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Insolite - Page 18

  • Super idée de jeu de société pour un Noël et un premier de l’An participatif!

    Alors jouons, jette le dé et avance ton pion sur le jeu de l’oie.

    Case 1: origine (certaines rapportent plus d’indemnités que d’autres, réfléchis avant de choisir ton origine dans la partie)

    Case 2: sexe (si tu as choisi "Français de sang" en case 1 en choisissant homme, ici tu seras obligé de choisir " homosexuel " pour avoir une chance de gagner la partie)

    Case 3: situation de famille (célibataire ou parent de plus de 5 enfants, le reste ne rapporte quasiment rien)

    Case 4: grossesse (lié au choix case 2 en l’état actuel de la science)

    Case 5: apparence physique (choisir gros et moche pour un maximum d’indemnité au tribunal)

    Case 6: pauvre

    Case 7: nom de famille ridicule ou arabe ou imprononçable pour un Français mais que tu ne changeras pas pour t’intégrer en cas de naturalisation française

    Case 8: habiter dans une enclave ethnique musulmane

    Case 9: sidaïque ou déséquilibré barbu

    Case 10: handicapé (NON, ici c'est faux! être handi pas idiot-e mais travailleur-se indépendant-e ne t'apporte aucun point ni empathie)

    Case 11: nain, albinos… (à toi de voir)

    Case 12: végétarien, cannibale, nudiste… (à toi de voir)

    Case 13: homo hétéro… (à toi de voir)

    Case 14: trans, travelo, gender-fluide… (à toi de voir)

    Case 15: âge

    Case 16: électeur de Benoît HAMON ou adhérent du CRAN ou… selon les autres joueurs de la partie

    Case 17: syndiqué ou pas

    Case 18: langues étrangères non européennes des pays les plus pauvres que tu connaisses

    Case 19: " appartenance ou non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une prétendue race ou une religion déterminée". = Musulman ou pas? Juif ou pas? Noir ou pas?

    Mais tu peux aussi te prétendre victime pour ton appartenance à une entité morale ou prétendre que l’entité morale est victime et ainsi ne pas payer ton avocat pour aller tirer un maximum de pognon aux Français de sang au tribunal. Là les indemnités sont multipliées par 10.

    Lire ici: " Constitue également une discrimination toute distinction opérée entre les personnes morales sur le fondement de l’origine, du sexe, de la situation de famille, de la grossesse, de l’apparence physique, de la particulière vulnérabilité résultant de la situation économique, apparente ou connue de son auteur, du patronyme, du lieu de résidence, de l’état de santé, de la perte d’autonomie, du handicap, des caractéristiques génétiques, des mœurs, de l’orientation sexuelle, de l’identité de genre, de l’âge, des opinions politiques, des activités syndicales, de la capacité à s’exprimer dans une langue autre que le français, de l’appartenance ou de la non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une prétendue race ou une religion déterminée des membres ou de certains membres de ces personnes morales".

    Règles du jeu: https://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?idArticle=LEGIARTI000033461473&cidTexte=LEGITEXT000006070719&dateTexte=20161120

    Le plus politiquement correct des joueur est l’arbitre juge du jeu. Il affiche sa politique en quelques lignes; exemple:

    – être blanc = moins 100 points, être noir = plus 100 points

    pour fixer les bornes de notation aux aspirants victimes.

    Le support de jeu est un plateau de jeu de l’oie classique numéroté ou revisité avec des images des pleureuses et des victimes professionnelles.

    Profil de joueurs gagnants à la CAF, au tribunal et aux aides sociales en tous genres:

        le Soudanais homosexuel qui bénéficiera du regroupement familial pour ses 5 femmes et 20 enfants

        la racaille maghrébine du 93

        la retraitée blanche, passeuse de migrants à la frontière italienne, qui en plus se paye en nature sur les mineurs nigériens de 25 ans

        les islamistes, leurs imams et leurs femmes voilées

        BHL et ses amis

     

    Brenton ANDERS

    Riposte Laïque

  • Aux fous! Lâchez les chiens!

    A Toulouse, on dit:

    tous les fous ne sont pas à Braqueville (surnom de l'hôpital psychiatrique)

    C.Q.F.D.

     

     

  • Le freluquet Yann Barthès déteste que Valeurs Actuelles se moque de lui…

    Mauvais joueur, le petit freluquet vipérin Yann Barthès. Il balance le PDF de Valeurs Actuelles consacré à une enquête sur ses pratiques sur les réseaux sociaux, pour torpiller le numéro. C’est illégal, mais il s’en fout, il est dans le bon camp.

    Vexée, l'émission @Qofficiel publie illégalement un dossier de Valeurs gênant pour elle.
    Or c'est un délit, une atteinte à une œuvre intellectuelle.
    Tout savoir sur les méthodes de l'émission, jeudi en kiosque ou sur : https://t.co/OuyuLnptB2
    Avec @geoffroylejeune pic.twitter.com/oxVTJmUQG0

    — Valeurs actuelles ن (@Valeurs) November 20, 2019

     

    J'ai reçu, comme chaque mois depuis 1994, Valeurs Actuelles: c'est effarant et affligeant la con... de ce pauvre type et de toute sa clique qui l'entoure!

    Une émission que je n'ai jamais regardée...

    Mais, que fait TF1????

     

     

  • Ponctionnaire con comme un balai, encore un!

    Le restaurateur Arnaud Bloquel et la bourde à 14 000 euros de l’URSSAF

    Par le Cercle Lafay.

    La médiatique affaire Arnaud Bloquel, le restaurateur à qui l’URSSAF a infligé un redressement de 14 000 euros au titre des avantages en nature parce qu’il mangeait … dans son propre restaurant, témoigne d’un phénomène qui est plus fréquent qu’on le croit : l’absurdité avec laquelle l’URSSAF réalise ses contrôles, la ridiculisant, et rendant difficile – voire impossible – la réalisation du vœu exprimé par Emmanuel Macron, président de la République, qui aimerait que l’URSSAF soit " l’amie de l’entreprise ", phrase prononcé le 9 octobre 2018.

    Dans les faits, on peut comprendre que le chef d’un restaurant mange sur son lieu de travail, où il passe ses journées entières. On l’imagine mal prendre sa voiture pour aller dans un fast-food… Et on peut aussi penser qu’il ne se sert pas à chaque repas un menu gastronomique.

    Peu importe, pour les inspecteurs zélés de l’URSSAF : un chef d’entreprise a l’obligation de déclarer ses repas comme avantage en nature. Faute de quoi ils redressent. Et puisque le restaurant est gastronomique, la somme exigée atteint les étoiles :  l’avantage en nature est évalué à 107 euros par repas, le prix moyen d’un dans son établissement. Soit une note très salée de 14 000 euros.

    Un redressement délirant qui a même fait réagir le ministre des Comptes publics, Gérald Darmanin, qui dénonce une " situation absurde issue d’une règle obsolète ! ". Pour le ministre, il faut changer tout cela. Et, tel le roi soignant les écrouelles, il va demander à l’URSSAF de reconsidérer le cas de ce chef cuisinier.

    Le problème est que, si choquante que soit cette histoire, le redressement n’est pas totalement infondé. En effet, pour les dirigeants de société, l’avantage en nature sur la nourriture ne peut être évalué qu’en fonction de sa valeur réelle et non forfaitaire. Par souci de simplicité, l’inspecteur s’était donc contenté de réintégrer dans le montant des cotisations le prix d’un repas moyen dans ce restaurant. Le chef a eu beau expliquer à l’inspecteur qu’il mangeait des pâtes ou se préparait des plats peu coûteux d’une valeur d’environ 6 euros, rien ne pouvait faire échec à ce redressement.

    Ce redressement a donc des fondements juridiques sérieux. De là à ce que les inspecteurs URSSAF taxent un médecin offrant un doliprane à sa femme ou un électricien changeant une ampoule chez lui… Des tweets mi amusés, mi choqués l’envisagent.

    Cette affaire surmédiatisée est la partie visible de l’iceberg : neuf contrôles sur 10 se soldent par un redressement. Le think tank Le Cercle Lafay, qui œuvre pour l’amélioration des relations entre l’URSSAF et les entreprises, recense des dizaines de cas ahurissants, dont les victimes n’ont pas eu la chance d’être repérées par le ministre des Comptes publics : l’épouse d’un restaurateur qui le remplace au pied levé parce qu’il est parti aux urgences (cas flagrant, aux yeux des URSSAF, de travail dissimulé), tout comme des laissés-pour-compte à qui Emmaüs verse un petit pécule, que l’URSSAF s’empresse de grever de charges sociales …

    Malgré une communication lénifiante (" les URSSAF sont au service des entreprises " …), les URSSAF œuvrent dans un cadre juridique arriéré se traduisant par une extraordinaire insécurité juridique pour les entreprises. L’affaire Bloquel n’en constitue qu’un exemple.

    Une autre surprise vient de ce que les instances des URSSAF sont composées aussi de représentants du monde patronal, très souvent atones face à de telles aberrations.

    Le ministre a raison de vouloir changer ces règles absurdes.

    Il ne cesse d’ailleurs de le dire, chaque fois que l’actualité met en relief les comportements abusifs des URSSAF.

    Un cadre juridique sain devrait permettre un réel dialogue avant, pendant et après le contrôle afin d’éviter ce genre d’aberration qui ne peut que ternir l’image des organismes de recouvrement et désespérer un peu plus les entrepreneurs.

    Ainsi, le cotisant devrait pouvoir avoir recours à un supérieur hiérarchique de l’inspecteur en cas de difficultés lors de la vérification.

    J'ai moi aussi connu cela: je travaillais pour un magazine à qui je faisais les mots croisés. En tant que travailleur indépendant déclarée, je payais mes cotisations à l'URSSAF et donc, je faisais une facture mensuelle au magazine.

    Figurez-vous qu'un jour, le rédac-chef m'a demandé les numéros de toutes mes factures parce que l'URSSAF voulait leur compter des cotisations comme à un employé. J'ai même fourni mon numéro de cotisante URSSAF.

    Rien à faire, le magazine à été condamné par l'URSSAF à payer les cotisations sur mes factures -comme si j'étais journaliste- et l'a obligé à me faire un bulletin de salaire!

    Honte à ces crétins!

     

     

  • Ha! la belle vie d'avant la pollution!

     

    C’est la richesse créée par l’industrialisation qui nous a permis d’améliorer l’environnement.

    Par Marian L. Tupy.

    Un article de HumanProgress.org

    Récemment, j’évoquais l’idée romantique développée par l’anthropologue anglais Jason Hickel selon laquelle les gens du passé " vivaient bien " avec des revenus monétaires faibles ou nuls. Je rappelais qu’avant la révolution industrielle, les vêtements étaient extrêmement chers et inconfortables. Les filatures de coton ont tout changé. Comme le faisait remarquer un historien français en 1846, " la production mécanique […] a mis à la portée des pauvres un monde d’objets utiles, voire luxueux et esthétiques, auxquels ils n’auraient jamais pu prétendre auparavant ".

    Aujourd’hui, j’aimerais évoquer la question de la pollution. Il est bien connu que l’industrialisation a contribué à polluer l’environnement, mais cela ne signifie pas que l’air et l’eau étaient purs avant l’arrivée des fabriques et des usines ! Par rapport à aujourd’hui, nos ancêtres ont dû endurer d’atroces conditions environnementales.

    Commençons par la qualité de l’air. La biographe anglaise Claire Tomalin constate qu’au XVIIe siècle à Londres1 :

    Tous les foyers brûlaient du charbon […] La fumée de leurs cheminées obscurcissait l’air et recouvrait chaque surface d’une suie crasseuse. Certains jours, on pouvait observer un nuage de fumée d’un kilomètre de haut et de trente kilomètres de large au-dessus de la ville […] Les crachats des Londoniens étaient noirs.

    Dans le même ordre d’idées, l’historien italien Carlo Cipolla cite2 le journal de l’écrivain britannique John Evelyn, qui écrivait en 1661 :

    À Londres, nous voyons des gens marcher et converser, poursuivis et hantés par cette infernale fumée. Les habitants ne respirent rien d’autre qu’un brouillard impur et épais, accompagnée d’une brume fuligineuse et crasseuse… altérant les poumons et compromettant le fonctionnement des organismes.

    Les rues étaient tout aussi sales. John Harrington a inventé les toilettes en 1596, mais les WC sont restés un luxe rare deux cents ans plus tard. Les pots de chambre continuaient d’être vidés dans les rues, les transformant en égouts. Pire, même les grandes villes ont continué à pratiquer l’élevage jusqu’au XVIIIe siècle. Comme le note l’historien français Fernand Braudel dans Les structures du quotidien3, " les porcs étaient élevés en liberté dans la rue. Et les rues étaient si sales et boueuses qu’il fallait les traverser sur des échasses".

    Des trous de pauvres

    L’historien anglais Lawrence Stone a fait les observations suivantes dans The Family, Sex and Marriage in England 1500-18004 :

     Dans les villes du XVIIIe siècle, les égouts, désormais régulièrement remplis d’eau stagnante, étaient couramment utilisés comme latrines; les bouchers tuaient des animaux dans leurs échoppes et jetaient les restes des carcasses dans les rues; les cadavres d’animaux pourrissaient et s’infectaient là où ils étaient laissés; des fosses de latrines étaient creusées près des puits et contaminaient l’approvisionnement en eau. Les corps des riches en décomposition dans les caveaux funéraires, situés sous l’église, incommodaient fréquemment le pasteur et sa congrégation.

    Lawrence Stone rapporte qu’un " problème spécifique " à Londres était les poor holes (littéralement, les trous de pauvres) : " de larges fosses profondes et ouvertes dans lesquelles étaient alignés les corps des pauvres, les uns à côté des autres. Ce n’est que lorsque la fosse était remplie de corps qu’elle était finalement couverte de terre". Comme l’a souligné un écrivain de cette époque, cité par Stone : " Quelle odeur nauséabonde se dégage de ces trous!"

    De plus, "de grandes quantités d’excréments humains étaient jetés dans les rues la nuit […] Ils étaient également déversés sur les routes environnantes et leurs bas-côtés: les visiteurs qui sortaient ou se rendaient à la ville étaient obligés de se boucher le nez pour se protéger des mauvaises odeurs".

     

    Selon Stone,

    Ces conditions sanitaires primitives ont entraîné des épidémies récurrentes d’infections bactériennes de l’estomac, la plus redoutable de toutes étant la dysenterie, qui emportaient de nombreuses victimes des deux sexes et de tout âge en quelques heures ou quelques jours. Des troubles de l’estomac, de différents types, étaient chroniques, en raison d’une malnutrition chez les riches et d’une sous-alimentation ou d’une consommation d’aliments avariés chez les pauvres.

    Puis il y a eu "la prévalence de parasitose intestinale ", " une longue maladie, pénible et incapacitante qui a causé nombre de problèmes de santé et une vaste misère humaine. […] Dans les nombreuses régions marécageuses mal drainées, les fièvres paludéennes répétées étaient courantes et incapacitantes… (et) peut-être encore plus effroyable était la lente, inexorable et dévastatrice puissance de la tuberculose".

    La situation n’était pas meilleure sur le continent européen. Au milieu du XVIIe siècle, la reine Anne d’Autriche, mère de Louis XIV, notait que " Paris est un endroit horrible et malodorant. Les rues sont si méphitiques qu’on ne peut s’y attarder à cause de l’odeur putride des viandes et des poissons en décomposition et à cause d’une foule de gens qui urinent dans les rues".

    Au XIXe siècle, la pollution demeurait un problème. Spécialiste de la période victorienne, l’historienne Judith Flanders rapporte5 l’observation de Waldo Emerson selon laquelle " plus personne ne portait de blanc (en Angleterre) parce qu’il était impossible de le garder propre ". Selon Flanders, les brosses à cheveux paraissaient "noires après usage" et les nappes étaient posées juste avant de manger, "sinon les cendres du feu venaient s’y déposer et elles étaient salies en quelques heures".

    La puanteur atroce de la Tamise

    En 1858, l’odeur pestilentielle de la Tamise était si forte que " les rideaux donnant sur la rivière étaient trempés dans du chlorure de chaux pour en éliminer l’odeur ". L’effort s’était révélé infructueux : le Premier ministre Benjamin Disraeli a fui un jour une salle de réunion "avec une pile de papiers dans une main et un mouchoir de poche sur le nez", parce que la puanteur était trop atroce. Il qualifiait la rivière de "bassin stygien, qui empeste des horreurs indescriptibles et insoutenables".

    Gardez à l’esprit que même après le début de la révolution industrielle, une grande partie de la pollution n’était toujours pas industrielle. Henry Mayhew, chercheur en sciences sociales et journaliste anglais, a découvert6 que la Tamise contenait "des éléments provenant de brasseries, d’usines à gaz, de fabriques chimiques et minérales; des cadavres de chiens, de chats et de chaton; des matières grasses et des déchets d’abattoir; des saletés de toutes sortes issues des trottoir; des déchets végétaux; du fumier d’étables; des ordures de charcuterie; des excréments humains; de la cendre; des casseroles et des marmites […], des pots, des bocaux, des cruches et des pots de fleurs cassés; des morceaux de bois et des ordures de toutes sortes".

    Il ne fait aucun doute que l’industrialisation a causé de grands dommages à l’environnement au cours de la seconde moitié du XIXe siècle. Mais elle a également créé des richesses qui ont permis aux sociétés avancées de construire de meilleures installations d’assainissement et ont favorisé l’émergence d’une population éclairée, dotée d’une préoccupation sans précédent pour l’environnement et disposée à payer davantage de taxes locales pour sa gestion.

    Londres, devenue moderne, est propre

    En 2015, la BBC a rapporté que "plus de 2000 phoques ont été repérés dans la Tamise au cours de la dernière décennie […] ainsi que des centaines de marsouins et de dauphins et même quelques baleines errantes. […] Il y a maintenant 125 espèces de poissons dans la Tamise, contre quasiment aucune dans les années 1950".

    De même, les concentrations moyennes de particules en suspension à Londres sont passées de 390 microgrammes par mètre cube en 1800 à un pic de 623 en 1891, avant de tomber à 16 en 2016. Aujourd’hui, l’air de la capitale du Royaume-Uni la place parmi les grandes villes du monde les plus propres.

    Les données actuelles montrent clairement que, avant l’industrialisation, la vie de nombreux Occidentaux était extrêmement désagréable, du moins au regard des normes actuelles. Prétendre qu’ils "vivaient bien" est tiré par les cheveux.

    Traduction : Raphaël Marfaux pour Contrepoints.

    Claire Tomalin, Samuel Pepys : The Unequalled Self, Londres, Viking, 2002.

    Carlo Cipolla, Before the industrial revolution: European society and economy, 1000-1700, Routledge, London, New York, 1993.

    Fernand Braudel, Civilisation matérielle, économie et capitalisme, XVe et XVIIIe siècles 1. Les Structures du quotidien, Paris, Armand Colin, 1979

    Lawrence Stone, The Family, Sex and Marriage in England, 1500-1800, Penguin, 1977.

    Judith Flanders, The Victorian House: Domestic Life from Childbirth to Deathbed, HarperCollins, 2003.

    Henry Mayhew, London Labour and the London Poor, Royaume-Uni, 185