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occitanie - Page 13

  • Christianophobie

    Photo: basilique St Sernin de Toulouse

    la longue liste des faits antichrétiens en 2022

    En ce début d’année, Famille chrétienne se retourne sur l’année passée et dresse un triste bilan des actes christianophobes en France en 2022. L’hebdomadaire catholique parle d’une " déferlante de vols et de profanations dans toute la France ".

    Les attaques s’étaient faites nombreuses dès le premier mois de l’année puisque, le 5 janvier 2022, un homme détruisait des statues et une vitrine à coups de barre de fer dans la basilique Saint-Denis. Dans la nuit du 6 au 7, on déplorait plusieurs attaques, notamment dans l’église Saint-Germain de Vitry-sur-Seine, dans le Val-de-Marne, l’église Saint-Pierre à Bondy et Saint-Germain-l’Auxerrois à Romainville dans la nuit du 9 au 10 janvier. La nuit précédente, une relique de saint Jean-Paul II avait été volée dans l’église de Paray-le-Monial. En janvier toujours, le 16, dans l’église du Saint-Esprit à Paris, une hostie est profanée, broyée et jetée au sol. L’église avait été cambriolée avec effraction la veille. Le 25 janvier, dans la cathédrale de Blois, un homme en djellaba, armé d’un couteau et portant un Coran semble chercher le curé. L’homme est arrêté par la police à temps.

    Le 16 février, c’est une provocation qui dépasse la sphère catholique : le jeune influenceur Benjamin Ledig se filme en train de twerker dans l’église Saint-Paul-Saint-Louis dans le IVe arrondissement de Paris. Invité sur des plateaux télé, il fanfaronne et récidive. Il est finalement condamné par le tribunal de Paris, le 22 avril. Le 8 avril, dans la cathédrale de Toulouse, un homme surgit en pleine messe les bras chargés d’explosifs. L’édifice et tout le quartier sont évacués, le coupable a été arrêté. Le 24 avril à Nice, un vicaire est agressé à coups de couteau dans son église, une religieuse s’interpose et est blessée à la main. Les deux victimes ont heureusement survécu. Le 1er mai, la paroisse d’Angers est ciblée par des antifas.

    Des paroissiens sont pris à partie et la façade est souillée.

    Le 1er juin 2022, un reliquaire contenant le précieux sang du Christ a été dérobé. L’évêque du Havre avait condamné une "atteinte insupportable à la foi". La relique a fort heureusement été retrouvée un mois plus tard par un enquêteur. Le 4 septembre dernier, deux jeunes catholiques sont accueillis avec du gaz lacrymogène et à coups de poing à la sortie de la messe de l’église Sainte-Bernadette-de-la-Louvière, à Rambouillet, se faisant traiter de "sales racistes, sales cathos, sales Blancs".

    Et la liste pourrait malheureusement se poursuivre.

    En 2021, 857 faits antichrétiens avaient été recensés par le renseignement territorial, soit 52 % des faits antireligieux recensés.

  • Le gouvernement veut briser les reins de FranceSoir

    Liberté de l’information, pluralisme, indépendance des journalistes… Des mots qui servent de paravent au totalitarisme médiatique actuel. Le cas de FranceSoir est emblématique.

    SOUTENIR POUR SE DÉTROMPER

    En France, les publications doivent recevoir un agrément délivré par la CPPAP (Commission paritaire des agences de presse), organisme dépendant du ministère de la Culture. En mars 2021, cet agrément avait été accordé par Roselyne Bachelot, la ministre de l’époque, établissant ainsi que le titre présentait "des informations, des analyses et des commentaires […] susceptibles d’éclairer le jugement des citoyens", comme le veut l’article 2 du décret du 29 octobre 2009 qui fixe les critères d’admission.

    Le 30 novembre 2022, FranceSoir apprend par voie de presse que le ministère a décidé de ne pas renouveler l’agrément CPPAP du journal pour "un défaut d’intérêt général" et que les contenus à propos de la crise du COVID-19 porteraient "atteinte à la protection de la santé publique".

    À quelques mois d’écart, quel grave changement a pu amener la nouvelle ministre de la Culture à désavouer son prédécesseur? La décision serait-elle liée au révélations de FranceSoir avec le dossier Fact & Furious quinze jours avant?

    DÉNIGREUR DES POLITIQUES DE SANTÉ PUBLIQUE?

    FranceSoir est en première ligne depuis l’épidémie du COVID-19. Il fait partie des rares médias à donner la parole à des spécialistes en infectiologie comme le Pr Didier Raoult ou le Pr Christian Perronne. Accusé d’avoir dénigré les "politiques de santé publique" mises en place par le gouvernement, le Pr Perronne est complètement blanchi de ces accusations par la chambre disciplinaire de première instance d’Île-de-France de l’Ordre des médecins le 22 octobre 2022.

    Cette décision montre le professionnalisme des rédacteurs de FranceSoir qui ont ouvert leur média à cet épidémiologiste compétent alors que ses positions étaient contestées par les “experts” officiels déployés par les médias du régime. 

    Les Bras Cassés Du Debunking

    L’agrément de la CPPAP est indispensable car il conditionne la défiscalisation des dons. Or FranceSoir ne vend pas d’édition papier, ses revenus sont issus uniquement des dons de ses lecteurs en ligne. La ministre le sait très bien. La proximité des dates entre les révélations de FranceSoir et la suppression de son agrément incitent à faire le lien. D’autant plus quand on regarde le dossier et les conditions d’agrément de la CPPAP à Fact & Furious, augmentées d’un contrat avec l’AFP et de l’accréditation des médias nationaux et même “oxydantaux”, comme site de “debunkig” anticomplotiste.

    Les compétences de l’individu, ancien militaire et ancien barman opérant seul au fond de son garage, ne sont journalistiques que par l’adoubement des officines ministérielles et de leurs affidés. 

    LA MISSION DE TROMPER

    Cette affaire met à jour les dessous actuels du traitement de l’information. Pour accréditer leurs thèses (COVID, climat, énergie…), le régime en est réduit à faire appel à ce niveau de compétence. Même leurs écoles de journalistes pourtant soigneusement formatés ne sont plus capables de fournir ce type de rédacteur. Le paravent des médias officiels, reconnus et légitimés n’est qu’un décor digne des marionnettes.

    Pendant que des professionnels débitent leurs informations sur les plateaux et dans leurs journaux à grands renforts de subventions, le brouet indigeste est préparé au fond de garages par des bras cassés. Comme Antoine Daoust, fondateur de Fast & Furious, tellement sérieux qu’il a été obligé de fermer son site, mettant à jour tout le montage avec des soutiens de l’AFP à l’Élysée, validés par les médias officiels, tous pris la main dans le sac.

    À ce niveau, ce n’est évidemment plus une erreur, mais une volonté manifeste de tromper l’opinion publique. L’énormité du dossier inciterait à la méfiance, sauf qu’un phénomène similaire de manipulation a été mis à jour aux États-Unis par Elon Musk avec Twitter et que, comme par hasard, les GAFAM s’en sont pris à FranceSoir. En 2021, Google déférençait le titre et YouTube censurait sa chaîne. Les complotistes ont bon dos… 

    SUBVENTIONNE OU LIBRE

    Aujourd’hui en France, les seuls médias reconnus officiellement sont tous subventionnés, et grassement :

    https://www.ojim.fr/aides-a-la-presse-2021

    Source:

    Les rares rédactions dissidentes à l’équilibre économique précaire, sont sous surveillance (Valeurs actuelles, Politique Magazine…), voire persécutées (Rivarol…) ou disparaissent (Minute…). Un seul exemple emblématique: L’Humanité, quotidien d’un Parti communiste incapable de constituer un groupe parlementaire, ne survivrait pas sans l’aide de l’État, alors que le quotidien indépendant Présent a cessé de paraître. 

    Face à la puissance de l’appareil d’État, la situation pourrait sembler désespérée. Elle est au contraire une extraordinaire occasion de manifester un vrai soutien à la liberté d’expression. Toujours dans l’Histoire, seule compte la population dans les rues, aucun pouvoir ne peut résister.

    Ça tombe bien, une manifestation est prévue pour soutenir FranceSoir samedi 14h30, 38 rue Fabert 75007 Paris :

    https://www.francesoir.fr/videos

    Thierry Decruzy

  • Darmanin interdit la marche annuelle en l’honneur de sainte Geneviève

    Sur instruction du ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, la marche annuelle de l’association Paris Fierté, prévue ce samedi 7 janvier dans le 5e arrondissement de la capitale, a été interdite par la préfecture de police de Paris. Dans un communiqué, la préfecture évoque de " forts risques de troubles à l’ordre public " et " l’importante mobilisation des forces de l’ordre ce jour-là sur plusieurs événements".

    Dans un communiqué publié ce jeudi sur la page Facebook de Paris Fierté, communiqué repris sur Paris Vox, les organisateurs de la marche font litière des motifs invoqués par le ministre de l’Intérieur:

    https://www.facebook.com/associationparisfierte/

    " Que ce soit après les attentats de Charlie Hebdo, en plein état d’urgence, lors des Gilets Jaunes et même lors de la crise du covid-19, la préfecture a toujours autorisé la tenue de l’hommage à sainte Geneviève. " remarque d’abord l’association.

    Le ministre met par ailleurs en avant une manifestation organisée par la communauté kurde en hommage à trois militantes tuées en 2013 à Paris. Or, objecte Paris Fierté, ce rassemblement aura lieu à 10h en un quartier très éloigné de la marche organisée par Paris Fierté, laquelle devait débuter à 18h…

    Clairement, Darmanin a fait son choix : les Kurdes pourront manifester, mais les Parisiens qui voudraient rendre hommage à la Sainte Patronne de leur ville, non…

    Cette interdiction est une première, en 18 ans d’existence de cette marche aux flambeaux.

    Paris Fierté dénonce "les propos mensongers de Gérald Darmanin [qui] révèlent clairement la motivation purement politique d’un ministre qui, bien que complètement ridiculisé dans son bilan inexistant contre l’insécurité, se venge sur des manifestations culturelles enracinées" . L’association déclare vouloir déposer un référé-liberté " pour que notre droit élémentaire à organiser un rassemblement pacifique soit respecté".

    Paris Fierté se définit comme une association culturelle de promotion de l’identité parisienne: "Notre association n’est pas politique et n’a rien à voir avec les mouvances citées dans les articles de presse relayant les propos du ministre".

    Le ministère de l’Intérieur et les médias à sa botte la classent naturellement "à l’ultra-droite"…

    Si défendre la France et ses traditions font de vous un membre de l'ultra-droite, alors, j'en suis!

  • Bon à savoir

    Le Smic est revalorisé chaque année au 1er janvier.

    Il est indexé sur l’inflation mesurée pour les 20 % des ménages ayant les revenus les plus faibles. La revalorisation du Smic est effectuée sur la base de la moitié du gain de pouvoir d’achat du salaire horaire moyen des ouvriers et des employés.

    Repères 

    https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F2300

    https://www.urssaf.fr/portail/home/taux-et-baremes/smic.html

    https://www.insee.fr/fr/statistiques/1375188

     

    À compter du 1er août 2022, le montant mensuel du Smic brut est de 1 678,95 euros sur la base de 35 heures hebdomadaires avec un Smic brut horaire de 11,07 euros.

    Le montant du Smic net mensuel est de 1 329,05 euros avec un Smic net horaire de 8,76 euros.

    Le Smic, instauré en France depuis la loi du 2 janvier 1970, est le salaire minimum légal pour les salariés âgés de 18 ans et plus. Cela assure aux travailleurs une rémunération pour leur garantir un niveau de vie minimum. Pour respecter cet objectif, le montant du Smic est déterminé chaque année selon des indicateurs liés à l’inflation et au pouvoir d’achat.

    Smic veut dire: Salaire Minimum Interprofessionnel de Croissance

    Il existe des exceptions à ce salaire minimum pour les salariés. Des abattements sont applicables pour les personnes mineures et les salariés en contrat d’apprentissage. Leur rémunération est par conséquent moins élevée que le Smic “classique”… https://www.aide-sociale.fr/smic-horaire-brut-net/

     

    Avant 1970, on l'appelait: Smig ou Salaire Minimum Interprofessionnel Garanti