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societé - Page 66

  • Si vous voulez de vraies infos…

    Toutes les trois minutes, en France, un innocent se fait agresser!

    Tous les jours, 110 policiers ou gendarmes se font sauvagement agresser!

    Ces toutes dernières semaines, trois Français ont été lâchement assassinés. Le jeune Thomas, 23 ans, poignardé; la jeune femme gendarme Mélanie renversée par ce que les médias ont osé appeler un “chauffard“» et Philippe le conducteur de bus lynché par des racailles.

    C’est insupportable et à mon sens, c’est la Justice qui porte la plus grande responsabilité sur tout ce sang innocent versé!

    Le sentiment d’impunité des racailles est total!

    Je relaye aujourd’hui une carte interactive qui répertorie tous les homicides perpétrés contre des Français. Pour obtenir l’identité de la victime et de l’agresseur, cliquez sur les icônes en tête de mort!

     

    Source:

  • Jouer avec une grenade dégoupillée…

    Californie: contre la suprématie blanche, un nouveau programme pour les écoles publiques prévoit de prier les dieux aztèques qui réclamaient des sacrifices humains et du cannibalisme

    La semaine prochaine, le département d’éducation de la Californie votera sur un nouveau Programme des Études Ethniques à l’échelle de l’État qui prône la “décolonisation” de la société américaine et promeut le symbolisme religieux aztèque – tout cela au service d’une idéologie politique de gauche.

    Le nouveau programme, appelé Programme des Études Ethniques, cherche à étendre la domination culturelle de la gauche sur le système universitaire public californien, qui dure depuis 50 ans, à l’ensemble du système d’enseignement primaire et secondaire de l’État, qui se compose de 10 000 écoles publiques desservant un total de 6 millions d’élèves.

    En termes théoriques, le nouveau Programme des Études Ethniques est basé sur la “pédagogie des oppressés”, développée par le théoricien marxiste Paolo Freire, qui a soutenu que les élèves doivent être éduqués à propos de leur oppression afin d’atteindre une “conscience critique” et, par conséquent, développer la capacité de renverser leurs oppresseurs. Suivant cette dialectique, le Programme des Études Ethniques demande aux enseignants d’aider les élèves à “remettre en question les croyances racistes, sectaires, discriminatoires, impérialistes/coloniales” et à critiquer “la suprématie blanche, le racisme et d’autres formes de pouvoir et d’oppression”. Cette approche, à son tour, permet aux enseignants d’inciter leurs élèves à participer aux “mouvements sociaux qui luttent pour la justice sociale” et à “construire de nouvelles possibilités pour une société post-raciste et post racisme systémique.”

    1. Tolteka Cuauhtin, le premier coprésident de ce Programme des Études Ethniques, a élaboré une grande partie du matériel concernant l’histoire américaine ancienne. Dans son livre Rethinking Ethnic Studies, qui est cité tout au long du programme, Cuauhtin soutient que les États-Unis ont été fondés sur un “paradigme eurocentré, suprématiste blanc (raciste, anti-Noir, anti-Indigène), capitaliste (classiste), patriarcal (sexiste et misogyne), hétéropatriarcal (homophobe) et anthropocentrique amené d’Europe”. Le document affirme que les Blancs ont commencé à “s’emparer des terres”, à “faire éclore des hiérarchies” et à “se développer pour l’Europe/la blanchité”, ce qui a créé un “excès de richesse” qui est “devenu la base de l’économie capitaliste.” Les Blancs ont établi une “hégémonie” qui se poursuit jusqu’à aujourd’hui, dans laquelle les minorités sont soumises à “la socialisation, la domestication et la “zombification”.”

    Le récit religieux est encore plus perturbant. Cuauhtin a élaboré un “mandala” associé, affirmant que les chrétiens blancs ont commis un “théocide” contre les tribus indigènes, tuant leurs dieux et les remplaçant par le christianisme. Les colons blancs ont ainsi établi un régime de “colonialité, déshumanisation et génocide”, caractérisé par “l’effacement et le remplacement explicites de l’indigénéité et de l’humanité holistiques”. La solution, selon Cuauhtin et ce Programme des Études Ethniques, est de “nommer, parler, résister et transformer la condition néocoloniale hégémonique eurocentrée” dans une posture de “résistance transformationnelle”. Le but ultime est de “décoloniser” la société américaine et d’établir un nouveau régime de “contre-génocide” et de “contre-hégémonie”, qui remplacera la culture chrétienne blanche et conduira à la “régénération de l’avenir épistémique et culturel indigène”.

    Ce concept religieux est étoffé dans le “chant communautaire des Études Ethniques” officiel du Programme d’Études. Le programme recommande aux enseignants de faire écouter à leurs élèves une série de chansons, de chants et d’affirmations indigènes, dont l'”Affirmation In Lak Ech”, qui fait directement appel aux dieux aztèques. Les élèves applaudissent et chantent d’abord vers le dieu Tezkatlipoka – que les Aztèques adoraient traditionnellement par le sacrifice humain et le cannibalisme – en lui demandant le pouvoir d’être des “guerriers” pour la “justice sociale”. Ensuite, les étudiants chantent aux dieux Quetzalcoatl, Huitzilopochtli et Xipe Totek, en quête d’“épistémologies curatives” et d’un “esprit révolutionnaire”. Huitzilopochtli, en particulier, est la divinité aztèque de la guerre et a inspiré des centaines de milliers de sacrifices humains pendant la domination aztèque. Enfin, le chant atteint son apogée avec une demande de “libération, transformation, [et] décolonisation”, après quoi les étudiants crient “Panche beh ! Panche beh !” en quête d’une ultime “conscience critique”.

    Ces chants ont une implication claire: écarter le dieu chrétien, qui serait une extension de l’oppression suprématiste blanche, et restaurer des dieux indigènes à leur place légitime dans la cosmologie de la justice sociale. Philosophiquement il s’agit d’une vengeance des dieux.

    Les parents californiens devraient être inquiets. Sous couvert d'”équité” et d'”empowerment”, les activistes du système d’éducation publique ont élaboré ce nouveau programme radical afin de transformer les écoles californiennes en usines à militantisme politique de gauche. Ils ont présenté les États-Unis comme une nation oppressive qui doit être déconstruite et subvertie par la politique. L’énoncé de la vision du programme rend cet objectif explicite: il présente l’éducation non pas comme un moyen d’acquérir des compétences, mais comme un “outil de transformation, de changement social, économique et politique, et de libération”.

    L’élément religieux du Programme des Études Ethniques, avec ses appels directs aux dieux aztèques, constitue presque certainement une violation de l’Establishment Clause du premier amendement. Les écoles publiques n’ont pas le droit de conduire des prières chrétiennes validées par un État ; elles n’auraient pas le droit non plus de diriger des chants validés par un État en faveur du dieu aztèque des sacrifices humains.

    Le conseil de l’éducation de l’État votera sur ce programme la semaine prochaine. Toute instance dirigeante sensée le rejetterait en bloc. Mais étant donné la nature de la politique californienne, il est probable que le conseil l’adopte. Le meilleur espoir des opposants est de supprimer certains des éléments les plus irritants, comme les chants aux dieux aztèques, puis d’élaborer une stratégie à long terme pour contrer l’establishment dans l’enseignement public. Pour l’instant, ce sont les activistes qui semblent mener la danse, et ils ne s’arrêteront pas tant qu’ils n’auront pas assuré leur “contre-hégémonie”.

    Christopher Rufo pour City-Journal

     

        États-Unis: dans les écoles pour élites, des parents terrorisés s'organisent face à la domination d'une idéologie antiraciste devenue folle – https://t.co/7oODwrxHY4 pic.twitter.com/5b6uWJ2tJF

     

    Source:

  • Salop….

    Nîmes: Farid, riche d’un casier judiciaire qui compte 24 mentions, s’attaque à une octogénaire en déambulateur

    AU PALAIS Après avoir bu ses 3 litres de bière quotidien, il vole le sac d’une octogénaire en déambulateur

    […]

    Pas plus tard que le mercredi 3 mars quand, sur les coups de 17h, il vole à l’arraché le sac d’une octogénaire en déambulateur à quelques pas des arènes de Nîmes. Il est interpellé quelques instants plus tard alors qu’il tente d’acheter des cigarettes grâce au paiement sans contact dans un tabac de l’avenue Feuchères.

    Son taux d’alcoolémie? Pas loin de 2 grammes d’alcool dans le sang. " J’avais bu au moins 20 bières ! ", déclare-t-il à l’audience. Ce jour-là, c’était un peu plus que d’habitude puisqu’il dit tourner à environ 3 litres par jour…

    Six mois plus tôt, il avait…

    […]

     2 ans de prison dont la moitié avec sursis

    […]

    L’article dans son intégralité sur Objectif Gard

  • Une romancière iranienne

    Qui ne connaît pas Chahdortt Djavann ?

     

    Le Saint-Père François est bien revenu d’Irak.

    Je viens de lire, à ce sujet, un livre dont je recommande aussi la lecture à nos lecteurs. Son titre est “Comment lutter efficacement contre l’idéologie islamique” (Ed. Grasset, 2016). Son auteur s’appelle Chahdortt Djavann. C’est une intellectuelle d’origine iranienne. Née en 1967, elle vit en France depuis 1993. Elle a vécu la révolution islamique dans son enfance. A l’âge de treize ans, elle a été emprisonnée pendant un mois pour avoir participé à une manifestation contre le régime des ayatollahs. Elle a été frappée. On lui a brisé deux côtes. Elle dit qu’elle avait de la chance de s’en tirer avec des coups et blessures. Elle a perdu deux amies, exécutées après avoir été sauvagement torturées. Elle raconte qu’à l’époque, Khomeiny martelait: "Il faut exterminer les ennemis de l’islam jusqu’au dernier. "

    Donc, l’auteur sait au moins de quoi elle parle. Bien que sa vie ait été remplie d’épreuves douloureuses, elle ne perd pas le sens de l’humour. Elle dit, par exemple: "Grands exportateurs de caviar, les mollahs iraniens ont trouvé la faiblesse de la "gauche caviar". Cela nous rapproche de l’actuel débat sur "l’islamo-gauchisme".

    Mais la gauche n’est pas l’unique responsable. En tous cas, Djavann affirme: "C’est en France, à Neauphle-le-Château, qu’est né ce qui est devenu par la suite l’idéologie islamique. "Elle précise, cependant, que Valéry Giscard d’Estaing a par la suite regretté d’avoir accueilli Khomeiny.

    L’une des idées les plus intéressantes de l’auteur me semble être la suivante: "L’idéologie islamique a été introduite savamment en Occident par le bas, via le terrain, dans certains quartiers, cités, banlieues, et par le haut, via les intellectuels, les politiques, les artistes et les médias".

    Elle estime que le cerveau de l’idéologie islamique est en Iran. Elle rappelle les propos de Khomeiny: “Nous exporterons l’islam au monde entier!".

    Elle semble être particulièrement critique à l’égard de Barack Obama. Elle dit: "Sous ses deux mandats, huit ans au total, l’islamisme a décuplé au Proche et Moyen-Orient". Elle estime que l’élection d’Obama a été dans une large mesure aidée par le travail des agents iraniens. Et qu’on doit à Obama aussi la guerre civile en Syrie.

    J’étais particulièrement sensible aux propos suivants de Chahdortt Djavann:" Un certain nombre d’intellectuels européens comparent notre époque avec les années 1930 et le racisme contre les musulmans d’aujourd’hui en Europe avec l’antisémitisme d’hier. Cette comparaison n’a aucun fondement. Dans les années 1930, il n’y avait aucun pays juif au monde. Aujourd’hui, il n’en existe qu’un, de la taille d’un mouchoir de poche. Or il existe au moins une quarantaine de pays musulmans. Certains d’entre eux sont très riches grâce à la manne pétrolière. Quelques-uns financent les islamistes et le terrorisme dans le monde.

    Il n’existait aucune idéologie juive conquérante dans les années 1930. Or il existe, depuis plus de trente ans, une idéologie islamique conquérante. Il n’y avait pas de mouvements djihadistes juifs à l’époque. Or il y a des mouvements djihadistes islamiques aujourd’hui.

    Le nombre de juifs s’élevait à quelques millions hier comme aujourd’hui. Or il y a plus d’un milliard de musulmans dans le monde. Les juifs n’étaient pas prosélytes, même les plus intégristes d’entre eux. Or les islamistes sont prosélytes. "

    D’après Le Figaro, Klaus Kinzler, l’un des deux enseignants récemment mis en cause à Grenoble, s’est attiré la colère de ses adversaires parce qu’il s’était permis de dire que l’on ne pouvait pas comparer l’antisémitisme traditionnel à la façon dont les musulmans sont traités en France aujourd’hui.

    Je dirais que ces islamo-gauchistes savent que la principale motivation de ceux qui sont réceptifs à leur idéologie est le complexe de culpabilité. Beaucoup d’Européens se sentent coupables à la fois à l’égard des musulmans qu’ils avaient colonisés, et à l’égard des juifs qu’ils avaient opprimés. Les islamo-gauchistes, tout en étant eux-mêmes fortement antisémites, mais en cachant leur antisémitisme sous un soi-disant antisionisme, veulent toujours tirer profit des complexes de culpabilité de certains à l’égard des juifs.

    De son coté, Mme Djavann rappelle qu’à l’école on leur faisait scander "A bas l’Amérique!  A bas Israël!", qu’on leur inculquait qu’il n’y avait jamais eu de génocide juif.

    Notre auteur ne confond pas l’idéologie islamique et les musulmans en tant que tels. Elle dit que "parmi les plus farouches ennemis de cette idéologie, on compte bon nombre de gens d’origine musulmane qui en ont connu la monstruosité de l’intérieur".

    Je comprends cela d’autant mieux que j’ai connu de l’intérieur la monstruosité du totalitarisme communiste, avant de bénéficier, comme Mme Djavann, de l’asile en France. A l’époque, les fils à papas qui venaient à la faculté dans leurs belles voitures, qui voulaient bénéficier à la fois du confort matériel grâce au capitalisme et du confort moral en s’identifiant avec les exploités, ne daignaient pas discuter avec moi, du moment que je ne partageais pas leur admiration pour Fidel Castro, pour Ho Chi Min ou Mao Tsé Toung, ou d’autres tyrans sanguinaires.

    Mme Djavann parle d’"une conception définitivement totalitaire d’un islam dogmatique, le tout dans une vision impérialiste et hégémonique de la dernière religion monothéiste conquérante, dont la vocation revendiquée est de régner sur la planète entière. "

    Elle nous exhorte à sauvegarder les "valeurs essentielles qui font la grandeur de la France, de l’Europe et des démocraties occidentales. Nous devons nous battre contre l’obscurantisme en prenant pour armes la raison et l’intelligence". Elle dit que "défendre, protéger la culture française, le mode de vie français, la langue française doit être l’honneur de ce pays".

    Mme Chahdort Djavann a publié, au total, quatorze livres. En 2003, elle a reçu le Prix de la laïcité de l’association "Comité Laïcité République".

    Son dernier livre, publié également chez Grasset, en 2018, s’appelle “Iran: J’accuse”.

    J’ai commencé cet article en parlant du voyage du pape en Irak. A cette occasion, j’ai aussi acheté le journal La Croix, pour m’en informer. J’y ai lu que, à en croire le pape, "la religion, de par sa nature, doit être au service de la paix et de la fraternité".

    Sans doute. Encore il faut voir, de quelle religion on parle. Dans La Croix du 8 mars, je lisais aussi un petit article, nous informant de la situation à Cabo Delgado, une région du nord du Mozambique, où des groupes islamistes ont tué, depuis 2017, plus de 2000 personnes et ont fait fuir 530 000 autres, puis déplacées.

    Le Mozambique était une colonie portugaise jusqu’en 1975. On peut se demander si les peuples du tiers monde étaient vraiment tellement plus malheureux, lorsque les nations d’Europe y exerçaient encore leur "mission civilisatrice" que maintenant. Mais poser une telle question est évidemment très politiquement incorrect.

    Martin Janecek

     

    Source:

     

    N'OUBLIONS JAMAIS

    Petit rappel des épisodes islamistes 2015-2018 en France

    2015: 150 morts, 470 blessés

    2016: 90 morts, 493 blessés

    2015-2016: 240 morts, 963 blessés

    2017: 7 morts 59 blessés

    2015-2017: 247 morts, 1022 blessés

    Bilan provisoire 2015-2018: 255 morts, 1100 blessés.

    Source:

  • Qui peut se faire vacciner?

    J'ai entre 50 et 74 ans et souffre de comorbidités

    Qui? Les personnes entre 50 et 74 ans inclus souffrant d’une ou plusieurs comorbidités sont éligibles à la vaccination contre la Covid-19.

    Les comorbidités ouvrant droit à cette vaccination sont notamment:

        les pathologies cardiovasculaires ;

        l'hypertension artérielle compliquée ;

        un antécédent d’accident vasculaire cérébral ;

        une insuffisance cardiaque ;

        des diabètes de type 1 et 2 ;

        des pathologies respiratoires chroniques susceptibles de décompenser lors d’une infection virale, notamment ;

        une sclérose en plaques ;

        un syndrome d’apnées du sommeil ;

        une mucoviscidose...

    Consulter la liste complète des comorbidités

    Source:

    Où? Chez leur médecin traitant ou sur leur lieu de travail.

    Comment? En prenant rendez-vous auprès de leur médecin traitant ou médecin du travail ou lieu de soin.

    Je suis atteint d'une pathologie à haut risque

    Qui? Les personnes de plus de 18 ans atteintes d’une pathologie à haut risque, c’est-à-dire celles:

        atteintes de cancers et maladies hématologiques malignes en cours de traitement par chimiothérapie ;

        atteintes de maladies rénales chroniques sévères, dont les patients dialysés ;

        transplantées d’organes solides ;

        transplantées par allogreffe de cellules souches hématopoïétiques ;

        atteintes de polypathologies chroniques et présentant au moins deux insuffisances d’organes

        atteintes de certaines maladies rares et particulièrement à risque en cas d’infection ;

        atteintes de trisomie 21.

    Où? Chez leur médecin traitant ou médecin du travail ou lieu de soin ou en centre de vaccination avec une prescription médicale de leur médecin traitant.

    Comment? En contactant leur médecin traitant pour la prescription médicale, puis en prenant rendez-vous dans un centre de vaccination soit:

        sur internet sur sante.fr (également accessible directement depuis l'application TousAntiCovid) dans le centre de leur choix ;

        par téléphone au 0800 009 110 ouvert 7 jours sur 7 de 6h à 22h (numéro vert) qui oriente directement vers les plateformes téléphoniques du centre de vaccination choisi.

    Je suis en situation de handicap

    Qui? Les personnes en situation de handicap, quel que soit leur âge, et hébergées en maisons d’accueil spécialisées (MAS) et foyers d’accueil médicalisés (FAM).

    Où? Dans les MAS et FAM.

    Comment? Les personnes en situation de handicap ou leurs proches peuvent s’informer auprès des MAS et FAM.

    J'ai plus de 75 ans

    Qui? L’ensemble des personnes de 75 ans et plus, quel que soit leur lieu de vie (en établissements ou à domicile).

    Où? Chez leur médecin traitant, en centre de vaccination ou dans leur établissement (Ehpad, USLD, par exemple).

     

    Comment? Concernant les centres de vaccination, les personnes de plus de 75 ans, ou leurs proches, peuvent prendre les deux rendez-vous pour les deux injections sur sante.fr (également accessible directement depuis l'application TousAntiCovid) dans le centre de leur choix.

    Elles peuvent aussi prendre rendez-vous en appelant:

        le numéro vert 0800 009 110 ouvert 7 jours sur 7 de 6h à 22h (numéro vert) qui oriente directement vers les plateformes téléphoniques du centre de vaccination choisi ;  

        le centre de vaccination près du domicile de la personne de plus de 75 ans (les coordonnées téléphoniques sont sur le site sante.fr qui propose une liste complète des centres ouverts dans chaque département).

    Cas particulier: je suis enceinte

    Au vu des données actuelles, la Haute autorité de santé (HAS) et l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) estiment que la vaccination est à évaluer chez les femmes enceintes au cas par cas, d’autant plus si elles présentent une comorbidité ou sont susceptibles d’être en contact avec des personnes infectées du fait de leur activité professionnelle.

    Cette évaluation doit être faite en étroite concertation avec le médecin, la sage-femme ou le gynécologue de ladite femme enceinte.

    Par ailleurs, selon la HAS et l’ANSM, sur la base des mécanismes biologiques, il n’y a pas d’effet attendu chez le nourrisson et l’enfant allaités par une femme vaccinée.

    Toutes les informations sur la vaccination des femmes enceintes

    ansm.sante.fr

     

    https://www.gouvernement.fr/les-personnes-eligibles-a-la-vaccination-contre-la-covid-19

  • Le compte à rebours a commencé.

    La guerre civile, elle est déjà là, à basse intensité, avant la déflagration

    Les politiques détournent le regard, les policiers se taisent par obligation, les gardiens de prison crient leur désespoir… Xavier Raufer ose dire ce qui va arriver si on ne reprend pas la main.

    Quand on rafale les terrasses de café comme en 2015, quand on égorge un prêtre en pleine messe et qu’on décapite un enseignant devant son lycée, quand on assiste à des émeutes à répétition, avec des dizaines d’attaques de commissariats et plus de 45 000 véhicules brûlés chaque année, quand on dénombre  1 000 agressions gratuites par jour contre les mécréants, qui peut encore croire à des lendemains qui chantent ?

    Si ce ne sont pas là les prémices d’une guerre civile interconfessionnelle, cela y ressemble beaucoup.

    Jean-Pierre Chevènement disait il y a peu “qu’il faut se méfier des guerres civiles qui arrivent à bas bruit”.

    Gérard Collomb nous annonçait un “face-à-face” dans les cinq ans, en quittant la place Beauvau.

    Et bien des auteurs ont décrit l’embrasement de la France dans un futur proche.

    Par conséquent, ignorer la menace et la laisser s’aggraver en refusant de combattre les violences urbaines et l’insécurité, c’est assumer un renoncement éminemment criminel.

    Voilà des années que policiers et pompiers sont agressés, victimes de guets-apens dressés par des racailles assurées de l’impunité.

    Qu’ont donc fait les pourris qui nous gouvernent pour rétablir la sécurité ? Ils ont multiplié les enquêtes de l’IGPN à l’encontre des policiers, les paralysant au point qu’ils n’osent même plus sortir leur arme face à des barbares qui veulent les brûler vifs !

    Plutôt risquer la mort que de subir les foudres de l’IGPN, avec menace de radiation ! Ce triste constat est à peine caricatural !

    On a vu le sinistre Darmanin évoquer la radiation de policiers sur un plateau TV, avant leur procès, avant que la vérité soit connue et avant même que les policiers aient pu s’exprimer.

    C’est dire la pitoyable soumission de ce ministre à la dictature bien-pensante.

    Les racailles, quant à elles, écopent d’une garde à vue, qui, la plupart du temps, se terminera par un simple rappel à la loi de la part d’un juge qui se fout totalement de ce droit élémentaire à la sécurité, auquel tout citoyen d’une démocratie digne de ce nom peut prétendre.

    Les émeutes ne datent pas d’hier et la violence prospère sur le terreau d’un laxisme judiciaire criminel, entretenu par un pouvoir démissionnaire qui a peur de son ombre.

    Au classement des pays les plus dangereux d’Europe, la France est en troisième position derrière la Suède et l’Ukraine.

    La Suède, paradis des années soixante, peut se féliciter de sa politique d’immigration !

    Mais en taux d’incarcération rapporté à la population, la France se situe au 18e rang. 100 000 peines de prison ne sont pas exécutées faute de place.

    90% des déboutés du droit d’asile disparaissent dans la nature, allant grossir le million de clandestins qui ne sont jamais expulsés, qui seront un jour régularisés et qui deviendront français tôt ou tard.

    https://fr.numbeo.com/criminalit%C3%A9/classements-par-pays?region=150&title=2019

    La peur, elle est du côté des policiers lâchés par leur hiérarchie et harcelés par la justice.

    On a encore vu notre ministre de la Défense, une inconnue qui ne faisait aucune différence entre un sous-marin nucléaire et un Rafale avant d’être bombardée à l’Hôtel de Brienne,  infliger un blâme à un capitaine de gendarmerie dont le seul tort est d’avoir dit la vérité sur la démission du pouvoir face aux racailles.

    Il n’y a pas pire sanction qu’un blâme pour un officier.

    Dans toute l’Union européenne, quand un malfrat croise un flic, il change de trottoir. En France, ce sont les policiers qui rasent les murs, évitant l’affrontement qui risque de les mener devant l’IGPN.

    Mais tout s’aggrave.

    Quand les policiers et pompiers ont été agressés, le pouvoir a fermé les yeux.

    Quand les soignants ont été tabassés dans les urgences, le pouvoir a détourné le regard.

    Quand les enseignants ont été menacés de mort, il a fallu attendre la décapitation de Samuel Paty pour que le problème soit pris au sérieux.

    Mais maintenant, après des décennies de lâcheté et d’inaction, ce sont les journalistes et les élus qui sont dans le collimateur des malfrats.

    “Et que dire, symbole parmi les symboles, du tabassage à mort du digne journaliste de l’Union à Reims. Voici que nous apprenons, une fois encore, une fois de plus, une fois de trop, le profil de l’agresseur présumé : un jeune Algérien de 21 ans déjà condamné huit fois en France depuis 2018 pour des vols, des violences, des trafics de stupéfiants. Que fait-il sur notre sol ? J’ai honte de ceux qui nous gouvernent et qui font semblant.” (Guillaume Peltier)

    Il n’y aura plus de sanctuaire pour quiconque. La violence gagne les campagnes et toutes les strates de la société.

    Ceux qui s’imaginent rester à l’abri de leur tour d’ivoire se trompent lourdement. Quand viendra l’heure de l’embrasement généralisé, les assaillants ne feront pas de détail entre banlieues et beaux quartiers.

    Les bobos totalement déconnectés des réalités vont tomber de très haut.

    Source:

    Comme quoi, ce n’est pas en imposant une omerta sur la criminalité d’origine immigrée que les choses vont s’arranger.

    Taire la vérité c’est infecter la plaie en refusant de la soigner.

    Car élus et journalistes récoltent ce qu’ils ont semé en pratiquant une odieuse désinformation sur la criminalité importée depuis 40 ans.

    Leur éthique se résume à taire la vérité au nom du politiquement correct, cette dictature de la pensée devenue le cancer de la société qui va tout emporter.

    Tout ce que sait faire ce gouvernement, c’est dissoudre Génération Identitaire et persécuter la belle jeunesse gauloise qui entend défendre nos frontières, en digne descendante de nos courageux Poilus.

    Jamais condamnés et n’ayant jamais usé de la violence, ces jeunes patriotes sont pourtant comparés par l’abominable Darmanin  à une milice paramilitaire, limite groupe terroriste.

    “Cette association et certains de ses militants doivent être regardés comme tenant un discours de haine incitant à la discrimination ou à la violence envers des individus en raison de leur origine, de leur race et de leur religion” et, “par sa forme et son organisation militaires”, GI “peut être regardée comme présentant le caractère d’une milice privée”.

    Il ne fait pas bon être un patriote en 2021. Il y a un siècle, Darmanin aurait été marqué à jamais du sceau de l’infamie pour avoir persécuté les défenseurs de nos frontières.

    Ils étaient des héros en 1918, ils sont des salauds en 2021. Ainsi va l’Histoire quand des illuminés prennent le pouvoir…

    60% des jeunes musulmans ont la haine de la France et souhaitent l’avènement de la charia, mais ce sont les jeunes patriotes de GI que le pouvoir veut briser.

    Macron, fort avec les faibles, mais faible avec les forts. Les immigrés, il en a une peur bleue.

    Macron et ses sbires sont indignes de gouverner la France.

    Non, monsieur Darmanin, les violences urbaines ne sont pas dues à la lutte anti-drogue et au démantèlement des réseaux. Excuse aussi facile que mensongère. Les violences urbaines sont la conséquence de la lâcheté d’un pouvoir démissionnaire qui répugne à condamner.

     

    Macron avait promis 15 000 places de prison, il a libéré 15 000 détenus pour régler le problème de la surpopulation carcérale.

    Et l’insécurité?

    “Un fantasme d’extrême droite” nous dit le King-Kong des prétoires, toujours plus soucieux de la santé des crapules que de celle des victimes.

    Les violences urbaines, les VU en langage policier, n’inquiètent le pouvoir que s’il y a risque d’embrasement.

    Que 45 000 voitures brûlent chaque année ou que 1 000 citoyens se fassent agresser chaque jour n’empêche pas Macron de dormir. Un Français de plus ou de moins, tombé sous les coups de couteau d’un “déséquilibré”, quelle importance ?

    Mais des violences urbaines pouvant dégénérer en émeutes de type 2005, c’est sa hantise.

    Il  faut donc empêcher une insurrection généralisée qui compromettrait sa réélection en 2022.

    200 policiers vont être envoyés à Lyon pour tenter de  déminer le terrain. Il n’y aura aucune condamnation, comme d’habitude.

    Seuls les policiers et les jeunes patriotes de GI sont dans le collimateur de l’Élysée.

    C’est la racaille qui fait la loi, assurée de la complicité du pouvoir, assurée de la paralysie imposée aux policiers, de l’omerta orchestrée par les médias et du laxisme des juges qui répugnent à condamner et à exercer leur métier, qui est de protéger la population.

    Telle est la France de 2021 sous le règne de Macron. Un pays à l’abandon, en passe de se désintégrer.

    Le compte à rebours a commencé.

    Et le retour au réel, qui va pulvériser la grande illusion du “vivre-ensemble”, sera sanglant, faute d’avoir eu le courage d’affronter la vérité depuis 40 ans.

    Mais peut-être est-ce là le prix à payer pour en finir avec les délires du mondialisme et du multiculturalisme, que les élites s’obstinent à imposer contre la volonté du peuple.

    Jacques Guillemain

     

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