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occitanie - Page 9

  • Puni pour avoir restauré un monastère!

    Après avoir pris plus de dix ans pour rénover un monastère à Montagnac et investi plus de 300 000 euros, Olivier Fury s’est vu condamné à remettre l’église en l’état pour travaux non-conformes. Une injustice, estime l’homme qui entend bien faire appel de la décision.

    Olivier Fury, le président de l’association de sauvegarde du monastère des Augustins de Montagnac, vient d’être condamné pour des travaux sans autorisation et jugés non conformes sur une église dont il est propriétaire, révèle Midi Libre vendredi 30 juin. “Je suis abattu”, précise-t-il alors que le tribunal correctionnel de Béziers lui a infligé deux amendes de 3 000 euros, une à titre personnel et l’autre comme président de l’association.

    “Si on doit remettre l’église en état, ce sera avec un bulldozer”

    Il a maintenant six mois pour “remettre l’église en l’état”, sous peine de recevoir une nouvelle amende de 75 euros par jour dépassé. “Mais sous quel état ?” se demande Olivier Fury, lui qui a racheté, en 2011, ce monastère en ruines “sous la pression de la municipalité”, précise-t-il. L’Héraultais a déboursé 360 000 euros pour réparer le trou dans la toiture, les murs ou encore le sol.

     “Il me paraît anormal d’être doublement condamné, mais aussi parce que réaliser ces travaux en six mois, c’est tout simplement impossible”, poursuit l’homme qui entend bien faire appel de sa condamnation.

    (…) Orange Actu

  • Les journaleux du JDD sont les nouveaux Guignols de l’Info

    Il paraît que la démocratie serait en danger. Le pluralisme de la presse serait en péril. Ce que les journalistes et toute la gauche appelle “l’empire Bolloré” serait sur le point de mettre la main sur l’information. C’est encore pire que le passage d’Éric Zemmour à CNews. L’arrivée annoncée de Geoffroy Lejeune à la tête du Journal du Dimanche paraît avoir été un véritable séisme devant lequel l’ensemble des quatre vingts journalistes de l’hebdomadaire se serait mis en grève reconductible jusqu’à mercredi prochain.

    https://www.francetvinfo.fr/economie/medias/canal-i-tele-paris-match-avant-le-jdd-la-mainmise-de-vincent-bollore-sur-d-autres-medias-a-braque-de-nombreuses-redactions_5910392.html

    Jusqu’à ce jour, la presse bien pensante maîtrisait 95 % de l’information, où sous tous les airs, on pouvait insulter Éric Zemmour, vanter l’islam comme religion d’amour et de paix, ne parler que positivement de l’immigration, dénoncer les risques du réchauffement climatique, alerter sur la nécessité de se faire vacciner contre le Covid, encourager Zelensky et l’Otan à écraser la Russie de Poutine, caresser dans le sens du poil l’Union européenne et déverser matin, midi et soir la propagande du mondialisme.

    Le tout en étant gavé de subventions, les plus  fortes du monde, payées avec nos impôts, pour laver le cerveau de nos compatriotes, et compenser le fait que plus personne ne lit leurs journaux, que nous n’oserons appeler des torchons. Le tout avec des abattements fiscaux uniques dans le salariat de ce pays, histoire d’amadouer un peu plus les tenants de cette profession connue pour refuser tout professionnel qui pourrait voter Éric Zemmour ou Marine Le Pen, et pour comporter, dans les rédactions, environ 90 % des effectifs se vantant de voter à gauche.

    C’est dans ce contexte que la vaillante rédaction du Journal du Dimanche a donc décidé de se mettre en grève générale reconductible ; on ignore si ce mouvement sera insurrectionnel. Les valeureux plumitifs s’estiment violés par l’arrivée, voulue par leur employeur, Vincent Bolloré, celui qui signe leur chèque de fin de mois, de Geoffroy Lejeune à la tête de la rédaction.

    https://www.fdesouche.com/2023/06/25/geoffroy-lejeune-ecarte-de-valeurs-actuelles/

    Pourtant, toute la profession avait poussé des cris de joie à l’annonce du licenciement du jeune journaliste, directeur de la rédaction de Valeurs Actuelles, par son propriétaire, par ailleurs marchand d’armes dépendant de ses ventes avec l’État français, donc de ses bonnes relations avec Emmanuel Macron. De même qu’ils avaient réclamé, et obtenu, le licenciement de Robert Ménard ou d’Éric Zemmour, quand ils officiaient à LCI.

    Mais le boomerang leur est revenu en pleine figure, surtout que nombre de cadres de la rédaction de Valeurs Actuelles a décidé de démissionner et de suivre leur ancien chef.

    Donc, ils sont en grève. Défendent-ils le pluralisme de l’information ? Cela va être difficile à expliquer, dans un contexte où, au lieu de 95 %, le mondialisme ne sera plus défendu que dans 94 % des médias ? Défendent-ils le droit des salariés ? Il n’était pas menacé. Défendent-ils la démocratie ? Seuls les aveugles n’ont pas compris que les médias de propagande sont la béquille du système, qu’ils contribuent au lavage de cerveau massif des Français, et sont des armes de destruction massive de notre pays. Alors que veulent les journaleux du JDD ? La réponse est fort simple : encore davantage de sous !

    En effet, ces nantis bénéficient de deux autres avantages uniques dans le monde du travail : la clause de cession, et la clause de conscience. Elles peuvent se cumuler. Un journaleux peut ainsi bénéficier d’un mois de salaire par année d’ancienneté, mais par certaines magouilles, il peut largement gonfler cet acquis. Il est donc fréquent qu’un journaliste parte avec 100.000 euros d’indemnités, parfois davantage (cela peut monter à 400.000 euros !), et retrouve par ailleurs du travail immédiatement, dans une rédaction amie, pour récompense de ses loyaux services, avec le soutien des syndicats de journaleux et des sociétés de rédacteurs.

    Le tout payé par nos impôts, bien sûr. Cela n’empêche pas l’ensemble des rédactions, toute honte bue, de soutenir le combat jugé exemplaire des salariés du JDD, ni la ministre de la Culture de gémir au péril démocratique, ni l’ensemble de la gauche de hurler au putsch médiatique. Et ce sont les mêmes, bien sûr, qui tanceront les Gilets jaunes, et expliqueront aux Français qu’il leur faut faire des sacrifices, dans l’intérêt général, quand eux-mêmes se gavent et vivent fort bien du système.

    On n’a par ailleurs entendu aucun de ces plumitifs, qui se réclament des règles de la démocratie, évoquer la scandaleuse interdiction de rassemblement du Parti de la France devant le ministère de Darmanin, quand une manifestation de soutien à un islamiste a lieu sans problème dans le Nord.

    https://ripostelaique.com/la-manifestation-du-parti-de-la-france-vient-detre-interdite.html

    https://www.fdesouche.com/2023/06/25/hautmont-59-une-manifestation-organisee-en-soutien-a-un-imam-expulse-en-algerie-pour-apologie-du-terrorisme-abderrahim-sayah-etait-notamment-accuse-davoir-fourni-de-faux-papiers/

    De même qu’on ne les entend pas défendre la liberté de l’information quand le groupe Bolloré, de CNews à C8, se voit harcelé par l’Arcom, qui lui a déjà infligé 4 millions d’euros d’amende.

    Donc, que les journaleux qui ne sont pas contents de travailler avec Geoffroy Lejeune prennent leur chèque, dégagent, laissent la place à des vrais professionnels, venus de Valeurs Actuelles et d’ailleurs, et qu’ils aillent vendre leur soupe dans des rédactions amies, qui leur feront de la place.

    Que ces Guignols de l’Info version 2023 se fassent oublier, et que le JDD connaisse la même progression avec Geoffroy Lejeune que CNews avait connu avec la venue d’Éric Zemmour…

  • Pour les messieurs et autres "fan-es"

    "fan-es": ben oui, quoi, c'est de l'écriture inclusive, hahahaha

     

  • Portrait obligatoire:

    un maire remplace celui de Chéri-Bibi par une photo minuscule

    "C’est un portrait aux dimensions de l’estime que j’éprouve pour ce président", lance Xavier Rosalie, le maire de Piffonds (Bourgogne-Franche-Comté), accrochant au mur un grand cadre contenant une toute petite photo du très narcissique Chéri-Bibi.

    Cet élu a tenu à marquer son opposition à la très récente proposition de loi visant à rendre obligatoire l’affichage du portrait officiel du président de la République dans chaque mairie.

    "Ce président nous impose encore une fois des choses de dictateur, je vais respecter la loi, je vais afficher le portrait que j’ai choisi, qui correspond le mieux au président de la République actuel par cette miniature", tout en déclarant que "ce petit homme" aura marqué l’histoire par sa "méchanceté envers le peuple et envers la patrie".

    Scandaleux aussi, ce “détail” inacceptable qu’est la présence des Nourritures terrestres, ignoble ouvrage du pédophile André Gide, que Chéri-Bibi a délibérément mis en place d’honneur sur cette photo et auquel personne n’a jamais demandé de justification…

    À noter que David Lisnard, président de l’AMF, lequel se targue de culture, donc connaît forcément le pédophile Gide… fait toujours semblant de ne pas avoir remarqué la présence de l’épouvantable livre de cet écrivain obscène, que cet homme se voulant de culture… connaît forcément, pas davantage que n’avait réagi François Baroin, son prédécesseur…

    Le silence de l’AMF et des édiles français est révélateur d’une collusion très malsaine avec Chéri-Bibi.

    Ce silence forcené et continu des édiles, des élus et des parlementaires de tous bords, prouve combien ils ne sont en fait, comme les médias, que les domestiques du pouvoir. L’on n’ose penser qu’ils soient tous pro-pédo…

    C’est un peu facile de parler de pédocriminalité, de pédopornographie, l’air outré… et de se taire face à ce qui est a minima une provocation gravissime.

    Désormais, pour aborder ce sujet délicat et douloureux, il va leur falloir être crédible et le prouver, exigeant de chacun de nos représentants, de se positionner clairement quant à ce portrait officiel, exigeant d’eux d’avoir lu ce livre, que leur silence cautionne, pour certains depuis 2017…

    Portrait pour portrait, chaque maire se disant d’opposition et contre la pédophilie devra prendre exemple sur le maire de Piffons, ajoutant à côté une grande photo de la couverture des Nourritures terrestres avec quelques lignes de commentaires, expliquant ce qu’est ce livre et qui était André Gide.

    C’est ainsi que nous reconnaîtrons les sincères des falsificateurs.

    Daphné Rigobert

    Très drôle je dois reconnaître. Et ça ramène effectivement Chéri-Bibi à sa juste dimension.

  • Relever la tête face à Pap Ndiaye

    C’est une attaque ultra violente, venue troubler la quiétude de ce beau dimanche de mai. Pap Ndiaye est l’invité de Francis Letellier sur France 3, et se voit interrogé à propos de la couverture de Valeurs actuelles qui le consacre "ministre de la destruction nationale". La couverture annonce la couleur: "Mixité forcée, propagande idéologique, islamisation, effondrement scolaire: SOS pour l’éducation de nos enfants". Accusations graves, il est vrai, simple relais de l’angoisse de centaines de milliers de parents méprisés par ce ministre en sursis.

     Il doit répondre. Que répond-il?  "Je ne lis pas la presse d'extrême droite". Notre couverture, sur son bilan accablant? "C'est pour moi un sujet de fierté", son "badge d'honneur". Comment, pourquoi ose-t-il? En raison de la "longue histoire" qui court "de Gringoire jusqu'à Valeurs actuelles".

    Gringoire donc, donc journal antisémite et collabo arrêté après la libération. Valeurs actuelles, journal conservateur interrompu pendant la guerre. Ils osent tout…

    Vous êtes nombreux à nous avoir écrit pour nous suggérer de porter plainte pour injure ou diffamation contre le ministre. Injure? Assurément. Diffamation? A tout le moins. Mais nous avons réfléchi cette semaine à la manière de relever la tête face à Pap Ndiaye. Car au fond, cette affaire vous concerne autant que nous.

    Qui est Pap Ndiaye? Un historien, certes. Un déconstructeur pur jus, surtout, adepte des pires thèses racialistes prêchées sous le vernis de la respectabilité, souvent depuis les États-Unis, où elles trouvent leur source. Un hypocrite de plus, qui vante les mérites d’une école qui s’effondre tout en protégeant ses enfants de celle-ci en les abritant dans la très chic et sélect école alsacienne de Paris. Un ministre incompétent - ou plutôt malfaisant - de plus, qui promeut l’aggravation des maux qui nous ont conduit à ce désastre.

    Certains l’ont remarqué, nous n’avions pas attaqué Pap Ndiaye au moment de sa nomination, car nous voulions éviter les procès d’intention et espérions un miracle. Un an plus tard, notre procès était étayé, sourcé, implacable. Entrisme islamique a l’école, baisse du niveau, insécurité, professeurs abandonnés, délires pédagogiques, propagande LGBT: tous les maux de l’école y étaient consignés.

    Le ministre aurait pu y répondre. Mais non. Il a décidé de faire comme font tous ceux qui fuient leur responsabilité: fermer les yeux. Et pour mieux accompagner sa dérobade, il nous accuse. Quand le ministre répond "extrême droite", c’est vous qu’il insulte. Comme tous ceux avant lui qui, depuis quarante ans, répondent « extrême droite » à qui ose pointer un problème. Sécurité, immigration, Europe, industrie, fiscalité, organisation du territoire, démocratie… Lamentez-vous et on vous répondra: "extrême droite".

    Pendant longtemps, cela a fonctionné. Vous baissiez la tête, culpabilisiez parfois. Eux sont restés aux affaires et ont continué, en toute impunité, à guider notre pays vers l’abîme.

    Le mérite de l’affaire Pap Ndiaye, c’est de nous faire réaliser qu’il est temps que cela cesse. Vous n’êtes pas d’extrême droite parce que vous êtes inquiets. Nous ne nous laisserons plus intimider, nous ne laisserons plus criminaliser l’inquiétude de tous ceux qui votent à droite de Sandrine Rousseau. Il est temps de relever la tête.

    Dans les jours qui viennent, Valeurs actuelles, puisque c’est son rôle de sonner le tocsin, annoncera une initiative de grande ampleur pour contraindre le ministre de l’éducation nationale à assumer son bilan. Nous relaierons ainsi l’inquiétude de millions de parents et mènerons un combat vital pour l’avenir de la France. Soyez présents, répondez à l’appel. Et ensemble, nous relèverons la tête face aux déconstructeurs.

    La honte doit changer de camp.

    Geoffroy Lejeune

    Directeur de la rédaction de Valeurs actuelles

    https://www.valeursactuelles.com

  • JE VOUS SOUHAITE UN JOLI MOIS DE MAI

    …. avec, comme il se doit, beaucoup, beaucoup de bonheur.

    Chantez!!!

    C’est une vielle chanson occitane et galante. Comme elle est occitane, elle a moultes variantes à proportion des variations de cette langue selon les régions. Et la variété se redouble évidemment quand on la traduit en français, selon les traducteurs et leur habileté.

     

    Voici le mois de mai

    Lles fleurs volent au vent (bis)

    Les fleurs volent au vent si jolie mignonne

    Les fleurs volent au vent si mignonnement

     

    Le fils du roi S'en va les ramassant (bis)

    S'en va les ramassant si jolie mignonne

    S'en va les ramassant si mignonnement

     

    Il en ramasse tant

    Qu'il en remplit ses gants (bis)

    Qu'il en remplit ses gants si jolie mignonne

    Qu'il en remplit ses gants si mignonnement

     

    A sa mie les porta

    Les donna en présent (bis)

    Les donna en présent si jolie mignonne

    Les donna en présent si mignonnement

     

    Tenez tenez, dit-il

    Tenez voici des gants (bis)

    Tenez voici des gants

    Si jolies mignonnes

    Tenez voici des gants

    Si mignonnement.

     

    Vous ne les mettrez guère

    Que quatre fois par an (bis)

    Que quatre fois par an

    Si jolies mignonnes

    Que quatre fois par an

     

    À Pâques à la Toussaint

    Noël et la Saint-Jean (bis)

    Noël et la Saint-Jean

    Si jolies mignonnes

    Noël et la Saint-Jean

    Si mignonnement.