La priorité de l’UE: traquer le "dictateur" Viktor Orban, qui (comme Macron) bénéficie de pouvoirs exceptionnels pour gérer la crise du Corona.
L’Union européenne agresse la Hongrie de Victor Orban!
Libération nous fait un titre censé être scandaleux. Il nous fait son habituel discours de morale politique et nous rabâche son discours socialo-libéral.
Monsieur le Président Victor Orban est un illibéral. Qu’est-ce que c’est? Un mouvement, une attitude qui s’oppose au libéralisme, qui lui, serait un ensemble de pensées politiques en faveur des droits individuels, face à l’arbitraire d’un gouvernement! En clair, ce serait une dictature que nos gauchisants appellent, au sujet de la Hongrie, une démocrature. Un nouveau mot issu de la novlangue et du ministère de la Vérité! (source)
Libéral: dit comme cela, cela pourrait nous faire rêver! La France ferait partie du camp du Bien, celui des libéraux, celui où l’on respecte la volonté du peuple, celui où les libertés individuelles sont respectées! (Source)
Vous souriez, et vous auriez raison de pouffer! Nous ne sommes plus dans une démocratie libérale depuis le marqueur de 2005, (référendum) confirmé en 2008 par le congrès où Nicolas Sarkozy a décidé de vomir la décision référendaire sur la Constitution européenne! Mais nous pourrions remonter plus loin encore!
Horreur, d’après Libération, Viktor Orbán, le Premier ministre hongrois, s’est arrogé, le 31 mars, les pleins pouvoirs pour une durée illimitée, avec suspension du Parlement " en profitant " (le méchant) de la pandémie du Coronavirus.
Ce canard boiteux de gauche, immigrationniste en diable, ne s’est pas rendu compte qu’en France, le Président Macron a tous les pouvoirs, qu’il s’arroge le droit de gouverner par des ordonnances liberticides, et que ses amis sont en majorité à l’Assemblée nationale, aux manettes de Radio France Télévision, que quasiment toutes les autres chaînes de radio et télévisions lui sont redevables! Que dire de la presse écrite qui ne vit que grâce aux subventions, y compris Libération, et même le journal l’Humanité! Sartre et Jaurès doivent apprécier d’où ils sont!
Libération se fait l’écho de l’angoisse des partenaires au sein du PPE, ce parti hétéroclite composé de députés allant de la Scandinavie à l’Allemagne, en passant par la Loiseau minable de France, et même de la Grèce! Entre nous, qui sommes des patriotes, on se fout bien des états d’âme de ces gens vendus au lobbying le plus offrant.
Nous savons tous que l’Union européenne est un machin de plus qui déroule ses chaînes, nous emprisonne et cherche à détruire les nations!
Nous savons tous que pour cette UE, l’important n’est pas d’aider l’Italie, voire même la France, mais d’envoyer son aide à la Tunisie et au Maroc à nos frais! Nous savons tous que son souci premier est de s’élargir comme un monstre boulimique à l’Albanie et à la Macédoine du Nord. Nous savons qu’elle n’a jamais, au grand jamais, fermé sa porte à la Turquie et que, grâce à Nicolas Sarkozy (encore lui), les Français ne pourront pas s’opposer par référendum à cette entrée! Peu le savent, la Constitution avait été modifiée par Jacques Chirac pour que les Français donnent leur aval par un référendum! Qu’en pensent aujourd’hui Les Républicains, les Ciotti et autres Dati qui ne cessent d’encenser leur ancien maître, l’ex-Président chéri?
La France, dans l’état actuel, c’est bien pire que la Hongrie en terme de libertés individuelles et de politique sanitaire! La France n’est hélas pas, illibérale! Cela ne veut pas dire que la Hongrie s’oppose au statut d’homme libre et indépendant mais veut dire simplement que pour la collectivité hongroise, sa liberté, son avenir, ses droits souverains, son indépendance en tant que Nation passent avant la liberté individuelle! En quoi est-ce choquant?
Les journalistes amoureux des démocrates américains nous rappellent souvent cette phrase de J.-F. Kennedy: " au lieu de vous demander ce que l’État peut faire pour vous, demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays! " Ce n’est pas, pour le moins, très libéral comme pensée, et pourtant…
Nous sommes issus d’un vieux peuple, une vieille nation qui a beaucoup souffert, qui a beaucoup donné, qui donne encore bien trop et à son propre détriment, au nom du libéralisme qui nous emmène vers le mondialisme et le néant.
Ce matin, je lisais cette citation de Bernanos datant de 1947 sur la décadence, sur ses causes comme "la modification du substrat ethnique, la dégénérescence des aristocraties naturelles, la perte de la mémoire historique, l’oubli volontaire des valeurs fondatrices. "Plus loin il disait " la décadence survient lorsque le souci du maintien de la communauté du peuple s’estompe, (…). " Nous y sommes, et nous devrions en être fiers, de cette société libérale!
Excusez-moi Libération, je ne partage pas du tout vos colères souvent feintes, vos soumissions à l’ordre établi, votre acceptation d’un monde où la France n’existerait plus! Bonapartiste, je me sens bien plus proche d’un Victor Orban que d’un républicain macroniste, voire socialo-gauchiste.
Je suis et reste, depuis toujours, pour un gouvernement fort qui aurait comme seul objectif la France, comme seul but la France et comme seul désir le bonheur des Français dans leur globalité, et non dans le petit plaisir individualiste d’un Français adepte du LGBTQ-cul mal dans sa peau, et ne sachant pas encore s’il est un homme ou une femme! Qu’il continue de chercher, mais qu’il nous lâche la grappe!
Merci à Victor Orban, à Vladimir Poutine, à Matteo Salvini, à Donald Trump et à tous ces dirigeants, actuels ou en devenir prochainement, de penser à leurs peuples en premier, comme tous bons parents pensent d’abord à leur famille avant de penser à leur voisin!
Gérard Brazon