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Humain? - Page 185

  • Notre liberté bafouée par les élites

    "Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs".

    Article 35 de la déclaration des droits de l'homme et du citoyen.

     

     

    Perso, j'ai voté non à Maastrich: j'avais déjà compris qu'on allait droit dans le mur!

     

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  • Mordre la main qui te nourri….

    Vendée: des migrants ont saccagé leur foyer car ils étaient mécontents de la nourriture, une association pro-migrants accusée de les avoir incités à l’émeute

    A La Roche-sur-Yon (Vendée), le foyer pour mineurs étrangers non accompagnés du boulevard d’Angleterre a été saccagé, ce jeudi 3 janvier.

    Selon les premiers éléments, une vingtaine de mineurs étrangers se serait révoltée, vers midi. Un mécontentement, semble-t-il, né de la qualité de la nourriture.

    Les fauteurs de trouble s’en sont pris au mobilier de la cuisine et de la salle de repos. Les chaises et les tables ont valsé, des coups ont été donnés dans les portes et les cloisons. La nourriture a été jetée à terre. La vaisselle n’a pas, non plus, résisté au vent de révolte.

    "Nos hommes se sont retrouvés face à des individus impossibles à raisonner. Il n’y a pas eu d’affrontements physiques. Mais la situation était extrêmement compliquée", indique le commissaire Dufour.

    Toutefois, les Etablières ont décidé de porter plainte contre une association de défense de migrants, car une de leurs militantes était présente sur site au moment de la rébellion. Et la direction soupçonne cette dernière d’avoir incité les jeunes à se révolter.

    Actu.fr

     

    Et si on retirait tous les droits civiques, toutes les résidences HLM, toutes les allocations, le droit parental, la nationalité française à ces gens des associations d'aide aux migrants qui sont des traites à la France?

    En faire des apatrides, n'en déplaise à l'ONU! dehors, sales mauvais français! des charters pour le retour chez eux des migrants économiques et des traitres à la France!

    Quand on pense que macrouille met en taule des gilets jaunes qui défendent leur point de vue et leur porte-monnaie, pendant que les policiers, obligés de lutter contrer les vrais Français de France, ne sont pas dans les banlieues où sévit la ségrégation, la partition, la drogue, l'enfermement des filles…

    Macrouille, un de ces quatre, tu sera jugé follement puisque tu est fou!

    Le trop et le peu, gâtent le jeu!

     

  • Quel avenir, pour les Gilets jaunes?

    Ce sera l’une des grandes questions de l’année à venir.

    2019 et ses risques

    Car la colère, bien qu’endormie par la trêve des confiseurs, ne semble pas complètement calmée. L’arrivée subite du prélèvement à la source réservera bien des (mauvaises) surprises aux Français — tant du côté des patrons que du côté des employés. Les atteintes aux libertés seront plus nombreuses et, une fois de plus, essentiellement justifiées par le combat contre les dérèglements climatiques. Citons, pêle-mêle, la fin de circulation des autocars aux normes Euro 4, la restriction progressive de l’utilisation du glyphosate ou encore, à Paris, la réforme des normes Crit’Air, qui pénalisera les conducteurs n’ayant pas les moyens (ou refusant) de remplacer leur véhicule diesel vieux de plus de 13 ans.

    Bien qu’il ait concédé aux Gilets jaunes des réformettes touchant directement au pouvoir d’achat de certaines catégories de Français, le Président n’a pas dévié de sa ligne dans son discours de fin d’année. Parler de "porte-voix d’une foule haineuse", appeler à "changer les choses pour vivre mieux", promettre de nouvelles réformes et, enfin, la diatribe habituelle dans ce pays de France contre "le capitalisme ultralibéral et financier (qui) va vers sa fin".

        Macron: " le capitalisme ultralibéral et financier va vers sa fin " pic.twitter.com/EwGrY7XNh7

         — BFMTV (@BFMTV) 31 décembre 2018

     Avec de telles prémisses, le grand débat national semble parti sur de drôles de bases. Surtout s’il n’est toujours pas question de baisser drastiquement les dépenses publiques pour permettre ce redémarrage dont la France a besoin.

    Un président isolé

    L’exécutif continuera, cette année, à traîner comme un boulet l’affaire Benalla, qui n’en finit plus de connaître des rebondissements. La majorité devra aussi resserrer les rangs, montrer un véritable soutien public au Président, et calmer les électrons libres qui, à l’image du député au sabre-laser, ternissent l’image des institutions en ces temps de crise.

    La crédibilité du monde politique a aussi souffert dans les rangs de l’opposition. La France Insoumise ne s’est pas remise de l’affaire Mélenchon-Chirikou ou, de manière plus anecdotique, du "boloss" prononcé à l’Assemblée nationale en réponse au défi lancé par un animateur de radio.

        Je crois que " boloss " a donc été placé , et dans un discours bien travaillé @Deputee_Obono #challengerelevé !

     De belles fêtes de Noël !

    Les institutions de cette République déjà écornée n’avaient pas besoin de tels spectacles.

    À ce rythme de barnumisation, 2019 s’annonce pire que 2018.

    Pour cette nouvelle année, toute la rédaction de Contrepoints vous souhaite néanmoins d’augmenter, à votre échelle personnelle, votre part de liberté

    Ludovic Delory

    Journaliste, essayiste. Rédacteur en chef de Contrepoints.

  • Nul n'est censé ignoré la loi...

    de 1885 ou 1888 sur la presse justement, qui dit que, par exemple, si sur une enveloppe sont écrites des injures et menaces, La Poste ne doit pas distribuer ce courrier… je suppose que cette vieille loi englobe aussi ce genre d'insultes.

    P'fff, des journalistes qui ne savent même pas cela!

    Alors que l'enquête sur la mise en scène macabre d'une décapitation d'une marionnette de Macron près d'Angoulême est en cours, le quotidien Charente Libre s'est ému que trois de ses journalistes aient été entendus sous le statut de "mis en cause".

    Un journaliste peut-il être tenu responsable d'un délit constitué par les faits qu'il rapporte ? C'est la question que se pose désormais la rédaction de Charente Libre après que trois de ses membres ont été entendus par des policiers dans le cadre d'une enquête ouverte pour "provocation au crime" et "outrage".

    En cause des Gilets jaunes ayant mis en scène un procès d'Emmanuel Macron près d'Angoulême le 21 décembre, avec décapitation d'une marionnette à son effigie à la clé.

    "Fidèle à sa conception du journalisme sans complaisance, tant à l’égard des pouvoirs que des groupes de pression ou des mouvements tels que les gilets jaunes, Charente Libre continuera de remplir sa mission de témoin.

    "Personne n'aime le messager porteur de mauvaises nouvelles", lisait-on déjà dans l'Antigone de Sophocle, une maxime à laquelle on ne peut que songer en prenant connaissance du statut sous lequel les trois journalistes ont été auditionnés le 27 décembre: celui de "mis en cause" pour "provocation non suivie d’effet au crime ou délit par parole, écrit, image ou moyen de communication au public par voie électronique". Des faits passibles d’une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à 5 ans ainsi que d’une amende de 45 000 € maximum.

    Il s'agit d'un reporter, d'un photographe et d'un membre de la rédaction en chef, précise Charente Libre, qui fait également savoir qu’ils ont "couvert cet événement – comme toute manifestation d’actualité – selon les critères déontologiques et conformes au droit à l’information".

    "Fidèle à sa conception du journalisme sans complaisance, tant à regard des pouvoirs que des groupes de pression ou des mouvements tels que les gilets jaunes, Charente Libre continuera de remplir sa mission de témoin. Et se réserve toute possibilité de recours à l’égard de ceux qui tenteraient de limiter ce rôle", poursuit le journal.

    Le statut de mis en cause désigne toute personne soupçonnée d’avoir participé à la réalisation d’une infraction. C’est un statut juridique à mi-chemin entre celui de témoin assisté et celui de mis en examen. Il est donc reproché aux trois membres de la rédaction de Charente Libre d'avoir couvert, dans le cadre de la liberté de la presse, cette mise en scène macabre. Ironie de l'histoire, c'est cette présence journalistique qui a permis aux autorités de prendre connaissance du simulacre de décapitation présidentielle.

    Les trois organisateurs de la "mise à mort de Macron", qui avaient déclaré la manifestation en préfecture, sont convoqué ce 28 décembre au commissariat d’Angoulême. Selon les informations de Charente Libre, ils devraient être placés en garde à vue. Plusieurs Gilets jaunes ont mis en place une cagnotte pour financer leur défense.

    Les baveux, juste des pleureuses effarouchées…

     

  • Qu'est-ce qu'on attend?

    Damas: des Syriennes demandent à l’Europe de renvoyer tous les migrants syriens chez eux pour qu’ils puissent reconstruire leur pays

    Les femmes syriennes se plaignent qu’il n’y a pas assez d’hommes pour reconstruire le pays, et certaines disent à l’Europe et aux autres pays occidentaux qui ont accueilli des hommes syriens de les "expulser" et de les renvoyer chez eux.

    Johan-Mathias Sommarström, journaliste à la chaîne publique suédoise SVT, s’est rendu à Damas (Syrie) et s’est entretenu avec des étudiants de l’Université de Damas, dont 70 pour cent sont des femmes.

    "Regardez autour de vous, vous ne voyez que des femmes. A l’université, dans la rue, dans les cafés, juste des femmes", témoignent les étudiantes Safaa et Sheima à Sommarström.

    Pour résoudre le problème, une jeune étudiante a déclaré que le gouvernement syrien devrait accorder une amnistie aux hommes qui ont quitté le pays pour éviter le service militaire afin qu’ils puissent aider à reconstruire le pays, en montrant du doigt les nations occidentales qui ont accueilli tous les jeunes hommes syriens.

    "La solution est de les expulser et de les renvoyer en Syrie où ils pourront commencer à reconstruire le pays", a déclaré Lina.

     (…) Sverige Radio

     

     On avait bien compris que ces mecs étaient des lopettes...