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Savoir - Page 92

  • Covid-19 : le coronavirus SARS-Cov2 mute.

    Qu’est-ce que cela signifie?

    Que le coronavirus SARS-Cov2, responsable de la maladie Covid-19, mute n'a rien d'étonnant. L'important est l'ampleur de ses mutations. Explications.

    Mutation. Un mot qui fait peur et enflamme les imaginations. Popularisés par les X-Men, cette équipe de super-héros de l'écurie Marvel, les vrais mutants n'ont pourtant rien à voir avec leurs homologues de fiction.

    Mais qu'entend-on exactement par mutation? Tous les organismes vivants portent leur patrimoine génétique sur une longue chaine moléculaire nommée ADN. Dans le cas de certains microbes, comme le coronavirus SARS-Cov2 qui défraie l'actualité, l'information peut d'ailleurs être contenue sur une autre chaîne analogue nommée ARN. Lorsqu'ils se reproduisent, que ce soit par reproduction sexuée (2 parents) ou parthénogénétique (un seul parent, comme chez certains insectes, reptiles, poissons, microbes ou végétaux), les individus transmettent ce patrimoine génétique.

    Lorsque sont produits les gamètes, les cellules sexuelles qui vont transmettre à la génération suivante cet héritage génétique, ce dernier va être copié, et copié, et copié encore des milliers de fois. Or, on parle d'ouvrages génétiques comportant plusieurs centaines de millions de caractères (ou nucléotides, le génome humain en comporte par exemple 3,3 milliards. Le record est détenu par une amibe microscopique Amoeba dubia qui en dénombre deux fois plus…). Il se trouve que la nature n'est pas totalement parfaite : devant l'ampleur colossale de la tâche, quelques erreurs de copie vont être commises. Elles sont très rares. On parle d'une erreur par million, voire milliard, de lettres. Mais quoi qu'il en soit, ces copies sont considérées comme des versions mutées de l'original.

    Le virus s’adapte à des hôtes légèrement différents les uns des autres

    L'une des particularités de ce nouveau virus est qu'il semble avoir une bonne affinité pour les cellules humaines. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'un individu peut en être porteur sans développer pour autant de symptômes alarmants et que le virus peut demeurer indétecté et passer inaperçu durant plusieurs jours. Lorsque le virus débarque dans une nouvelle région du monde peuplée par des humains aux caractéristiques physiologiques et immunitaires légèrement différentes de celles d'où il vient, des mutations légères s'opèrent afin de s'adapter à ces nouveaux hôtes. Bien évidemment, rien de conscient dans ce processus. Quand un pathogène envahit un organisme, il s'y multiplie en plusieurs exemplaires, légèrement différents en raison des petites erreurs qu'occasionnera la copie du matériel génétique. Selon la théorie darwinienne de l'évolution, ne survivront et ne se dissémineront que les avatars les plus aptes et les mieux adaptés. Rien d'étonnant donc à ce que, comme on l'a lu de la part de chercheurs italiens, comparée au coronavirus venu de Chine, "la version italienne est certainement le résultat d'une mutation, d'autant que ce virus se modifie de personne à personne". Ceci ne dit rien d'autre que : le virus s'est adapté à des hôtes légèrement différents les uns des autres, à des populations différentes dans divers pays.

    Un élément important : l’ampleur de la mutation

    Mais, dans le cadre de la mise au point d'un traitement et notamment d'un vaccin contre cette menace virale, l'important n'est pas que ce virus mute - ils le font tous - mais l'ampleur de cette mutation. Pour verser dans l'analogie humaine, un virus change constamment de tee-shirt. D'autant plus, lorsqu'il arrive dans un nouveau pays. Rien d'étonnant à cela, il s'adapte aux mœurs en vigueur. Ce sont des mutations mineures qui n'empêchent pas l'identification du virus par des tests médicaux ou un futur vaccin. En revanche, qu'il puisse changer de visage, d'identité, et donc qu'il devienne invisible aux traitements, réclame beaucoup plus de mutations. Cela ne peut se faire en une fois car cela demande des changements de grande ampleur, de plusieurs centaines ou milliers de lettres.

    A l'heure actuelle, comme l'estime l'équipe de Jian Lu (Université de Pékin) dans l'édition du 3 mars 2020 de National Science Review, le coronavirus se partage en deux types, L et S. Ces deux populations se distinguent par leurs récepteurs de surface, soit les ancres grâce auxquelles les virus s'arriment aux cellules humaines. Si la souche S est la plus ancienne, elle a généré dans les premiers temps de l'infection dans le Wuhan, la souche L, plus agressive et qui s'est développée plus rapidement, précisément à cause de cette compétition darwinienne qui veut que ce soit le virus le plus adapté à l'hôte qui devienne prédominant. Résultat : à l'heure actuelle, la souche L est majoritaire et présente à 70% tandis que la souche S plafonne à 30%.

    L'étude précise également que, confrontée aux services de santé mondiaux, la souche L a été soumise à une pression sélective plus importante et n'a pu totalement évincer sa concurrente S. Là encore, rien d'étonnant : comme la souche L génère plus rapidement des patients plus gravement malades, elle a été repérée et contenue plus largement. Revers de la médaille : pendant ce temps, la souche S a été en mesure de reprendre du poil de la bête et de se répandre incognito.

    Maintenant, que peut-il advenir? De nouvelles mutations majeures peuvent-elles survenir chez SARS-Cov2 pour produire d'autres souches, soit plus agressives encore, soit plus infectieuses? Personne ne saurait le dire car le monde des virus reste imprévisible. Une chose est certaine : plus le virus se propage à l'intérieur de la population humaine et se multiplie, plus des mutations surviennent dans son patrimoine et plus les risques de surgissement d'une nouvelle souche augmentent. D'où les efforts mis par les services de santé pour limiter au maximum l'expansion de cette menace.

    https://www.sciencesetavenir.fr

  • Gôôôôchiasse: L’insulte au Colonel Beltrame

    Si certaines villes n’ont pas traîné pour honorer le sacrifice du Colonel Beltrame en lui attribuant une rue ou une place, il en est allé autrement à Marseille où il aura fallu attendre deux ans pour qu’enfin, une plaque soit posée à son nom sur une des places de la ville…

    Le Colonel Beltrame, c’est ce militaire qui a choisi d’échanger sa place avec celle d’un otage lors de l’attaque terroriste de Trèbes, le 23 mars 2018. L’otage survivra, le militaire non. Beaucoup jugèrent nécessaire de garder trace de ce comportement héroïque, comme en témoigne l’assez longue liste de lieux qui portent désormais le nom du militaire.

    À Marseille cependant, il fut prudemment décidé que bah non finalement: selon les élus socialistes et communistes, aucune place ne semblait assez prestigieuse pour un tel nom (et en tout cas, pas chez eux). Selon l’élu Rassemblement National, il s’agissait surtout de " ne pas provoquer les populations locales ".

    L’affaire aurait pu en rester là: après tout, rien n’oblige une municipalité à nommer les places et les rues en fonction des individus les plus héroïques du pays. D’ailleurs, on n’oubliera pas que certaines mairies, largement aux mains d’idéologues détendus du communisme (même le plus brutal), ont trouvé l’habile subterfuge de distribuer du Stalingrad (place, rue, avenue et j’en passe) en lieu et place du Staline tout court, par trop corrosif pour notre République. Dès lors, oublier Beltrame à Marseille aurait été parfaitement possible et apparemment tout à fait souhaitable pour une partie des élus de gauche de la municipalité phocéenne.

    Cependant, à force d’insister, les élus Rassemblement National ont fini par obtenir gain de cause: une plaque a finalement été posée sur la place devant l’école Sainte-Marthe Audisio (dans le quatorzième arrondissement de Marseille), sans tambours ni trompettes et dans une telle discrétion qu’absolument aucune cérémonie n’avait été préparée. Les édiles ont été obligés d’improviser quelque peu.

    Rassurez-vous: comme toute la représentation politique de la municipalité marseillaise était là, il n’y a plus aucun doute que cet hommage ne posait en réalité qu’un problème temporaire d’emplacement comme l’expliquait alors Patrick Mennucci, le socialiste assumé du cru. Tout est bien qui fi… Oups, on me fait savoir dans l’oreillette qu’en réalité, il n’y avait que les élus du Rassemblement National sur place, ce qui tend malheureusement à accréditer la thèse que les gauchistes marseillais ont jugé totalement inutile de se déplacer pour cet hommage.

    Pourtant, ce sont ces mêmes socialistes et autres communistes qui se gargarisent d’habitude de ces valeurs républicaines qu’il convient d’appeler à la rescousse à chaque fois qu’il le faut mais qu’on se gardera bien ni de définir, ni d’appliquer lorsqu’une occasion pourtant ô combien symbolique se présente…

    Pourtant, ce sont ces mêmes socialistes et autres communistes qui poussent les cris les plus stridents lorsqu’on laisse le champ libre à ces élus d’un autre bord, d’une autre extrémité que la leur, douillette et validée par tous.

    Pourtant, ce sont ces mêmes socialistes et autres communistes qui n’ont que l’État français et le vivrensemble à la bouche ; on ne peut que s’étonner de les voir se carapater alors qu’on entendait là honorer un représentant tout ce qu’il y a de plus officiel de l’État français, dans l’exercice tout ce qu’il y a de plus officiel de ses fonctions, qui a fait preuve d’un acte tout ce qu’il y a de plus honorable.

    Dans le meilleur des cas, on en viendrait à croire que ces brochettes de gauchistes refusent simplement d’être vues en compagnie des élus RN. Attitude aussi infantile que peu digne de l’occasion, mais – il faut l’avouer – pas vraiment en décalage avec le niveau moyen des politiciens.

    Dans le pire des cas, on arrive à imaginer qu’en fait, c’est bien parce que cet hommage dérangerait effectivement certaines populations, celles qui seraient trop heureuses de la mort d’un militaire français tué par un terroriste islamiste. Et que déranger ces populations, ce serait risquer, pour ces élus en carton, de perdre leur mandat aux (trop) prochaines élections.

     

    La couardise de cette attitude électoraliste de courte vue contraste assez violemment avec l’acte héroïque du Colonel Beltrame. On comprend mieux, dès lors, que ces lâches méprisables ne veuillent pas infliger la flétrissure de leur présence à un hommage qui lui serait rendu.

    En cela, ils ont raison.

    Mais leur attitude lamentable est véritablement exécrable en ce qu’elle contient les germes d’une démission complète du courage, du bon sens et, surtout, un aplatissement consternant d’officiels républicains devant ceux qui entendent pourtant de façon de plus en plus claire en finir avec eux, par l’épée s’il le faut. Pire encore, ce manque minable de courage donne un argument de plus à ces populations décidément fort sensibles émotives pour les mépriser et les manipuler électoralement: prisonniers de leur mandat par la bonne soupe municipale, on les retrouve donc prêts à toutes les démissions et les compromissions idéologiques les plus basses pour conserver la gamelle.

    Ici, on pourrait s’en tenir à ce constat.

    Malheureusement, ce qui s’est passé sur cette place Beltrame dans le 14ème à Marseille n’est pas la simple dérive d’une brochette de larves gauchistes en mal de réélection, dont l’appétit de la gamelle dépasse de loin tout sens de l’honneur: ce genre d’électoralisme se retrouve dans un nombre croissant de communes urbaines et périurbaines de grandes métropoles, gangrenées par ces quartiers trop émotifs et qui, d’abandons républicains en recherches forcenées de compromis et d’apaisements artificiels, se sont muées en zones de non-droit où imaginer faire revenir le droit et la loi revient à déclencher des émeutes et l’inévitable Niagara d’outrances de toutes les associations lucratives sans autre but que celui de surjouer une victimisation qui rapporte (financièrement et électoralement).

    Ces élus font la démonstration de ce qu’avoir choisi la République du #Padevague entraîne en déliquescence du pays, où plus personne ne semble en mesure de faire simplement appliquer les lois essentielles de la vie en société. Par abandon successif de tout courage, de peur de passer pour un affreux réactionnaire, voire un homme de drouate ou pire encore, un fasciste (pensez donc: réclamer le retour de l’Ordre, c’est l’horreur, quasiment le nazisme !), ces élus ont choisi, sinon consciemment mais en tout cas par défaut, de laisser s’installer les pires pratiques (incivilités au départ, puis trafics en tous genres, puis activités de plus en plus criminelles jusqu’au terrorisme maintenant).

    En délavant les valeurs françaises de liberté, d’égalité et de fraternité au point d’arriver à un simple triplet d’égalité, de taxes et de pantoufles, ces élus ont ouvertement choisi le suicide pour tous, par contrition, par attrition et par soumission à des racailles.

    Ce pays est foutu.

    https://www.contrepoints.org

  • On peut l'attraper 2 fois!

    Les scientifiques chinois annoncent que le virus peut s’attraper une seconde fois et devient alors plus meurtrier.

    https://www.taiwannews.com.tw/en/news/3876197.

    Bien sûr on pourra se poser des questions à ce sujet. Pourquoi plus meurtrier? Parce qu’on n’a pas réussi à faire des anticorps et que le virus est plus malin que nous? Ou parce qu’il revient sur des organismes déjà affaiblis" Ou toute autre réponse. Pour l’instant on n’en sait rien.

    La seule chose que l’on sache, c’est que les Chinois, comme les Iraniens, mentent à leurs populations sur l’ampleur de l’épidémie, et qu’en Chine, ô horreur, des malades mourants ont été brûlés vifs sans attendre leur décès pour faire de la place dans les hôpitaux.

    https://rahunew.blogspot.com

    D’autre part le directeur de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré que  la "fenêtre d’opportunité" pour endiguer la propagation du virus est en train de se refermer.

    https://www.theguardian.com

    Cette déclaration ayant été faite avant les nouvelles contagions en Italie de cette semaine, et surtout en Iran qui s’évertue à cacher la réalité du problème, on peut se demander si la fameuse fenêtre est aujourd’hui refermée. Cela signifierait que la propagation du virus ne peut plus être endiguée. En France, bien que cela soit caché aux populations et que les informations restent strictement locales, il n’y a pas une seule ville, grande, moyenne ou petite, qui n’ait son ou ses cas de gens infectés. Le virologue australien Paul Hunter vient de déclarer que nous atteignons "le point de non-retour". Mais en tout état de cause, le virus est maintenant partout. Et en France dans toutes nos villes.

    La troisième information a été donnée aujourd’hui: le coronavirus a infecté un chien paraît-il.

    Affirmation à suivre bien sûr. Mais qui pose de nombreuses questions.

    Reste à savoir si le virus va muter en se répandant, quel est son taux de mortalité, s’il y a des gens qui génétiquement ne peuvent le contracter, et si les scientifiques sont capables de mettre au point des traitements. Bref quelle est sa nature que l’on semble ignorer aujourd’hui. Mais les comportements auront aussi un rôle à jouer : entre autres éviter les regroupements et les lieux à forte densité de population ainsi que les contacts, car il n’y aura pas grand-chose à faire sinon attendre que ça se passe et faire ensuite le décompte des victimes.

  • Une ex-ministre norvégienne

    "Les explosions, les attaques à la grenade, les écoles incendiées… La situation en Suède est hors de contrôle "

    Sylvi Listhaug, ancienne ministre norvégienne de l’Immigration, a déclaré que la situation en Suède était “hors de contrôle".

    Dans un éditorial pour VG, Sylvi Listhaug parle des problèmes en Suède, tout en avertissant que tenter d’éviter d’en parler ne servira à rien.

    " En Suède, il est admis qu’on ne peut pas parler de ces problèmes parce que cela peut être stigmatisant. Aujourd’hui, la situation en Suède est complètement hors de contrôle avec des centaines de voitures incendiées, des écoles incendiées, des centaines d’attaques à la bombe, des assassinats en plein jour et des attaques coordonnées à l’arme automatique ou à la grenade“.

    Selon Sylvi Listhaug, les statistiques de la criminalité en Norvège, en Suède et au Danemark "montrent que les jeunes migrants sont surreprésentés parmi les criminels violents“.

     

    VG.no

  • Pignoufs de journalistes

    La cérémonie des Bobards d’or aura lieu lundi 24 février, à 19 h 30, au théâtre du Gymnase, à Paris. Qui sont les candidats en course?

    Ils sont 25 sur la ligne de départ. Regroupés en cinq catégories : le Bobard du vivre ensemble, le Bobarc-en-ciel, le Bobard sans frontières, Les décodeurs décodés et le Bobard du stagiaire. De quoi faire le tour de la propagande médiatique: immigrationniste, féministe, homosexualiste et surtout négatrice du réel. Car le rôle des "décodeurs" est de recrypter les faits selon les normes du politiquement correct.

    Les meilleurs bobardeurs

    Les grands reporters. Deux sont à l’honneur. Christophe Ayad, reporter de guerre au Monde, titulaire d’un prix Albert-Londres en 2004 (excusez du peu!). Après l’Irak, il a couvert la… Marche pour la vie du 6 octobre 2019 en multipliant les désinformations. Et Claas Relotius, reporter vedette du Spiegel, le grand hebdomadaire allemand. Couronné meilleur journaliste de l’année par CNN, il a reçu, ensuite, l’équivalent du prix Pulitzer allemand. Une pointure, un cador, on vous dit. Renommé pour "l’excellence" de ses reportages. D’autant plus appréciés qu’ils étaient totalement bidonnés… dans le bon sens, évidemment.

    Ces deux reporters-là sont exemplaires de la dérive médiatique : ils sont considérés comme les meilleurs de leur profession non parce qu’ils décrivent ce qu’ils voient mais parce qu’ils racontent ce qu’il faut faire croire ! C’est le Bobard Lügenpresse.

    Le bobard le plus drôle?

    Le Bobard soumission de L’Obs qui présente comme féministe (sic !) une campagne de happening pour le port du… burkini dans les piscines.

    Le bobard le plus zélé?

    Le Bobard flouté. Le floutage du visage du sénateur Ravier dans La Provence à l’occasion d’une cérémonie mariale, le 15 août.

    Les consignes de la presse régionale sont simples: ne pas citer les actions identitaires ni les élus nationaux. Alors, quand la tête d’une personnalité blacklistée apparaît sur le côté d’une photo, on la coupe, et quand elle se trouve au beau milieu, eh bien, on la… floute.

    Les meilleurs enfumeurs?

    Les Décodeurs du Monde.

    Empressés de démontrer qu’il n’y avait pas de Grand Remplacement, les Décodeurs du Monde ont cité un chiffre de l’INSEE selon lequel "les migrants et descendants de migrants non européens représenteraient à peine 5 % de la population française". Trop fort ! Même les "experts" immigrationnistes ont sursauté… Mais Le Monde mettra quatre jours – quatre jours! – pour corriger et affirmer avec la même structure de phrase que " les migrants et descendants de migrants non européens représenteraient à peine 12 % ". Des chiffres encore sous-évalués puisque, dans une longue enquête très complète,

    Michèle Tribalat explique que les extra-Européens de trois générations représentent 15,1% de la population française totale mais 19,3 % des moins de 18 ans! Et ce, en 2011. Les Décodeurs du Monde : des champions du bobard arithmétique.

     

    Le bobard total

    Celui qui a consisté à affirmer que le tueur islamiste de la préfecture de police de Paris, Mickaël Harpon, ne s’inscrivait pas dans une logique terroriste! France Inter a même été jusqu’à menacer de sanction le journaliste Clément Weill-Raynal, qui avait osé évoquer cette hypothèse avant qu’elle ne soit officiellement reconnue comme parfaitement exacte.

    On peut aussi rappeler l’emballement médiatique autour de l’arrestation, en Écosse, d’un brave quidam présenté par tous les médias, AFP en tête, comme Xavier Dupont de Ligonnès.

    Le bobard culturel

    C’est France Culture qui nous l’a offert sur un piédestal. En expliquant que si les statues antiques sont blanches, c’est parce qu’elles ont été blanchies par le "racisme structurel" des Européens, de Pline l’Ancien jusqu’à… Adolf Hitler. Sacré Pline l’ancien!

     

    Le bobardeur le plus populaire

    Barthès, qui fait la course en tête à la fois auprès des internautes comme des donateurs de Polémia qui remettront un prix spécial qu’il est bien placé pour obtenir.

    Quelle conclusion,

    OVOV

    Ovéové : on vote sur le site Internet pour choisir les bobards qui seront présentés lors de la cérémonie. Et on vient pour choisir les lauréats. Ils le méritent bien!

    Pour aller sur le site des Bobards d’or.

  • L’hôtel pour les migrants, les toilettes publiques pour Philippe, 63 ans

    À Vannes, Philippe, 63 ans, vit dans des toilettes publiques depuis deux ans. Ce sont des choses qui se passent en France. Dans notre pays, il vaut mieux être migrant que SDF français. Philippe n’avait qu’à être migrant, c’est simple!

    http://www.fdesouche.com/

    Philippe, ancien ouvrier chez Michelin, a installé un matelas et quelques couvertures dans les toilettes pestilentielles de la ville de Vannes. Il reçoit régulièrement des visites de Pascale, qui est Gilet jaune, et aussi de la Croix-Rouge, les restaurants du coin lui donnent leurs restes. Malheureusement il ne peut pas avoir de réserves, car il se les fait voler sur-le-champ par d’autres sans-abris.

    C’est pour cela qu’il ne peut être logé dans un hébergement d’urgence : il se fait automatiquement dépouiller de ses pauvres biens.

    Le cabinet du maire, alerté, répond qu’il va trouver une solution. Mais cela fait un an et demi que le cabinet du maire fait cette réponse.

    Il y a une centaine de sans-abris autour de Vannes. Dans toute la France, il y a une augmentation de sans-abris. Je vous parlais la semaine dernière d’un SDF de 72 ans à La Seyne-sur-Mer (Var).

    Tout cela est très choquant mais quand on connaît les priorités de La Seyne-sur-Mer, on est scandalisé. Dans cette ville viennent d’arriver ce qu’on appelle par un détournement du langage, des mineurs non accompagnés. J’en ai rencontré deux ou trois lors d’un passage dans le Var, et suis prête à parier qu’ils avaient plutôt 25-30 ans. Ils sont quarante. Ils sont hébergés au fort Saint-Elme, près de la plage des Sablettes.

    Lors d’une petite conférence, un responsable des Orphelins apprentis d’Auteuil chargés de ce projet, a raconté que ces mineurs non accompagnés (qui ne sont parfois ni mineurs ni non accompagnés) sont logés, nourris, blanchis, habillés, "accompagnés" par des "éducateurs", tout cela pour la modique somme de 125 euros par jour, ce qui fait quand même 4 600 euros par mois.

    Évidemment, les 25 accompagnateurs doivent recevoir un salaire. Les MNA, et toutes les associations qui gravitent autour comme des mouches à miel, c’est un business, un pactole, une mine de diamants pour tous les opportunistes sans éthique et sans conscience qui se servent et s’engraissent.

    25 accompagnateurs pour 40 jeunes?… C’est beaucoup, non? Les scouts se débrouillent beaucoup mieux, avec deux ou trois chefs pour 25 ou 30 scouts…

    125 euros pour ces MNA, c’est un minimum; dans certaines villes cela va jusqu’à 200 euros par jour, soit 6 000 euros par mois pour une personne.

    De 4 600 euros par mois à 6 000 euros par mois selon les communes, voilà ce que coûte un mineur non accompagné. Sans parler de l’argent de poche parfois versé en sus, et des cartes bancaires "d’urgence". Ni des soins médicaux.

    Ce que n’a pas dit ce responsable, c’est que les travaux du fort Saint-Elme pour accueillir ces mineurs qui ne sont pas mineurs, ont coûté 450 000 euros, payés par le conseil départemental.

    Le conseil départemental pourrait s’intéresser d’abord aux Seynois de souche, dont beaucoup sont en galère, comme on dit.

    Mais, concluait le responsable à la fin de sa conférence, "il faut s’occuper de ces mineurs, sinon ce sont eux qui s’occuperont de nous. " Menace à peine voilée. De toutes manières, ils s’occupent déjà de nous par leurs prédations diverses et variées…

    Dorian Munoz, candidat RN à La Seyne-sur-Mer, donne des explications intéressantes:

    https://www.presseagence.fr/lettre-economique-politique-paca/2019/12/11/la-seyne-sur-mer-dorian-munoz-rn-migrants-a-saint-elme-la-solidarite-a-sens-unique/

    En effet, c’est totalement à sens unique. On ne demande aucune contrepartie, aucun effort à ces "mineurs non accompagnés "et surtout pas de se lever le matin pour faire leur lit, ranger leur chambre ou essayer de trouver un travail. Un responsable d’une de ces villes ayant visité un de ces centres me racontait qu’on laissait ces " djeunes " faire la grasse matinée et qu’il ne pouvait visiter leurs chambres parce qu’ils dormaient.

    En prime, souvent ces mineurs non accompagnés, pour se faire de l’argent de poche, dealent et se livrent à toutes sortes de trafics, et on les retrouve dans de nombreuses agressions sexuelles, mais chuut! il ne faut pas le dire.

    En décembre 2017, nous avions sur le sol français environ 25 000 mineurs non accompagnés. Et aujourd’hui?…

    La politique d’accompagnement des mineurs nous coûterait deux milliards d’euros par an :

    https://www.ifrap.org/emploi-et-politiques-sociales/un-point-sur-la-problematique-des-mineurs-non-accompagnes

    Ce sont des chiffres qu’on se garde bien de crier sur tous les toits.

    Un lycéen en France coûte à l’État entre 6 000 et 10 000 euros par an. C ‘est bien moins qu’un mineur étranger.

    Rappelez-moi combien un agriculteur touche comme retraite. Et le minimum retraite est de 702 euros par mois.

    Nous ne devons absolument rien à ces MNA qui ne sont pas français, sont trop souvent illettrés et ne sont souvent pas employables ni intégrables dans la société française.

    Philippe, ou le SDF de 72 ans de La Seyne-sur-Mer ou encore n’importe quel SDF de France et de Navarre aimerait toucher ne serait-ce qu’une toute petite partie du scandaleux pactole donné en pure perte aux MNA, qui ne nous le rendront jamais.

    Ayant travaillé et cotisé en France, étant français, ces SDF devraient être prioritaires. Mais voilà: nos idéologues préfèrent financer l’invasion.

    Qu’on se rassure, cela ne durera pas éternellement. Un jour les caisses seront vides. Un jour, le Français moyen sans dents alimentant cette poule aux œufs d’or, sortira sa fourche pour mettre tout ce beau monde dehors.

    Un pays qui ne prend pas soin de ses aînés et qui les laisse dormir dehors, préférant s’occuper d’étrangers ingérables, agressifs, et animés de mauvaises intentions, est un pays qui perd ses valeurs, qui perd les pédales et qui va mourir.

    Sophie Durand

    https://ripostelaique.com/lhotel-pour-les-migrants-les-toilettes-publiques-pour-philippe-63-ans.html