années 1980. Surtout, la capacité de résistance de ministère se trouvait volontairement affaiblie.

    S’il ne faut pas négliger le chef d’état-major particulier ou le délégué général de l’armement (DGA), qui vient de quitter ses fonctions sans avoir encore été remplacé, le troisième personnage important du triangle plus ou moins amoureux de la politique de défense est le chef d’état-major des armées (CEMA). Là encore, on a connu plusieurs personnalités sur le poste: les techniciens sans grands pouvoirs sous de Gaulle ou les opérationnels aux pouvoirs successivement élargis par six décrets.

    Avec celui de 2009, le CEMA, outre le commandement des opérations militaires, conseillait le gouvernement, assurait les relations internationales militaires, définissait les besoins des armées et en contrôlait la satisfaction. Il conduisait également les travaux de planification et de programmation. Tant de pouvoirs effrayèrent sans doute.

    Nicolas Sarkozy contourna le problème d’un CEMA trop fort en nommant l’amiral Guillaud. Avec François Hollande et au nom du "recentrage sur le cœur de métier", on dépouilla le CEMA de la plupart de ses prérogatives qui furent confiées au ministre, un ami qui ne pouvait constituer un danger politique.

    Dans ce cadre restreint, on pouvait donc nommer un homme de personnalité, ce qui fut le cas avec le général Pierre de Villiers en 2014.  Tant que la direction civile du ministère fut forte (et écoutée du Président de la République), cela a permis au moins, dans une alliance entre le CEMA et le ministre, de résister aux assauts réguliers de Bercy. Rappelons l’épisode, qui paraît désormais si lointain, de mai 2014 lorsque le ministre (oui, c'est incroyable), le CEMA et les trois chefs d’état-major d’armées menacèrent ensemble de démissionner.

    Le problème de cette configuration est qu’elle dépendait trop de la personnalité de Le Drian et de son chef de cabinet Cedric Lewandowski, ce dernier aussi peu apprécié des militaires que de Bercy. Lorsque ceux-ci ont été écartés et remplacés par un poids plume politique, le CEMA s’est retrouvé seul en ligne et avec des pouvoirs réduits. L’occasion était trop belle alors que Bercy prédominait jusqu’au secrétariat-général de l’Elysée, occupé par Alexis Kohler, ex-directeur de cabinet du ministère de l'économie et ex-vaincu des affrontements précédents.

    L’assaut fut mené très vite, plaçant le Président de la République, qui venait juste de reconduire le général de Villiers pour un an en lui donnant des assurances, devant le choix de trahir le CEMA ou d’arbitrer en sa faveur. Il a choisi de trahir sa parole et, c'est le plus surprenant, en ne comprenant visiblement pas ce qui allait suivre.

    Le général de Villiers s’est toujours légitimement préoccupé des moyens qui lui étaient accordés pour exécuter les missions dont il avait la responsabilité. Comme il en a le droit (faut-il rappeler une nouvelle fois que l’autorisation préalable à l’expression publique des militaires a été supprimée il y a douze ans?) et même parfois le devoir puisque le Code de discipline générale impose aux militaires de "rendre compte immédiatement" lorsqu’ils constatent que l’on n’a pas les moyens d’accomplir une mission, le général de Villiers s’est exprimé plusieurs fois pour expliquer la situation déplorable dans laquelle se trouvent les armées.

    Comme nous sommes au XXIe siècle et qu’il sait qu'un rapport de forces est le meilleur moyen de faire pencher un pouvoir politique, il a également utilisé les instruments d’influence à sa disposition et qui ne se trouvent que dans l’espace du débat public. Ajoutons par ailleurs que le général de Villiers a toujours clairement expliqué qu’il ne voulait pas être considéré comme le "fossoyeur des armées" et que, n’attendant rien au-delà de ce poste, on ne pouvait le tenir de cette façon. Il est toujours dangereux de trahir et d'humilier des gens qui n'ont rien à perdre.

    Tout cela était bien connu. On reste donc sidéré par la maladresse de la séquence qui a suivi.

    La perspective de la démission était donc évidente du moment que, contre toute promesse et attente, on décidait d’accentuer encore la crise des armées. Elle le fut encore plus lorsque l’humiliation s’est ajoutée à la trahison de la parole donnée. Difficile de faire plus maladroit à l’égard des militaires que le discours d’Emmanuel Macron le 13 juillet, démontrant qu’il ne suffit pas d’endosser une tenue militaire pour comprendre ce que cela signifie concrètement. Entre l’affirmation inutile d’autorité, l’humiliation du premier des soldats...devant des soldats et l’ordre de fermer sa gueule tout manquait de classe et d'intelligence de situation.

    Ce n’est pas ensuite l’affirmation des promesses sur le budget de l’an prochain qui a vraiment arrangé les choses, en exposant à la fois qu’il n’y aurait pas d’augmentation significative par rapport à celle prévue par la loi de programmation (encore heureux que l’on applique la loi), que le prochain budget des opérations serait à nouveau largement sous-provisionné (avec donc à la clé au milieu de 2018 le même psychodrame) et, qui plus est, que ce budget serait désormais adossé à celui des armées, en contradiction donc avec le programme du candidat Macron. Après la diminution du budget en cours, c’était donc un nouveau coup porté aux pieds des promesses de réinvestissement.

    Dès lors, la démission du général de Villiers était inévitable et les militaires ont spontanément fait en sorte qu’elle soit le plus spectaculaire possible dans les médias.

    La contre-offensive habituelle est venue, mélange un peu kitsch d’antimilitarisme, d’évocation (si, si!) du putsch de 1961 et des "armes qui cèdent à la toge" (comme si cela avait été la question à un seul moment), jouant même la carte de "cause de la fachosphère" ou des "fonctionnaires empêchant la France de se réformer".

    Tout cela restait manquait quand même de force et de cohérence, sinon évidemment d’intelligence. Cela a surtout suscité un malaise parmi certains parlementaires (vous savez, ceux qui depuis l’origine votent les budgets, et qui, pour cela, de temps en temps, auditionnent qui ils veulent en leur demandant de parler librement), plus largement chez tous ceux qui s’intéressent un minimum à notre armée et à sa situation y compris dans les rangs de la majorité, et plus largement encore parmi tous ceux qui ne comprendront décidément jamais pourquoi dans un monde plus dangereux il faut absolument réduire les moyens des ministères qui assurent la sécurité des Français.

    Le discours du Président à Istres, est resté finalement le même que celui du 13 juillet, promesses inclues, l’hommage au général de Villiers remplaçant l’insulte à peine voilée, mais avec l’ajout de la non acceptation des "discours de défaite" (dont on ne sait pas très bien de quoi il s’agit).

    Malgré une nouvelle parade en tenue et surtout la nomination d’un nouveau CEMA aux brillants états de service, la confiance était clairement rompue et il faudra beaucoup de temps et surtout d’actes concrets pour la renouer.

    Il faudra d’autant plus de temps qu’une nouvelle charge, probablement la plus stupide de toutes, est venue dès le lendemain avec l’interview de Christophe Castaner dans Le Figaro, cherchant peut-être à transformer un fiasco en démonstration ratée d’autorité et en menace pour les éventuels haut-fonctionnaires rétifs.

    Les derniers sondages de popularité ne semblent pas montrer en tout cas que cela n'a pas été perçu comme tel.

    Au bilan, une séquence d’une incroyable maladresse et qui, au lieu de modernité cool, paraît ramener les rapports entre le politique et les militaires des dizaines d’années en arrière. Si, pour reprendre les propos d’Emmanuel Macron, c’est le "sens de la réserve qui a tenu nos armées où elles sont aujourd'hui" (phrase un peu étrange quand même), on voit effectivement où cela mène lorsqu’on ferme sa gueule.

    A bientôt donc pour de nouveaux "discours de défaite".

    blog du colonel Michel Goya

    https://lavoiedelepee.blogspot.fr/2017/07/flop-gun.html?m=1

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    Tout a été dit et redit... ce qui laisse pantois de la part du présitante est, tout de même, le manque de réflexion, d'anticipation, le manque de classe et d'intelligence de la situation, voire le manque "d'éducation" ou de décence commune (il y a des choses qui ne se font pas: humilier gratuitement quelqu'un en public)

    Le plus “drôle“ est qu'il n'avait pas anticipé que De Villiers démissionnerait avant la fameuse réunion du vendredi... ( ce qui pouvait en toute logique, être attendu de la part de cet imbécile)

    ah et puis, je ne comprends toujours pas pourquoi on a mis la Parly au ministère des armées (ancienne directrice du transport voyageurs SNCF... elle est peut être douée en "trains", car au bout de quelques années quelques trucs ont du s'inscrire dans sa cervelle de moinelle, mais pas forcement en hélico, porte avion, troupes, etc. …

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Florence_Parly

     

  • Le futur est en marche!

    Le Croissant libéré: 15 juillet 2057-13 Mouharram 1480

    Politique :

    Le président de la République, M Mohammed BEN ABBES, a entériné le projet de partition religieuse du gouvernement : désormais, le président serait musulman et le premier ministre athée.

    Son agenda demeure chargé: il devait présider l’hommage national rendu aux Invalides à Emmanuel MACRON qui fera prochainement son entrée au Panthéon. Il rejoindra son épouse Brigitte, décédée 24 ans auparavant. Le couple reposera près de la tombe du grand philosophe M Bernard-Henri LÉVY.

    Il rappellera que M Macron proposait de jeter un pont entre la France et l’Algérie. Et effectivement, 10 ans plus tard, le président inaugurait le plus long pont maritime du monde, entre Marseille et Alger (760km)

    M Mohammed BEN ABBES signera ensuite une convention entre l’État et l’OIF (Organisation Islamique de France) pour la reprise des églises, cathédrales et synagogues désaffectées. Avec un brin d’humour, il a déclaré " au moins, je suis sûr qu’elles se rempliront à nouveau ".

    Société :

    Les habitants de Paris ont donc élu dimanche dernier le premier maire transsexuel de la ville. Le chef de la milice sunnite "Les lions du Califat de Seine" avait alors déclaré: "c’est une provocation et nous refusons cette abomination". Le maire de Paris avait répondu: "moi, je veux prôner le dialoguisme, la fraternitude et l’amour pour tous". Mais son progressisme se heurte encore à une société conservatrice: son projet de diffuser, à la rentrée scolaire, un livret intitulé "La fellation expliquée aux tout-petits" n’a d’ailleurs pas fait l’unanimité.

    Des heurts très graves ont opposé des bandes zaïroises à des tribus pachtounes sur la dalle de La Défense. Elles se sont ensuite retournées contre les policiers venus s’interposer. On compte 7 morts du côté des forces de l’ordre. Le Ministre de l’Intérieur, M Bienvenue OBONGO a déclaré: "devant ces actes insupportables, inqualifiables, intolérables et inadmissibles, l’État poursuivra sans relâche les fauteurs de trouble".

    Après avoir été condamné par contumace à 3 ans de prison ferme pour avoir déclaré "La France, c’était bien mieux avant", M Kevin DUPONT, du PIF (Parti des Indigènes Français) a répondu à notre journaliste qu’il avait définitivement opté pour l’exil en Nénétsie. La Russie propose en effet des visas aux français désireux de développer ce territoire qui, avec le réchauffement climatique, offre de nombreuses opportunités. Ils sont désormais des dizaines de milliers chaque année à tenter l’aventure, ce qui inquiète le gouvernement français, accusant la Russie d’encourager la fuite des cerveaux.

    Selon l’Insee, la France compte officiellement 103 millions d’habitants. Du point de vue des confessions, il y aurait 53 millions de musulmans, 40 millions d’athées, 5 millions d’hindouistes, 4 millions de bouddhistes, 1 millions de scientologues et de sectes autorisées. Le judaïsme ne rentre plus en compte, le dernier juif étant parti en 2050.

    A la parution de ces statistiques, M Mohammed BEN ABBES a déclaré que "c’était une heureuse évolution mais qu’il fallait veiller à maintenir l’équilibre et ne pas défavoriser les musulmans".

    Faits divers:

    A Bobigny, une femme, ayant intenté un procès à trois migrants climatiques, a été déboutée ce matin par la justice. Elle accusait ces personnes de l’avoir violée. L’un deux a rétorqué "ne pas savoir qu’elle n’était pas consentante".  Ne pouvant réunir 6 témoins en sa faveur, elle a été condamnée à 5000€ d’amendes pour diffamation et troubles à l’ordre public. En sortant du tribunal, elle s’est excusée en déclarant "ne pas avoir voulu faire du tort aux migrants".

    Économie:

    La Chine s’est vu attribuer le marché du recyclage des 58 centrales nucléaires françaises. Leur destruction prendra au moins 10 ans. Le gouvernement chinois propose également de fournir 25 centrales à charbon et 200 millions de tonnes de combustibles pour compenser l’arrêt de l’énergie nucléaire en France. On parle d’un montant de 32 milliards d’euros emprunté au FMI.

    L’Asie, surtout le Viêt Nam et le Bangladesh, investit de plus en plus en France dans la production textile: en effet, les millions de migrants climatiques subsahariens restent une main d’œuvre compétitive. La CGT, qui se réjouit du nombre croissant de ses adhérents a déclaré dans un communiqué: "vouloir encourager le processus de migration car l’Occident a le devoir de réparer les dégâts du colonialisme".

    International:

    La Kabylie nouvellement indépendante connaît une vague de conversion au christianisme (plus précisément au protestantisme évangélique) accroissant les tensions avec l’Algérie. L’Arabie saoudite s’est dite prête à intervenir si le gouvernement de Tizi Ouzou ne réprimait pas, je cite, "cette mode grotesque". Le Vatican, se proposant comme médiateur, a déclaré "comprendre Riyad" et a enjoint les kabyles "à ne pas s’entêter dans l’erreur et la provocation".

    Angleterre: nouveaux combats de rue à Londres entre pakistanais et hindous. 56 victimes sont à déplorer. Le premier ministre, M Sadiq KHAN, a dit "ne pouvoir rien faire, hélas. C’est leur communauté et chacune obéit à sa loi".

    L’Arabie saoudite et l’Iran entérine enfin un accord de paix après 30 ans d’une guerre qui a fait 5 millions de morts.

    Météo:

    Il fera 48° aujourd’hui à Paris et on annonce un important Sirocco à Marseille, avec le risque d’une nouvelle invasion de criquets.

    Avertissement: ce texte est une fiction et obéit à la législation sur les créations artistiques qui précise qu’à partir du moment où j’ai eu une enfance malheureuse, je peux dire n’importe quoi.

    Les personnages n’existent pas (ou plus), les faits ne sont pas avérés, il ne s’est rien passé et je n’en suis pas l’auteur (c’est mon double imaginaire).

    Et que personne ne s’avise à corriger les fautes d’orthographe car, comme le précisait Najat Vallaud-Belkacem dans son discours inaugural à l’Académie française, "d’façon, c’tait la science des ânes".

     

  • Aux USA, elle aurait été obligée de se faire refaire la tronche: les américains ne pardonnent pas aux menteurs... avec la tête qu'elle a, ça tomberait bien qu'elle se fasse refaire la tronche, la mocheté!

    "J’assume parfaitement de mentir": la révélation choc de la conseillère communication d’Emmanuel Macron

    La jeune femme n’hésite par exemple pas à blacklister les journalistes dont elle n’a pas aimé les articles.

    Sibeth Ndiaye, la conseillère communication de l’Elysée, a été la révélation du documentaire sur Emmanuel Macron Les Coulisses d’une victoire, diffusé sur TF1 au lendemain de son élection.

    Un article publié dans L’Express le 12 juillet s’interroge sur le rôle de ce membre essentiel de l’équipe du nouveau président. Selon l’hebdomadaire, Sibeth Ndiaye " assume parfaitement de mentir pour protéger le président ".

    L’article, intitulé Silence radio au château, explique notamment que la jeune femme n’hésite pas à blacklister les journalistes dont elle n’a pas aimé les articles: " J’ai reçu des pressions lunaires", a ainsi affirmé un journaliste à l’hebdomadaire.

    Sibeth Ndiaye confirme: "Nous appelons les médias quotidiennement quand on a des divergences d’interprétation".

    SFR.fr

  • Allez, bande de hipster... tous en vacances aux U.S.A.

    Etats-Unis: De la splendeur à la décadence.

    Aujourd’hui, il est difficile de croire que Baltimore fut l’une des plus grandes villes au monde.

    Contrairement à Washington DC, Baltimore est une ville ouvrière (cols bleus) qui abrite les américains les plus travailleurs. Lorsque j’étais au lycée, mon frère et moi étions de grands fans des Orioles de Baltimore, et de temps en temps nos parents nous conduisaient de notre maison en Virginie jusqu’à Baltimore pour les voir jouer. Adulte, j’ai passé un certain nombre d’années près du district de Columbia, et je me déplaçais souvent à Baltimore. Lorsque l’on dit que cette ville est en déclin, c’est un énorme euphémisme. Partout où vous vous déplacez à Baltimore, on y voit des bâtiments et des maisons abandonnés, et lorsque vous traversez certaines des zones les plus en difficulté, vous pouvez observer des toxicomanes au coin des rues. Baltimore n’est plus qu’une ville délabrée, qui tombe en lambeaux et qui ne ressemble absolument plus à la glorieuse métropole qu’elle était autrefois.

    Il y a certaines zones de Baltimore où vous ne pouvez plus aller une fois le soleil couché. Et en réalité, mieux vaut ne pas y aller pendant la journée non plus. La criminalité dans cette ville a atteint un tel niveau que les autorités ont officiellement demandé de l’aide auprès du gouvernement fédéral…

     Selon The Baltimore Sun newspaper (journal quotidien de la ville de Baltimore), jusqu’à maintenant, la ville a enregistré 118 homicides et anticipent plus de 400 meurtres d’ici à la fin de l’année. La situation est si grave que le maire de Baltimore a officiellement demandé de l’aide auprès du gouvernement fédéral afin de tenter de reprendre le contrôle. Même le syndicat de Police a tiré la sonnette d’alarme en ayant mis en avant une pénurie d’officiers, ce qui engendre une baisse des patrouilles. Tout ceci se produit alors que la population de Baltimore ne cesse de baisser au point où elle est revenue à son niveau d’il y a 100 ans, selon le bureau du recensement américain.

    A la fin du mois d’Avril dernier, Baltimore était en passe d’atteindre le taux d’homicides le plus élevé que la ville n’ait jamais connu de toute son histoire.

    Oui, vous avez bien compris.

    La principale raison de toute cette montée de violence, c’est une épidémie d’opioïdes qui est devenue complètement incontrôlable…

    L’épidémie d’opioïdes tue silencieusement et laisse derrière elle une longue file de cadavres dans les rues de Baltimore.

    Voilà ce qu’a déclaré le commissaire adjoint, Dean Palmere, du département de police de Baltimore: "Ceux qui vendent ces drogues à Baltimore, tuent des gens dans nos rues".

    Les overdoses ont tué 2 000 personnes à l’échelle de l’État en 2016, dont plus de 800 personnes à Baltimore seulement.

    Selon les propos tenus en Février par le Dr. Leana Wen, la commissaire à la santé de Baltimore: “il y a plus de décès par overdose aujourd’hui à Baltimore, qu’il n’y a de morts par homicide".

    Ce dernier paragraphe m’a estomaqué lorsque je l’ai lu pour la première fois

    Par conséquent même si à la fin du mois d’Avril, Baltimore était déjà en passe d’atteindre le taux d’homicides le plus élevé que la ville n’ait jamais connu de toute son histoire, aujourd’hui, ces gens meurent plus par overdose qu’ils ne décèdent par balles.

    Et maintenant, la police de Baltimore s’inquiète d’un nouvel opioïde qui serait "100 fois plus puissant que l’héroïne". Cette nouvelle drogue s’appelle le carfentanil ou carfentanyl, et elle peut tuer quasiment instantanément n’importe quel individu. (La molécule est habituellement utilisée pour anesthésier de gros animaux tels que les éléphants)

    Je voudrais partager avec vous une courte vidéo publiée sur youtube il y a quelques jours par Alastair Williamson et qui s’intitule: "The Baltimore Experience". Baltimore est une ville dévastée, sinistrée et je ne pourrais jamais vous l’expliquer aussi bien que cette vidéo…

    Avez-vous vu cette partie vers la fin de la vidéo où Williamson s’arrête pour offrir une bouteille d’eau à un homme qui se trouve au coin de la rue?

    J’espère que cet homme va bien, mais il est assez fréquent de voir des gens allongés comme des zombies dans des villes où une épidémie d’opioïdes fait rage. Ce sont des drogues extrêmement dévastatrices, et elles vous détruisent complètement une fois que vous commencez à les consommer.

    Plus il y a de drogues, plus il y a de violence, et au cours des dernières 24 heures, nous avons vu quatre meurtres insensés à Baltimore…

    Selon les déclarations de la Police: "Deux hommes ont été tués par balles mardi matin dans l’ouest de Baltimore. Les officiers de police se sont rendus à 5h50 du matin sur les lieux des tirs au bloc 2800 de la rue de Lanvale.

    Les agents de police ont trouvé les victimes à l’intérieur et autour d’un véhicule. Les deux ont été abattus d’une balle dans la tête et ont été déclarés morts sur les lieux“.

    Toujours selon les déclarations de la Police, un homme de 35 ans a été abattu lundi soir dans le sud-est de Baltimore.

    Cette victime a été identifiée par la police comme étant Charles Gatuthu, un homme âgé de 35 ans. Cet individu a été abattu d’une balle dans la tête et dans le corps vers 19 h 45 dans le bloc 6100 de la Rue de Boston. Il a été emmené à l’hôpital Johns Hopkins Bayview, où il est depuis décédé.

    Et pour finir, la police a déclaré qu’un jeune homme de 25 ans avait été tué par balles lundi après-midi dans l’ouest de Baltimore Bien entendu, Baltimore est loin d’être la seule ville des Etats-Unis dans ce cas. Récemment, j’ai publié un article qui expliquait à quel point Chicago était devenue une ville infestée de gangs et mardi, nous avons appris qu’il y avait eu un 200ème homicide à Chicago depuis le début de l’année 2017.

    Et lundi, un communiqué officiel a été transmis à tous les membres de la police de Chicago les mettant en garde face aux "armes extrêmement puissantes" qu’utilisent dorénavant les gangs pour tuer des gens…

    Etats-Unis: Hausse de 44 % du nombre de policiers abattus en 2016 par rapport à l’année 2015

    La police de Chicago a publié un communiqué lundi en avertissant ses agents que des gangs détenaient des armes extrêmement puissantes, après que trois personnes aient été tuées par balles au cours du week-end, dont deux assistaient à la cérémonie commémorative en hommage de la victime précédente.

    Anthony Guglielmi, le porte-parole du département a déclaré que les trois personnes avaient trouvé la mort lors de fusillades dimanche et qu’ils faisaient tous partie du même gang. Lorsque l’on lit ceci, il est parfois difficile de croire qu’on parle de l’Amérique.

    Tous ces gens qui tombent dans la drogue et qui commettent ces meurtres étaient autrefois de sympathiques et innocents citoyens américains. A un certain moment, ils ont pris la mauvaise voie, mais cette situation prend d’énormes proportions à travers toute l’Amérique.

    Alors, que devrions-nous faire?

    Nous avons besoin de solutions concrètes. Il faut restaurer les principes et les valeurs qui ont fondé la nation américaine, et nous avons besoin de personnes disposées à faire ce travail et qui sont prêtes à prendre des décisions différentes de toutes celles qui ont été prises jusqu’à maintenant.

    http://www.businessbourse.com/2017/07/17/usa-a-baltimore-on-se-croirait-en-zone-de-guerre-cette-ville-est-rongee-tel-un-cancer-par-une-epidemie-dopioides/

     

  • Le présitante: qui a de l'autorité pour insulter le grand général de Williers, doit mettre cette “autorité“ de tout petit caporal à gueuler vers ceux qui ne font pas leur travail!

    Lettre ouverte à Emmanuel Macron sur la réduction des heures d'aides humaines