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occitanie - Page 79

  • Terrible et révoltant témoignage d’une infirmière en Ehpad

    "On me dit, oh, c’est une fin de vie en Ehpad. On vous le laisse. On n’y peut rien".

    Le résident mettra une semaine à mourir". Nous, tout ce qu’on peut faire, c’est leur tenir la main, les oxygéner un peu. C’est tout. C’est une fin de vie atroce, ils meurent asphyxiés, étouffés. Les doigts, le torse, les jambes, bleus du manque d’oxygène. Recroquevillés de douleur en position fœtale. C’est comme ça qu’ils meurent. C’est ça le souvenir qu’on gardera d’eux".

    Et les mots jaillissent vite cette fois comme si, ça y est, la digue de ses maux était rompue. Que tout devait être dit. Même l’indicible. Car il y a aussi tous les autres. Ceux pour qui le Samu ne s’est pas déplacé. Ceux qui ont souffert avant de mourir. Léa m’explique que, devant cette situation aussi inhumaine qu’injustifiable, les autorités sanitaires ont mis en place il y a dix jours à peine, dans les Ehpad du Grand Est, un nouveau protocole (décret sur le Ritrovil). En option. Pas pour sauver non. Pour aider à mourir.

    "On leur met une perfusion, c’est une sédation profonde.

    Ils mettent 2 heures à mourir, au lieu de 72. Pour nous c’est très dur de faire ça. Donner la main et regarder les gens partir, c’est pas notre rôle de soignant. On les aide à mourir et non plus à vivre.

    Pas besoin de l’accord de la famille. C’est le médecin qui décide, c’est comme ça. Les familles seront averties plus tard. Trop tard.

    Pour ceux qui meurent la nuit, il n’y a même pas de main à tenir, ni de paroles auxquelles se raccrocher. Pas d’adieux". La nuit il n’y a que la femme de ménage et l’aide-soignante. Ils sont seuls".

    https://france3-regions.francetvinfo.fr

    "Citoyens Macron, Philippe, Castaner, Buzyn, Salomon, Véran, et  autres complices de crime contre votre patrie et contre l’humanité, vous allez bientôt répondre de ce témoignage-là, écho de mille autres.

    Brut de chagrin, de colère, de pitié. Brut d’humain broyé par vous. Vrai.

    Vous allez nous expliquer comment vous avez pu faire descendre la France aussi bas. On vous montrera les photos du " Revier " d’Auschwitz-Birkenau, l’infirmerie ! Certes, les chiffres ne sont pas les mêmes mais le chagrin, la souffrance, la solitude, l’angoisse, la terreur, la douleur physique, le désespoir, sont aujourd’hui très exactement les mêmes dans les mouroirs où nos vieux ont agonisé et sont morts.

    Où sans doute, ici et là, peut-être même partout, continent-ils à le faire, dissimulés par vous derrière votre insolence, votre morgue, votre fausse compassion, votre monstruosité par tragique incompétence.

    Nos vieux. Les vôtres aussi. Vos propres père et mère, ceux de vos proches, de vos amis, de votre peuple.

    Salauds !

    Vous ne pourrez pas sortir de l’Histoire sans avoir payé pour cela. Je vous jure que vous ne pourrez pas vous en tirer par les pirouettes habituelles enfumant vos fautes.

    Vous avez pourtant encore une chance, que les gens d’ici vous donnent parce qu’au fond d’eux-mêmes et malgré votre sale besogne de dépossession, ils portent encore les traces de deux millénaires de chrétienté:

    dites la Vérité. Elle est ce qu’elle est. Elle épargnera vos erreurs. Mais pas vos fautes, pas vos fautes !

    Demandez pardon.

    Et foutez le camp avant que la justice des Français, ces sans-dents-perdants-manants que vous méprisez, haïssez, humiliez comme à plaisir depuis trop longtemps, ne s’en chargent"

    J.S.

    Riposte laïque

  • Terreur urbaine

    Depuis le début du confinement, il y a eu 379 faits de violences contre les policiers, dont 79 guet-apens. 164 villes touchées. 43 policiers blessés

    Les statistiques du ministère de l’Intérieur sont édifiantes. Entre le 17 mars et le 5 mai, 379 faits de violences urbaines visant des policiers, dont 79 guet-apens, ont été recensés dans les secteurs dépendant de la Direction générale de la police nationale et de la préfecture de police de Paris.

    Soit une moyenne d’un peu plus de sept événements par nuit de confinement. Au total, selon la Place Beauvau, 164 villes ont connu au moins un épisode de violences urbaines avec des communes particulièrement touchées: Toulouse, Aulnay-sous-Bois, Trappes et Strasbourg, sans oublier Mamoudzou, chef-lieu du département de Mayotte…

    Ces 379 attaques n’ont pas été sans conséquences, avec 43 fonctionnaires de police blessés.

    […]

    LeFigaro

  • Faut-il-en rire ou bien pleurer?

    Une université américaine crée une IA pour détecter les discours de haine sur internet, et se rend compte qu’ils viennent principalement des “minorités”

    Une nouvelle étude de l’Université Cornell révèle que certains systèmes d’intelligence artificielle créés par les universités pour identifier les “préjugés” et les “discours de haine” en ligne pourraient eux-mêmes avoir des préjugés raciaux et que leur mise en œuvre pourrait se retourner contre eux, conduisant à une surveillance excessive des voix des minorités en ligne.

    Une nouvelle étude de l’université de Cornell révèle que les pratiques d’apprentissage automatique derrière l’IA, qui sont conçues pour signaler le contenu en ligne offensant, peuvent en fait “discriminer les groupes qui sont souvent la cible des abus que nous essayons de détecter”, selon l’étude.

    L’étude impliquait des chercheurs qui formaient un système pour signaler les tweets contenant du “discours de haine”, de la même manière que d’autres universités développent des systèmes pour une éventuelle utilisation en ligne, en utilisant plusieurs bases de données de tweets, dont certaines avaient été signalées par des évaluateurs humains comme offensantes.

    “Les résultats montrent des preuves de biais raciaux systématiques dans tous les ensembles de données, car les classificateurs ont tendance à prédire que les tweets écrits en anglais afro-américain sont abusifs à des taux sensiblement plus élevés. Si ces systèmes de détection de langage abusifs sont utilisés dans le domaine, ils auront un impact négatif disproportionné sur les utilisateurs des médias sociaux afro-américains”, poursuit le résumé.

    Mais l’IA de Cornell a ajouté une autre variable non utilisée par d’autres universités. À l’aide d’une combinaison de données de recensement, de données de localisation de tweets et d’un langage spécifique à la démographie, ils ont également formé le système à quantifier les tweets qui provenaient des “blancs” ou des “noirs”. Les chercheurs ont utilisé cinq bases de données différentes de tweets potentiels de “discours de haine”. Tous les cinq ont donné les mêmes résultats: les tweets susceptibles d’être écrits par des “afro-américains” étaient beaucoup plus susceptibles d’être signalés comme offensants que ceux qui étaient susceptibles d’être émis par des “personnes blanches”.

    Parallèlement au possible sur-échantillonnage des tweets des personnes “Afro-Américaines”, les chercheurs pensent que ce type de discrimination de l’IA réside dans l’erreur humaine de ceux qui font l’annotation et la classification d’origine à partir desquelles la machine apprend.

    “Lorsque nous, en tant que chercheurs, ou les personnes que nous payons en ligne pour faire des annotations externalisées, regardons ces tweets et devons décider: “Est-ce haineux ou pas haineux? nous sommes susceptibles de penser que c’est quelque chose qui est offensant en raison de nos propres biais internes”, a déclaré l’auteur de l’étude Thomas Davidson. “Nous voulons que les gens qui annotent des données soient conscients des nuances du discours en ligne et soient très prudents dans ce qu’ils considèrent comme un discours de haine.”

    Ces nouvelles informations peuvent être cruciales pour comprendre la capacité de ces types de systèmes à nuire et à étouffer la libre expression en  ligne.

    Les professeurs de l’Université de Buffalo et de l’Arizona State University ont déjà créé un système conçu pour “détecter automatiquement les préjugés dans les publications sur les réseaux sociaux”. Leur système signale les messages comme “susceptibles de propager de la désinformation et de la mauvaise volonté”.

    Un projet similaire à l’Université de Californie à Berkeley utilise le même type d’IA pour créer un “indice de haine en ligne” qui pourrait aider diverses plateformes de médias sociaux à identifier et à éliminer le “discours de haine” en ligne.

    Les chercheurs utilisent également l’IA pour éliminer les “fausses nouvelles”. Un système en cours de développement à l’Université de Californie, Santa Barbara cherche à aider à déterminer si les informations partagées par les individus sont “authentiques” ou “trompeuses”. Ils espèrent que leur système sera bientôt “intégré dans les navigateurs côté client”, pour rationaliser le signalement des “contenus qui provoquent la haine, l’aversion et les préjugés”.

    https://campus-vox.com

     

     

  • QUI EST LA MEILLEURE?

    Yvelines: les policiers de nouveau pris pour cible à Trappes, Plaisir, La Verrière, Montigny-le-Bretonneux, Saint-Germain-en-Laye et Conflans-Sainte-Honorine.

    http://www.fdesouche.com/1370641-yvelines-les-policiers-de-nouveau-pris-pour-cible

    Noisy-le-Grand (93) : Scènes de guérilla urbaine dans le quartier Picasso

    http://www.fdesouche.com/1370601-noisy-le-grand-93-scenes-de-guerilla-urbaine-dans-le-quartier-picasso-videos

    Déconfinement: les sociétés de transport public envoient une lettre incendiaire à Édouard Philippe et évoquent un "risque très élevé de trouble à l’ordre public"

     

    http://www.fdesouche.com/1370427-deconfinement-les-societes-de-transport-public-envoient-une-lettre-incendiaire-a-edouard-philippe-et-evoquent-un-risque-tres-eleve-de-trouble-a-lordre-public

     

  • Les esclavagistes capitalistes

    Coronavirus: du bénévolat au travail gratuit, la colère des couturières appelées à produire des masques

    Sollicitées de toutes parts, des centaines de couturières dénoncent le travail gracieux qu’elles effectuent depuis des semaines au profit de collectivités ou d’entreprises.

    Le "mouvement a dépassé, de loin, le cadre normal du bénévolat", dénonce le collectif Bas les masques.

    Tout partait d'une bonne intention. Une volonté d'aider bénévolement en fournissant un masque au voisin, puis un autre à l'infirmière du quartier. Mais, au fil des semaines, les demandes se sont faites de plus en plus nombreuses et pressantes. La question s'est alors imposée: "Pourquoi devrait-on continuer à travailler gratuitement?", s'interroge Christie, 48 ans, costumière à Paris.

    Comme elle, des centaines de couturières et costumières professionnelles ont été sollicitées par des collectivités, des hôpitaux ou des entreprises pour confectionner gratuitement des masques. Partout en France, des dizaines de mairies ont même appelé à l'effort collectif - et bénévole, donc - pour participer à la fabrication de ces moyens de protection. "La solidarité, ce n'est pourtant pas la gratuité", résume au téléphone la costumière, au chômage depuis le début du confinement.

    "Plus de 700 masques en un mois et demi"

    Christie avait l'habitude de travailler sur les plateaux de cinéma ou pour le théâtre. Depuis le confinement, son activité a complètement cessé. La costumière, qui vit aujourd'hui de minima sociaux, a d'abord voulu "rendre service face à l'urgence et en attendant que les stocks de l'Etat arrivent". "Mais on pouvait toujours attendre…", ironise-t-elle.

    La costumière a contacté ses collègues, rassemblé des tissus, des fils et des élastiques, avant de passer chaque jour plusieurs heures devant sa machine. "En tout, je pense avoir fabriqué plus de 700 masques en un mois et demi", estime cette Parisienne qui souffre toujours de "douleurs dans le dos et à la nuque".

    La pénurie du matériel de protection dans les hôpitaux s'est accentuée. Si bien que les commandes ne concernaient plus uniquement les masques, mais aussi les blouses. "Certains soignants avaient des sacs-poubelles pour se protéger. On n'allait évidemment pas refuser de les aider…", raconte au téléphone Jackie, couturière indépendante à Paris.

    "Même en temps de guerre, on a toujours payé les ouvriers"

    À mesure que les jours passent, la colère monte sur les réseaux sociaux. Les témoignages de ces intermittentes ou salariées épuisées par les commandes se multiplient. Voulant faire entendre leur voix, Jackie et Christie fondent le collectif "Bas les masques", qui rassemble aujourd'hui plus de 700 professionnelles, dont une très grande majorité de femmes.

    Ces dernières ont également interpellé le gouvernement, en lançant une pétition qui a collecté à ce jour plus de 5000 signatures. "Le mouvement a dépassé, de loin, le cadre normal du bénévolat et en vient à concurrencer, voire remplacer une industrie existante qui devrait être plutôt soutenue par le gouvernement", s'indigne le collectif.

    "À force, plusieurs d'entre nous ont même cassé leurs machines, avec les cadences qui nous étaient imposées. Une machine, ça représente au moins 700 euros", déplore Christie. "Je veux bien entendre qu'on soit en guerre. Mais dans ce cas-là, on nous rémunère. Car même en temps de guerre, on a toujours payé les ouvriers", ajoute-t-elle.

    "Un travail d'usinage extrêmement dur"

    Pour lutter contre cette "dévalorisation" de leur travail, le collectif appelle l'Etat à réquisitionner "les théâtres, les opéras et les usines des grands groupes de fabrication textile" pour "embaucher des intermittents" et fabriquer le matériel de protection nécessaire. Une demande qui n'a pas encore été entendue par le gouvernement.

    700 euros une machine? c'est des machines professionnelles sans doute!

  • Ils se foutent de notre gueule!

    Pendant que Macron parle de souverainisme (européen), et dit que plus rien ne sera comme avant, les accords mondialistes continuent… comme avant!

    https://www.bvoltaire.fr/jerome-riviere-cet-accord-de-libre-echange-avec-le-mexique-nous-expose-a-une-concurrence-deloyale-ils-se-foutent-eperdument-de-la-crise/?