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occitanie - Page 20

  • Bon à savoir

    L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) publie régulièrement la liste des effets secondaires associés aux « vaccins » utilisés en France contre le Covid-19. Du moins ceux qui lui ont été remontés du terrain : de nombreux praticiens préfèrent, pour des raisons qu’on devine aisément (la profession pratique volontiers l’adage « pour vivre heureux, vivons cachés »), éviter d’alerter l’ANSM par l’intermédiaire de sa plateforme dédiée et attribuer l’état de leurs patients à des causes annexes. l’ANSM utilise également les synthèses des enquêtes menées les centres régionaux chargés de la pharmacovigilance et des mises à jour du suivi des vaccins. Ces enquêtes sous-estiment vraisemblablement fortement les remontées du terrain. Pour l’instant, en France, seuls deux praticiens ont eu le cran d’assigner un laboratoire en justice.

     

    ***

     

    Après ceux liés aux vaccins de Moderna et Pfizer, l’ANSM publiait le 29 avril dernier la liste mise à jour des effets indésirables associés au vaccin AstraZeneca (prudemment renommé Vaxzevria par le laboratoire anglo-suédois… ). La liste est longue : prenez votre souffle, cher lecteur :

     

        Saignements cutanéo-muqueux (principalement des ecchymoses et des saignements du nez),

        Elévation de la pression artérielle,

        Dyspnées et asthme associés à des syndromes pseudo-grippaux,

        Pathologie démyélinisante centrale,

        Erythème noueux,

        Colite ischémique,

        Vascularites,

        Surdité/baisse de l’audition,

        Myocardites/Péricardites,

        Troubles du rythme cardiaque,

        Echecs vaccinaux,

        Vascularites cutanés,

        Artérites à cellules géantes,

        Pancréatites,

        Syndrome de Parsonage-Turner,

        Sarcoïdose,

        Maladie de Still,

        Evénement thromboembolique veineux et artériel,

        Infarctus du myocarde,

        Pseudopolyarthrite rhizomélique,

        Réactivations virales,

        Vascularite nécrosante systémique,

        Syndromes pseudo-grippaux : l’Agence européenne du médicament (AEM) a conclu à l’existence d’un lien entre le vaccin AstraZeneca-Vaxzevria et la survenue de syndrome pseudo-grippaux.

        Thromboses associées à une thrombocytopénie : à ce jour, on retient un total de 30 cas répondant à la définition de thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin (TTIV),

        Syndrome de fuite capillaire : l’AEM a conclu que le vaccin AstraZeneca-Vaxzevria peut entraîner de façon extrêmement rare un syndrome de fuite capillaire et a considéré que le vaccin AstraZeneca-Vaxzevria ne doit pas être utilisé chez les patients ayant des antécédents de syndrome de fuite capillaire. Le résumé des caractéristiques du produit (RCP) et la notice ont été mis à jour avec ces informations,

        Syndrome de Guillain-Barré (SGB) : après une analyse des cas de syndrome de Guillain-Barré déclarés en Europe, l’AEM considère qu’ils constituent un effet secondaire possible très rare du vaccin AstraZeneca-Vaxzevria. La mention de cet effet indésirable figure dans le RCP et la notice de ce vaccin,

        Thrombopénies immunitaires : l’AEM a conclu à l’existence d’un lien entre le vaccin AstraZeneca-Vaxzevria et le risque de thrombopénies immunitaires. La mention de cet effet indésirable, accompagnée d’un avertissement pour les professionnels de santé et les patients figure désormais dans le RCP et la notice de ce vaccin,

        Paralysie faciale : l’AEM a conclu à l’existence d’un lien entre le vaccin AstraZeneca-Vaxzevria et le risque de paralysie faciale. La mention de cet effet indésirable figure désormais dans le RCP et la notice de ce vaccin,

        Myélite transverse : l’EMA a conclu à l’existence d’un lien entre le vaccin AstraZeneca-Vaxzevria et le risque de myélite transverse.

  • En mai, fais ce qu’il te plait: les racailles ont compris le message

    A l’attention de messieurs les ministres de la Justice – Garde des Sceaux et de l’Intérieur, quelques "faits divers" au cours de ces mois d’Avril et Mai 2022 dans notre "Douce France" où, selon eux, l’insécurité ne serait qu’un sentiment!

    Semaine 18: du 30 avril au 06 Mai.

    30/04 – Garges-les-Gonesse (95): Il "fréquentait" une jeune fille d’origine algérienne, Brandon, d’origine indo-ivoirienne, a été poignardé à mort par le frère pour l’unique raison qu’il était "Noir". Et ils nous traitent de "racistes"!

    Aurillac (Cantal)): En plein centre-ville, rues Duclaux et de la bride, des bandes de jeunes se sont affrontées. Les passants se sont réfugiés dans les magasins. Les habitants se plaignent de l’insécurité grandissante et affirment que leur ville "se ghettoïse".

    Toulouse (31): Des employés des bus "Tisséo" ont été agressés par des jeunes voyous en scooter et armés de couteaux et de machettes. Deux jeunes de 18 ans ont été interpellés.

    01/05 – Grenoble (Isère): Un étudiant grenoblois, de nationalité et d’origine égyptienne, a été mis en examen et placé en détention provisoire pour avoir violé une étudiante lors d’une soirée

    Saint-Hilaire-du-Harcouët (50): En pleine rue, suite à une altercation avec 5 jeunes, à la fermeture du bar "Le Pearl", un homme de 29 ans a été poignardé à mort. Trois de ses agresseurs sont actuellement en garde à vue.

    Bordeaux (Gironde): Un gardien de la paix bordelais d’une cinquantaine d’années, qui se promenait avec son épouse et ses enfants, a été sauvagement agressé par un individu "quand il lui a montré sa carte de policier". L’individu a vu rouge et lui a cassé une bouteille sur la tête, avant de le rouer de coups lorsqu’il était à terre. Il a été appréhendé.

     

    **Selon le Ministère de la Justice, au 31 mars 2022, 25,54% des détenus dans nos prisons sont des étrangers, alors qu’ils ne représentent que 7,7% de la population française, soit 5,2 millions de personnes (Clandestins non comptabilisés!)

     

    02/05 – Dans le quotidien "Le Monde", 176 élus, de la gauche à la droite, "appellent l’Etat à assumer ses responsabilités régaliennes dans le département de l’Essonne": 25% de tous les "faits divers" recensés en France ont lieu dans ce département: agressions à l’arme blanche, rixes, affrontements entre bandes, morts tragiques, adolescents poignardés ou tabassés à mort, etc. "Trop c’est trop"!

    Lyon (69): Avec un couteau sous la gorge, trois individus étrangers, d’origine roumaine, enlèvent une femme en pleine ville, le forçant à monter dans une voiture, à Confluence, dans le quartier de la Presqu’île. Les policiers municipaux parviennent à les intercepter sur le cours Charlemagne.

    Toujours à Lyon, dans le quartier de la Duchère, un "barbecue" sauvage s’est terminé en fusillade à la Kalachnikov. Une dizaine de coups de feu ont été entendus et trois individus ont été blessés par balles, dont l’un entre la vie et la mort.

    Nantes (Loire Atlantique): Un individu âgé de 40 ans, dont on ignore l’identité et l’origine, a tenté de violer une jeune femme en pleine rue, place Foch: "il venait de sortir de garde à vue".

     

    03/05 – Le parquet de Grenoble a désigné "l’ultra-gauche" comme responsable de l’incendie criminel du pont de Brignoud, entre Grenoble et Chambery: une catastrophe pour les commerçants de Crolles (Isère), ville de 8000 habitants.

    Juan-les-Pins (06): Un migrant roumain, âgé de 46 ans et en situation irrégulière, a violé, en pleine rue Maréchal-Joffre, près de la gare, une jeune femme de 24 ans, après l’avoir frappée. Il a été appréhendé et placé en garde à vue.

    Bayonne (64): Surpris en pleine tentative de viol, un migrant, mineur non accompagné en situation irrégulière, a été roué de coups et reçu trois points de suture, avant d’être placé en garde à vue. Plusieurs objets volés ont été retrouvés sur lui.

     

    Encore à Nantes, refusant d’être contrôlé, alors qu’il conduisait sans permis, un chauffard, âgé de 21 ans, a pris la fuite entraînant un policier sur une cinquantaine de mètres. Le drame a été évité de justesse. Le conducteur s’est présenté au commissariat quelques heures plus tard.

    04/05 – Avignon (Vaucluse): En plein centre-ville, rue des Teinturiers et à proximité d’un point de drogues, Eric Masson, policier de 36 ans, a été abattu par un individu qui a fait feu à plusieurs reprises sur les forces de l’ordre. Trois suspects ont été appréhendés dont l’auteur de l’assassinat.

    Paris (75): Porte de Clignancourt, dans le 18e arrondissement, plusieurs policiers ont été violemment agressés par des migrants clandestins en situation irrégulière. Une policière a été blessée au visage et trois des agresseurs ont été interpellés et placés en garde à vue.

    Marseille (13): Alors qu’il se promenait dans le parc de la Moline, dans le 12e arrondissement, un homme de 54 ans a osé demander à un individu " de baisser le son de sa musique ". Il a été poignardé dans le dos et blessé gravement, bien que son pronostic vital ne soit pas engagé. L’auteur de l’agression à pris la fuite.

    Toujours à Marseille, une soixantaine d’habitants ont quitté leur logement, une résidence privée dans la barre G de la cité Kalliste, située dans le 15e arrondissement, terrorisés par des squatteurs, migrants clandestins nigérians en situation irrégulière. Sur fond de prostitution, de trafic de drogues et d’affrontements entre bandes à coups de machette dans les parties communes, leur quotidien est devenu un enfer.

    Rennes (35): "Parce qu’il l’avait mal regardé", le dénommé Anli Deza, 20 ans, a agressé un homme dans le métro, à la sortie d’un spectacle, puis lui a volé sa sacoche sous la menace d’un couteau. Il a été condamné à un an de prison ferme.

     

    05/05 – Abeilhan (34): Un individu âgé de 26 ans a assassiné d’une quarantaine de coups de couteau, après lui avoir attaché les mains et conduit dans les vignes, un homme de 34 ans " pour une dette concernant un trafic de stupéfiants. Il a été mis en examen, ainsi qu’un complice.

    Coignières (Yvelines): C’est l’effroi, l’horreur absolue "On s’aimera jusqu’à la mort, inchallah" avait écrit Liza, 31 ans, sur son profil Facebook: Elle était amoureuse d’un migrant algérien de 27 ans "qui l’a tabassée jusqu’à que mort s’ensuive". Ce drame s’est produit dans la résidence sociale Adef "où des faits de harcèlement envers les femmes avaient été signalés au procureur de la République. L’assassin a été interpellé.

    Nancy (Meurthe-et-Moselle): Il y a huit jours il avait violé une jeune femme de 22 ans en pleine rue. Arrêté, il s’agit d’un individu qui avait été condamné, en 2010, à vingt ans de prison " pour avoir tué une grand-mère de 79 ans, de 82 coups de couteau, alors qu’elle était alitée et qu’il cambriolait sa résidence à Bourgbourg, près de Dunkerque ".

     

    06/05 – Cahors (Lot): Expulsé de Suède et sa demande d’asile rejetée en France, un pédophile Afghan, âgé de 22 ans, hébergé dans le parc social, agresse un petit garçon de 9 ans "lui imposant une masturbation et possédant 71 fichiers pédopornographiques mettant en scène des enfants". Il est condamné à 30 mois de prison ferme. Sera-t-il expulsé?

    Strasbourg (67): Une douzaine de mineurs agressent un homme de 26 ans dans un tram de la ligne A en plein centre-ville et peu après minuit. Il est gazé, tabassé et dépouillé de sa carte bancaire, son portable et 200 euros. Ils ont été interpellés et placés en garde à vue.

    Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme): En octobre 2016, alors qu’il avait 17 ans, Philippe Sow, né en Guinée, migrant et fils d’un ministre guinéen, avait violé une étudiante dans un buisson, à quelques mètres de l’entrée de son immeuble: "Il voulait lui faire mal, et même la tuer". Aujourd’hui, à 26 ans, Il vient (enfin) d’être condamné à dix ans de réclusion criminelle.

    Marseille (13): Parti avec un ami de Cergy, dans le Val d’Oise, à Marseille, dans les quartiers nord, pour dealer et se faire de l’argent, Jacques, 18 ans aujourd’hui, avait poignardé à mort justement   “ce même ami ", âgé de 24 ans, le 17 novembre à Marseille. Il est actuellement jugé" par la cour d’Assises du Val d’Oise.

     

    Castres (81): Un migrant clandestin de 29 ans, sous le coup d’une OQTF notifiée en 2020, terrorise les riverains de la rue Georges Layrac et blesse 5 policiers "Allah Akhbar, je vais tuer les mécréants et vous saigner comme des porcs", hurlait-il. Il avait " une mission ": s’en prendre à des policiers!

    Guyane – Trois individus ont pénétré dans l’église, ouverts le feu et tué le pasteur âgé de 44 ans, blessant sept autres membres de sa famille, qui ont été évacués vers le Centre Hospitalier de l’Ouest Guyanais. L’église a ensuite été incendiée.

     

    Espagne – Des ONG, complices des passeurs illégaux, notamment la CGT de Ceuta, ont dénoncé les arrestations et les expulsions immédiates de migrants clandestins marocains en situation irrégulière dans plusieurs villes du pays " aussi bien par voie aérienne que maritime " vers des zones plus éloignées des frontières.

     

    Belgique – Bouillon: Choisi au hasard, en pleine rue, un passant a été poignardé de 4 coups de couteau par un réfugié afghan du centre Fedasil qui, bien entendu, aurait des troubles psychologiques. Il a été placé en détention.

     

    Toujours en Belgique, mais à Liège, la jeune Ahlam Younan, 28 ans et d’origine syrienne, a été retrouvée ligotée et exécutée d’une balle dans la tête par son propre frère, Gerges, domicilié en Suède mais arrêté en Syrie, où il s’était réfugié. Il reprochait à sa sœur son style de vie européen et ses fréquentations.

     

    3351 migrants "mineurs clandestins non accompagnés" sont arrivés en Belgique en 2021. 69% d’entre eux ont été "déclarés majeurs", après que des tests d’âge aient été effectués

     

    Manuel Gomez

     

    Depuis le temps, vous devriez savoir qu'il faut les excuser: ils n'ont pas les codes!

  • Avec Foutriquet et sa perruque, le pire n’est pas une option

    Longtemps, l’on s’est  moqué de l’Italie et du guignolo Berlusconi! Ah! L’on ricanait bien de ses lifts, de ses cheveux peinturlurés, de ses inclinations sexuelles…

    Avez-vous réalisé ce qui vient de nous advenir ? En termes d’image de marque, ce n’est pas mieux voire pire…

    On vient d’en reprendre pour cinq ans avec un ado mal fini qui a tendance à toucher tout le monde et surtout les hommes… C’est un cinglé qui ne sait pas se tenir et se croit tout permis. A quarante-quatre ans, l’on peut diagnostiquer un cas grave à problèmes multiples !

    source:

    Tentant de dissimuler sa calvitie, il balade partout une perruque ridicule, de plus en plus longue et frisotée. Très fier de son nouveau look, il va vouloir le faire admirer de la totalité de la planète.

     Donc depuis cinq ans et pour cinq ans encore, nous aurions pour Potiche officielle un monsieur, de 77 ans, déguisé en dadame lequiel, alors que son mari fait la promo des transsexuels, ne s’assume pas.

    Étant plus que narcissique, il est probable que Foutriquet refasse son portrait officiel. Le monde entier s’étant moqué de ses photos barbe de trois jours, en sweat-shirt façon je fais la guerre comme Volodo, il devrait y arborer un costard cravate, à moins qu’il nous la joue manches retroussées et chemise ouverte sur son poitrail survelu, comme à Marseille…

    Pour changer du pédophile Gide, il pourrait poser sur son bureau : Cette fille c’était mon frère d’Anne Peters, Le grand bazar de Daniel Cohn-Bendit, Lolita de Nabokov et les œuvres complètes du marquis de Sade. Et aux murs différents tableaux de Balthus…

    Et ce sera l’occasion de nous divertir plus encore. D’aucuns pourront vérifier dans chaque mairie que, contrairement aux Français qui ne sont rien, le génial Macron a tellement plus de cheveux qu’en 2017 et, grâce à Photoshop, moins de rides encore.

    La France n’est plus qu’une république bananière représentée par l’imposture, l’indécence et la vulgarité.

    Cette réélection nous aura enseigné que pour avoir fait le choix d’un tel individu, 58% des inscrits et la totalité des abstentionnistes ne savent plus ce que honte signifie et vont l’apprendre à nos dépens.

     Daphné Rigobert

  • Horreur, malheur!

    Un locataire: j'ai honte de la France… oui, moi aussi

    Effondrement partiel d’un immeuble à Lyon : les habitants, interdits d’accès, ont vu leurs appartements squattés et cambriolés (MàJ)

    Depuis 70 jours, l’immeuble au 178 route de Genas, dans le 3e, est amputé d’un mur porteur. Et durant tout ce temps, les habitants, interdits d’accès, ont vu leurs appartements cambriolés au moins quatre fois. Une situation pénible, qui dure.

    Le 22 février dernier, la vie des habitants de tout un immeuble a basculé. Au 178 route de Genas, à la frontière du 3e  arrondissement de Lyon et Villeurbanne, un pan de mur s’est effondré et la vie s’est arrêtée sur une petite zone désormais inaccessible de la route, mais aussi du jardin associé à la propriété attenante. Pourtant, l’incident n’a fait que deux blessés légers, mais la situation, liée à un arrêté de péril n’a pas évolué pour les locataires et les propriétaires depuis 70 jours.

    Quentin habite, ou plutôt habitait au 1er  étage. Il n’était pas présent lors de l’effondrement. " Depuis, je me suis débrouillé par moi-même " explique-t-il. Ma chance, c’est que j’avais, avec moi, mes papiers et ma carte bleue. Car…

    (…) Le Progrès

    16/04/2022

    Le mardi 22 février 2022, vers 15h30, les sapeurs-pompiers de Lyon sont intervenus après l’effondrement d’un immeuble d’habitation de deux étages route de Genas, dans le 3e arrondissement de Lyon.

    Léa*, qui vivait seule dans un appartement qu’elle loue dans cet immeuble depuis bientôt deux ans, est, depuis le 22 février, relogée chez des amis. En plus d’avoir été forcée de quitter cet immeuble à moitié effondré, elle déplore avoir subi des pillages et des squats.

    Un arrêté de péril imminent a été déposé sur cet immeuble, dont un pan s’est effondré. Concrètement, même si certains appartements comme celui de Léa n’ont pas été touchés, les risques de nouveaux effondrements ne sont pas écartés. Il est donc interdit de venir récupérer ses affaires.

    "On n’a pas le droit de rentrer", déplore Léa. "Ils vont mettre des portes anti-intrusion, mais maintenant, c’est trop tard. Il fallait faire ça avant! C’est triste. On a tout perdu. Nous, on respecte les règles et au final, on vient nous dépouiller". 

    (…)

    J’ai peur que ça retourne contre nous alors qu’on est victime : si ça s’écroule sur les pilleurs ou les squatteurs, ce sont les propriétaires qui sont responsables. Ce n’est pas normal, c’est à la Métropole et à la Ville de Lyon de sécuriser l’immeuble. C’est le monde à l’envers.

    Léa, victime de l’effondrement de l’immeuble route de Genas, à Lyon

    Cinq logements ont été cambriolés de la même manière. "Ils ont touché le jackpot, ils se sont bien servis. C’est un truc de dingue. On est suivis par des psychologues, on n’arrive plus à dormir, on fait des cauchemars. J’ai honte de la France“.

    "On n’a aucun soutien"

    Selon Léa, " la mairie et la métropole ne nous appellent pas, on n’a aucun soutien. Ils proposent des relogements provisoires, mais je n’y suis pas“ : ils m’avaient trouvé un hôtel résidence, mais avec mon travail, ce n’est pas possible, c’est trop loin". 

    (…)

    On vit un cauchemar. On se fout de notre gueule. On ne va pas se laisser faire. On est encore sous le choc, tous, et le mot est faible. Ils nous ont brisé nos vies. Rien n’a été fait, il faut agir. On a vraiment tout perdu. C’est très violent psychologiquement. Si on n’est pas fort mentalement on se fout en l’air.

    (…) Actu.fr

  • Parlez français, non de d….!!

    Franglais, dialecte des banlieues et mots creux: 3 menaces pour la langue française

    Nous sommes profondément attachés à la grandeur et à l’influence de la France dans le monde dont une des composantes majeures réside dans une Défense nationale puissante et crédible.

    Mais la défense de notre langue en est un des facteurs non moins essentiels et vitaux non seulement pour tenir notre rang international mais également afin de maintenir la cohésion nationale au sein d’une communauté d’appartenance.

    De nos jours en effet, la langue française est aux abois. Elle est attaquée simultanément par trois menaces dont les effets délétères se cumulent et dilapident notre patrimoine linguistique.

    L’usage intempestif du " franglais"

    L’émergence corrosive d’un dialecte des banlieues

    L’inflation de mots creux et d’expressions passe-partout

    L’usage intempestif du "franglais"

    Il est démontré par l’Académie française en 2021. Pour illustrer ce constat, un exemple concret a été choisi : il s’agit de la création de la nouvelle carte d’identité nationale (CNI). Cette récente version bilingue (traduite in extenso en anglais), entre en contradiction avec la Constitution, la loi Toubon de 1994 qui stipule que toute inscription ou annonce destinée à l’information du public doit être formulée en langue française, et surtout la vérité.

    En effet, cette carte n’est pas un passeport de voyage. Si l’on entre aux USA, on a besoin d’un passeport, pas de la CNI. En outre, avec la sortie du Royaume Uni de l’Union européenne, il n’y a pas de raison de privilégier l’anglais.

    Que le gouvernement établisse une carte bilingue en choisissant l’anglais, c’est le signe d’un aveu terrifiant : au fond, le français ne compte plus. D’ailleurs, le gouvernement lui-même explique, toute honte bue, qu’il est préférable que ce document soit en anglais car le français ne serait plus compris !

    C’est la démonstration d’une démission coupable qui rejoint dans sa tragique ampleur le déni de notre Histoire et la politique de repentance affichés par nos gouvernants.

    Cette démission tend à reléguer notre langue nationale au statut d’un parler local, d’un dialecte tribal.

    Cependant, le monde francophone s’insurge de cette situation et sonne l’alarme. Cette indignation grandissante souligne l’aberration que constitue cette abdication institutionnelle. Nous assistons à l’invasion générale du vocabulaire scientifique, de la culture, de la communication, de l’information par des anglicismes.

    L’anglicisation s’est généralisée et s’est accélérée durant les cinq dernières années. Il y a désormais une lame de fond qui est en train de subvertir le français. La diffusion des anglicismes s’est encore amplifiée avec la crise sanitaire Covid ( par exemple l’emploi répété, à l’envi, de "cluster "  au lieu de " foyer ").

    Néanmoins, cette propagation des anglicismes se heurte à l’exaspération croissante des Français.

    Ces derniers ne veulent pas du franglais, ils croient en la valeur de leur langue. Les stratégies de communication ne portent pas.

    Les gens ne comprennent pas les messages qu’on leur impose ni pourquoi ce sabir se substitue au français.

    Cela montre une fracture entre une frange privilégiée des élites représentant le haut du panier national sensé être inventif et productif et le reste de la société , invité à penser que l’ascenseur social passe par l’adoption d’un jargon débilitant qui confine désormais aux tics de langage.

    Il s’ensuit pour la population française le risque d’un double clivage linguistique: SOCIAL d’une part, le fossé se creusant entre les publics suivant qu’ils sont imprégnés ou non des nouveaux codes de langage. Le ton badin, parfois futile devenu la règle en matière de communication institutionnelle , prête le flanc à un rejet fréquent , né d’une perplexité et souvent d’une incompréhension des destinataires pouvant aller jusqu’à un sentiment d’exclusion: "être  people-minded  est notre raison d’être" et GéNéRATIONNEL d’autre part, les plus jeunes étant particulièrement réceptifs aux usages numériques et mieux à même de les assimiler, mais d’autant plus exposés au risque d’être cantonnés à un vocabulaire approximatif et n’avoir qu’une très faible maîtrise de la langue.

    En utilisant largement un vocabulaire anglais (cf annexes) incompris d’une grande partie du public, les services en ligne contribuent à alimenter la défiance qu’on a vu se développer ces dernières années vis à vis des différentes autorités, qu’elles relèvent des pouvoirs exécutif, législatif, judiciaire, mais également de l’administration , du monde politique , de la sphère économique et dans le domaine de la santé.

    – L’émergence corrosive d’un dialecte des banlieues

    A l’oreille, on comprend bien qu’il s’agit désormais d’un parlé " dur ", hostile, forgé dans l’exclusion ou le repli communautaire.

    Avec l’émergence de réseaux terroristes au cœur même de notre Nation, un phénomène de division, de dilution affecte notre population.

    Il s’agit du repli d’une partie des "citoyens" vers un quant- à- soi géographique, socio-économique et religieux intégriste.

    Cette fragmentation va bien au-delà de ce qu’il est convenu d’appeler les différences ou la diversité. Cet émiettement tribal passe par un langage spécifique dont on mesure l’importance et la portée dès que des troubles éclatent dans les banlieues et quartiers de nos villes.

    Cette fracture linguistique véhiculée par un langage de combat n’a plus rien de comparable avec ce qui existait il y a encore quelques années à l’époque des fantaisies du verlan, de l’accent beur ou des mille facettes de l’argot des cités sublimé par la plume gouleyante d’un Frédéric Dard, d’un Alphonse Boudard ou encore d’un Michel Audiard.

    La fracture constatée dépasse le problème de l’école ou celui des cités. Rien n’est plus dangereux que cette lente dislocation à l’œuvre dans les tréfonds démocratiques, dont l’apparition d’un idiome appauvri et verrouillé, d’un patois dissident au sein de la ville, est le symptôme le plus corrosif.

    Quand les mots eux-mêmes se décomposent, quand la parole elle-même se délite, c’est que rôde en effet un péril majeur.

    Parmi les produits empoisonnés de cette dissidence, il faut désigner désormais le djihadisme.

    L’inflation de mots creux et d’expressions passe-partout

    On disait il y a quelques années encore: " il parle comme un livre"

    La formule s’est inversée et aujourd’hui, on dira plutôt " il écrit comme il parle". Comme notre façon actuelle de nous exprimer, celle de la publicité, des médias, du monde politique est atteinte profondément par une contamination de mots sans signification, d’expressions vides de sens, notre langage est devenu singulièrement indigent.

    Dès lors, il se satisfait de formules imprécises employées à tout bout de champ et souvent délibérément puisées dans le vocabulaire économique.

    Prenons quelques exemples :

    Le verbe "impacter " dérivé à tort du mot "impact" est utilisé très souvent pour relater des évènements de nature différente plus ou moins importants :

    "La consommation est impactée par la hausse des prix

    La pollution impacte la planète

    La guerre en Ukraine va impacter l’élection présidentielle "

    Alors que notre langue propose dans ces exemples là: freiner, ralentir, influencer, influer, agir, peser, menacer, mettre en péril… qui apportent des nuances et des précisions qui enrichissent la compréhension des idées émises.

    Demain, nous sourirons qu’on ait pu discourir avec sérieux:

    De notre "capital" santé, de notre "capital" beauté, de notre "investissement" conjugal, des "dividendes" affectifs .

    Ou encore du concept de "déficit" mis à toutes les sauces du verbiage cher aux journalistes :

    " Déficit" démocratique, "déficit" social, "déficit" visuel, "déficit" de popularité, "déficit" d’image.

    Demain, nous sourirons ou peut- être nous pleurerons que les Chefs d’Etat, qui se sont succédé depuis trente ans, aient pu dire, redire, se contredire, proclamer :

    " e crois à l’inversion de la courbe de chômage"

    " la priorité des priorités est (selon l’humeur ou la pression des évènements): la sécurité, le chômage, l’hôpital, les retraites, la taille des allumettes, le pouvoir d’achat, le prix du timbre-poste , l’école, l’industrie, l’agriculture …… "

    "Nous sommes à la croisée des chemins ", phrase qui peut être suivie ou précédée de "le bout du tunnel est en vue".

    " Cette réforme d’ampleur sera la crème de toutes les batailles":

    La sécurité sociale, le conditionnement des couche-culottes, la mise en place des 35 heures, la remise en cause des 35 heures, la prochaine loi de programmation militaire sanctuarisée…

    Ces expressions passe-partout composées de mots forts en apparence sont les symboles d’une langue désincarnée, d’un langage convenu et rigide destiné à dénaturer la vérité.

    Elles ont perdu par, l’usage d’une absurde répétition contredite par les faits, leur substance au fil du temps et sont devenues les vecteurs futiles de messages désormais inaudibles.

    En 1967, Maurice Genevoix, qui depuis de nombreuses années, défend sur tous les fronts la langue française, conscient de la menace que représente la déliquescence de tout langage écrivait :

    " Le langage n’est pas neutre. Né d’une culture, expression d’une culture, si par malheur il dégénère, il agit sur les structures mentales qu’il affaiblit sournoisement. Si ce processus devait encore s’aggraver, la langue ne dirait plus, elle cacherait, elle déroberait.

    Les mots devenus tabous, feraient peur. Ils cesseraient alors de signifier, ils voileraient, ils trahiraient.

    Ils deviendraient des moyens d’intimidation, des instruments d’un terrorisme au service d’intentions moins innocentes, peut-être qu’il n’y paraît ".

    Face à cette évolution préoccupante de notre langue,

    L’Académie française peut ainsi conclure :

    "La communication actuelle est caractérisée par une dégradation qu’il est essentiel de ne pas considérer comme une fatalité.

    Il est de la responsabilité mais aussi de l’intérêt de ceux qui disposent des canaux d’information et de diffusion de veiller à redonner à la communication institutionnelle la qualité et l’efficacité que l’ensemble des publics est en droit d’attendre.

    Il s’agit avant tout d’une question de volonté générale étayée par la prise de conscience de la Gravité et de l’Urgence de la Situation ".

    Daniel Péré

    10 avril 2022

    Sources : Rapport Académie Française 2021

    Le Figaro (Mme Carrère d’Encausse) janvier 2022

    Ouest-France Articles des 30 septembre 2011, 27 septembre 2021,

    17 février 2022, 19 mars 2022

    Sud-ouest Article 10 avril 2016

    Biographie M.Genevoix de A.Luneau et J. Tassin 2019

    Prochainement un article qui prouve que la pauvreté du langage nous a fait descendre au niveau du QI.