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société - Page 237

  • Rétablir la vérité...

    Éric Zemmour: " Mon constat et mon diagnostic sont désormais la norme"

    La Cour de cassation a annulé la condamnation d’Éric Zemmour pour ces propos tenus en 2014 dans le quotidien italien Corriere Della Serra :  " Il y a des millions de personnes qui vivent en France sans vouloir vivre à la française. Les musulmans ont leur propre Code civil : le Coran. Ils vivent entre eux, dans les périphéries. Les Français ont été obligés d’en partir ".

    Procureur du tribunal correctionnel de Paris, Annabelle Philippe s’était muée en militante politique au cours d’un réquisitoire stupéfiant, dans lequel elle soulignait que les propos " stigmatisants et sans nuance " d’Eric Zemmour avaient " pour objet principal d’opposer les musulmans et les Français ". Elle avait même ajouté qu’on pouvait se demander si Eric Zemmour ne nourrissait pas le funeste dessein de " mettre en place tout ce qu’il faut (pour arriver à une guerre civile) ". Aujourd’hui, la Cour de cassation a dit le droit, renvoyant le tribunal et la Cour d’appel à leurs études.

    Éric Zemmour a accepté de répondre à nos questions.

    Le procès politique n’est-il pas la dernière arme d’idéologues aux abois, refusant le réel?

    Éric Zemmour : Non, ce n’est pas la dernière de leurs armes : c’est l’arme principale utilisée dans le cadre d’un combat visant à faire taire les opposants. C’est la terreur du pauvre. On emploie la justice pour imposer le silence. Le réel n’intéresse pas Yann Moix ou ceux qui me font des procès. Pour ces gens, le réel n’existe pas, il n’est qu’une création du verbe. Ils pensent d’ailleurs que je n’exprime pas ce qui existe réellement, mais que j’essaye d’endoctriner les Français, qu’il suffirait de me faire taire pour que la réalité n’existe pas. Mais je ne suis qu’un messager.

    Mais la parole s’est libérée, sans doute grâce à vous : regardez Souâd Ayada, la nouvelle présidente du Conseil supérieur des programmes qui n’a pas hésité à dénoncer le manque d’objectivité des manuels d’histoire-géographie sur la question islamique.

    Mon constat et mon diagnostic sont désormais la norme ! Ce que je disais il y a quelques années est devenu banal. Tout le monde le pense. Regardez Ariane Chemin qui a sorti un livre sur les quartiers, s’étonnant que la ville de Trappes soit entièrement islamisée. Même elle voit le problème. Mais c’est Martine en banlieue ! J’ai peut-être contribué à une libération de la parole mais je ne suis pas optimiste. Car, si tout le monde sait, aucune mesure n’est prise. Rien n’est fait. Je ne voudrais pas m’abandonner au point Godwin, mais rappelons-nous la période 35-36 en Rhénanie. Là encore, tout le monde avait compris. Et que s’est-il passé? On n’a pas envoyé les chars. On a tergiversé. On a perdu du temps. Vous connaissez la suite. Il y a quantité d’exemples dans l’histoire – des drames, des invasions, des guerres – où des sociétés perçoivent une catastrophe sans tenter quelque chose pour la prévenir. Il y a une fascination pour la destruction, pour la chute. C’est le cas aujourd’hui.

    Cette réalité française est pourtant difficile à représenter avec exactitude, faute d’études statistiques

    Je recommande le papier de l’historien Pierre Vermeren dans Le Figaro (24 janvier 2018). Il montre bien que le nombre de musulmans est sous-estimé en France. D’ailleurs, une étude américaine a montré qu’il y avait 8,5 millions de musulmans en France, quand tous les experts nous disent qu’il n’y en aurait qu’entre 4 et 5 millions. Pourquoi? Tout simplement parce que les Américains sont plus pragmatiques. Ils ne tiennent pas uniquement compte de la religion déclarée ! Ils ajoutent la religion des parents, ce qui est beaucoup plus logique.

    Reste le procès que vous intente la mairie PCF de Grigny pour avoir dit : " Grigny ce n’est pas la France ".

    Mais de qui se moque-t-on? Je suis encore emmerdé pour avoir dit ce que tout le monde sait. La Grande Borne de Grigny n’est plus française ! Comme vous le dites, on a presque tort de parler de " territoires perdus de la République ", car ce sont des territoires perdus de la France ! La république y existe encore. Il y a des services publics. Il y a encore un peu d’Etat. Mais il n’y a plus de culture française. Trappes ou Grigny sont largement islamisées, soumises à la coupe des caïds. On veut faire de moi un criminel de guerre alors que quasiment tout le monde est d’accord avec ça ! C’est la France qui disparaît dans des dizaines et des dizaines de quartiers. Alors oui, vous avez des musulmans intégrés, des gens qui se fondent dans la population française. Reste que cette réalité là existe, plus que jamais.

    Gabriel Robin  

    https://lincorrect.org/eric-zemmour/

  • Le fichier de Prescrire

    pour_mieux_soigner,_des_medicaments_a_ecarter___bilan_2018.pdf

  • ALERTE!

    La revue Prescrire épingle 90 médicaments jugés "plus dangereux qu’utiles"

    Ces médicaments, qui disposent d’une autorisation de mise sur le marché, entraînent plus d’effets indésirables que d’autres ayant une efficacité similaire ou supérieure.

    Ils sont prescrits à des patients souffrant de cancers, de sclérose en plaques, de la maladie de Parkinson, à des personnes atteintes de troubles cardiaques, à des femmes ménopausées ou encore à des malades d’Alzheimer... Au total, 90 médicaments actuellement sur le marché présentent une balance bénéfices-risques défavorable, selon la revue médicale indépendante Prescrire . En clair, ils causent plus d’effets indésirables que d’autres substances ayant une efficacité similaire voire supérieure.

    Parmi eux, 79 sont commercialisés en France et tous disposent d’une autorisation européenne de mise sur le marché. De la pneumologie à la cardiologie en passant par la neurologie et la psychiatrie, aucune spécialité médicale n’est épargnée. La revue Prescrire a élaboré cette liste à partir d’une analyse méthodique de la littérature scientifique réalisée entre 2010 et 2017.

    Le Figaro fait le point sur les 5 spécialités médicales les plus concernées: la médecine de la douleur, la psychiatrie, la cancérologie, la cardiologie et, sur la première place du podium, la pneumologie-ORL.

    La revue Prescrire rappelle qu’un certain nombre de médicaments prescrits pour des troubles bénins tels que le rhume et la toux présentent des "effets indésirables disproportionnés" par rapport aux bénéfices escomptés. Ainsi, les décongestionnants à base d’éphédrine, de naphazoline ou encore de pseudo-éphédrine exposent à des troubles cardiovasculaires graves. L’ambroxol (nom commercial: Muxol) et la bromhexine (Bisolvon), utilisés pour soulager les maux de gorge et la toux, exposent à des "réactions anaphylactiques et à des réactions cutanées graves".

    La pholcodine, un opioïde utilisé pour lutter contre la toux sèche, pourrait être à l’origine d’accidents rares mais graves lors de certaines anesthésies. Quant au tixocortol (Thiovalone ou autre), un corticoïde utilisé sous la forme de pulvérisateur contre les maux de gorge, il "expose à des réactions allergiques". Prescrire recommande de s’en tenir au dextrométhrophane pour soulager la toux, et au paracétamol en cas de maux de gorge.

    D’autres médicaments, utilisés dans la prise en charge de la mucoviscidose, la fibrose pulmonaire et la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) ont également été épinglés.

    Cardiologie: 11 médicaments à écarter

    La liste comprend 11 médicaments utilisés en cardiologie, dont 3 hypocholestérolémiants (le bézafibrate, le ciprofibrate et le fénofibrate). Non seulement ils ne permettent pas de prévenir la survenue d’accidents cardiovasculaires, mais ils "exposent à de nombreux effets indésirables, notamment cutanés, hématologiques et rénaux". D’autres médicaments, prescrits contre l’angine de poitrine, la fibrillation auriculaire ou l’insuffisance cardiaque, n’ont pas non plus de balance bénéfices-risques positives, selon la revue Prescrire.

    Cancérologie: 8 anticancéreux dans la tourmente

    "Divers anti-tumoraux ont une balance bénéfices-risques nettement défavorable, note Prescrire. Ils sont souvent autorisés dans des situations où les autres traitements semblent inefficaces". Pourtant, certains "exposent les patients à une toxicité importante sans bénéfice clinique le justifiant", poursuit la revue, qui cite 8 médicaments anticancéreux. Ceux-ci ne permettent pas d’allonger la durée de vie des patients mais exposent à de nombreux effets indésirables souvent graves.

    Psychiatrie: 7 antidépresseurs à éviter

    Bien qu’autorisés, ces médicaments exposent plus que d’autres antidépresseurs à des risques graves, mais ils ne sont pas plus efficaces. Parmi les risques, Prescrire évoque des hépatites, accès d’agressivité, des suicides, des troubles du rythme cardiaque ou encore des atteintes cutanées.

    Prise en charge de la douleur et de l’inflammation

     

    La revue liste ensuite 7 anti-inflammatoires non stéroïdiens qui, à efficacité équivalente ou inférieure, présentent plus de risques que d’autres. Certains exposent à un risque accru d’accidents cardiovasculaires (infarctus du myocarde, insuffisances cardiaques), d’autres à de l’eczéma et à des éruptions bulleuses sur la peau ou encore à des troubles digestifs. Sont cités: le diclofénac, notamment commercialisé sous le nom de Voltarène, et le kétoprofène en gel (Ketum ou autre).

    "Quand le paracétamol n’est pas suffisant, l’ibuprofène et le naproxène, à la plus petite dose efficace et pour une durée aussi courte que possible, sont les options les moins à risque", rappelle Prescrire.

    Alzheimer, perte de poids et arthrose: des médicaments inutiles et dangereux

    Concernant les médicaments anti-alzheimer, Prescrire rappelle qu’"aucun n’a d’efficacité démontrée pour ralentir l’évolution vers la dépendance" et qu’"ils exposent à des effets indésirables graves, parfois mortels". Par exemple, le donépézil, la galantamine et la rivastigmine exposent à des troubles digestifs, neuropsychiques et cardiaques. Quant à la mémantine, elle peut engendrer des hallucinations, des maux de tête, des convulsions, des insuffisances cardiaques voire des vertiges. "Mieux vaut se concentrer sur l’aide à l’organisation du quotidien, le maintien d’activité, l’accompagnement et l’aide de l’entourage", préconisent les auteurs.

    Deux médicaments indiqués dans la perte de poids sont également épinglés, dont l’un est commercialisé en France: l’orlistat (nom commercial: Xenical). Ceux-ci n’apportent pas la preuve d’un quelconque effet favorable à long terme. Par contre, ils font courir des risques bien connus: troubles digestifs fréquents, atteintes hépatiques, carences... "Aucun médicament ne permet de perdre du poids de façon durable et sans risque", rappelle Prescrire. "Mieux vaut s’en tenir à des modifications d’activité physique et diététiques avec, si nécessaire, un soutien psychologique".

    Enfin, deux médicaments "autorisés pour leur action supposée sur le processus aboutissant à l’arthrose sont à écarter". Et pour cause, leur efficacité n’est pas démontrée. Par contre, ils exposent à des effets indésirables notables, comme des troubles digestions, des hépatites et des réactions allergiques.

    "Comment justifier d’exposer des patients à des effets indésirables graves, quand l’efficacité du médicament n’est même pas démontrée au-delà de l’effet placebo ou sur des critères cliniques pertinents pour eux?", s’interroge Prescrire en conclusion.

     

  • Affaire Théo L.: une nouvelle vidéo de son interpellation contredit son récit

    Un an après les faits, Europe 1 révèle comment Théo L. a été arrêté et blessé par la police à Aulnay-sous-Bois. Un document inédit et éclairant sur cette affaire.

    C’est la pièce centrale de ce dossier, la preuve de ce qui est réellement arrivé à Théo L. le 2 février 2017. Europe 1 dévoile les images enregistrées par les caméras de vidéosurveillance de la ville d’Aulnay-sous-Bois. Elles ont été analysées par les enquêteurs de l’Inspection générale de la police (IGPN) puis versées dans la procédure judiciaire. Elles permettent de comprendre ce qu’il s’est vraiment passé.

    Un coup furtif. L’enregistrement témoigne d’abord de la grande confusion lors de ce contrôle d’identité qui dégénère. Les quatre fonctionnaires de la brigade spécialisée de terrain (BST) d’Aulnay ne semblent pas maîtriser la situation. La vidéo montre leurs coups portés à Théo L. qui se débat vigoureusement, leur grande difficulté à le menotter et le coup de bâton télescopique qui a provoqué la très grave blessure du jeune homme. Un geste très bref, extrêmement rapide, comme une estocade. Aussitôt, Théo L. se retourne et s’effondre de douleur, son caleçon toujours en place, transpercé par la matraque, selon les constatations des enquêteurs.

    Le pantalon baissé. Sur la vidéo, il apparaît clairement que, dans l’échauffourée, Théo L. perd sa veste de survêtement et son bas de jogging lui tombe sur les cuisses, laissant voir son caleçon. Quelques jours après les faits, le jeune homme déclarait à propos du policier qui l’a blessé: " il baisse mon pantalon et il enfonce la matraque dans mes fesses ". Les fonctionnaires poursuivis ont toujours contesté avoir baissé le bas de jogging de la victime. Les images permettent de confirmer leur version. Confronté à la vidéo par la juge d’instruction, Théo L. a fait évoluer son récit. Il reconnaît désormais que son pantalon de survêtement trop grand était mal attaché et qu’il a glissé tout seul, souligne Le Parisien.

    Acte de torture. En revanche, le jeune homme maintient dans différentes interviews que le policier lui a "volontairement" enfoncé la matraque dans les fesses. Il dénonce même un "acte de torture" et ses avocats envisagent de demander la requalification des faits en ce sens, selon les informations recueillies par Europe 1. Le policier auteur du coup de matraque a lui aussi été confronté à la vidéo dans le bureau de la juge d’instruction. Il reconnaît le geste mais nie toute intention volontaire de pénétration.

    www.europe1.fr

  • Les ponctionnaires qui marchent sur la tête…

    Pas de prénom breton mais celui de l’assassin pédophile Mohammed autorisé à l’Etat-civil?

    La mode est aux prénoms libres, venus de toute la planète ou même de l’imagination des parents. On se souvient que Cécile Duflot a appelé l’une de ses filles Térébenthine. Faut oser. Mais admettons.

    Il demeure néanmoins des règles incontournables, des sujets de refus, notamment lorsque l’enfant risque le ridicule ou le harcèlement, comme dans l’affaire Mégane Renault.

    A ce titre, nous considérons qu’appeler son enfant, en France, Mohammed, eu égard aux vices du dénommé Mahomet il y a 1400 ans et eu égard aux sévices et autres attentats commis en son nom depuis 1400 ans devrait conduire l’Etat à interdire ce prénom… Las! Il est en passe de devenir le prénom le plus donné dans les territoires perdus de la République. Cherchez l’erreur. Adolf est fort mal porté, fort peu donné… pourquoi donc les musulmans ne sont-ils pas incités par les officiers de l’Etat-Civil à éviter Mohammed?

    Alors, forcément, à l’aune de cela, on est tentés de baisser les bras et de considérer le refus du prénom breton Derc’hen par la Mairie de Rennes à cause de son apostrophe comme absurde et scandaleux.  D’autant que  des prénoms arabes avec apostrophe ont été acceptés, eux.  La Mairie de Rennes a beau expliquer qu’il s’agit d’une question de prononciation, on n’y croit pas. Pour une raison fort simple, combien d’employés de l’Etat-civil à Rennes, parlent-ils arabe et sont-ils capables de juger de la prononciation induite par l’apostrophe?

    La mairie de Rennes a refusé d’enregistrer le prénom d’un bébé, Derc’hen, avec une apostrophe, comme demandé par des parents rennais. Motif : une circulaire du 23 juillet 2014 refuse l’emploi de certains signes. Problème, d’autres prénoms contenant une apostrophe ont bien été enregistrés à Rennes depuis l’été 2014.

    Rennes métropole joue la transparence. Sur son site, l’agglomération diffuse en open-data la liste des enfants nés à Rennes de 2012 à 2017, avec le nombre d’occurrences de chaque prénom, classés par année et par sexe.

    Tu’iuvea, N’néné, D’jessy et N’Guessan…

    Or que constate-t-on en regardant ces données ? Que depuis la mise en application de la circulaire du 23 juillet 2014, qui définit les signes diacritiques acceptés dans un acte d’état civil (et refuse, par exemple, l’emploi de l’apostrophe ou du tilde), au moins quatre prénoms contenant une apostrophe ont bien été enregistrés à Rennes: Tu’iuvea, N’néné, D’jessy et N’Guessan. Des prénoms d’origine africaine et polynésienne.

    Derc’hen refusé à cause de l’apostrophe.

     […]

    En Breton, le " C’h " change la prononciation

    En mairie de Rennes, on ne masque pas une certaine gêne et on livre ces premiers éléments d’explication. " Les officiers de l’état civil ont en effet accepté des prénoms contenant une apostrophe, car ils ont considéré que, dans ces cas précis, l’apostrophe ne changeait pas la prononciation du prénom. Alors qu’en Breton, le " C’h " change la prononciation. "

    " La circulaire est ambiguë "

    Léger comme explication ? Cela veut-il dire que les agents ont interprété la circulaire dans certains cas et pas dans un autre ? Plutôt que polémiquer, la mairie de Rennes préfère insister sur le fait que " cette polémique montre que la circulaire contient suffisamment d’ambiguïtés. La maire, Nathalie Appéré, est d’autant plus motivée à demander à la ministre de la justice de faire évoluer ce texte. "

    Lire tout l’article ici:

    https://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/prenom-breton-d-autres-apostrophes-validees-la-polemique-se-poursuit-rennes-5521446?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook

    Par ailleurs, il me semble que… dura lex sed lex. Si la loi interdit les apostrophes, on ne doit pas accepter de prénoms avec apostrophes, qu’ils soient bretons ou arabes. La Mairie de Rennes devrait donc revoir les prénoms arabes acceptés et demander à leurs géniteurs de les modifier.

    Il n’empêche que la voie de la raison serait de revenir aux règles "d’avant", l’interdiction de donner à son enfant un prénom qui ne serait pas dans le calendrier, point barre.

    Mais ce n’est pas dans l’air du temps, évidemment.

    Christine Tasin

    http://resistancerepublicaine.eu/2018/01/25/pas-de-prenom-breton-mais-celui-de-lassassin-pedophile-mohammed-autorise-a-letat-civil/