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Loisirs - Page 11

  • Un Rêve Iranien: " Pourquoi Ne Puis-Je Pas danser? "

    Non seulement fous sanguinaires mais d'une débilité telle que nous savons pourquoi les pays européens ont baissés en QI depuis quelques années… y compris la France.

     

    par Majid Rafizadeh

    Traduction du texte original:  An Iranian Dream: "Why Can't I Dance?"

    Les Occidentaux n'imaginent même pas que la danse puisse être considérée comme un crime. Mais quand la charia est appliquée, avant que chacun comprenne, un innocent "divertissement" devient soudain un crime.

    Maedeh Hojabri a posté sur Instagram des vidéos d'elle-même en train de danser. Un "crime" qui a valu à cette jeune femme de 19 ans d'être arrêtée, emprisonnée sans procès, bâillonnée puis obligée de confesser honteusement son "méfait" à la télévision.

    A qui la police de la moralité va-t-elle s'en prendre maintenant?

    En Iran, pays gouverné par la charia, une mère musulmane parlait de sa fille de 10 ans ainsi : " Elle m'a demandé: " Pourquoi ne puis-je pas danser? Nous dansons parce que nous sommes heureux. Pourquoi est-il mal de se sentir heureux? Pourquoi danser est-il un crime? ". Cette mère voyait la confusion dans le regard de sa fille et pensait "elle pose des questions auxquelles je ne sais pas répondre“.

    La vie de sa fille a changé, a-t-elle dit, quand elle a appris que la police de la " moralité " islamique d'Iran avait brusquement fondu sur une jeune femme de 19 ans, Maedeh Hojabri. Le crime de cette jeune femme? Avoir posté sur Instagram, un réseau social international, des vidéos d'elle-même en train de danser. Les conséquences que génèrent de telles transgressions sont graves. Comme d'autres jeunes femmes qui avaient, elles-aussi, posté des vidéos d'elles-mêmes en train de danser, Hojabri a été arrêtée, emprisonnée sans procès et sans possibilité de se défendre, puis contrainte à la honte de devoir confesser son "crime" à la télévision.

    Capture d'écran de la vidéo Instagram de Maedeh Hojabri commettant le "crime" de danser. Elle a été arrêtée par la police iranienne, emprisonnée sans procès et contrainte à une honteuse confession publique.

    Ces quelques pas de danse avaient valu à Hojabri une immense popularité sur Instagram et des centaines de milliers de followers iraniens sur ce réseau social. Si elle avait vécu en Occident, son sort aurait été différent. Son talent aurait probablement été remarqué, des opportunités se seraient présentées, elle aurait été invitée à des émissions populaires et obtenu des sponsors en vue d'émissions de radio et de télévision.

    Mais dans un pays régulé par la charia comme la République islamique d'Iran, les Hojabri sont traitées en criminelles honteuses. L'ironie est que la plupart des dirigeants extrémistes de ce pays - un État qui sponsorise le terrorisme - devraient eux-mêmes être traités en criminels. Mais pour ces hommes, Hojabri et tous ceux qui comme elle, n'aspirent qu'à exprimeur leur joie représentent un intolérable danger.

    La gaieté et la danse peuvent changer les choses dans la vie sinistre d'un peuple en butte à des difficultés économiques, à des troubles politiques, à la censure et à de nombreuses autres difficultés. Mais en Iran, ces gestes simples et lumineux sont payés d'intimidation, de comparution devant les tribunaux de la charia et de peines d'emprisonnement. Avec comme conséquence des aveux forcés et publics pour valider les dogmes de la République islamique d'Iran et intimider quiconque serait tenté de danser aussi après avoir visionné ces vidéos.

    Cela nous ramène à la question de la fillette de 10 ans : " Pourquoi ne puis-je pas danser? Pourquoi la danse est-elle un crime? "

    S'il est difficile d'imaginer que la danse puisse conduire à l'emprisonnement, cette difficulté est plus grande encore pour une enfant qui s'éveille au monde qui l'entoure et qui craint désormais d'être persécuté par la police islamique chaque fois qu'elle exprimera sa joie.

    Pourquoi la danse inquiète-t-elle et effraie-t-elle autant les chefs religieux islamiques? Pourquoi les groupes islamistes pressurent-ils le cerveau des filles pour leur faire croire que la danse est un péché impardonnable?

     

    Il s'agit sans doute d'une tentative de supprimer le désir sexuel que la danse ou le spectacle de la danse peut susciter. Mais il s'agit aussi de contrôler, limiter et assujettir les femmes sous prétexte de les garder "pures" et apparemment éloignées de tout désir sexuel.

    Le contrôle du corps des femmes a toujours été le pilier de la charia en Iran. Les lois islamistes font de la surveillance et du contrôle de chaque aspect de la vie quotidienne une priorité. Supervision et sanction ont ainsi pour fonction de générer la peur : à chaque instant de leur vie quotidienne, les gens doivent toujours être conscients qu'ils sont observés.



    Rien que pour les emmer.... (ce n'est pas la jeune fille en question)...

     

    Pour les islamistes radicaux, le " plaisir " relève de l'interdit. Raisons religieuses obligent pourrait-on croire ! Mais les raisons politiques priment. Les islamistes fondamentalistes savent que s'adonner à des plaisirs simples comme la danse ou l'organisation de fêtes, rend moins craintifs. Des personnes qui ont moins peur deviennent plus susceptibles de se rebeller et de franchir les bornes d'un État fondé sur la charia. Les dirigeants islamistes considèrent alors que le pouvoir qu'ils s'arrogent sur la population est menacé.

    Les musulmans extrémistes pensent qu'une femme qui serait autorisée à agir selon son bon plaisir sera tentée de faire valoir ses droits, de prendre le risque de l'"impureté", d'acquérir une indépendance financière et finalement de rejeter sa subordination et le statut de citoyenne de deuxième classe que les autorités religieuses lui imposent à la naissance.

    Mais, comme on peut s'y attendre, un tel carcan légal suscite aussi une résistance, en particulier chez les femmes et les filles qui recherchent, comme beaucoup d'entre nous, la liberté. C'est pourquoi, après l'arrestation de filles comme Maedeh Hojabri, d'autres femmes courageuses ont rejoint la cause en publiant leurs propres vidéos de danse et en imitant les danses de Hojabri.

    Les règles de la charia dans les mosquées, les écoles et la société devraient être étudiées attentivement. Pour les Occidentaux, il peut sembler ridicule que la danse soit considérée comme un crime. Mais quand la charia est imposée, avant que chacun le comprenne, tout jeu ou "divertissement" devient un crime.

    Pour l'instant, la fillette de 10 ans ne peut que rêver au moment où elle sera libre de danser, pendant que sa mère cherche encore une réponse. Dans la plus grande partie du monde, les filles peuvent sauter, tourner et crier de joie - mais pour nombre de filles, la moindre rotation sur soi est considérée comme un crime. A qui la police de la moralité s'en prendra-t-elle maintenant?

    Le Dr. Majid Rafizadeh, chercheur formé à Harvard, homme d'affaires, politologue, est aussi membre du conseil d'administration de la Harvard International Review et président du Conseil international américain sur le Moyen-Orient. Il est l' auteur de plusieurs livres sur l'islam et la politique étrangère des États-Unis.

  • Ouaip! ATTENTION:

    le mois de décembre risque d'être très, très frisquet!

    Une petite idée, comme cela! L'année de ma naissance (un scarabée est mort… Johnny), en 1950, il a fait partout en France 40° le 10 août surtout, mon jour d'arrivée et lorsque l'enfant paraît, ce jour-là, on a plus transpiré que tremblé… brèfle… sauf que, l'hiver suivant… brrrr… d'ailleurs, les 6 ou 8 années suivantes… brr… et re-brrrr…. rappelez-vous l'appel du curé… c'était en hiver 54… pi, quand j'ai eu 6 ans… il faisait dans les moins 12 à moins 15 à Toulouse… en février 1956… et que c'était très dur… et que je m'en rappelle… et que j'aurais des tas de trucs à vous raconter, si je ne l'avais déjà point fait.

    Bon… le volcan qui a sauté à Honolulu (il me semble)… il a envoyé des tonnes et des tonnes de poussières dans l'atmosphère et que croyez-vous qu'elle fera… elle formera un chapeau qui nous protègera du soleil et donc, sous le chapio, on aura plutôt froid.

    Pour être sur-e de ce que j'avance, vérifier la chute des feuilles en automne: s'il vous semble qu'elles tombent plus tôt, rentrez du mazout et du bois pour  l'hiver….

    Ceci dit, cet après-midi, je dois balayer devant ma porte car mes jasmins ont perdus une quantité astronomique de feuilles…. ça craque sous ma semelle… bon, j'aime entendre ce bruit, d'accord

    sur ma chaîne Youtube, regardez le film-textes qui parle de l'ASMR, l'orgasme cérébral (vi).

     

     

  • Le zoziau qui se marre!

         La canicule. N’oublions pas d’arroser nos vieux, nos plantes, notre pastis et notre départ en vacances.

     

        — bernard pivot (@bernardpivot1) 26 juillet 2018

  • Salopiots! bande de dégueulasses!!!

    La fête battait son plein ce dimanche. La France entière célébrait la victoire de son équipe nationale, sacrée championne du monde au terme d'une finale rythmée contre la Croatie (4-2). Mais l'envers du décor, lui, s'avère nettement moins reluisant. Certaines femmes ont en effet vécu l'enfer et le racontent sur la Toile.

    L'heure était aux festivités dans toutes les rues du pays après la victoire des Bleus lors de l'ultime match de la Coupe du monde de football le dimanche 15 juillet. Des millions de Français sont descendus dans les rues afin de célébrer cet évènement exceptionnel comme il se doit. Quelques débordements, notamment à Paris, ont été constatés mais l'ambiance restait plutôt bon enfant. En apparence, du moins. L'effervescence et l'abondance d'alcool ne font pas forcément bon ménage, et certains en ont fait les frais.

    Les réseaux sociaux font alors - une nouvelle fois - office d'exutoire pour bon nombre de femmes qui témoignent des actes subis ce fameux soir. L'internaute Kateya s'est lancée dans le recensement de ces récits glaçants rapportés anonymement sur son compte Twitter. « Je vous laisse observer la soirée horrible que la délicatesse masculine a fait passer à beaucoup trop de femmes hier soir », annonce cette dernière. La gent féminine demeure une cible fragile dans l'espace public, en particulier lors d'importants mouvements de foule tels que cela a été le cas ce week-end.

    Mains baladeuses, bisous forcés, frottements ou sifflements… la soirée n'a pas été de tout repos pour de nombreuses supportrices venues elles aussi marquer le coup. "Donc là y'a un mec alcoolisé qui vient de me foutre une main au cul tout en essayant de m'embrasser de force, je le repousse il me prend par le cou en me disant : c'est la victoire qu'est-ce que tu attends", raconte l'une d'elles.

    "Quand on a gagné y a un mec qui a pris ma tête entre ses mains pour m'embrasser", se souvient une autre. Et les témoignages s'accumulent, comme vous pouvez le constater ci-dessous :

        pic.twitter.com/ac3X14sw4a

        — Kateya (@KateyaV) 16 juillet 2018

        pic.twitter.com/UTTJwrrf7V

        — Kateya (@KateyaV) 16 juillet 2018

        pic.twitter.com/wrAAH5OqIS

        — Kateya (@KateyaV) 16 juillet 2018

        pic.twitter.com/gbomvry9KK

        — Kateya (@KateyaV) 16 juillet 2018

        pic.twitter.com/NIA9DbE0QL

        — Kateya (@KateyaV) 16 juillet 2018

    Certaines de celles qui ont relayé le triste vécu de leur soirée restent très marquées quelques jours après. « Je suis apeurée », note l'une. « Je suis mal, très mal », se désespère une autre. Ou cette dernière qui dit avoir « envie de chialer ».

        pic.twitter.com/rc56Tt2WQu

        — Kateya (@KateyaV) 16 juillet 2018

         pic.twitter.com/XzlnPkeAF7

        — Kateya (@KateyaV) 16 juillet 2018

     

        pic.twitter.com/XKMFTljb0a

        — Kateya (@KateyaV) 16 juillet 2018

    Les mésaventures de cette personne sont particulièrement choquantes. « Il m'a embrassé de force en mettant sa langue dans ma bouche alors que je le repoussais violemment, me touchait les seins et a touché mon entrejambe pendant que je me débattais en pleurant », relate-t-elle. Devant sa détresse, aucun des nombreux passants présents n'a semblé réagir. " Personne n'est venu m'aider alors que j'étais à terre en pleurs", regrette l'auteur de la plainte.

        [Agression sexuelle] pic.twitter.com/L9Pmtpd5ib

        — Kateya (@KateyaV) 16 juillet 2018

    Des hommes ont toutefois tenu à rappeler que tous n'étaient pas responsables de tels agissements et qu'il ne faut en aucun cas généraliser, comme le soutient cet internaute:

      Alors NON.Tous les hommes ne st pas des connards et n'ont pas profité de la fête pour agresser des femmes. Par contre il y a un % de débiles qui existe et qui augmente fortement quand c'est le bordel. Pensé pourr les femmes et hommes qui subissent tous les jours l idiotie de certains

        — Aldjinn (@Aldjinn_) 16 juillet 2018

    Il n'empêche que ces actes condamnables méritent d'être dénoncés.

     

    LISEZ AUSSI Valeurs Actuelles de cette semaine: édifiant!

    Que ces conn... pourrissent de la queue!

     

  • QUESTION:

    L’ex-joueur croate Igor Stimac fait une sortie sur le pays d’origine des joueurs français

     […] À la veille de France-Croatie, l’ancien défenseur a notamment pointé du doigt les origines des joueurs et leur légitimité à représenter la France, relève Le Parisien.

    Il a notamment fait la liste des Bleus et de leurs pays d’origine en posant la question suivante: "Quelqu’un sait contre qui on joue en finale exactement?* Kimpembé (Congo), Dembélé (Mauritanie), Sidibé (Mali), Umtiti (Cameroun), Pogba (Guinée), Tolisso (Togo), Matuidi (Angola), Kanté (Mali), Nzonzi (Congo), Mbappé (Cameroun), Mendy (Sénégal), Mandanda (Congo), Fékir (Algérie)… Respect!", a écrit l’ancien joueur de West Ham.

    Lors d’une interview pour l’agence Anadolu, ce 14 juillet, l’ancien sélectionneur de la Croatie de 2012 à 2013 en a remis une grosse couche affirmant ainsi:

    "Nous affrontons la République de France et le continent africain. Donc ce sont les 11 meilleurs, les plus talentueux, parmi un milliard de personnes, et de l’autre côté, nous sommes quatre millions [population croate, ndlr]. Ce ne sera pas facile, mais nous devons tous être derrière l’équipe et l’aider." […]

    Interrogé en conférence de presse, à la veille de la finale, sur cette sortie raciste, Didier Deschamps, imperturbable, a répondu: "L’équipe de France a des joueurs d’origines africaines ou d’Outre-Mer et c’est une richesse pour notre football. Ils sont tous fiers d’être français".

    Je repose la question: quelqu'un sait?

    Deschamps: "une richesse?" vraiment?

    Ils nous coûtent combien?

     

  • Plus ils ont de diplômes plus ils sont c-o-n!

    La patronne de la FDJ ne connaît pas le mot "addiction"

    C’est à lire dans Le Figaro, au rayon, saumon, des "décideurs": Stéphane Pallez, PDG de la FDJ (Française des Jeux) explique "comment elle change l’opérateur de jeux de hasard que le gouvernement privatise". Un très long entretien (Yann Le Galès) dans une langue proche du néoparler orwellien:

    "Un dirigeant ne peut pas décréter une révolution culturelle et managériale. Il ne peut pas l’imposer par l’autorité. Mais il a le devoir de construire le changement et doit avoir la capacité à en convaincre. Ma responsabilité est d’expliquer les nécessaires transformations, en interne et auprès de toutes les parties prenantes au développement de FDJ. Je travaille pour cela avec les managers, les représentants des salariés et le conseil d’administration. Un changement d’actionnariat n’aurait pas d’impact sur mon mode managérial. Je continuerai de porter l’ambition stratégique du groupe dans l’intérêt des collaborateurs, qui pourraient renforcer leur propre participation au capital à cette occasion. (…)

    "Un dirigeant ne doit pas seulement définir une stratégie. Il doit aussi convaincre du bien-fondé de ses choix. Il doit être capable de mobiliser. S’il ne le fait pas, la meilleure stratégie sur le papier peut échouer. J’y consacre une grande partie de mon temps. Les membres du comité exécutif également. Et nous avons aussi mis en place un groupe de managers qui sont nos relais au sein de l’organisation. (….)"

    Intérêt général

    On s’ennuie ferme. Puis on tombe sur ceci:

    "L’entreprise joue-t-elle un rôle sociétal?

    – Je suis convaincue depuis longtemps que l’entreprise a une fonction sociétale. Elle doit limiter ses impacts négatifs et accroître ses contributions positives.

    "Produire et vendre des jeux, est-ce défendre l’intérêt général?

    – Le jeu est une activité ludique qui crée du lien social. FDJ est par nature une ‘’entreprise à missions’’ (sic). Entreprise régulée qui agit dans le cadre de droits exclusifs, elle propose des jeux récréatifs et intègre la gestion des risques liés à cette activité. Elle a un impact très fort sur les emplois dans les territoires puisque nos jeux sont commercialisés par le plus grand réseau français de distribution de proximité formé par les bars-tabacs et les distributeurs de presse. "

    "Financez-vous des activités sociétales?

    – Depuis toujours, FDJ finance les œuvres sociales des anciens combattants qui sont aujourd’hui nos actionnaires. Elle finance le sport pour tous et accompagne des athlètes de haut niveau. Elle va participer aussi à partir de cette année à la sauvegarde du patrimoine français. "

    Que de "sociétal" dira-t-on. Avec un absent de renom. Où l’on voit que seule la Fédération addiction s’est intéressée au sujet. C’était en mars dernier:

    " La question de la privatisation, même partielle, de la FDJ, est au cœur d’un nécessaire débat public sur l’addiction aux Jeux d’Argent et de Hasard (JAH). Il serait envisagé des mesures de ventes plus incitatives auprès des détaillants pour les amener à vendre plus de jeux afin " d’équilibrer " le manque à gagner dû à la hausse du prix tabac. Changer le modèle économique de l’offre de jeu en passant d’une conception extensive à une conception intensive n’est pas sans conséquences: l’Italie et l’Australie, après avoir expérimenté une politique libéraliste avec la privatisation, font aujourd’hui marche arrière ".

    Sociétal?  L’Observatoire des Jeux  estime à un million deux cent mille le nombre des joueurs qui, en France, peuvent être " problématiques ". Les études récentes portant sur les Jeux d’Argent et de Hasard de hasard mettent en lumière " une hausse croissante des pratiques et du budget consacré par les Français, même pour les mineurs à qui ils sont pourtant interdits ".

    Un "débat sociétal" sur la privatisation de la FDJ et la prévention de l’addiction ? Ce serait, à coup sûr, une "révolution culturelle et managériale".

    Parle à mon tchoul, ma tête est malade

    Les Rita Mitsouko. "Alors c’est quoi":

     

    "Alors c’est quoi que j’appelle

    c’est la joie, c’est elle

    que les émois étincellent

    et s’entremêlent encore nos voix.

    A chaque fois je remets ça

    1 2 3 ça recommence

    à chaque fois je remets ça.

    Réponds moi encore, montre toi

    réponds moi encore, montre toi

    réponds moi encore, et encore

    et encore, encore une fois (…)"