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france - Page 99

  • FRANCAIS, FRANCAISES: LA FRANCE, NOTRE FRANCE, EST EN DANGER

    Lu sur Fdesouche

     

    Mouloud Achour : « Nous sommes le grand remplacement »

    Téléramadan sera disponible en juin.

    retrouvez ci-dessous l’édito signé Mouloud Achour, Mehdi Meklat et Badroudine Saïd Abdallah.

    Nous sommes le Grand Remplacement. Sûrement pas celui que les fous peuvent fantasmer. Nous sommes un grand remplacement naturel, celui d’une génération face aux « autres », du cycle de la vie. Nous sommes le présent. Nous sommes le Grand Remplacement d’un système archaïque, qui ne nous parle plus et qui ne nous a jamais considérés comme ses enfants. Nous sommes radicaux dans nos idées : nous irons au bout de la beauté. Nous écrirons quand vous voudrez qu’on se taise, et nous nous battrons quand vous aurez décidé qu’il est l’heure qu’on s’endorme. Nous reprendrons notre place, prise par ceux qu’on autorise à penser. Nous ne voulons parler qu’en NOTRE nom. De NOS gouts et de NOS couleurs. Nous sommes le Grand Remplacement d’une génération qui s’active sur Internet pour contrer les coups bas. D’artistes, seul au front, pour porter tous les combats. De révoltés d’une société qui ne sait plus se regarder dans les yeux et écouter les cœurs qui se battent.

     

    (…) Clique Tv

     

     

  • Refaiseurs d'histoire: Arrêtez de dire n'importe quoi!

    Je tombe des nues: ils veulent refaire l'histoire de France! mais, qui tu est, toi qui donne des leçons à la France!!!!! où était ton grand-père à cette époque?

    Les miens y étaient.

    Chaque famille française....

    j'ai dit: CHAQUE FAMILLE

    a subi des douleurs et des pertes ignobles durant cette guerre, laissant à tout jamais des plaies saignantes ouvertes!

     

    STOP LA REPENTANCE DES IDIOTS!

    STOP LE MAQUILLAGE ET LA MANIPULATION!!!

     

    C'est pas dans nos mœurs de nous prosterner par terre, le cul levé!

     

    La France n’a pas gagné la Première guerre mondiale grâce à l’Afrique et aux Africains

    Dans la grande entreprise de réécriture de l’histoire de France par les partisans du "grand remplacement", la Première Guerre mondiale, et plus particulièrement la bataille de Verdun, constitue un argument de poids. Son résumé est clair: les Africains ayant permis la victoire française, leurs descendants ont donc des droits sur nous.

    Voilà qui explique pourquoi ces ardents défenseurs du "vivre ensemble" que sont MM. Samuel Hazard, maire socialiste de Verdun, et Joseph Zimet, à la ville époux de Madame Rama Yade, et en charge de la Mission du centenaire de la Grande Guerre, ont voulu mettre le sacrifice de millions de Poilus au service de leur idéologie.

    Laissons donc parler les chiffres[1]:

    1) Effectifs français (métropolitains et coloniaux)

     Durant le premier conflit mondial, 7,8 millions de Français furent mobilisés, soit 20% de la population française totale.

    Parmi ces 7,8 millions de Français, figuraient 73.000 Français d’Algérie, soit environ 20% de la population "pied-noir".

    Les pertes françaises furent de 1.300 000 morts, soit 16,67% des effectifs.

    Les pertes des Français d’Algérie furent de 12.000 morts, soit 16,44% des effectifs.

    2) Effectifs africains

    L’Afrique fournit dans son ensemble 407.000 hommes, soit 5,22 % de l’effectif global de l’armée française.

    Sur ces 407.000 hommes, 218.000 étaient des "indigènes" originaires du Maroc, d’Algérie et de Tunisie, soit 2% de la population de ces trois pays.

    Sur ces 218.000 hommes, on comptait 178.000 Algériens, soit 2,28 % de tous les effectifs français.

    L’Afrique noire fournit quant à elle, 189.000 hommes, soit 1,6% de la population totale et 2,42% des effectifs français.

    Les pertes des unités nord africaines furent de 35.900 hommes, soit 16,47% des effectifs.

    Sur ces 35.900 morts, 23.000 étaient Algériens. Les pertes algériennes atteignirent donc 17.98 % des effectifs mobilisés ou engagés.

    Les chiffres des pertes au sein des unités composées d’Africains sud-sahariens sont imprécis. L’estimation haute est de 35.000 morts, soit 18,51% des effectifs; l’estimation basse est de 30 000 morts, soit 15.87%.

    Pour importants qu’ils soient, ces chiffres contredisent donc l’idée-reçue de "chair à canon" africaine. D’ailleurs, en 1917, aucune mutinerie ne se produisit dans les régiments coloniaux, qu’ils fussent composés d’Européens ou d’Africains.

    Des Africains ont donc courageusement et même héroïquement participé aux combats de la "Grande Guerre". Gloire à eux.

    Cependant, compte tenu des effectifs engagés, il est faux de prétendre qu’ils ont permis à la France de remporter la victoire. Un seul exemple: le 2° Corps colonial engagé à Verdun en 1916 était composé de 16 régiments. Les 2/3 d’entre eux étaient formés de Français mobilisés, dont 10 régiments de Zouaves composés très majoritairement de Français d’Algérie, et du RICM (Régiment d’infanterie coloniale du Maroc), unité alors très majoritairement européenne.

    Autre idée-reçue utilisée par l’idéologie dominante: ce serait grâce aux ressources de l’Afrique que la France fut capable de soutenir l’effort de guerre.

    Cette affirmation est également fausse car, durant tout le conflit, si la France importa six millions de tonnes de marchandises diverses de son Empire, elle en importa 170 millions du reste du monde.

    Conclusion: durant la guerre de 1914-1918, l’Afrique fournit à la France 3,5% de toutes ses importations et 5,22 % de ses soldats. Ces chiffres sont respectables et il n’est naturellement pas question de les négliger. Mais prétendre qu’ils furent déterminants est un mensonge doublé d’une manipulation.

    Bernard Lugan

    13/05/2016

    [1] Les références de ces chiffres sont données dans mon livre Histoire de l’Afrique du Nord des origines à nos jours. Le Rocher, en librairie le 2 juin 2016.

    http://bernardlugan

  • Flamby, t'est cramé!

    Trois généraux ont adressé une lettre au président de la République sur sa "responsabilité" face à la "zone de non-droit " de Calais.

    J.-P. Fabre Bernadac

    Ancien officier de Gendarmerie

    Diplômé de criminologie et de criminalistique

    La grande muette retrouverait-elle une partie de sa voix ?

    On peut le croire quand on lit la lettre adressée par trois généraux au président de la République. Nous connaissions déjà l’aventure de Christian Piquemal, interpellé le 6 février par les forces de l’ordre alors qu’il manifestait, presque par hasard en écoutant ses dires, aux côtés du mouvement PEGIDA France. Placé en garde à vue immédiatement (normal, il n’est pas "No Border"), il est dans l’attente de son procès le 12 mai. Devant le silence de ses frères d’armes adorateurs de Ponce Pilate, notamment les présidents de l’UNP (Union nationale parachutiste) et de l’Amicale légionnaire, on pensait que l’affaire s’arrêterait là.

    C’était sans compter sur la réactivité de certains anciens chefs de l’armée française. C’est ce que nous révèle Le Figaro. Trois généraux ont adressé, ce vendredi, à l’Élysée, une lettre au président de la République sur sa "responsabilité" face à cette "zone de non-droit" qu’est devenue Calais. Comme le général Piquemal, ce sont des généraux de 2e section (2s). Il s’agit du général de corps d’armée Pierre Coursier, ancien gouverneur militaire de Lille, et des généraux Antoine Martinez et Jean du Verdier, tous deux aviateurs.

    " Le président de la République française, en vertu de l’article V de la Constitution de 1958, est le garant de l’intégrité du territoire“.

    Ainsi commence la lettre.

    "Sa responsabilité est donc engagée dès lors que des migrants illégaux entrent massivement en France, avec des points de fixation comme Calais et le Calaisis“.

    Ne mâchant pas leurs mots, ils expliquent: "Cette partie du territoire est abandonnée de facto par les autorités de la République“.

    Puis déclarent: "Vous ne pouvez pas vous dérober à vos devoirs“. Et s’indignent de "la situation existentielle désastreuse qui est faite aux habitants de cette région, qui vivent dans la terreur des bandes mafieuses“. Ces hauts gradés estiment que le chef de l’État doit "négocier avec Londres et Bruxelles des modifications" aux traités du Touquet et de Schengen.

    Ils n’oublient pas de dire un mot sur l’arrestation du général Piquemal, indiquant "qu’il s’est rendu pacifiquement sur place pour constater cette capitulation de l’État" et que "par une ironie blessante, il a été arrêté au nom de l’ordre public alors que les migrants illégaux demeurent libres de leurs faits et gestes pendant ce temps".

    Ils demandent au Président de "prendre la mesure de l’indignation que ce paradoxe provoque dans le cœur de beaucoup de Français".

    Enfin, pour terminer (cerise sur le gâteau), ils donnent une leçon de logique et de savoir agir au locataire de l’Élysée: "Il convient, au lieu de s’acharner sur un soldat, fût-il général et patriote, de rétablir l’ordre public à Calais, ce qui suppose l’éradication de la “jungle” (une “jungle” peut-elle exister en République?). Et le renvoi de tous les clandestins dans leurs pays d’origine“.

    Oui, vous avez bien lu!

    D’après le quotidien, de nombreux autres gradés ont encouragé et approuvent cette apostrophe au chef de l’État, sans pour l’instant l’avoir signée. Nicolas Stoquer, secrétaire de l’association Conférence France Armée, à l’origine de cette lettre, souligne: "C’est l’urgence et la situation de crise qui les ont poussés à s’exprimer de manière décomplexée“.

    J’espère et propose que d’autres généraux, officiers et sous-officiers se joignent à ce mouvement courageux de défense des Français.

    Va-t-on entrevoir dans quelques mois la "colère des légions"?  L’avenir nous le dira.

    http://www.bvoltaire.fr/jeanpierrefabrebernadac/la-grande-muette-frappe-fort,242796

     

  • Douce France, cher pays de mon enfance....

    Villeurbanne (69): une église détruite pour laisser la place à des HLM et hébergements d’urgence

    L’église du Cœur Immaculé de Marie démolie. Les bulldozers sont entrés en action. C’est le sort est réservé à cet édifice religieux bâti en 1838 et consacré en 1842, un des derniers vestiges du château de la Ferrandière, dans le quartier des Maisons Neuves, à Villeurbanne.

    Des pans de murs, de même que le sol, resteront en place pour rappeler l’existence de l’église. Une église qui attirait peu de fidèles et coûtait trop cher au diocèse. Elle doit laisser place à un immeuble social construit par Est Métropole Habitat. Outre les logements sociaux, au nombre de dix-sept, il y aura en plus un centre d’hébergement d’urgence en lieu et place de l’église.

    Ce lieu d’accueil pour 70 personnes sera géré par l’association Alynea (Association lyonnaise d’écoute et d’accompagnement). L’association défend ce projet depuis plusieurs années. Un bail de 55 ans a été signé avec le Diocèse. Les premiers locataires et premières personnes hébergées dans le centre sont attendues en septembre 2017.

    (…) France 3 Rhone-Alpes

  • Vive la France!

     

     

     

     

     

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