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Blog - Page 81

  • Remplacez Allemagne par France

    La preuve? en bas du post

    Dans une lettre, les employés d’un service hospitalier de Berlin décrivent ce qu’ils vivent quotidiennement : attaques au couteau, patients déchaînés et menaces effrayantes.

    Le personnel du centre de secours de l’hôpital Vivantes à Berlin a signalé dans une lettre diverses attaques violentes, menaces et insultes. Des insultes comme " sale nazi " ou " je vous emmerde " sont quotidiennes, note le personnel de cet hôpital situé dans le quartier de Kreuzberg.

    Ensuite, il y a des menaces comme " Je vais te tuer ", " Je vais te finir " ou " Je t’attends à la sortie ", rapporte le staff. Ces mots " conduisent souvent à un profond sentiment d’insécurité" , écrivent-ils. Même des couteaux ont été découverts à plusieurs reprises chez des patients violents.

    Les employés ont également été attaqués avec un couteau: un patient agité, qui ne voulait pas attendre son tour, a agressé au couteau l’un des employés qui a co-écrit la lettre. " J’ai conservé des dommages physiques et mentaux ", écrit la victime.

    Une infirmière voulait prendre du sang d’un patient. Sans raison, il a violemment frappé la femme au visage, qui a été inapte au travail pendant six mois et en thérapie.

    Les ambulanciers demandent un bouton d’urgence pour alerter la police. De plus, une sécurité 24 heures sur 24 devra être mise en place.

    EN FRANCE, il y  30 ans, une amie me raconte

    Vive la diversité....  les allemands bien corrects, bien in "ordnüng" doivent trouver ces comportements bizarres

    Il y a 30 ans dans un petit hôpital,  une Mama algérienne hurlait et se lamentait parce son fils de 10 ans, avait eu trauma de l'œil

    Le plus grave était qu'il avait déjà "zouqué " cet œil, les ophtalmo du CHU l'avaient récupéré de justesse, en lui disant de faire bien attention ( les miracles ne sont pas infinis )... pas de problème, le gamin se battait et a re-explosé son œil..... et rebelote, il fallait le transférer au CHU... moche à voir

    et, là un œil, on ne sait pas si ça peut se récupérer X fois de suite. (on n'osait pas regarder de trop, tellement c'était horrible)

    Bref, je ne sais plus trop, mais il avait eu la chance qu'on lui sauve un œil de justesse, et se le ré-explose... (pour l'autre œil, je crois qu'il était aussi atteint), donc en gros, cela nous faisait un futur aveugle potentiel

    Heureusement la mama est arrivée peu de temps après l'admission du gamin,(on avait eu le temps de comprendre ce qui se passait, on téléphonait au CHU etc... )  parce qu'elle braillait tellement, qu'elle nous coagulait le sang et le cerveau...

    Moi je n'arrivais plus à bosser, ca me paralysait. Désolée, moi les braillements, les hurlements, ca ne me stimule pas du tout. Les baffes non plus.

    Carrément à un moment, elle était par terre, en train de prier allahahahha, tout en hurlant, sinon, elle était debout en levant les bras au ciel et en hurlant... on ne pouvait plus penser.

    Je demande donc à un collègue copain urgentiste algérien, nommé "Toufik" “mais comment vous faites, la bas?".

    "oh, nous.. On a l'habitude, on ferme les oreilles, quand tu en as 10 qui font le même bruit, tu es obligé, sinon tu deviens fou"

    Donc ne vous inquiétez pas non plus si un médecin algérien à l'air parfois "distant", c'est normal, vu le "training" qu'il a eu s'il a exercé en Algérie...  il bloque les oreilles d'avance.

    Petit rappel: c'était en France, il y a  …. 30 ans!

     

  • Avec l'éclairage LED: danger

    Depuis le 1er septembre 2018, les ampoules halogènes sont interdites à la vente dans l’Union européenne et les consommateurs sont invités à se tourner vers les LED. Voici les différents moyens de s'éclairer :

    • les éclairages avec un filament qui chauffe: ce sont les lampes à incandescence (interdites depuis 2013), dont font partie les halogènes,
    • les lampes fluorescentes, qui s’allument grâce à une décharge électrique dans un gaz : ce sont les ampoules fluocompactes et les tubes néons par exemple.
    • les LED qui utilisent le passage d’électrons dans un semiconducteur. Ces ampoules à bas voltage permettent de faire des économies d’énergie.

    Les LED sont souvent scintillantes: l’émission de lumière par la LED ne se fait pas en continu. Les Angliches utilisent le terme de "flicker" pour parler de cette "lumière papillonnante". Ce scintillement n’est pas forcément perçu par l’utilisateur. Or, le "flicker" peut être nocif à la santé : il favorise les migraines et la fatigue oculaire.

    En effet, une recherche à prouvé que le ballast magnétique -qui contrôle l’éclairage fluorescent- produit un flicker avec une fréquence de 100 par seconde. Des ballasts électroniques plus efficaces et meilleurs pour la santé sont ensuite arrivés sur le marché. Pour les LED, certains circuits électriques sont mieux conçus que d’autres, et les lampes plus ou moins scintillantes. Mais les consommateurs, quand ils achètent leurs ampoules, n’ont aucun moyen de savoir si elles seront très scintillantes. Or, d’après le chercheur, le flicker des LED est parfois plus important que celui des pires éclairages fluorescents.

    Le flicker n’est pas le seul problème avec les LED.  En janvier 2017, l’Inserm a dévoilé une étude sur les effets de la lumière bleue sur la rétine, suggérant qu’elle favorise la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA). Pour ce travail, les chercheurs ont travaillé sur des rats dont la pupille était dilatée. Ils ont d’abord montré que toutes les ampoules sont nocives à la rétine à une intensité élevée : en 24 h d’exposition à 6000 lux, les photorécepteurs sont sujets à l’apoptose (mort cellulaire). Mais en utilisant des intensités correspondant à un usage habituel (500 lux), il est apparu que seul l’éclairage LED était nocif à la rétine, même si les dégâts étaient moins importants qu’avec une intensité élevée. Il reste à savoir si ces résultats sont transposables à l’Homme.

    Cette toxicité des LED serait due à la lumière bleue qu'elles émettent. Pour faire une lumière blanche, les LED combinent en effet une lumière bleue et une lumière jaune. Or la lumière bleue est plus énergétique et plus dangereuse que la jaune, à intensité équivalente. En août 2018, une autre étude, venant de l’université de Toledo, a confirmé que la lumière bleue faisait courir un risque pour la vision. Pour Ajith Karunarathne, chercheur à l’université de Toledo, " Ce n’est un secret pour personne que la lumière bleue nuit à notre vision en endommageant la rétine de l’œil ". Son laboratoire a trouvé que l’exposition à la lumière bleue favorise des réactions qui génèrent des molécules toxiques pour les cellules photoréceptrices. Or ces cellules de la rétine ne sont pas capables de se régénérer; si elles meurent, elles sont définitivement perdues. Les lumières verte, jaune ou rouge ne sont pas nocives comme la lumière bleue.

    Les chercheurs ont aussi trouvé que l’alpha-tocophérol, une forme de vitamine E,  permet d'arrêter la mort des cellules grâce à ses propriétés antioxydantes. On trouve de l'alpha-tocophérol dans des huiles (tournesol, pépins de raisins, colza, olive...), les noisettes, l'avocat, l'œuf...

    Quoi qu'il en soit, pour réduire votre exposition à la lumière bleue, vous pouvez équiper votre écran d'ordinateur d'un filtre spécial. Ou utiliser sur votre ordinateur, votre tablette et votre smartphone des applications comme f.lux ou Twilight qui filtrent la lumière bleue. Evitez de regarder votre smartphone ou votre tablette dans le noir. En été, portez des lunettes de soleil avec un filtre contre les UV et la lumière bleue, car le soleil en émet aussi.

    Pensez à protéger votre rétine avec une alimentation riche en vitamine E et en lutéine et zéaxanthine, des antioxydants connus pour réduire le risque de DMLA, présents comme la vitamine E dans le jaune d'œuf mais aussi dans les légumes verts à feuilles comme l'épinard.

    Voir aussi mon site: www.on2nocives.com

     

  • Comment macrouille attaque la dignité des personnes handicapées

     

     

    "On nous parle d’inclusion mais ils réduisent tout ce qui nous permet de vivre en autonomie"…  partage Odile Maurin. Dans une capsule vidéo, la présidente de l’association Handi-social argumente en quelques minutes sa critique de la loi Elan. Comme beaucoup, Odile Maurin accuse des effets d’annonces et un décalage entre un discours et des actes.

     

  • FRANCE: république bananière!!!

    On soigne gratuitement les pouilleux du monde entier: résultat, ce sont les Français qui trinquent puisqu'il n'y a plus d'argent en caisse!

    Pauvre femme: elle allait coûter un pognon de dingue à la sécu!!!

     

    Besançon : renvoyée des urgences, elle fait une fausse couche chez elle

    Le 17 août dernier, une jeune femme, enceinte de trois mois et en train de faire une fausse couche, a été renvoyée chez elle par les urgences de l’hôpital de Besançon, sans aucun suivi. Elle a dû expulser seule à son domicile le fœtus mort. 

    Les faits se sont déroulés le 17 août dernier à Besançon dans le Doubs. Enceinte de trois mois, une jeune femme, du nom de Magdalena Cocatrix, se rend aux urgences après avoir perdu beaucoup de sang pendant la nuit. Après trois heures d’attente, la jeune femme est finalement prise en charge et une échographie révèle qu’elle est en train de faire une fausse couche et que son bébé est malheureusement mort.

    Seulement, au lieu de continuer à être suivie par le personnel médical de l’hôpital, la jeune femme est renvoyée chez elle. " Le personnel m’a précisé que je pouvais rentrer chez moi et que le fœtus sortirait tout seul petit à petit", a-t-elle confié à L’Est Républicain. 

    "Elle a dit que nous n’avions qu’à le mettre à la poubelle".

    Sur le chemin du retour, la jeune femme ne se sent pas bien : " J’ai pris le tram et les contractions ont commencé. J’avais atrocement mal. A peine arrivée chez moi, j’ai senti qu’une petite masse était expulsée. Mon pantalon était recouvert de sang. Je me suis enfermée à la salle de bains et me suis dévêtue avant d’aller dans la baignoire vide. J’ai recueilli mon bébé dans les mains. Il mesurait environ 7 cm et était entier, formé. J’ai encore poussé 20 minutes pour rejeter le placenta. J’avais peur d’une infection et d’une hémorragie massive ".

    Alerté, son compagnon, Alain, appelle alors les urgences pour que les secours viennent aider sa femme mais obtient une réponse négative. Non, les secours ne se déplaceront pas. " La personne au bout du fil m’a dit que l’hôpital n’en ferait rien et que nous n’avions qu’à le mettre à la poubelle ! ", confie le compagnon de Magdalena. "Comment peut-on dire une chose pareille?, s'interroge-t-il.

    " Pourquoi ne m’ont-ils pas gardé à l’hôpital“?

    Finalement, c’est le médecin généraliste de la jeune femme qui l’a suivie pendant plusieurs jours après sa fausse couche. Aujourd’hui en bonne santé, la jeune femme est en colère : " Pourquoi ne m'ont-ils pas gardée à l'hôpital, proposé une solution pour accélérer le processus ou un curetage, et donné un soutien psychologique", interroge-t-elle dans L’Est Républicain.

    Sollicitée par le quotidien qui a relaté l’histoire, la direction de l’hôpital a répondu : " La lecture de ce témoignage douloureux, que nous regrettons de n’avoir pas reçu directement, nécessite de recueillir des éléments précis sur les conditions de prise en charge de cette patiente pour lui fournir toutes les informations qu’elle recherche. Dans ce but, Mme Cocatrix peut prendre contact avec la direction de l’établissement dès qu’elle le souhaitera".

    Encore mieux, dans l'est républicain on apprend qu'elle s'était dirigée vers les urgences gynéco obstétricales

     

  • "C’est une vaste fumisterie":

    la colère monte au sein de La République en marche

    "C’est une vaste fumisterie" : la colère monte au sein de La République en marche

    Beaucoup de membres de LREM critiquent l'opacité des décisions du bureau exécutif autour de Castaner.©ANNE-CHRISTINE POUJOULAT AFP

    Une partie de la base de LREM s’agace de la concentration et de l’exercice vertical du pouvoir depuis Paris, et déplore un fossé qui se creuse avec le "sommet" du parti.

    Si La République en marche revendique quelque 400 000 adhérents, sans obligation de cotisation, sa structure paraît toujours fragile après deux ans d’existence, à l’image de l’important turn-over au sein des référents départementaux, les "préfets" du parti.

    Le lancement d’ambitieux chantiers il y a un an, puis l’adoption d’une nouvelle gouvernance, n’ont pas permis de contrecarrer un essoufflement militant certes logique en année post-électorale, mais dont l’ampleur est jugée inquiétante par certains cadres sur le terrain, notamment hors des grandes métropoles.

    "Aucune info", "pas de discussion"

    Exemple : alors que tous les partis réunissent leurs militants en cette fin d’été, LREM a décidé de faire l’impasse. Pourtant, le mouvement d’Emmanuel Macron aurait pu saisir l’occasion d’enfin rassembler son "Conseil", à savoir le "Parlement" du parti, dont les statuts exigent qu’il soit convoqué deux fois par an.

    Cet organe de 800 membres environ, symbole supposé de démocratie interne, est laissé inerte depuis son intronisation en novembre dernier. "Ça ne vit pas du tout. On a du mal à concevoir notre rôle", témoigne un animateur d’un comité local et membre de ce Conseil.

    "C’est une vaste fumisterie. Le Conseil s’est réuni une fois pour élire Christophe Castaner et c’est tout". Jean-Baptiste Ducatez, animateur local du Conseil de LREM dans le Rhône

    "Aucune info", "pas de discussion", "je m’attendais à ce qu’il y ait plus de contacts", cinglent d’autres membres de cette instance. "Le mouvement ne vit pas", martèle un cadre parisien. "Les gens qui sont venus pendant la campagne étaient là pour faire élire un président. Maintenant, il y a beaucoup de comités locaux où c’est encéphalogramme plat"

    Un mouvement 2.0 "très dématérialisé"

    La dizaine de cadres locaux se plaignent à l’unisson de l’absence de relation avec le "QG", c’est-à-dire le siège parisien, en particulier pour ceux implantés dans des territoires où les députés ne font pas office de facilitateurs.

    "Il nous manque un numéro de téléphone qui réponde", illustre ainsi Michel, un animateur de province, pestant contre l’adresse mail générique mise à disposition. "On est sur un mouvement très 2.0, très dématérialisé et c’est déstabilisant".

    Des moyens financiers limités (1.000 euros en moyenne par département) qui obligent à "la débrouille" voire "à mettre la main au portefeuille", et l’impossibilité d’avoir accès au fichier des adhérents locaux entravent la mobilisation au sein des comités, argue-t-on encore.

    Tous les militants sollicités critiquent également l’opacité des orientations prises au sein du bureau exécutif, l’équipe dirigeante autour de Castaner, qui se réunit en moyenne un lundi sur deux à Paris. "Il n’y a aucun compte rendu, aucun relevé de décisions", souligne un cadre parisien, avant d’ajouter : "Au bout d’un moment, je pronostique un rejet. La base sera brutale".

     

    Tous ces morveux qui croyaient changer le monde....

    j'en ai vu et entendu d'autres... qui s'y croyaient... qui s'y voyaient....

    la mare aux caïmans.... pas facile d'y entrer!