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techniques - Page 12

  • Merci!

    C'est un peu aussi, grâce à vous!

     

    En deux jours, mon pata-scope à fait  plus de 300 000 visites!

     

    http://www.ilosport.fr/iloweek/iloscope/horoscope-du-20-au-26-octobre

     

     

  • Les robots prendront-ils aussi le job des cadres?

    Alors que le remplacement de l’homme par la machine inquiète, un cabinet d’études vient de révéler ses estimations sur l’avenir du travail. Et devinez quoi ? Les ouvriers ne seront pas les seuls à y laisser leurs jobs.

    Watson, le programme d’intelligence artificielle, remplace déjà en partie les médecins. Quill, le logiciel de rédaction, les journalistes. Le robot Matilda pique leur place aux recruteurs en entretien d’embauche. Quant à l’algorithme Vital, il aide les grands patrons à prendre les bonnes décisions. Et ce n’est pas fini. " Un emploi sur trois sera remplacé par un logiciel, des robots ou des machines intelligentes, d’ici à 2025 ". C’est l’annonce faite par Peter Sondergaard, vice-président du cabinet de conseil américain Gartner lors de sa conférence Symposium/ITxpo (début octobre 2014 à Orlando, en Floride). C’est clair : les cadres aussi vont perdre leur job au profit du progrès technologique.

    Plus personne ne travaillera sans robot

    Plus rapides, infatigables, automatiques, les logiciels et robots aideront de plus en plus l’homme sur le plan opérationnel et technique. "Plus personne ne travaillera sans robot ni algorithme", estime Laurent Alexandre, chirurgien urologue adepte du mouvement transhumaniste et auteur de "La mort de la mort, Comment la techno médecine va bouleverser l’humanité" (éd. JC Lattès, 2011). Mais cela ne signifie pas qu’il n’y aura plus de job pour les cadres. Au contraire. " Les hommes deviendront des généralistes, à qui reviennent la décision politique ", anticipe Laurent Alexandre.

    Plus l’homme créé de robots, plus il créé d’emplois

    Les jobs intellectuels vont évoluer grâce aux robots. Certaines personnes travailleront à développer encore d’autres robots, logiciels ou machines intelligentes. D’autres s’occuperont de gérer les conséquences de la vie avec les robots (règlementation, éthique, etc.). C’est pourquoi, " dans 3 ans, les compétences les plus recherchées concerneront : les machines intelligentes (et notamment les objets connectés), la robotique, le jugement automatisé et l’éthique, prévoit Peter Sondergaard de Gartner. Dans les 7 ans à venir, les métiers qui auront la cote seront: les spécialistes de l’intégration, les architectes numériques, les analystes règlementaires, les professionnels du risque." L’économie numérique – drones, robots, logiciels, etc. – devrait créer une augmentation d’emplois de 500 % d’ici 2018 ! Car plus l’homme créé de robots, plus il créé d’emplois.

    2 à 3 millions d’emplois déjà dus aux robots

    Le cabinet Gartner n’est pas le premier à le signaler. Le spécialiste des études de marché anglais, Metra Martech, le prouvait déjà en 2011 dans une étude réalisée pour la Fédération internationale de la robotique. " En 2008, les robots avaient déjà créé 2 à 3 millions d’emplois", rappelle Raja Chatila, directeur de recherche au CNRS et spécialiste de la robotique. Les États industrialisés ont bien pris conscience du phénomène. Corée du Sud, Japon, Royaume-Uni et France, notamment. La France a d’ailleurs doté son objectif de développement de la filière robotique d’un budget de 100 millions d’euros.

     

  • TEXTE INTERDIT AUX MOINS DE 18 ANS

    Durex Fundawear: des sous-vêtements vibrants contrôlés par iPhone

    Oui, oui vous avez bien lu. Détournez le regard des enfants et accrochez un petit " -18″ en bas à droite de votre écran, aujourd’hui sur ScientiGeek on va parler sexe !

    Tout droit sorti des laboratoires de Durex, j’ai nommé Durexperiment (et oui, il faut aussi de la R&D pour les capotes), voici les Fundawear, des sous-vêtements qui vous permettront de toucher votre partenaire via internet !

     

    Durex.jpg

     

     

     

     

    Quésako ? Eh bien les Fundawear sont tout " simplement " des sous-vêtements high-techs, conçus pour pouvoir retranscrire le toucher de votre partenaire à distance via une application mobile (iOS).  Concrètement, il vous suffira d’enfiler ledit sous-vêtement, de lancer l’application Fundawear et de vous coupler via internet à celle de votre conjoint (attention à pas vous tromper d’identifiant, petits coquins). Le sous-vêtement de votre conjoint(e) apparaît sur le smartphone, avec des zones interactives, et vous n’avez plus qu’à toucher là où vous voulez titiller votre moitié ! Voici une petite vidéo officielle pour présenter le concept :

    Comme nous sommes des scientifiques, voyons comment tout cela marche. La technologie développée par le labo Durexperiment et Snepo Technologies se base sur un système électrique Arduino ATMEGA2560 (pour faire simple, c’est la partie qui est connectée à internet et fait le lien vers le sous-vêtement). Lorsqu’un des deux chauds lapins appuie sur une zone sur l’application pour aller titiller la/le conjoint(e), un signal est envoyé via internet vers les serveurs, avec une clé de cryptage pour éviter les risques de croisement de données ou hacking. Une fois le signal transmis, il part activer des piezo-actuateurs des zones recouvertes par les sous-vêtements, situés exactement sur les clusters de surfaces sensoriels (les " zones de sensibilité " couvertes par nos nerfs), pour les exciter ! Simplissime certes mais lorsqu’il faut cacher tout cela dans un bonnet ou un caleçon bien fourni…

    Bien sur, ce n’est pas la première initiative tentant de " rapprocher tactilement " les couples par l’électronique. Nous nous souvenons des recherches de l’équipe du Kajimoto Laboratory (University of Electro-Communications, Japon) qui ont développé une machine permettant de transmettre un baiser via Internet.

    Cette fantaisie rappelle tout de suite Demolition Man (mais si vous savez, le sexe par casques à réalité virtuelle… ça veut dire que les 3 coquillages vont aussi arriver ?!) et fait plutôt rire. D’ailleurs, cela ne nous étonnerait pas que l’objet se démocratise et se couple aux pratiques de type chatroulette comme Bazoocam !

    Bon au final, cette trouvaille est quand même assez marrante et nous ne pouvons qu’être curieux d’essayer (pour l’avancée de la science bien sur…). Malheureusement, le Durex Fundawear n’est pas encore commercialisé. Mais si vous avez la chance de résider en Australie, vous pourrez aller sur la page Facebook Durex Australia et vous proposer comme " cobaye ". Les autres chauds lapins devront attendre encore un peu...

     

    video_arduino_actuators_on_bra.jpg

     

     

     

     

     

     

  • Première usine de production de médicament de thérapie cellulaire européenne

    CELLforCURE

    Les thérapies cellulaires désignent les greffes de cellules visant à restaurer les fonctions d’un tissu ou d’un organe lorsqu’elles sont altérées par un accident, une pathologie ou le vieillissement.

    Créée en 2010, CELLforCURE (filiale du groupe LFB) regroupe l'ensemble des activités de thérapie cellulaire du groupe. CELLforCURE développe une activité de services i) d’industrialisation des procédés de thérapies cellulaires dans un cadre conforme aux exigences ATMP, (ii) de production dans un cadre pharmaceutiques de lots pour des essais cliniques et commerciaux, et iii) pharmaceutiques et réglementaires nécessaires pour l’accès au marché du produit (études réglementaires, supply chain, distribution, enregistrement …etc).

    Coordonnateur du projet C4C retenu dans le cadre des investissements d’avenir fléchés sur "les projets structurants des pôles de compétitivité" CELLforCURE fabriquera notamment 5 produits de thérapie cellulaire en vue de l’obtention de leur autorisation de mise sur le marché (AMM) dans les 5 années à venir. 9 partenaires privés et publics sont impliqués :

    LFB – CellForCure (Les Ulis): mise en place de l’outil industriel, opérateur de la CMO, accompagnement pharmaceutique des partenaires

    Celogos (Paris): développement du MTI incontinence anale

    lean Cells (Bouffere): développement de tests pour la détection d’aberrations chromosomiques

    EFS (Bordeaux, Toulouse): développement de MTI hémopathies

    Hospices civils (Lyon): développement de la solution de conditionnement des lots

    CHRU (Nantes): développement du MTI mélanome

    CHRU (Toulouse): développement du MTI ischémies cardiaques sévères

    CHRU (Bordeaux): développement du MTI hémopathies

    CHRU (Lille): développement du MTI diabète

    C4C est un projet piloté par la société CELLforCURE (filiale du Laboratoire de fractionnement biologique - LFB) et co-labellisé par le pôle Atlanpole Biotherapies. Le projet vise à mettre en place le premier plateau technique français d’industrialisation des thérapies cellulaires. L’objectif est de produire des médicaments de thérapie cellulaire auto/allogénique et valider ce démonstrateur par la production de 5 médicaments de thérapie innovante (MTI). La finalité est de structurer une filière industrielle française en thérapie cellulaire. A terme, ce projet favorisera le traitement de nombreuses maladies comme certains types de diabète et de cancer : l’insuffisance cardiaque ou l’incontinence pourront à l’avenir être traitées par le remplacement de cellules défaillantes par des cellules opérationnelles.

     Le LFB spécialiste des MDP (médicaments dérivés du plasma) va ainsi engager 18 M€ sur sa plate-forme de bioproduction des Ulis (91), dans le développement d’un plateau d’industrialisation de thérapies cellulaires, autologues et allogéniques.

    Cette première plate-forme française sera dotée d’une capacité annuelle d’environ 5 000 lots thérapeutique cliniques comme de routine ; elle constituera la première unité européenne modulaire " capable d’accompagner jusqu’à la production industrielle les projets de R&D innovants issus de la recherche publique comme des PME ".

    Domaines d'application

    Cancérologie/Oncologie; Cardio-vasculaire; Métabolisme, Endocrinologie, Nutrition; Santé Humaine

  • Et oui, tout arrive!

    Un radar qui détecte les envois de SMS au volant

    Envoyer un SMS en conduisant multiplierait par 23 le risque d’avoir un accident de la route. Fort de ce constat, un nouveau radar est en train d’être développé par un spécialiste américain dans le domaine. Son rôle, détecter les conducteurs qui envoie des SMS au volant !

    Pour faire baisser le nombre d’accidents de la circulation, un nouveau radar est à l’étude et pourra détecter les conducteurs indélicats qui envoient des SMS au volant. Force est de constater que d’envoyer un SMS en conduisant multiplie par 23 le risque d’avoir un accident de la route. Selon un sondage de TNS-Sofrès effectué l’an dernier pour la délégation ministérielle, 38% des conducteurs indiquent avoir le réflexe de regarder leur smartphone lorsqu’ils reçoivent un SMS et 31% le lisent. Plus accablant, 67% ont ce même réflexe parmi les moins de 35 ans. Comme envoyer ou recevoir un SMS nécessite de quitter la route des yeux durant 5 secondes les pouvoirs publics ont décidé de prendre de nouvelles mesures en matière de sécurité routière. Ils ont fait appel à la société américaine ComSonics, basée en Virginie pour qu’elle développe un nouveau type de radar, capable de détecter l’utilisation d’un téléphone portable en voiture.

    ComSonics travaille sur un nouveau radar qui détecte les envois de SMS au volant

    Les forces de l’ordre disposeront prochainement d’un nouveau pistolet, qui n’envoie pas des balles cette fois mais qui détecte l’envoi de SMS au volant. Un pistolet radar qui capte certaines ondes et décode l’émission d’ondes radio des téléphones portables émises lors de l’envoi d’un SMS. C’est l’entreprise américaine ComSonics, basée en Virginie qui développe ce pistolet radar. Les ondes émises sont de longueur différentes s’il s’agit d’un appel via un téléphone portable ou l’envoi d’un SMS et le pistolet radar en question est capable de faire la différence. Cette technologie n’est pas encore commercialisée mais devrait fortement intéresser les USA ou la sécurité routière Française. D’autres pistes sont également à l’étude, comme cet opérateur américain qui a développé l’application " DriveMode " qui bloque l’envoi de SMS une fois la voiture en mouvement.

  • " S " l’exosquelette grand public a été exposé à Preventica (Marseille)

    Quel drôle de nom que " S ", enfin si l’on peut dire un nom que celui donné à l’exosquelette grand public commercialisé par la marque EXHAUSS.

    A l’origine, cette entreprise est surtout connue pour ses stabilisateurs de caméras qui soulagent depuis 10 ans les cadreurs professionnels du poids de leurs matériels. Tout s’éclaire bien sur lorsque l’on sait que la lettre " S " fait appel à " Stronger " qui veut dire plus fort!

    Cet exosquelette d’assistance à l’effort permet de rendre à son utilisateur les capacités physiques qu’il n’a pas ou plus. Le but est donc clairement de faciliter la manutention de charges comprises entre 1 et 40 kg.

    Les bras, les rotateurs, les cervicales, le dos et les lombaires de l’utilisateur de " S " ne sont sollicités que pour guider les charges et les outils portés par les exobras.

    La nouveauté du modèle " S "réside toutefois dans la capacité des exobras à adapter automatiquement la force qu’ils doivent déployer en fonction de la charge à manutentionner.

    Cette particularité permet de manipuler la charge comme si elle ne pesait que quelques centaines de grammes !

    Le modèle " S " d’EXHAUSS permettrait donc de prévenir la quasi-totalité des troubles Musculo-Squelettiques et diminuer ainsi la pénibilité du travail.

    Si l’on peut aisément imaginer son utilité en milieu industriel, Exhauss destine également ce modèle au domaine médical afin de faciliter des gestes de précision comme ceux que doivent poser des chirurgiens.

    Ne me demandez pas le prix de ce petit bijou technologique (même si vous pouvez obtenir un essai ou un devis sur le site internet de la société) mais la firme indique que ce modèle " S " est destiné au grand public et à un très large panel d’utilisateurs comme les employés de sociétés de transports express, transports de colis, transports spéciaux, livreurs, plateformes logistiques, aux déménageurs professionnels ou particuliers, des ouvriers d’industries métallurgiques, automobiles, aérospatiales manipulant riveteuses, perforateurs et autre clés pneumatiques, aux ouvriers de chantiers de construction déplaçant sacs de ciment et parpaings…

    Mais avant tout c’est son impact positif sur la diminution des TMS ou troubles Musculo-Squelettiques qui est pointé du doigt surtout lorsque l’on sait que ces TMS constituent le problème de santé au travail le plus courant avec près de 38.000 maladies professionnelles reconnues en 2009 portant à 1,5 milliards d’euros par an le coût des seules TMS lombalgiques pour la sécurité sociale.

    Le modèle S représente donc la nouveauté “mécatronique” d’EXHAUSSa été présenté pour la première fois au salon PREVENTICA de Marseille du 17 au 19 juin 2014.

     

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