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Loisirs - Page 13

  • Il y avait une fois un quatrième Roi-Mage ...

    L'histoire ne le dit pas, mais l'histoire ne peut pas tout dire. Le quatrième Roi venait d'encore plus loin que les trois autres Rois. Il arrivait de l'extrémité des Gaules, autrement dit du bout du monde, d'un pays nommé Pelloc'hoaz. Plus loin que son royaume, il n'y avait plus que la mer, et quelques îles, où criaient des nuées de goélands, des îles où l'on disait que s'arrêtaient les âmes des défunts avant que les anges de Dieu ne les appellent pour le ciel.

    Or le Roi de Pelloc'hoaz ayant été averti en songe de la venue sur la terre du Roi des Rois, que le monde entier attendait, décida de se mettre aussitôt en route vers le lieu qu'une Etoile nouvelle, soudainement apparue, et d'une brillance sans pareille, lui montrerait. Le Roi choisit, pour l'offrir à l'Enfant-Dieu, trois perles rares, les plus précieuses de tous les trésors hérités de ses pères.

    L'une était semblable à la nacre rose. Elle avait l'éclat et la délicatesse de tons que l'on voit à la mer au lever du jour, devant Carantec et Callot, dans cette partie de la baie de Morlaix qui se nomme le Paradis. La perle était en forme de cœur et en elle palpitait tout ce qui fait la joie et la douleur du monde. C'était une perle vive, et, en l'offrant, le Roi de Pelloc'hoaz voulait offrir ce qu'il avait le plus à coeur, ses affections et ses soucis, ses bonheurs les plus intenses et ses souffrances les plus secrètes.

    La deuxième perle était de couleur verte. Comme les prairies de Trogriffon dans un matin de givre, ou le val de Bigodou, sous le soleil d'octobre. En elle se miraient la campagne et les fleurs, la vie animale et la douceur des choses. En l'apportant au Fils de dieu, le Roi voulait lui faire remise de toutes ses possessions terrestres, non seulement ses propres richesses, mais encore la création tout entière, ce que de son donjon surplombant les flots, il pouvait admirer à loisir. Le Roi se disait que si les remous de la mer sont si puissants, et si grandioses les couchers de soleil entre Kerrec-Hir et l'Ile de la Vierge, combien plus somptueux encore étaient les hauts-fonds où des poissons zébrés d'or et d'argent frétillaient entre les algues de soie vivante, battant comme bannières au vent parmi d'étincelants trésors oubliés. La perle aux irisations vertes chantait les splendeurs du monde visible et celles de l'invisible, et le Roi voulait la donner parce qu'en elle il restituait au Créateur amour pour amour.

    La troisième perle était blanche. Ou plutôt elle était transparence. Elle n'était pas la lumière, mais elle diffusait la lumière. En la regardant, on était éclairé. On voyait le chemin qu'il convenait de prendre, le conseil que l'on pouvait proposer, la solution que depuis longtemps l'on cherchait. Au moyen de cette perle, la vie devenait simple, les choses trouvaient leur place et les rapports entre les êtres, leur limpidité originelle. En la présentant au Nouveau-Né, le Roi désirait lui remettre toute sa sagesse, son intelligence et son esprit.

    Donc, serrant dans sa cassette ces trois perles uniques, le Roi de Pelloc'hoaz se mit en marche. Le voyage, vous le pensez bien, fut très, très long et, plus d'une fois, le cortège dût s'arrêter en chemin, à cause d'événements imprévisibles. Lorsqu'enfin il arriva dans le pays où l'étoile s'arrêta, le Roi perçut une étrange clameur qui s'élevait des villes et des villages. C'était comme un immense pleur que rien ne pouvait consoler. Le Roi en eut le cœur déchiré et il se demandait ce que cela pouvait être, lorsque l'un de ses hérauts vint lui dire qu'un ordre barbare, émanant d'Hérode, avait répandu la mort dans les maisons des Israélites, en massacrant tous les petits garçons de moins de deux ans. A peine le héraut avait-il achevé son effrayant récit, qu'une femme au visage décomposé par l'horreur, fit irruption dans la salle de l'auberge où le Roi s'était arrêté. Elle serrait sur son cœur un enfant aux yeux affolés et elle se disait poursuivie par les tueurs d'Hérode.

    En effet, à la porte , arrivèrent les mercenaires d'Hérode, des hommes à la face de bêtes, tenant des épées rougies par le sang. Ils poursuivaient la jeune mère et avaient ordre de mettre à mort le petit juif. Le Roi de Pelloc'hoaz leur fit face. Les brutes ne voulaient pas démordre: il leur fallait l'enfant. Alors le Roi se fit apporter sa cassette et il en sortit la perle rose. Si rare était sa beauté que les mercenaires aussitôt jugèrent qu'ils ne trouveraient pas au monde une occasion de ce prix et qu'ils pouvaient subir jusqu'à la fin les ordres d'Hérode sans recevoir jamais pareille récompense. Ils se saisirent de la perle et laissèrent leurs épées sur le seuil de l'auberge.

    Le Roi de Pellôc'hoaz poursuivit son chemin, espérant découvrir l'Enfant-Dieu. Comment s'y prit-il et pourquoi l'étoile cessa-t-elle de briller au-dessus de sa tête? Il ne comprit pas. Toujours est-il qu'une fois, entrant dans un village, il croisa un cortège insolite: une escouade de soldats emmenait un jeune homme, qui se débattait et criait. Derrière eux venait un groupe de personnes entourant une femme d'âge, sans doute la mère du prisonnier. L'homme qu'on emmenait, en effet, était son seul fils, et elle était veuve. Il avait commis un vol, en effet, car ils étaient pauvres, et n'avaient plus rien pour vivre. En comprenant cela, le Roi de Pelloc'hoaz fut ému, et, bien qu'il ne pût approuver le vol, il n'approuvait pas plus la brutalité des gardes qui emmenaient l'homme, et il leur demanda de laisser libre le voleur. Comme les soldats refusaient, le Roi leur proposa un grand prix pour rançon du prisonnier. Les soldats refusaient toujours. Alors le Roi ouvrit sa cassette et en sortit la perle aux tons verts. Les gardes, subjugués, évaluèrent sur-le-champ la fortune que représentait le joyau et acceptèrent de rendre le jeune homme à sa mère.

    Le Roi n'avait plus désormais à offrir au Fils de Dieu, que la seule perle blanche. Il chercha et chercha longtemps l'enfant pour lequel il avait quitté son château près de la mer, son pays fleuri de bruyère, posé au bout du monde, il chercha bien pendant trente ans, dans la région où l'étoile l'avait conduit.

    Un jour qu'il approchait de la Cité de Paix, il vit accourir à lui une toute jeune fille qui se jeta dans ses bras. Elle fuyait devant des hommes qui l'assaillaient de coups de pierre, car ils l'accusaient d'avoir trahi son père alors que ses parents, des gens très pieux, l'avaient promise en mariage à un riche vieillard de leur parenté. La jeune fille ne voulait pas mourir et elle suppliait le Roi de Pelloc'hoaz de lui sauver la vie. Le Roi eut beau présenter aux poursuivants toutes les raisons de ne pas frapper la jeune fille avant de s'être assuré que leurs dires étaient justes et non des accusations fausses portées par des jaloux, rien n'y fit. Les accusateurs étaient d'autant plus féroces qu'ils avaient la loi pour eux et que certains faisaient profession de justice. Alors le Roi de Pelloc'hoaz résolut de se défaire de la dernière perle ...

    Lorsqu'il la montra aux furieux, ceux-ci reculèrent, stupéfaits. Leurs yeux flambaient de convoitise devant la perle lumineuse que le Roi tenait entre ses doigts. "Allez!" leur dit-il, en leur remettant le trésor, tandis que la jeune fille, haletante, s'évanouissait entre ses bras.

    C'est à ce moment-là que le Roi entendit une rumeur qui provenait d'une ruelle au bas de la cité. C'était des cris, des vociférations, des sifflets, accompagnant la montée d'un condamné à mort que l'on traînait hors les murs de la ville pour le supplice de la croix. Le répugnant cortège approchait. Le Roi de Pelloc'hoaz vit l'homme que l'on menait à la mort. Et l'Homme tourna vers lui son visage, Il posa sur lui son regard. Et le Roi sut que c'était lui. C'était l'Enfant qu'il avait si longtemps cherché!... Voilà ce que les hommes en avaient fait!...

    Le Roi de Pelloc'hoaz ouvrit les mains: il n'avait plus rien, plus rien à offrir en échange de la vie du Fils de l'Homme. Il avait tout donné en route. Alors sur le visage indescriptible de Jésus, le Roi vit ses trois perles. Elles brillaient, intactes, plus riches et lumineuses que dans l'écrin de la cassette, et comme vibrantes, toutes les trois, de ce qu'il avait voulu apporter à l'Enfant. Il entendit une voix qui lui disait: "Va en paix, ton offrande, je l'ai bien reçue!".

    Le Roi de Pelloc'hoaz comprit que tout ce qu'il avait fait pour les hommes au long du chemin, c'était à Dieu qu'il l'avait fait.

    Dominique de Lafforest

     

  • "L'école est testée par des groupes fondamentalistes"

    Au "Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI", le ministre de l'Éducation Jean-Michel Blanquer a confirmé l'interdiction des téléphones portables en primaire et au collège à la rentrée 2018.

    "La République doit être sûre d'elle-même, sereine, mais regarder les choses en face." Lors du "Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI", dimanche, le ministre de l'Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, a reconnu qu'il y avait "un certain nombre" de problèmes autour de la laïcité dans les établissements scolaires. S'il n'existe "pas de statistiques aujourd'hui" sur la pression de l'islam dans ces établissements, il a affirmé qu'il y en aurait "dans le futur". "Je sais toute une série de choses factuelles suffisamment développées, a-t-il toutefois précisé, pour que je prenne des mesures."

    Première de ces mesures, la création d'"unités laïcité" dans toutes les académies. Composées de professionnels chargés de faire de la "prévention", mais aussi d'intervenir ponctuellement dans un établissement, elles doivent être mises en place au cours du premier trimestre 2018. Parallèlement, le ministre va nommer "dans les prochains jours" un "conseil des sages de la laïcité". Pour Jean-Michel Blanquer, "il y a la loi de 1905" séparant les Églises et l'État: "C'est une excellente référence, il y a une jurisprudence, on doit évidemment la respecter, mais il y aura (aussi) ce conseil" des sages, "qui donnera la règle du jeu". Objectif? "Rompre avec la solitude" des enseignants confrontés à ce genre de problèmes, "qui parfois capitulent". "Un professeur qui se trouve dans cette situation doit pouvoir compter sur son établissement, martèle Jean-Michel Blanquer, et l'établissement doit compter sur le rectorat.""L'école, insiste-t-il, est la première pierre de l'édifice laïcité."

    Un "exemple problématique, c'est quand on ne fait pas respecter la loi de 2004" sur le voile à l'école, indique le ministre. Pour les accompagnatrices de sorties scolaires, il ne veut pas de voile non plus. "Mon approche personnelle, précise-t-il, c'est que toute personne qui accompagne les élèves est en situation d'être ce qu'on appelle un collaborateur bénévole du service public (…) qui doit se conformer à un certain nombre de devoirs." "Maintenant, je respecte le droit, bien entendu, et il y a un état de la jurisprudence qui doit être consacré", enchaîne-t-il, notant "des évolutions" jurisprudentielles à clarifier. En 2013, le Conseil d'État avait estimé que les parents accompagnant des sorties scolaires ne pouvaient être soumis à la neutralité religieuse imposée aux enseignants.

    "Le méchant, c'est l'ignorant"

    "Il est exact que nous sommes testés par des groupes fondamentalistes, reconnaît-il également. Il y a des gens qui essayent de voir si le système résiste." À la question: "Est-ce que vous avez des remontées sur des professeurs radicalisés ou en voie de radicalisation?", le ministre de l'Éducation répond: "Ce type de phénomène peut exister. C'est encore extrêmement marginal. Mais nous allons être très attentifs à ce phénomène." Jean-Michel Blanquer a ensuite été interrogé sur l'enseignement du fait religieux, souhaité par le président de la République. "Les enfants doivent apprendre le fait religieux, ne serait-ce que pour comprendre les religions des autres, assure-t-il, citant une phrase de Platon: "Le méchant, c'est l'ignorant."

    Autre mesure qui figurait dans le programme de campagne d'Emmanuel Macron: Jean-Michel Blanquer a confirmé l'interdiction à la rentrée 2018 du téléphone portable pour les élèves des écoles et collèges. "Nous sommes en train de travailler sur cette question pour les modalités", précise-t-il. En septembre, il avait évoqué pour ce faire "des casiers qui ferment". Le port de l'uniforme a été rapidement évoqué: "On doit permettre aux établissements qui le veulent de l'instaurer", répond-il.

    Enfin, peut-on imaginer un jour une école au nom de Johnny Hallyday, ou que le chanteur soit étudié dans les programmes scolaires? "II a rendu plus populaire en France Tennessee Williams…, acquiesce le ministre, présent samedi à l'église de la Madeleine. Si demain quelqu'un décide d'étudier Johnny Hallyday, ce sera d'abord surtout en musique! En tout cas, la musique, qu'elle soit classique ou contemporaine, fait partie des choses qui améliorent notre vie."

    La preuve? Lisez l'archive 8 bis de mon blog du site

    www.josyanejoyce.com

  • Rides? moi, jamais!

     

     

    Des rides? fin du cauchemar… Cliquez sur l'image

     

     

  • Comment bien choisir son foie gras?

    Malgré la hausse des prix, nous serons nombreux à avoir envie de foie gras pour Noël.

    Noël, c'est dans un mois! Une question se pose déjà: aurons-nous du foie gras? Avec la grippe aviaire, beaucoup de canards ont été abattus, ce qui fait monter les prix. L’important est de ne pas choisir n’importe lequel:

    Pour bien choisir son foie gras

    Regarder les labels

    Un foie gras IGP (Indication géographique protégée) Canard à foie gras du Sud-Ouest garantit que les canards ont été élevés, abattus et transformés dans la région.

    Le poids

    Une bonne idée pour être sûr d’acheter un foie entier, mais il faut faire attention au poids : en dessous de 500g, il risque d’être sec, au-dessus de 600, il sera trop de gras.

    L’éthique

    Une chose qui a fait renoncer certains d’entre nous au foie gras, c’est la cruauté du traitement infligé aux animaux. Le Label rouge peut être un bon indicateur parce qu’il interdit le gavage en cage. Sinon, il vaut mieux se tourner vers les producteurs qui vendent directement sur internet. Dans tous les cas, si l’éthique est un critère important pour vous, il vaut mieux éviter les supermarchés. Un petit truc : vous pouvez opter pour le foie gras d’oie. Il ne représente que 8% du marché et ne relève donc pas de l’élevage intensif.

    Et vous, quels sont vos petits péchés mignons à Noël?

     

     

  • Avancées spectaculaires des neurosciences!

    Mort programmée de la profession de voyant-e

     

     

  • Ponctionnaires dans l'âme... quand même!

    Deux secrétaires se croisent dans les couloirs de Bercy.

    - Eh Julie, j'ai une facture de la maquilleuse du ptit chef, où je la mets?

    - Elle est de combien?

    - 260 euros.

    - Seulement? Pour deux mois de travail?

    - Attends, je regarde. Ah, non, 26 000 euros... Je croyais que c'était 260 euros et zéro centime, mais c'est 26 000. La maquilleuse nous fait grâce des centimes.

    - Et ça couvre les frais de maquillage des frais de campagne du ptit chef?

    - J'ai peur que non!

    - Remarque, si le ptit chef sans maquillage, c'est Lee Van Cleef, c'est pas cher, pour le résultat.

    - Et si c'est Attali, c'est donné!

    Les secrétaires rient de bon cœur.

    - Eh, t'as vu? "Docteur" Collomb pense que la psychiatrie peut aider à combattre le terrorisme islamique!

    - Bah tu sais, le vieux devient sénile. A force de lire dans les journaux que les terroristes muzz sont des déséquilibrés, il finit par y croire lui-même!

    - Mais cette info de prétendus " déséquilibrés " envoyée aux médias provient bien du ministère de l'Intérieur, non?

    - Oui, tout à fait. Pour endormir le citoyen.

    - Ah bah, finalement, Collomb s'auto-enfume, alors?

    - C'est tout à fait ça!

    - Il n'a qu'à confier le dossier du terrorisme au père Hulot et à la sinistre de la Santé. Entre lutte contre le réchauffement climatique et traitement de la folie, les terroristes muzz vont avoir du fil à retordre, c'est sûr!

    Les secrétaires, hilares, sont en larmes.

    - Arrête tes conneries, tu vas nous faire repérer!

    - Bon, c'est pas tout ça, mais le chef du cabinet du ptit chef m'a confié la rédaction d'un communiqué de presse sur ses déplacements en Europe de l'Est. Ça va pas être coton, il se prend des claques partout, notre Jupiter: en Pologne, en Autriche, en Hongrie... La première ministre polonaise l'a trouvé "arrogant"!

    - On peut dire qu'elle n'a pas mis de temps à le cerner avec justesse!

    - Mais, qu'est-ce que je fais, moi? Qu'est-ce qu'il veut que je raconte de positif, le Dir Cab?

    - Demande au Premier Ministre de t'aider!

    - Il y a un Premier Ministre?

    - Nan, je déconne. J'ai entendu sur RMC un mec qui se présentait comme étant Premier Ministre, mais il n'avait aucune idée de ce qu'il allait se passer pour le budget à venir : aucun chiffre, aucune date, rien de rien. Ça devait être un sketch de Lafesse ou quelque chose comme ça...

    Pour ton communiqué de presse, je sais pas, moi, parle des tenues du président. Il n'a pas une manche de chemise plus longue que l'autre, il n'a pas la braguette ouverte. Ça nous change! Positive, quoi, merde!

    - Tiens, justement, à propos du clown que tu évoques. T'as entendu que trois mois à peine après avoir débarrassé le plancher de l'Elysée, il donne déjà des conseils en Economie, à son successeur? Non, mais sérieux! Je croyais que le comble du culot, c'était de chier sur le paillasson du voisin et de sonner ensuite à sa porte pour lui demander du papier, mais là, le Flanby fait mieux encore!

    - Tu sais, dans la série "les conseils à la con", t'as entendu le pape qui recommande aux Européens d'accueillir toujours plus de clandos muzz? Avec un tel chef, les Chrétiens doivent se sentir bien défendus!

     - Tu parles! Les Chrétiens d'Orient attendent toujours qu'il vienne leur rendre une petite visite pour les soutenir... alors, les Chrétiens d'Europe peuvent bien se brosser...

    - Il n'en est pas encore à se marrer aux cérémonies d'hommage aux victimes du terrorisme muzz comme la mairesse socialiste de Barcelone, mais ça va venir...

    - Bon, tout ça, ça ne me dit pas ce que je dois faire de cette facture de maquillage!

    - Remarque, si tu l'attribuais au maquillage de mamie Trogneux, 26 000 euros se justifieraient davantage...

    - Oui mais là, il faut que je la mette dans un compte "Gros Travaux". Ou "Entretien et Réparations" peut-être...

    - Bon, je te laisse à tes problèmes, j'ai les miens... On se revoit à la cantoche?

    - Ok, à tout à l'heure.

    http://saucisson-pinard.blogspot.fr/2017/08/conversation-de-couloir.html

     

     

    CONTRE LA DÉPRIME: