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societé - Page 126

  • Ce pays est foutu

    Déclaration d'Emmanuel Macron sur la colonisation : pour Bruno Retailleau, “à cultiver la haine de soi, on ne récolte que la haine des autres”

    Bruno Retailleau souligne le caractère complexe de la colonisation qui exclut toute lecture unilatérale.

    Président du groupe LR au Sénat, Bruno Retailleau fustige la vision pénitentielle de l'histoire de France mise en avant par le chef de l'État.

    Valeurs actuelles. En 2017, Emmanuel Macron, alors candidat à la présidentielle déclarait sur une chaîne algérienne que la colonisation constituait un "crime contre l'humanité". En 2019, Emmanuel Macron président persiste et signe : le colonialisme a été "une faute de la République" a-t-il déclaré à Abidjan aux côtés du président ivoirien Alassane Ouattara. Celui qui faisait du juste milieu une vertu, ne s'embarrasse pas de nuances sur cette épineuse question de la colonisation. Cette lecture unilatérale des faits n'exacerbe-t-elle pas le complexe de repentance qui affecte la France depuis de nombreuses années?

    Bruno Retailleau. Cette récidive d’Emmanuel Macron traduit une vision pénitentielle de l’histoire de France qui, en réalité, est consubstantielle au progressisme. Pour ce dernier, le présent est moralement supérieur au passé, et la tâche des hommes de bien consiste à extirper le mal d’une histoire nationale qui, pour les progressistes, ne serait qu’une succession de crimes.

    Ce mélange d’arrogance et d’ignorance n’est pas seulement faux sur le plan historique – la colonisation est un phénomène éminemment plus complexe que semble vouloir le croire Emmanuel Macron – mais il est également dangereux sur le plan civique. Car comment faire aimer la France aux nouveaux venus si l’on ne cesse d’exhiber des raisons de la détester, comme autant de tâches indélébiles sur le drapeau tricolore? L’autoflagellation ne peut tenir lieu de politique d’intégration.

    Le poète Léopold Sédar Senghor énonçait poétiquement que: “la colonisation a charrié de l'or et de la boue. Pourquoi retenir la boue et pas les pépites“? Nous pourrions retourner cette question à Emmanuel Macron. À votre avis, pourquoi le chef de l'État ne s'appesantit que sur les affres de la colonisation, à l'exclusion des bénéfices qu'elle a pu avoir?

    Les raisons sont idéologiques et peut être aussi électorales. Car pour la gauche "terra-novienne", dont Emmanuel Macron est issu, la repentance est une manière de s’adresser à ces "minorités" issues de l’immigration dont elle a voulu faire son électorat de substitution, après avoir théorisé l’abandon des classes populaires.

    Ce calcul est doublement dangereux. D’abord parce qu’il donne du grain à moudre à tous ceux qui ne veulent pas que les immigrés ou les Français issus de l’immigration s’assimilent à la France, à commencer par les tenants de l’islam politique. Ensuite parce qu’il renforce l’insécurité culturelle de tous ces Français attachés à la France à qui l’on présente leur histoire comme indigne d’être aimée.

    L’on voudrait favoriser les replis qu’on ne s’y prendrait pas mieux! Notre destin collectif ne peut s’accomplir  que dans une vision réconciliée de notre histoire. En noircissant le passé de la France, Emmanuel Macron obscurcit l’avenir des Français.

    Censées "apaiser" le ressentiment anti-français en Afrique, de telles déclarations ne risquent-elles pas a contrario de le renforcer parmi les populations locales?

     Oui. Car à cultiver la haine de soi, on ne récolte que la haine des autres. D’autant que nous savons que ce type de discours irresponsable trouve un écho en Afrique, notamment au Mali où certains cherchent à faire passer le combat de la France contre le djihadisme comme la traduction d’un nouveau "colonialisme" français.

    En France, la question coloniale demeure à ce jour un sujet extrêmement tabou. Si bien qu'à l'école, nombre d'enseignants doivent déployer des trésors de précautions pour ne pas heurter la "sensibilité" de certains élèves. Les propos d'Emmanuel Macron ne placent-ils pas la France en position de débitrice éternelle de revendications mémorielles?

    Le processus de criminalisation de notre histoire risque de nous entrainer dans un procès sans fin dans lequel la liste des cités à comparaître ne cessera fatalement de s’étoffer. Faudra-t-il renommer les écoles Jules Ferry compte tenu des propos que ce dernier a tenu en faveur de la colonisation?

    Après tout, certains avaient même exigé en 2017 que les collèges ou les lycées portant le nom de Colbert soient débaptisés au motif que ce dernier aurait joué un rôle dans l’élaboration du "code noir" … Les Français voient bien à quelles absurdités la repentance peut amener. Regardons les choses en face : la France vit sous la menace de la séparation. Le grand défi de ces prochaines années sera celui de l’unité française. Emmanuel Macron vient de démontrer une nouvelle fois qu’il n’est pas celui qui le relèvera.

     

    https://www.valeursactuelles.com

     

    Meilleur commentaire qui dit ce que je pense

    macron est un psychopathe donc plus vicieux qu’intelligent, peu cultivé mais voulant avoir l’air, il fallait le voir usurper les uniformes de pilotes et de sous-marinier lui qui n’en a jamais porté et qui aurait dû faire son service militaire mais qui a été réformé P4RD2 c’est à dire inapte mais cela est un secret d’état et les journalistes s’en désintéressent, pauvre France d’avoir élu un FOU

     

    “Quand un peuple ne peut plus rester ce qu’il fut, le premier symptôme de sa maladie, c’est la haine du passé.." Chateaubriand (Lucerne, 1832).

     

    On peut ajouter à cette excellente analyse la définition qu'Alain de Benoist donne de la repentance.

     "La repentance peut se résumer ainsi: des gens s’excusent de méfaits qu’ils n’ont pas commis pour complaire à d’autres qui ne les ont pas subis".

     

  • Athée, je défends la crèche pour tous

    De récents actes de vandalisme contre des crèches et des crèches vivantes suscitent l’indignation des catholiques et autres chrétiens, mais aussi d’athées et agnostiques.

    C’est l’occasion de rappeler que le vandalisme et la destruction ne montrent que l’incapacité de leurs auteurs: on ne détruit, en guise de moyen d’agir, que lorsque l’on est incapable de construire.

    Mais pourquoi un athée voudrait-il protéger la manifestation d’une religion?

    Force est de constater que Noël est fêté aussi par des non-chrétiens, parce que cette fête est celle de valeurs communes à tous, amour, famille, fraternité, et aussi parce qu’elle est la survivance de festivités antérieures au christianisme.

    Avant la christianisation de l’Occident, une fête appelée Dies Natalis Solis Invicti, « jour de la naissance du soleil invaincu » avait été fixée au 25 décembre par l’empereur romain Aurélien en 274, c’était aussi la naissance de la divinité solaire Mithra, (le culte de Mithra est apparu probablement pendant le IIe siècle av. J.-C. en Perse. Durant les siècles suivants il s’est propagé dans tout l’Empire romain et a atteint son apogée durant le IIIe siècle. Ce culte était particulièrement implanté chez les soldats romains), et on fêtait le solstice d’hiver parce qu’il annonce le début de l’allongement des jours, le retour de la lumière, chez les Celtes et les Scandinaves des siècles avant que Jésus ne devienne la Lumière du monde.

    Le meilleur de la civilisation occidentale, respect de la vie humaine, fraternité, égalité des droits, démocratie, liberté de pensée… vient des principes moraux juifs et chrétiens :

    Il n’est pas nécessaire d’être croyant pour aimer et vouloir protéger l’héritage moral, spirituel, historique, artistique, architectural, musical, et traditionnel du christianisme.

    De même que Valéry Giscard d’Estaing a dit que la gauche n’a pas le monopole du cœur, l’Église n’a pas non plus le monopole de l’amour.

    Loin de vouloir offenser les chrétiens, et encore moins de demander de transformer le christianisme en auberge espagnole, l’adhésion d’athées à ce que représente la crèche est justement la reconnaissance de l’apport inestimable du christianisme à notre civilisation.

    Ce serait un comble si des athées devaient défendre le christianisme sans les chrétiens et même contre.

    L’abandon de la religion catholique ne signifie pas celui de la philosophie et de la morale chrétiennes.

    La naissance de Jésus ne s’est peut-être pas déroulée exactement comme dans la tradition chrétienne, mais les légendes ont toujours un fond de vérité. La crèche raconte la merveilleuse histoire de la naissance d’un petit enfant venu apporter l’amour, l’espoir, la bonté, la fraternité.

    Le tableau « Le nouveau-né » peint par Georges de la Tour vers 1648 illustre parfaitement ce que le christianisme a apporté à l’humanité indépendamment de la foi, respectable comme l’athéisme, et toute liberté de pensée.

    La magie du clair-obscur y révèle l’essentiel. Il y a très peu de lumière et elle éclaire le petit Jésus qui vient de naître. Ce bébé divin, sacré, dort la bouche ouverte, dans les bras de sa mère, et son nez et sa tempe brillent : comme tous les bébés, il transpire, ce n’est pas un être parfait non soumis aux faiblesses et imperfections humaines, il est à la fois dieu et homme.

    Le nouveau-né est l’être humain le plus fragile, le plus vulnérable, et parce qu’avec Jésus, Dieu s’est fait homme, il y a dans tout humain l’étincelle divine, ou la spécificité de la vie humaine qui la sacralise et oblige à la respecter, et à respecter et préserver sa dignité.

    Les humains vivent en groupes, sans griffes et sans crocs, c’est leur complémentarité qui leur a permis de survivre, les plus forts ne pouvant se passer de l’habileté et de l’ingéniosité des autres. C’est bien ce que représente la crèche provençale en plaçant Jésus dans un village modeste et en illustrant tous les métiers et habitants, y compris le "ravi".

    Comment nier la filiation de notre devise Liberté-Égalité-Fraternité avec la nouveauté du christianisme : amour, pardon, universalité, libre arbitre? Comment oublier que c’est par Jésus (« il faut rendre à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu. ») que nous bénéficions de la séparation de la religion et de l’État, grâce à laquelle l’Occident a progressé dans tous les domaines?

    Que Jésus soit divin ou pas, la crèche représente avant tout un couple et un bébé, l’amour et la filiation, le devoir de fraternité et de protéger et éduquer les enfants ; les chrétiens auraient bien tort de rejeter son appropriation par des non-chrétiens puisque le Noël chrétien s’est greffé sur d’autres traditions et décore ses églises de branches de sapin, l’arbre qui conserve sa verdure en hiver. Rejeter la crèche c’est faire preuve d’un anti-christianisme primaire et aveugle, refuser la crèche laïque, culturelle et festive, c’est refuser de reconnaître ce qui unit les hommes de bonne volonté.

    Tout le monde peut entrer à Rome mais pas à la Mecque ; contrairement au christianisme, l’islam ne reconnaît pas la même dignité aux deux sexes, ni les mêmes droits aux musulmans et aux non-musulmans, en témoignent l’inégalité des droits des hommes et des femmes dans la charia et le statut humiliant des dhimmis, sous-citoyens tenus de payer la taxe "jizya" aux musulmans en échange de "protection" (contre quoi à part les musulmans?). C’est que la notion d’humanité n’est pas la même dans les deux idéologies. Le non-musulman ou l’apostat doit être humilié, converti ou massacré. Seul le musulman est « humain » : donc si l’on peut le devenir en se convertissant à l’islam et perdre son humanité en le quittant, qu’en est-il de cette notion d’humanité?

    La fraternité, la tolérance, ne peuvent se passer de la réciprocité: "Ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu’on te fasse", ou "traite les autres comme tu voudrais être traité". Pourquoi peut-on construire des mosquées en Europe alors que l’on ne peut pas bâtir des églises en terre d’islam? Refuse-t-on aux musulmans les mêmes droits qu’aux autres citoyens en France?

    L’islam ne s’est imposé presque toujours que par la force : une idéologie n’est bonne et ne se répand comme telle que par ses résultats…

    La crèche représente l’amour, la famille, la sacralité de l’humain, sa dignité, la fraternité et l’égalité entre tous les hommes et femmes, le respect de la vie, l’avènement du règne de la Lumière, celle de Dieu ou celle de l’esprit, l’espoir d’un monde meilleur, terrestre ou non : ces valeurs ne sont pas réservées aux croyants.

    Saccager une crèche n’est que la démonstration de la sauvagerie, de la barbarie, de l’intolérance, du refus des racines et de l’Histoire, c’est tout bonnement un acte fasciste contre la liberté de penser et de croire ou pas… Perpétré à Toulouse contre des enfants par des antifascistes auto-proclamés !

    Il n’est pas acceptable de refuser la préservation des traditions qui nous rappellent nos origines et notre devoir moral.

    JOYEUX NOËL !

    Alix Forrest

    https://ripostelaique.com

     

  • Colonialisme: Macron alimente la haine des Africains contre les Français

    En Côte d’Ivoire, Emmanuel Macron vient encore de cracher sur la France en criminalisant la colonisation, trahissant une fois de plus la mémoire de nos ancêtres, qui ont fait rayonner notre pays et accompli la plus belle œuvre civilisatrice de tous les temps.

    Ce qu’il vient de dire aux Africains est une ignominie. Macron n’aime pas la France et ne cesse de le répéter d’année en année.

    Il travestit l’Histoire et distille la haine dans le cœur de nos immigrés, comme si la société française, au bord de l’embrasement, avait besoin que le Président de « tous les Français », fasse encore l’éternel procès de l’homme blanc et  lui seul.

    Macron, qui vient de prouver à nouveau qu’il ignore l’Histoire de France, tient un discours irresponsable, un discours qui interdit toute chance d’intégration des minorités.

    En Algérie, à l’Onu et aujourd’hui à Abidjan, il a toujours craché sur notre pays. Pourquoi les immigrés aimeraient une France de salauds, puisque c’est son Président lui-même qui la dénigre?

    Ceux qui se prétendent rassembleurs, reprochant au RN et aux populistes de tenir un discours qui divise, sont les mêmes qui alimentent  chez les immigrés la haine de la France et du peuple français de souche. Et on s’étonne que l’intégration échoue, que les jeunes musulmans rejettent les lois de la République et crachent sur l’Histoire de France ! Macron désintègre la nation.

    Est-ce une volonté délibérée de détruire les nations européennes, en vue de bâtir le grand village mondial supranational dont rêvent les mondialistes ? Le fait est que Macron tient un discours criminel. Il fait tout pour conduire la France au chaos racial et fait le jeu des islamistes qui veulent imposer leur loi.

    http://www.fdesouche.com

    Assez de repentance et de mea-culpa. Assez de ce procès mensonger de l’homme blanc, coupable de tous les maux jusqu’à la fin des temps.

    La vérité est que la France a fait faire un bond en avant de 1 000 ans à tout un continent, resté jusque-là hermétique au progrès. Car ce que nous avons trouvé en arrivant en Afrique, c’était la barbarie.

    Esclavage, guerres tribales, famines, épidémies, cannibalisme et sacrifices humains dans certaines contrées. Tous ces fléaux, nous les avons éradiqués.

    https://www.persee.fr/doc

    Fallait-il laisser l’Afrique à ses démons pendant que le train du progrès accélérait ? Fallait-il abandonner tout un continent pendant que la civilisation occidentale avançait à pas de géant?

    Où en serait l’Afrique, si les Occidentaux avaient laissé ce continent à son triste sort? Ceux qui nous reprochent  la colonisation ne répondent jamais à cette question majeure.

    Non, la colonisation ne fut pas une suite de massacres et de génocides. La France n’a jamais exterminé les peuples colonisés, comme le furent les Indiens d’Amérique, les Aborigènes d’Australie ou les Maoris de Nouvelle-Zélande. Si nul ne conteste les violences qui accompagnent toutes les guerres et les conquêtes, c’est l’œuvre civilisatrice admirable qui domine et qui mérite d’être soulignée.

    L’épopée coloniale fut une grande page d’Histoire dont la France n’a pas à rougir. Et quand la dictature du politiquement correct aura vécu, avec tous ses mensonges et sa haine de la France, alors viendra le temps de la vérité que rétabliront les vrais historiens en toute impartialité.

    Certes, la France s’est adonnée à la pratique de l’esclavage, mais elle s’est honorée, et elle seule, en reconnaissant en 2001 que la traite atlantique fut un crime contre l’humanité.

    Et rappelons que ceux qui font le procès des seuls Européens oublient que la traite inter-africaine (Nde la R. c'est-à-dire que les villages s'attaquaient entre eux et esclavagisaient les perdants!) et la traite arabo-islamique ont fait chacune autant de victimes que la traite atlantique.

    Mais les ayatollahs du politiquement correct se gardent bien d’évoquer l’esclavage du XXIe siècle, qui perdure en Afrique et dans les pays du Golfe. Comme chacun sait, c’est l’homme blanc qui a le monopole du mal.

    Non la France n’a pas à rougir de son œuvre civilisatrice. Elle est admirable.

    Explorateurs, militaires, administrateurs, colons, enseignants, missionnaires et bâtisseurs ont fait émerger du néant des villes, des ports, des routes, des écoles, des hôpitaux, des usines, développant l’enseignement, la médecine et l’agriculture, dans des pays figés depuis des millénaires. Nul ne peut nier l’immense tâche accomplie au cours de l’expansion coloniale, encouragée par Jules Ferry et Jean Jaurès.

    Quant au pillage des colonies, c’est une légende tenace, un mensonge des mondialistes, qui ne résiste pas à la réalité des chiffres. La France n’a jamais colonisé un pays riche comme l’Afrique du Sud ou le Congo ex-belge, aux richesses minières colossales. Toutes les études sérieuses le prouvent. La colonisation a profité avant tout aux peuples colonisés.

    Comme je l’ai souvent écrit, en 1960, l’Afrique avait un niveau de vie supérieur à toute l’Asie, hors Japon. Mais 60 ans plus tard, ce continent cumule tous les handicaps et rassemble la quasi-totalité des pays les plus pauvres de la planète, alors que l’Asie est devenue 30 fois plus riche!

    C’est d’ailleurs cet échec de l’Afrique indépendante qui entretient ce sentiment de haine envers la France. Un énorme complexe d’infériorité chez des populations incapables de monter dans le train du progrès, 60 ans après la fin de la colonisation. L’Afrique fait porter la responsabilité de ses échecs à l’ancien colonisateur. Et cela dure depuis deux générations!

    Un complexe qu’on ne retrouve pas chez les Vietnamiens, qui ont pourtant connu la colonisation et 30 années de guerre jusqu’en 1975. Mais intelligents et travailleurs, ils regardent le futur au lieu de pleurnicher sur leur passé. Il est vrai que le confucianisme fait des merveilles…

    Guerres, tribalisme, corruption généralisée et absence totale de sens de l’État chez les dirigeants africains ont  eu raison de l’héritage colonial, un trésor inestimable entièrement dilapidé. Selon l’ONG Oxfam, les guerres africaines ont englouti  la totalité des aides au développement.

    Pendant quelques décennies, la France a rayonné sur un territoire de 13 millions de kilomètres carrés, faisant rêver des millions de jeunes Français en mal d’aventures exotiques. De Dakar à Nouméa, de Hanoï à Djibouti, de Cayenne à Tananarive, l’empire, qui connut son apogée en 1930, s’étendait sur toutes les mers et les continents.

    De cette époque, il ne reste que quelques possessions outre mer, vestiges de cette grande épopée, qui fut, pour des millions d’hommes et de femmes, le plus grand fait de l’Histoire.

    Et ce ne sont ni Macron, ni les pleureuses tiers-mondistes, qui, par leurs mea-culpa et leurs mensonges permanents, changeront quoi que ce soit à cette incontestable vérité.

    Jacques Guillemain

    https://ripostelaique.com

  • Noël, Noël, la fête magnifique!

    Quelle est la signification du mot Noël?

    Il existe plusieurs hypothèses sur l’origine du mot Noël, mais notre guide conférencière, Marie-Thérèse Garcin, a une préférence pour l’une d’entre elles. Le mot Noël, apparu au 12 e siècle, vient du latin "natalis" qui signifie relatif à la naissance. Noël est donc la fête qui commémore la naissance de Jésus né, selon le Nouveau Testament, à Bethléem.

    Depuis, Noël a dépassé sa signification religieuse. C’est devenu une fête civile, sociétale, correspondant à un moment de partage. Elle est fêtée par de nombreuses familles, même celles qui n’ont aucune tradition chrétienne.

    Pourquoi a-t-on choisi de fêter la naissance de Jésus le 25 décembre?

    Depuis la nuit des temps, les hommes ont célébré les solstices (hiver et été), c’était pour eux l’occasion de réjouissances. Pour le solstice d’hiver, on offrait du miel, des gâteaux, de l’or. Les maisons étaient décorées de gui, de houx.

    Ces fêtes païennes, antérieures à la tradition chrétienne, permettaient de faire face à la nuit la plus courte de l’année, annonciatrice des jours qui allaient rallonger, avant que la végétation reparte pour un nouveau cycle.

    C’est au IVe siècle que l’Eglise chrétienne a décidé de fêter la naissance de Jésus le 25 décembre, date du solstice d’hiver dans le calendrier julien. Son objectif était de détrôner la fête païenne. Aujourd’hui, après l’introduction du calendrier grégorien, au XVIe siècle, la date a été décalée au 21 décembre.

    Quelle signification a la bûche à Noël?

    Une autre tradition liée au solstice d’hiver est celle de la bûche de Noël. Là aussi, cela remonte à la nuit des temps. Pour faire face à la nuit la plus longue de l’année, rien de tel qu’une bûche pour entretenir le feu et mettre de la lumière dans la maison.

    Dans la tradition chrétienne, on faisait brûler dans l’âtre une très grosse bûche lors de la veillée de Noël. Elle provenait d’un arbre fruitier, censé garantir une bonne récolte pour l’année suivante.

    Dans certaines régions, comme en Bourgogne, la bûche était arrosée de vin afin d’assurer une bonne vendange à venir. Dans d’autres, on utilisait du sel pour se protéger des sorcières. Cette bûche devait se consumer très lentement et la tradition voulait que l’on conserve les tisons pour préserver les maisons de la foudre.

    Aujourd’hui, cette bûche a pris la forme d’un dessert indissociable des fêtes de Noël.

    Pourquoi le sapin est-il associé à la tradition de Noël?

    Le sapin de Noël puise son origine dans la tradition celte. En effet, pour les Celtes le 24 décembre était le jour de la renaissance du soleil. Pour eux, chaque mois (lunaire) était associé à un arbre et décembre l’était à l’épicéa, un arbre qui reste vert même en hiver.

    Cette tradition païenne qui s’était perdue a resurgi dans l’est de la France, notamment en Alsace, au 16e siècle et a été assimilée à la fête chrétienne. Mais c’est surtout la reine Marie Leszczynska, épouse de Louis XV, qui a lancé le rite du sapin à Noël en en installant un à Versailles en 1738.

    Le Père Noël a-t-il toujours été associé à la fête de Noël?

    Le Père Noël doit beaucoup à saint Nicolas célébré dans l’est de la France et dans les pays du nord de l’Europe depuis le 12e siècle.

    Depuis, dans la nuit du 5 au 6 décembre, saint Nicolas, vêtu de son habit d’évêque, voyage à dos d’âne pour passer dans les maisons distribuer des friandises et des cadeaux aux enfants sages.

    C’est un pasteur américain, un certain Moore, qui a donné naissance au Père Noël, dans un conte qu’il a écrit pour ses enfants en 1821. Il le décrit comme un homme dodu, sympathique et jovial habillé de vert qui se déplace dans un traîneau tiré par huit rennes. C’est le caricaturiste Thomas Nast, un autre Américain, qui revêt le Père Noël d’un habit rouge garni de fourrure blanche et le domicilie au pôle Nord.

    En Bourgogne, l’ancêtre du Père Noël était, il n’y a pas si longtemps, encore, le Père Janvier. Il était représenté sous la forme d’un vieillard, habillé d’une robe de bure marron, qui venait distribuer les cadeaux qu’il portait dans sa hotte dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier. Lui aussi passait par la cheminée. Cette tradition a perduré jusque dans les années 1930.

    Gastronomie et fêtes de Noël ont-elles toujours été liées?

    Manger des mets raffinés tel que le foie gras, les crustacés, les huîtres… est une tradition récente. Par contre, manger de la volaille, de la dinde ou une oie remonte à plus longtemps. En effet, les volailles (particulièrement les oies) étaient des symboles solaires garantissant protection à ceux qui en mangeaient. Les volailles de Bresse se retrouvent sur de nombreuses tables à Noël.

    Pourquoi utilise t-on le vert, le rouge, le blanc et le doré pour les décorations de Noël?

    Aujourd’hui, les décorations de Noël, comme le reste, ont tendance à suivre les courants de la mode. Malgré cela, le vert, le rouge, le blanc et le doré restent les couleurs traditionnelles qui ont une valeur symbolique :

    – le rouge car c’est la fête, la chaleur.

    – le vert car il rappelle le sapin et le houx: la légende veut que lorsque la Sainte Famille fut contrainte de quitter l’Egypte, elle se dissimula derrière des branches de houx. En guise de reconnaissance, Marie l’aurait béni en annonçant que le houx serait éternellement symbole d’immortalité.

    – le blanc symbolise la neige, la pureté, la naissance de Jésus.

    – le doré représente la couleur de l’étoile, symbole de lumière et d’espérance. […]

    https://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/cote-d-or/dijon/sapin-buche-pere-noel-quelles-sont-origines-toutes-ces-traditions-noel-1760363.html

     

  • À bas les affameurs, vive les circuits courts!

    Il y a trois jours, j’ai eu besoin d’un extrait d’acte de naissance. Ni une ni deux, je me suis mise à l’ordinateur, c’est si pratique de faire ainsi les démarches, pas de déplacement comme autrefois, pas de lettre à envoyer. J’ai tapé "mairie de …", le site s’est ouvert, et j’ai rempli le questionnaire. Et puis je venais de terminer lorsqu’est apparue une page de paiement. Paiement pour un document gratuit? Sans blague! Aussitôt retour en arrière. Eh bien pour trouver le site réel de la mairie, j’ai dû consulter plusieurs sites et perdre du temps. Car, là aussi, des escrocs s’immiscent et se font passer pour ce qu’ils ne sont pas. Pour ceux qui tombent dans le panneau, ces sites payants se feront délivrer par les mairies les documents demandés, se substituant aux demandeurs, et les leur renverront.

    Partout, absolument partout, des profiteurs se font entremetteurs, sans qu’on le leur demande, et se font payer pour leurs " services". Ce qui est plus grave, c’est lorsque les intermédiaires se mêlent d’économie et d’approvisionnement. Un exemple parmi d’autres, concernant les pommes. Un de mes amis normands m’a raconté ce matin que son voisin, grand producteur de pommes, a été approché par une grande enseigne dont je tairai ici le nom. De toute façon, il semble bien qu’elles appliquent toutes les mêmes procédures. La grande enseigne lui a racheté, à bas prix, toute sa production, et a installé sur son domaine de grandes chambres froides dans lesquelles les fruits ont été tout de suite entreposés. Puis, par un système industriel, tout l’oxygène des chambres a été pompé. Ainsi pas de bactéries. " On mange les pommes de l’année précédente ", m’a expliqué cet ami. Ça explique bien des choses, notamment un goût qui a disparu et une conservation courte.

    Parlons des pêcheurs. Ils partent en mer, dans de très dures conditions, ne dormant que trois heures par jour et affrontant les éléments. Puis retour au port avec leur pêche. Et là, ce sont les mareyeurs, avec leurs blouses noires, qui font les prix. C’est insupportable. Les uns travaillent dur, les autres profitent de ce travail.

    Idem pour le vin, le lait, le blé… Idem lorsque les grands domaines n’appartiennent pas aux banques, internationalisées et aux très grandes entreprises qui n’ont plus qu’une patrie : le fric.

    À côté de cela, nos petits producteurs, nos paysans, se crèvent pour nous nourrir. Eux-mêmes, en couple, ne touchent même pas le Smig. Nous leur devons tout sans les reconnaître. L’année dernière, 108 d’entre eux se sont suicidés. Du moins est-ce ceux que l’on a recensés. Cela fait deux par semaine. Intolérable. Guillaume Canet a tourné, il y a quelques années, un beau film sur le sujet, " Au nom de la terre ", incarnant un agriculteur au bord du gouffre. Cela aurait dû alerter. Mais que dalle!

    Mais pourquoi un petit agriculteur du fin fond de la France devrait-il attendre les autorisations de Bruxelles pour savoir quand faucher? Quand récolter? Il sait mieux que les technocrates ce qu’il faut faire et quand. Et pourquoi le prix de son blé devrait-il être décidé aux États Unis, au sein de la fameuse bourse de Chicago? Quelle est donc cette folie?

    Il faut y mettre un terme, en développant au maximum les circuits courts par lesquels des agriculteurs vendent eux-mêmes les fruits de leur travail aux consommateurs, en direct. Ce sera plus frais, plus sain, et moins cher. Il est temps de mettre un frein au pouvoir corrupteur et déloyal des grosses entreprises. À nous d’agir pour en finir et rétablir une situation plus saine.

    Louise Guersan

    https://ripostelaique.com/a-bas-les-affameurs-vive-les-circuits-courts.html

     

  • Mort aux c o n s!

    Saint Saturnin Toulouse (basilique Saint Sernin)

    Le saint trainé par des taureaux à Toulouse (rue du Taur)

     

    Les rares catho restants vont devoir se réunir comme dans le temps, dans le secret, dans les catacombes, et dessiner un poisson pour se reconnaitre

    https://www.lamontagne.fr/amp/saint-eloy-les-mines-63700/actualites/la-creche-de-saint-eloy-les-mines-puy-de-dome-vandalisee-cette-nuit-les-tetes-des-santons-arrachees_13709274/?__twitter_impression=true 

     

    Chaque année, c'est pareil depuis une dizaine d'années!

    Mer.. alors, ça suffit!

    Ce gouvernement de fantoches ne fait rien pour sauver la France et nos traditions!

    et je mettrais autant d'images catholiques qu'il le faudra pour faire chi.... ces conn.... s'il advenait qu'ils passent sur ce blog!