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LA VERITE! - Page 447

  • Le jardin vous va avec Flower Power de Parrot

    Le jardin pour les Nuls avec Flower Power de Parrot

    A planter au pied de sa plante préférée, Flower Power averti le jardinier grâce à une application pour iPhone de ses besoins en lumière, eau, engrais...

    A planter au pied de sa plante préférée, Flower Power averti le jardinier grâce à une application pour iPhone de ses besoins en lumière, eau, engrais...

    OBJETS CONNECTES - Après son AR Drone connectable aux smartphones et tablettes, Parrot revient avec Flower Power, un capteur pour bichonner ses plantes...

     "C’est un produit à la fois techno et grand public", s’enthousiasme, arrosoir en main, Henry Seydoux, le boss de Parrot. Avec son Flower Power, celui que l’on a souvent comparé au Géo Trouvetou de la planète tech française, veut faire pousser un drôle d’objet connectable dans nos jardins.

    En forme de petit lance-pierre, Flower Power se plante en pleine terre. Ce n’est pas lui qui va germer mais, s’il fait bien le job, vos plantes qui pousseront mieux. Car le bidule est truffé de capteurs avertissant le jardinier par le biais d’une application de la bonne santé de ses plantes d’intérieur ou d’extérieur (mais aussi de ses légumes et arbres).

    Quatre mesures clé

    Mesure de la lumière, de la température, de la quantité d’eau dans le sol et de la quantité d’engrais: sur l’écran de son iPhone (en attendant les terminaux Android), l’utilisateur, tel un médecin en blouse verte au chevet de son patient, peut, quart d’heure par quart d’heure, savoir si son Ficus manque de lumière, si ses géraniums ont besoin d’eau ou si son pot de persil a reçu trop d’engrais (engrais écolo, de préférence, hein!). Il est même possible de recevoir une alerte si les tomates grappes plantées sur le balcon ont les pieds trop au sec...

    6000 plantes dans l’iPhone

    L’intérêt du Flower Power est que les informations transmises sont personnalisées pour chaque plante. Parrot a ainsi créé une base de 6000 espèces dont son capteur connaîtra ainsi la moindre des exigences. Il suffit simplement de repérer la variété de plante exacte que l’on possède dans l’application avant de la placer sous protection rapprochée. Dès lors, elle communiquera avec l’iPhone par Flower Power interposé en Bluetooth Low Energy (autonomie de 6 mois avec une simple pile).

    Sans doute les jardiniers pur jus, ceux qui exercent leur art avec la lune, railleront-ils ce produit qui, pourtant, n’a rien d’un gadget. On pourra d’ailleurs le trouver chez Truffaut ou à la Fnac dès le 2 novembre (49 euros). Ceux qui n’ont pas la main verte et les technophiles curieux, risquent eux, de s’y intéresser. A priori, il semble particulièrement adapté aux plantes en pot.

     

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  • Vers l'exploitation minière des astéroïdes ?

     

    Grâce à la baisse des coûts de l'accès à l'orbite terrestre permise par la "privatisation" de l'accès à l'espace, une flopée de nouveaux concepts voient le jour telle que l'exploitation minière des astéroïdes géocroiseurs. Qui sont les pionniers ? Dans quel laps de temps comptent-ils exploiter les astéroïdes ? Et pour quoi faire ?

    Par Aymeric Pontier.

    Tout a commencé l'année dernière avec la société américaine Planetary Resources, annonçant son intention de développer des technologies d'exploitation minière au sein des astéroïdes orbitant à proximité de la Terre. L'équipe de Planetary Ressources travaille toujours en ce moment à la construction de l'Arkyd-100, un télescope spatial chargé de repérer les astéroïdes les plus intéressants pour la prospection. La mise sur orbite est prévue pour 2014 suite à partenariat avec Virgin Galactic. Ce projet considéré comme "un peu fou" est financé entre autre par l'un des créateurs de Google, Larry Page, et le réalisateur et producteur de films, James Cameron.

    Début 2013, une seconde société américaine a décidé de se lancer à son tour, Deep Space Industries. Comme sa concurrente, cette entreprise prévoit le lancement d'un satellite de détection, mais probablement pas avant 2016. On parle bien sûr ici de sondes spatiales à très bas coût, accessibles à des start-ups de ce genre. Pas de satellites à 300 millions de dollars pièce. Sondes spatiales qui seront elles-mêmes mises sur orbite par les lanceurs bon marché des sociétés privées de transport spatial qui ont cassé les prix de l'accès à l'espace récemment.

    Aucune de ses 2 compagnies n'envisagent de missions humaines pour l'instant, uniquement des missions robotisées. Y compris pour les phases ultérieures du plan, lorsque l'extraction à proprement parler débutera. L'ensemble des missions sera opéré par des véhicules spatiaux inhabités, gérés depuis la Terre.

    C'est le tout début du processus. Les premiers retours d'échantillons pour analyser le potentiel des géocroiseurs ne devraient pas avoir lieu avant 2020. Et l'exploitation commerciale des astéroïdes en tant que telle devrait commencer vers 2025. Mais en comptant les incidents et les délais inévitables, je parie plutôt sur 2030-35.

    En qui concerne l'utilisation finale de ces minerais, l'objectif n'est pas forcément de les ramener sur Terre. Ce qui serait extrêmement coûteux, et ne permettrait pas de retour sur investissement aux cours actuels. Ils espèrent davantage les utiliser sur place. Par exemple pour créer des pièces de rechange en utilisant l'impression 3D, à destination des satellites artificiels ou des véhicules spatiaux qui en auraient besoin. Autrement dit, il s'agirait de créer des sortes de "stations de réparation" dans l'espace. L'autre objectif serait de fournir de l'eau dont certains astéroïdes regorgent, à la Station Spatiale Internationale et aux autres missions habitées. Le développement de cette activité pourrait donc s'avérer rentable à moyen terme, contrairement à ce qu'on a pu en dire. Puisque les deux sociétés gagneraient de l'argent en permettant à d'autres organisations (NASA, ESA, Entreprises des télécoms) d'économiser le coût exorbitant du transport d'eau et de pièces de rechange de la Terre à l'Espace.

    Cependant, à plus long terme, il sera indispensable de ramener une partie de ses minerais sur Terre. Les quantités de fer, de cobalt, de nickel ou de platine (et bien d'autres) qui sont disponibles à l'intérieur des astéroïdes sont trop gigantesques pour ne pas y penser. Un seul astéroïde de 500 mètres suffirait à assurer les besoins de la population humaine pendant des années. Pour le moment, ces minerais sont trop abondants à la surface de la planète pour justifier le coût économique de ces missions spatiales. Mais plus tard, lorsqu'ils commenceront à manquer, on pourrait fort bien assister à une ruée vers l'or de l'espace...

     

    Lien raccourci: https://www.contrepoints.org/?p=118582

     

     

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  • Découvrez les créatures des profondeurs arctiques

     

    Grâce à un biologiste russe, nous disposons désormais de photos saisissantes des créatures méconnues des profondeurs arctiques.

    Par Aymeric Pontier.

    Si le grand public connaît assez bien désormais les innombrables espèces qui vivent dans les mers tropicales du globe, les eaux froides du Nord comme du Sud recèlent encore beaucoup de mystères. La présence de glaces la majeure partie de l'année complique la tâche des scientifiques comme des producteurs de documentaires. Le biologiste russe Alexander Semenov, qui travaille à la station biologique de la Mer Blanche, s'est récemment converti à la photographie sous-marine. Durant son temps libre, il prend des clichés dans les profondeurs de cette mer arctique, puis les publie sur son site web personnel. On peut ainsi découvrir par exemple la plus grande méduse du monde, la méduse à crinière de lion qui compte jusqu'à 800 tentacules (photo du bas), et bien d'autres formes de vie encore...

     

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    https://www.contrepoints.org

     

     

  • Ascenseur spatial

     

    L'ascenseur spatial est un type de transport spatial entre la surface et une orbite autour de la Terre (ou une autre planète). Il se fonde sur l'idée d'un câble maintenu tendu par la force centrifuge due à la rotation de la Terre sur elle-même. Pour être en équilibre, le câble doit s'allonger au-delà de l'orbite géostationnaire (36 000 km), à partir de laquelle la force centrifuge dépasse la force de gravitation. Une fois en place, des nacelles montant le long du câble permettraient de rejoindre l'orbite de façon plus économique qu'avec un lanceur spatial classique comme une fusée.

    L'idée développée dans les années 1950 s'est heurtée à de nombreuses contraintes technologiques, et en premier lieu à l'inexistence d'un matériau à la fois suffisamment léger et résistant pour résister à la tension engendrée par le propre poids du câble. La découverte dans les années 1980-90 des nanotubes de carbone, dont les propriétés mécaniques théoriques pourraient être suffisantes, a relancé un certain intérêt pour cette idée, qui reste cependant pour l'instant du domaine de l'utopie ou de la science fiction.

    Naissance du concept

    Le concept d'ascenseur spatial a été inventé par le pionnier russe de l'astronautique Constantin Tsiolkovski en 1895 . Sur le modèle de la Tour Eiffel, qui vient d'être achevée en 1889, il imagine une tour de 35 790 km de haut, qui permettrait d'amener par un ascenseur des charges en orbite géostationnaire.

    Si le concept de l'ascenseur spatial a été vite relancé par Yuri Artsutanov qui proposa en 1960 non plus une tour mais un câble suspendu depuis l'espace et en suggérant d'utiliser un dispositif similaire à une cabine d'ascenseur, il n'a été présenté qu'en 1978 au grand public par Arthur C. Clarke, dans son roman de science-fiction Les Fontaines du paradis. Il est aussi appelé tour orbitale (orbital tower en anglais).

    Clarke décrit la construction, à partir d'une station spatiale, d'une gigantesque tour destinée à constituer un lien fixe entre la surface terrestre et un contre-poids en orbite géostationnaire. L'équilibre de l'ensemble est assuré en permanence, par la construction d'un autre élément de tour dans la direction opposée. Au total, c'est une sorte de fronde de 72 000 kilomètres de long qu'il faut réaliser.

    Comme souvent, Clarke s'est inspiré de travaux scientifiques réels, en particulier de ceux de l'ingénieur américain Jerome Pearson, qui publia sa thèse en 1975 (Jerome Pearson redécouvre l'idée bien plus tard qu'Yuri Arsutanov, car les projets de celui-ci restèrent confidentiels), et ceux de quatre autres américains (John D. Isaacs, Hugh Bradner, George Backus (en) du Scripps Institution of Oceanography, et Allyn C. Vine (en) de l'institut océanographique de Woods Hole) ont publié le 11 février 1966, dans la revue Science (Satellite elongation into a true " Sky Hook ").

    Dans ses travaux, en 1975, Jerome Pearson propose d'adopter une structure en forme de long ruban, dont une extrémité jouerait elle-même le rôle de contre-poids. C'est devenu un projet de 144 000 kilomètres (38 % de la distance Terre – Lune) mais il n'est plus nécessaire d'arrimer aussi solidement la base terrestre de l'ouvrage (dans le roman de Clarke, la base de la tour est ancrée de plusieurs kilomètres dans le sous-sol).

    Équilibre du système

    L'ascenseur spatial pourrait prendre la forme d'un long câble sur lequel circuleraient des navettes.

    Chaque portion du câble est soumise d'une part à l'attraction gravitationnelle terrestre, et d'autre part à l'accélération d'entraînement (la force centrifuge), qui s'équilibrent à l'altitude de l'orbite géostationnaire. La pesanteur domine en dessous de cette altitude, et il faut donc une longueur suffisante de câble (ou une masse suffisante, par exemple constituée du lanceur ayant lancé initialement le câble, ce qui permettrait de raccourcir ce dernier) au-dessus, pour assurer une tension vers le haut.

    En dehors de celle à l'altitude de l'orbite géostationnaire, les sections du câble ont une vitesse de rotation différente de celle qu'elles auraient si elles étaient en orbite libre : plus lente en dessous et plus rapide au-dessus.

     

     Concept de la NASA.

    Les matériaux classiques sont insuffisamment résistants, mais la découverte des nanotubes a fait réapparaître un certain intérêt pour cette idée.

    Brad Edwards, de la fondation californienne Eureka Scientific décrit en détail une méthode possible de construction d'un tel ascenseur (voir lien externe) :

    Tout d'abord, on lance un engin spatial en orbite géostationnaire.

    Puis celui-ci envoie vers la Terre un mince ruban (1 micromètre d'épaisseur) présentant des caractéristiques mécaniques ad hoc (résistant et léger). Au fur et à mesure que le câble descend, le véhicule s'écarte de la Terre pour maintenir l'équilibre. Il atteint ainsi une distance de 72 000 km.

    Une fois le premier câble amarré au sol, on s'en sert pour en mettre en place d'autres et constituer le câble définitif.

    L'intérêt d'un tel système réside dans son faible coût de fonctionnement. Dans certains projets, l'énergie de freinage d'une cabine descendante peut même être récupérée pour propulser une cabine montante. Son inconvénient principal est sa vulnérabilité aux météorites, aux débris spatiaux, aux engins aériens ou même aux catastrophes naturelles.

    Des calculs ont été effectués, et ont démontré que le câble de nanotubes en question devrait mesurer environ un mètre de large, être aussi mince qu'une feuille de papier, et être apte à supporter une tension d'environ 63 GPa, équivalente à " une joute de souque à la corde opposant 100 000 personnes de chaque côté ".

    Nicola Pugno de l'École polytechnique de Turin fait cependant remarquer que les assemblages de nanotubes de carbone sur lesquels reposaient tous les espoirs ne seraient pas assez solides. Dans un article du Journal of Physics : Condensed Matter, il ajoute que, même dans le cas où l’ascenseur spatial pourrait être déployé, les micrométéorites et l’érosion par l’oxygène ne manqueraient pas de l’affaiblir.

    Outre la résistance du câble, il faudrait également résoudre le problème des collisions avec les satellites ou des débris orbitaux. En particulier, la combinaison de l'inclinaison de l'axe de la Terre et de la présence de la lune peut créer un balourd dynamique.

    La NASA a organisé un concours ayant pour objectif la conception d'un câble en nanotubes, le Tether Challenge. Ce concours a offert en 2008 un prix d'un million de dollars à l'équipe qui proposera le câble en nanotubes le plus résistant, pourvu qu'il le soit au moins deux fois plus que le meilleur câble sur le marché.

    Ne soyez pas trop pressé: l'ascenseur existera bel et bien dans quelques dizaines d'années!

     

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  • Pourquoi les danseuses étoiles n'ont-elles jamais le tournis ?

     

    Des chercheurs de l'Imperial College de Londres ont voulu expliquer comment les ballerines parvenaient à ne jamais avoir la tête qui tourne malgré leurs pirouettes. Leur découverte pourrait leur permettre de venir en aide aux personnes sujettes au vertige.

    Les ballerines ne sont pas étourdies lorsqu'elles font des pirouettes car leur cerveau se serait habitué.

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    Qui n'a jamais essayé de faire la toupie et de s'en sortir indemne ? Quand la plupart des gens tentent tant bien que mal de marcher droit après cette expérience, les danseuses étoiles, elles, n'ont jamais le tournis, même après un long enchaînement de pas de danse. Comment expliquer cela ? C'est sur cette question plutôt singulière que se sont penchés des chercheurs de l'Imperial College de Londres.

    La réponse se trouverait dans le cerveau lui-même, modifié à force d'entraînement. Dans leur étude publiée dans la revue Cerebral Cortex, les scientifiques ont découvert que, à force de tourner sur elles-mêmes des années durant, les danseuses classiques finissaient par modeler leur cerveau. Ce dernier deviendrait hermétique aux signaux envoyés par les organes qui régissent l'équilibre dans l'oreille interne.

    Une sensation courante

     En temps normal, une rotation trop rapide entraîne une sensation de vertige. Physiologiquement, les fluides qui remplissent l'oreille interne continuent de bouger même une fois la tête immobile. "La sensation d'être encore en mouvement alors que nous avons en réalité cessé de bouger, est un problème courant (...) Mais les ballerines semblent pouvoir se conditionner de manière à ne pas avoir la tête qui tourne", explique dans un communiqué le Dr Barry Seemungal, de l'Imperial College de Londres.

    Pour en venir à cette conclusion, les chercheurs ont étudié un groupe de 29 ballerines classiques et un autre groupe de 20 jeunes femmes pratiquant l'aviron. Toutes les volontaires, dont l'âge et la forme physique étaient similaires, étaient placées sur un fauteuil qu'on faisait tourner, dans l'obscurité la plus totale. Elles devaient ensuite actionner une manivelle lorsqu'elles avaient la sensation d'être encore en train de tourner après l'arrêt du fauteuil.

    Plus résistantes aux signaux du corps

    Cette expérience avait pour but de mesurer à la fois la durée et l'intensité de ce vertige. Parallèlement, leurs réflexes oculaires déclenchés par l'oreille interne ont été observés, ainsi que leur cerveau à l'aide d'un IRM. Résultat : chez les danseuses, les symptômes du tournis duraient toujours moins longtemps que chez les rameuses. De même, l'IRM a révélé que la zone du cerveau qui recevait les signaux en provenance de l'oreille interne était plus petite chez les danseuses.

    "Leur cerveau s'adapte au fil des ans pour annuler la sensation de se sentir déséquilibré. Par conséquent, le signal qui aboutit au cerveau est réduit, ce qui rend les danseurs plus résistants à la sensation de vertige", résume le Dr Seemungal. Avec cette découverte, les chercheurs espèrent réussir à mettre en place une thérapie pour venir en aide aux personnes souffrant de vertiges chroniques. D'autres études doivent être menées pour mieux comprendre comment cibler les zones du cerveau concernées et apprendre à les contrôler, pour ensuite pouvoir les traiter.

     

  • Ils sont humains ou quoi?

    Découverte de scènes de tortures gore après l’attentat islamiste de Nairobi : yeux arrachés, corps accrochés à des crochets, doigts et nez arrachés à la pince

    Les islamistes shebab ont indiqué mercredi matin que 137 otages ont été exécutés par eux dans l’attaque du centre commercial Westgate à Nairobi qui a pris fin mardi soir, après 80 heures de siège.

    Ce que les islamistes somaliens n’ont pas indiqué, et qui a été découvert par les premiers soldats à avoir pu entrer dans le centre commercial Westgate, montre ce que le respect à la lettre du coran leur a inspiré. Après avoir fait réciter des prières aux otages pour séparer les musulmans des infidèles, ils ne se sont pas contenté, comme les premiers témoignages l’affirmaient, d’abattre les non-musulmans d’une balle dans la tête. Non. Les soldats ont découvert d’abominables tableaux de tortures commises par les terroristes :

    • Des otages aux corps démembrés, les yeux crevés, pendus à des crochets,

    • Des hommes castrés, avec les doigts arrachés à la pince, puis aveuglés, et enfin pendu,

    • Des enfants retrouvés morts dans les chambres froides des aires de restauration, avec des couteaux plantés dans le corps,

    • La plupart des islamistes ont été retrouvés réduits en cendre, brûlés vifs par le dernier vivant.

    Les horribles détails ont émergé hier jeudi soir en même temps que des images monstrueuses, dévoilant de nombreux cadavres jonchant les allées du centre commercial. Parmi les ruines, les soldats ont compté les corps d’au moins 71 civils qui avaient été déclarés disparus par la Croix rouge Kenyane. Il s’agit des premières – et prudentes- recherches, car le mail est peut-être piégé.

     « Il y a des cadavres transpercés par des crochets, qui pendent des plafonds » a déclaré un médecin kenyan qui ajoute : « Ils leur ont arrachés les yeux, les oreilles, le nez. Ils leurs ont taillé les mains comme on taille un crayon, et les ont forcé à écrire leurs noms au sol avec leur sang. J’ai vu aussi un couteau traversant le corps d’un petit enfant ». « Si vous regardez bien, vous constatez que tous les corps ont été torturés, les doigts et les nez arrachés avec des pinces sur des personnes vivantes »

    Un des soldats qui a pris des photos à la demande de ses supérieurs a déclaré avoir été tellement traumatisé qu’il a du être pris en charge par une cellule d’accompagnement psychologique.

    Lorsque l’assaut final a été lancé, des otages hurlant, à qui les terroristes venaient de trancher la gorge d’une oreille à l’autre, furent jetés vivants des balcons du 3e étage.

    150 personnes sont supposées avoir été tuées quand le gouvernement a lancé l’attaque finale, lundi. Des soldats kenyans en état de choc ont déclaré que les corps découverts parmi les ruines, les mares de sang et les morceaux de corps humains au sol dépassaient les pires scènes de films d’horreur que le cerveau puisse imaginer.

    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

    dailymail.co.uk/Kenya-mall-attack-torture-claims-emerge-soldiers-Eyes-gouged-bodies-hooks-fingers-removed.html

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