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  • Mathieu Bock-Côté : « Le vivre-ensemble est une fraude grossière »

    Mathieu Bock-Côté voit dans un amendement adopté mardi dernier par l’Assemblée une étape supplémentaire vers un multiculturalisme d’inspiration nord-américaine funeste pour la liberté d’expression. Il nous met en garde contre une « dérive orwellienne » qu’il constate déjà dans son propre pays.

    LE FIGARO – Les députés LREM ont voté un amendement à l’article 1 du projet de loi de moralisation de la vie politique prévoyant une «peine complémentaire obligatoire d’inéligibilité» en cas de manquement à la probité. La probité impliquerait «les faits de discrimination, injure ou diffamation publique, provocation à la haine raciale, sexiste ou à raison de l’orientation sexuelle» précise l’amendement. Que cela vous inspire-t-il?

    Mathieu BOCK-CÔTÉ – Vous me permettrez et me pardonnerez d’être franc: j’en suis effaré. Et je pèse mes mots. Évidemment, tout le monde s’entend pour condamner le racisme, le sexisme ou l’homophobie. J’ajouterais que nos sociétés sont particulièrement tolérantes et ont beaucoup moins de choses à se reprocher qu’on veut bien le croire. Mais le problème apparait rapidement: c’est celui de la définition. À quoi réfèrent ces concepts? Nous sommes devant une tentative peut-être sans précédent d’exclure non seulement du champ de la légitimité politique, mais même de la simple légalité, des discours et des idées entrant en contradiction avec l’idéologie dominante. Il faut inscrire cet amendement dans un contexte plus large pour comprendre sa signification: nous sommes devant une offensive idéologique bien plus brutale qu’il n’y paraît.

    Prenons l’exemple du racisme. On a vu à quel point, depuis quelques années, on a amalgamé le racisme et la défense de la nation. Pour la gauche diversitaire et ceux qui se soumettent à ses prescriptions idéologiques, un patriotisme historique et enraciné n’était rien d’autre qu’une forme de racisme maquillé et sophistiqué. Ceux qui voulaient contenir l’immigration massive étaient accusés de racisme. Ceux qui affirmaient qu’il y avait un lien entre l’immigration et l’insécurité étaient aussi accusés de racisme. De même pour ceux qui confessaient l’angoisse d’une dissolution de la patrie. Cette assimilation du souci de l’identité nationale à une forme de racisme est une des tendances lourdes de l’histoire idéologique des dernières décennies. On l’aura compris, on accuse de racisme ceux qui ne se plient pas à l’idéologie diversitaire. Quelle sort sera réservé à ceux qui avouent, de manière articulée ou maladroite, de telles inquiétudes?

    LE FIGARO.Le politiquement correct est-il le corollaire du multiculturalisme?

    Mathieu BOCK-COTÉ. – Le multiculturalisme est traversé par une forte tentation autoritaire – pour ne pas dire plus. Il est contesté – plus personne ne croit sérieusement qu’il dispose d’une adhésion populaire. Il doit alors faire taire ses contradicteurs. Il le fait en les diabolisant. Ceux qui rapportent les mauvaises nouvelles à son sujet sont accusés de propager la haine. Une information qui ne corrobore pas les récits lénifiants sur le vivre-ensemble sera traitée au mieux comme un fait divers ne méritant pas une attention significative, au pire comme un fait indésirable qui révélerait surtout la psychologie régressive de celui qui en témoigne. D’ailleurs, on le voit avec les poursuites à répétition contre Éric Zemmour: on pensera ce qu’on voudra de ses idées, mais ce qui est certain, c’est qu’il est poursuivi pour ce qu’on appellera des crimes idéologiques. Il ne voit pas le monde comme on voudrait qu’il le voit alors on travaille fort à le faire tomber. Et on se dit qu’une fois qu’on sera débarrassé de ce personnage, plus personne ne viendra troubler la description idyllique de la société diversitaire. On veut faire un exemple avec lui. Je note par ailleurs que Zemmour n’est pas seul dans cette situation: Georges Bensoussan et Pascal Bruckner ont aussi goûté aux charmes de la persécution juridique. J’en oublie. Il s’agissait d’odieux procès.

    Tout cela pour dire que le multiculturalisme, pour se maintenir, doit diaboliser et maintenant pénaliser ceux qui en font le procès.

    Mais il faut voir que le multiculturalisme ne fait pas bon ménage avec la liberté d’expression, dans la mesure où la cohabitation entre différentes communautés présuppose une forme de censure généralisée où chacun s’interdit de juger des traditions et coutumes des autres. On appelle cela le vivre-ensemble: c’est une fraude grossière. On le voit quand certaines communautés veulent faire inscrire dans le droit leur conception du blasphème ou du moins, quand elles veulent obliger l’ensemble de la société à respecter leurs interdits moraux, comme on a pu le voir dans l’affaire des caricatures.

    […]

    Le Figaro

     

  • Petit à petit, la vérité sort du trou où on la planquée....

    Macron avait décidé de virer le général de Villiers avant le " coup de gueule " de ce

    L’avenir du général, ancien chef d’état-major, ne se serait pas joué lors de l’audition parlementaire du 12 juillet, mais au cours d’un conseil restreint de défense qui s’est tenu le matin même à l’Élysée.

    En l’espace de deux mois, les équilibres entre le pouvoir civil et les militaires ont spectaculairement évolué. Les principaux acteurs du monde de la défense sous François Hollande ont été contraints de quitter les postes où ils exerçaient des prérogatives majeures dans les domaines stratégiques, opérationnels, budgétaires et industriels. Il s’agit de Jean-Yves Le Drian, le respecté ministre de la Défense du dernier quinquennat qu’Emmanuel Macron tenait à bouter hors de son bastion, de son directeur de cabinet, le redouté Cédric Lewandowski, et du puissant délégué général pour l’armement, Laurent Collet-Billon. Celui-ci n’a pas été prolongé dans ses fonctions après neuf années aux commandes de la DGA.

    La démission du général Pierre de Villiers et l’onde de choc qu’elle a provoquée s’inscrivent dans le fil de cette volonté du chef de l’État, chef des armées, de reprendre en main les rênes de la défense et d’affirmer son autorité présidentielle.

    Le jeu de bascule s’apparente aussi à la "revanche de Bercy", après trois années durant lesquelles la Défense a somme toute tenu la dragée haute aux argentiers de l’État. Il n’est guère étonnant que les questions de budget aient été au cœur du maelström des dernières semaines. À deux jours de la Fête nationale, "Bercy a joué ses cartes à toute vitesse, pour faire passer ce qui n’aurait pas été possible sous Le Drian", raconte une source gouvernementale. Un haut fonctionnaire a joué un rôle clé dans l’ombre du chef de l’État: celui qui fut son directeur de cabinet lorsqu’il était ministre des Finances, Alexis Kohler, actuellement secrétaire général de l’Élysée.

    Une bonne source raconte ainsi comment se serait "noué le sort" du général de Villiers, ce 12 juillet au matin. Non pas lors de l’audition parlementaire à huis clos, tant commentée, qui se déroule en fin de matinée et à l’issue de laquelle le chef d’état-major des armées (CEMA) a fait part de son exaspération en des termes plutôt crus. Mais un peu plus tôt, lors du conseil restreint de défense qui se tient à 9 heures à l’Élysée. La veille, Gérald Darmanin, le ministre de l’Action et des Comptes publics, a évoqué les économies à réaliser dans une interview au Parisien , que nombreux au gouvernement, Défense en tête, jugent intempestive. Parce qu’il faut trouver 4,5 milliards d’euros au second semestre et qu’on veut baisser les prélèvements, il faut "taper tout de suite" dans le budget de l’État.

    Lors de la réunion à l’Élysée, le premier ministre, Édouard Philippe, confirme la réduction de 850 millions d’euros imputée au budget de la Défense en 2017. La ministre des Armées, Florence Parly, exprime alors son désaccord, soutenue par Jean-Yves Le Drian, le nouveau patron du Quai d’Orsay. Enfin, le général de Villiers prend lui aussi la parole. "Alexis Kohler en a été extrêmement mécontent", indique une bonne source. Aucune déclaration n’a filtré de ce conseil restreint couvert par le secret de la défense nationale. Il n’en ira pas de même lors de la commission parlementaire, quelques heures plus tard, d’où "fuite" la colère du CEMA. Un enchaînement d’événements retentissants est enclenché.

    "Ce qui a déplu à Alexis Kohler, c’est l’idée qu’on puisse imaginer revenir sur un arbitrage du président de la République en organisant la pression. On n’est plus sous Hollande", souligne une source proche de l’affaire. "Ce qui l’a excédé, c’est la contestation de l’autorité. L’argument selon lequel le CEMA aurait contrevenu au devoir de réserve (évoqué par Emmanuel Macron dans son discours à l’Hôtel de Brienne, NDLR) ne tient pas. Faire passer cette affaire pour une histoire de discipline, c’est de l’habillage médiatique", estime cette source. Selon celle-ci, la "fuite" des propos du CEMA devant les parlementaires a été "exploitée pour en faire une démonstration d’autorité". Le message aux 220 directeurs d’administration centrale et principaux responsables de l’administration est clair: "Attention, seuls les plus loyaux resteront." (…)

    Le général Puga, qui aurait l’oreille d’Emmanuel Macron, plaidait pour un CEMA ayant du temps devant lui et dont l’exercice coïnciderait avec la durée du quinquennat. Telles sont les perspectives du général François Lecointre, 55 ans, nommé le 20 juillet pour remplacer le général de Villiers. Sur le fond, rien n’est réglé. Le nouveau CEMA hérite d’une situation compliquée. D’après un de ses pairs de Balard, "ce ne sera guère évident pour lui de recomposer tous les morceaux qui ont été éparpillés façon puzzle".

    Le Figaro

  • Petit à petit, la vérité sort du trou où on la planquée....

    Italie: un général explique comment régler la crise des migrants en quelques jours

    Le général Vincenzo Santo a condamné le silence et l’inaction des gouvernements italiens et a appelé à une réponse militaire et efficace à la crise des migrants qui touche durement la péninsule italienne.

    Atlantico: Qu’est-ce qui explique la réaction de ce général italien ?

    Alexandre Del Valle: Rappelons juste pour nos lecteurs la déclaration très claire du général de général de corps d’armée (Air) Vincenzo Santo, qui a d’un seul coup détruit le mythe majeur des lobbies immigrationnistes selon lequel le phénomène des migrations massives et incontrôlées des migrants clandestins serait une fatalité.

     Dans les colonnes des quotidiens de droite Il Libero et Il Giornale, il a déclaré qu’il suffirait " d’utiliser l’armée pour la mission qui est à l’origine de sa création, celle de défendre nos frontières. Il est tout à fait possible de mettre le holà à cette immigration désordonnée et massive. En quelques jours, l’armée italienne pourrait y mettre fin".

    Cet important officier supérieur italien, devenu très populaire, qui fut tout de même le numéro deux de l’OTAN en Afghanistan, n’hésite pas à jeter un pavé dans la marre en affirmant que les Européens et notamment la marine italienne a parfaitement les moyens de "contrôler la côte libyenne sans y poser le pied", d’autant que "la zone à contrôler est très petite (…).

    Selon lui et d’après nombre d’experts, ceci passe parle simple blocage des navires des différentes ONG étrangères qui aident objectivement les passeurs africains et mafieux. Il s’agit de les empêcher de pénétrer dans les eaux libyennes, pendant que les formes spéciales italiennes et pourquoi pas d’autres pays "captureront les trafiquants et les feront condamner" ce que mêmes les autorités libyennes demandent.

    Là où ce général choque, c’est lorsqu’il ose dire que l’Italie doit redevenir souveraine et ne plus attendre les autorisations des organismes internationaux (Europe, ONU, etc) et que sa marine ne doit plus respecter la souveraineté nationale de la Libye ou d’un autre pays dès lors que ces pays violent la souveraineté de pays européens chaque fois qu’un bateau déverse dans les ports italiens des masses de personnes arrivées de façon illégale et dont la très grande majorité sont des immigrés économiques africains subsahariens et pas du tout des réfugiés politiques syriens ou libyens ou même irakiens.

    Je reviens d’un long séjour en Italie et je peux vous dire que si un général italien de ce calibre est sorti si brutalement de sa réserve c’est que l’opinion publique italienne est à bout.

     […] En fait, ces ONG immigrationnistes souvent liées à des fondations d’extrême-gauche allemandes, hollandaises, anglosaxonnes ou à la galaxie OPEN Society du milliardaire George Soros, sont des alliés objectifs des passeurs criminels qui exploitent les migrants. En effet, si ces passeurs font payer aux migrants des milliers d’euros pour les faire gagner les côtes italiennes, le fait que ces riches ONG recueillir sur leurs bateaux privés des migrants à peine partis des ports libyens, sans communiquer avec la Marine italienne, constitue un extraordinaire appel d’air migratoire illégal et un formidable encouragement pour les réseaux criminels de passeurs. On doit en effet rappeller que grâce aux systèmes de communication et aux radars très sophistiqués de ces bateaux affrétés par des ONG, les lobbies immigrationnistes qui organisent les secours en mer illégaux à la barbe des autorités italiennes jusqu’aux ports de Sicile ou des Pouilles, communiquent directement avec les passeurs qui leur disent où ils s’apprêtent à laisser périr leurs barques surchargées.

    Ces bateaux des ONG ne demandent pas d’autorisations aux autorités italiennes ou maltaises et ils font ainsi débarquer depuis des années des centaines de milliers de clandestins de façon illégale. En termes clairs, notre courageux général a rappelé que l’Italie a été dirigée ces dernières années par des irresponsables qui ont toléré ce laxisme total et ont fait que les ports italiens sont devenus les réceptacles de tout ce qui est clandestin en Méditerranée, ceci sur demande des autres pays européens et de la Commission européenne qui ne parviennent pas à s’entendre sur une politique migratoire concertée, ferme et sur un partage du cout financier qui repose hélas sur les seuls pays dits de "première arrivée" (Italie, Grèce, principalement).

    […] Atlantico

     

  • Celle qui est aussi bête que son prénom!

    La chargée de com de @EmmanuelMacron à l'@Elysee @SibNdiaye à propos de S.Veil : "Yes, la meuf est dead". [@canardenchaine cc @Elysee_Com] pic.twitter.com/Jzf4WTvIs8

        — Jérôme Godefroy ® (@jeromegodefroy) August 1, 2017

    "Selon nos informations, Sibeth Ndiaye l'aurait en effet envoyé à un journaliste du service public, qui cherchait à avoir confirmation de la mort de Simone Veil. Choqué par sa réponse, le journaliste en question aurait montré le texto à plusieurs de ses confrères qui suivent l'Elysée."

    Et elle continue

    http://jforum.fr/la-shoah-c...

    Sibeth Ndiaye, la responsable presse et communication d’Emmanuel Macron, a déclaré devant les caméras de TF1 que les juifs détenaient un " copyright " sur les crimes contre l’humanité.

    Lorsque l'on a poste un poste important à l'Elysée, on ne parle pas comme la racaille de bas étage même si on a l'excuse de tomber de son baobab et donc de n'avoir ni nos codes, ni notre savoir-vivre ni une bonne éducation.

    Elle est payée (pas nos sous) pour parler correctement.

    Bien sûr, elle dément. Mais on n'oublie pas qu'elle a déclaré il y a 15 jours qu'elle "assumait parfaitement de mentir".

    De toutes façons, son prénom nous le dit d'avance.

     

  • Nan!!!! c'est pas vrai!!! hé si, c'est blesipo!

    Les passagers des trains des chemins de fer néerlandais (NS) seront accueillis à partir de décembre prochain par un "Chers voyageurs", neutre sexuellement, qui remplace le "Mesdames et Messieurs".

    Environ 24.000 annonces automatiques sont diffusées dans les trains de NS chaque jour. En outre, les employés des chemins de fer néerlandais réalisent eux-mêmes environ 70.000 annonces. Les textes ont été adaptés pour supprimer toute référence au genre.

    Les machinistes, conducteurs et annonceurs ont été sensibilisés.

    Le changement sera officiel le 10 décembre. "Nous voulons que chacun se sente le bienvenu dans nos trains", a commenté le directeur de NS, Roger van Boxtel. Le métro londonien a déjà procédé au même changement au début du mois de juillet, ‘Ladies and gentlemen’ a ainsi été remplacé par ‘Good morning everyone’ (Bonjour tout le monde).

    https://fr.metrotime.be/2017/07/28/actualite/aux-pays-bas-chemins-de-fer-sadresseront-aux-voyageurs-reference-genre/

    Tous ces dérangés du trouduc doivent être au maximum 0,0005% de la population mondiale; plus chiants que les moustiques qui sont des milliards!

     

  • Qui décide pour votre santé? enfin, votre fin de vie dois-je dire....

    Le Conseil d’Etat confirme : ce n’est pas au patient de choisir son traitement!

    En juin dernier, au CHU de Montpellier, on détecte, chez un enfant de 11 ans, une récidive de leucémie aiguë lymphoblastique pour laquelle il avait été soigné un an auparavant et qui s’était compliquée d’une encéphalite herpétique qui l’avait lourdement handicapé.

    Devant cette rechute, les médecins qui le prennent en charge ont estimé contre-indiquée une chimiothérapie curative « compte tenu de la très forte probabilité de son inutilité (…) et des grandes souffrances ainsi que des risques élevés qu’elle entraînerait » et en raison de « l’état d’agitation du patient qui rend techniquement difficile (…) la réalisation d’un traitement intensif ».

    Ils optent donc finalement pour un traitement palliatif qui, d’ailleurs, semble pour l’heure permettre une stabilisation de la maladie.

    Les parents de ce garçon ont cependant refusé la décision du CHU de Montpellier et ont demandé un deuxième avis à Marseille…où on leur a rendu la même conclusion. Face à ces refus, les parents ont intenté une action devant le tribunal administratif de Montpellier. Débouté par ce dernier, ils se sont pourvus devant le Conseil d’Etat qui a rendu sa décision vendredi dernier.

    Aucune disposition ne consacre un droit de choisir son traitement

    Les sages du Palais-Royal ont considéré que si « toute personne a le droit de recevoir les traitements et les soins les plus appropriés à son état de santé sous réserve de son consentement libre et éclairé. En revanche, ces mêmes dispositions [du Code de la Santé publique] ni aucune autre ne consacrent, au profit du patient, un droit de choisir son traitement ». En outre, la haute juridiction a souligné qu’il ne lui appartenait pas « de prescrire à l’équipe médicale que soit administré un autre traitement que celui qu’elle a choisi de pratiquer à l’issue du bilan qu’il lui appartient d’effectuer ».

    Dans ce cas extrême, récidive de leucémie chez un enfant ayant des séquelles d'encéphalite: qui ne supporterait pas la contrainte d'une chimio lourde, parents déboutés par 3 fois