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Savoir - Page 94

  • Parait que notre gastronomie s'est enrichie!!!!

    Selon elle, grâce aux Chance de la France (vous m’avez compris, les adeptes de l’islam issue d’Afrique du Nord), notre pays s’est enrichi et devinez de quel actif culturel il s’agit…

        Innovation en mathématique, littérature, chimie ? Vous n’y êtes pas!

        Sculptures, peintures ? non, haram en islam!

        Musique ? Non, cela risque de transformer en singe, dixit l’iman de Brest!

        La France s’est enrichie de LA GASTRONOMIE! Non, ne riez pas!

    C’est l’affirmation de Marlène (opposant cet argument à Éric Zemmour, qui ne voyait pas ce que nous avait apporté cette population) justifiant l’accueil de tous ces déçus du colonialisme qui viennent vivre chez leurs anciens colons, par simple grandeur d’âme, prouvant par là qu’ils savent pardonner.

    Mais, Marlène (veuillez me pardonner cette familiarité, mais je ne veux pas qu’elle se sente discriminée), ne nous a pas précisé de quelle gastronomie nous nous sommes enrichis. S’agit-il du kebab dont s’entiche notre Hamon national, amoureux de ce plat au risque de le déguster sous le nez de Robert Ménard à Béziers ? Lequel Ménard n’a pas compris la chance qu’il avait d’accueillir cette population enrichissante.

    S’agit-il du couscous merguez ou au poisson ou encore au poulet ou à la viande de bœuf ?

    Non, ce n’est pas ça non plus, ce plat a été apporté avec les pieds-noirs chassés de chez eux après l’indépendance des pays du Maghreb.

    Peut-être le tajine? Ou le mouton de l’Aïd el-Kebir ?

    Bref, cette richesse n’a pas été précisée. Marlène, par pitié, dites-nous ce qui nous a enrichis, et de quelle manière ? En surcharge pondérale ? En population exogène ? Quel est cet enrichissement qui nous coûte (entre autres, liste non exhaustive) nos déficits à la sécurité sociale, nos retraites et autres territoires perdus de notre République ?

    Merci d’avance pour votre riche réponse, Marlène.

    Guy Sebag

    https://ripostelaique.com/selon-marlene-les-cpf-nous-enrichissent-par-la-gastronomie.html

  • 22 à Asnières

    Des soucis avec votre opérateur téléphonique historique?

     

    http://saga-mandarine.hautetfort.com

     

    Racontez vos déboires!

  • Mon prochain nouveau blog va vous intéresser...

    ATTENTION

    Bientôt un nouveau blog (fait pas moi, bien sûr)!

    Sujet: tous ceux qui on des démêles avec "l'opérateur historique"!

    Je vais appeler ce blog: "saga-mandarine"

    Afin d'éviter que ces gens ne me mettent au tribunal...

    Et oui, "celui qui dit la vérité, il doit être exécuté!"....

  • Mordre la main qui te nourrit...

    "J’ai quitté les Restos du cœur car on ne servait quasiment plus que des migrants à la fin"

    En cette période hivernale, les Restos du cœur, comme d’autres associations de solidarité envers les plus fragiles et les plus démunis, s’activent pour fournir de la nourriture et du réconfort, un peu de chaleur humaine, à ceux qui n’ont plus rien, comme le voulait Coluche, fondateur du mouvement.

    Néanmoins, le bénévolat se heurte de plus en plus à une crise. Y compris chez les Restos du cœur (70 000 bénévoles en France environ). Et pas uniquement pour des raisons de vocation. Certains bénévoles, écœurés par la tournure que prend " l’aide sociale " en France aujourd’hui, aide sociale de plus en plus tournée vers les migrants, notamment dans les grandes métropoles, ne veulent plus aider.

    C’est le cas de Louise, qui a longtemps été bénévole dans la couronne parisienne. Mais l’hiver dernier, ce fût son dernier en temps que bénévole chez les Restos du cœur (après 17 années de bons et loyaux services). Et pas en raison de sa forme physique ou de son âge (elle a 71 ans). Mais parce qu’elle explique "avoir l’impression désormais de ne plus servir la cause qu’elle voulait servir au début". Elle nous raconte.

    "La demande explose. Il y a de plus en plus de pauvreté et de misère, c’est terrible. Et depuis quelques années, on voyait de plus en plus de migrants venir chez nous. D’Asie comme d’Afrique. Au début, on faisait face comme on pouvait, et on les aidait comme n’importe qui. Mais il y en a beaucoup trop aujourd’hui. Et pourtant, il y a beaucoup de Français pauvres aussi. Mais j’en connais qui n’osent même plus venir aux Restos du cœur, ils ont même peur parfois".

    Pourquoi peur?". Parce qu’au départ, quand c’était des familles, on a eu pas mal de Syriens et d’Afghans, ça allait. Mais lors des deux dernières distributions fin 2017 et fin 2018, il y a eu beaucoup plus d’Africains, ou d’Afghans seuls. Des hommes. Agressifs. Ils exigeaient beaucoup. Je n’avais jamais vu ça. C’est comme si tout devait leur être donné. On avait parfois peur de refuser tellement ils étaient agressifs. À la fin, j’allais à la distribution la boule au ventre. J’ai arrêté, et je suis loin d’être la seule, j’ai d’autres amies à Marseille et à Lille notamment qui ne veulent plus y retourner".

    Mais finalement, les migrants ne doivent-ils pas être traités comme n’importe quel autre public des Restos du cœur? Louise, qui a la solidarité chevillée au corps, s’interroge: "On ne peut pas laisser les gens mourir de faim. Mais les associations payent aussi l’inaction des politiques. Vous trouvez ça normal vous qu’il y ait autant de migrants en France? Ils sont trop nombreux et trop différents de nous. Ce ne sont pas les mêmes cultures, ça ne peut pas marcher. Mais ce n’est pas aux bénévoles des associations de payer les pots cassés".

    Le témoignage de Louise, qui nous a contactés pour le livrer, n’est sans doute pas unique. Les coupures de journaux ne manquent pas, faisant état d’un afflux de migrants en tant que bénéficiaires des Restos du cœur. En Bretagne, la situation n’est pas encore la même (quoi qu’à Brest et à Rennes notamment, on nous a signalé beaucoup de migrants dans les associations dites de solidarité).

    Au final tout de même, la population précaire européenne se retrouve plus négligée par les pouvoirs publics qui déversent des millions et des millions d’euros dans l’accueil de migrants. Une population précaire par ailleurs désormais obligée de partager sa précarité, parfois extrême, avec des populations n’ayant ni les mêmes mœurs, ni les mêmes cultures, ni les mêmes comportements.

    En 2017-2018, les Restos du cœur ont distribué 130 millions de repas, grâce à 72 000 bénévoles dans plus de 2 000 centres et antennes. 860 000 personnes ont été accueillies. Les Restos ont récolté 87 millions d’euros, grâce aux dons, aux legs ou par le biais de manifestations. Ce qui n’empêche pas les caisses de ne pas être pleines eu égard à la demande toujours plus importante.

    "Clairement, les autorités se déchargent sur les associations, et comptent sur la malléabilité des bénévoles qui sont tous investis pour la solidarité. C’est injuste. La solidarité et l’aide aux pauvres ne devrait pas être aussi importante dans un pays développé comme la France. Cela signifie que le pays va mal, très mal" conclut Louise, qui continue "différemment" d’aider les siens, et de faire le bonheur des exclus de son entourage.

    "Aujourd’hui, on a plus le droit, d’avoir faim ni d’avoir froid". Certes. Mais on a aussi le droit d’exiger, quand on est Français, Européen, le droit de passer, sur sa terre et celle de ses ancêtres, avant les autres.

    [cc] Breizh-info.com, 2019, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine – V

  • Votre voiture est dangereuse

    Des produits chimiques cancérigènes émanent constamment des sièges de nombreux véhicules

    Alors que de nombreuses recherches sur la pollution automobile se concentrent sur les polluants atmosphériques externes entrant à l’intérieur des véhicules et affectant de ce fait les passagers, une nouvelle étude montre que les produits chimiques émanant directement de l’intérieur pourraient également être préoccupants. Du moins, il s’agit de la conclusion d’une nouvelle étude réalisée par l’UC Riverside, publiée ce mois-ci dans la revue Environment International.

    L’étude révèle notamment que plus le trajet est long, plus vous êtes exposé à un ignifuge chimique cancérigène connu, et qui a notamment été éliminé de certains meubles. Bien qu’il existe d’autres produits chimiques qui sont généralement utilisés dans la fabrication d’automobiles, ce retardateur de flamme vient d’être ajouté à la liste des produits à éviter ou interdits.

    Certains scientifiques ont supposé que le produit chimique, appelé TDCIPP ou “tris chloré”, a cessé d’être utilisé après qu’il ait été placé sur la liste de la Proposition 65 en Californie, en 2013. Cependant, il est encore largement utilisé dans la mousse des sièges d’automobiles. L’étude montre que non seulement votre voiture est une source d’exposition au TDCIPP, mais que moins d’une semaine de trajets entraîne une exposition élevée à ce dernier.

    David Volz, professeur agrégé de toxicologie environnementale à l’UCR (Californie), a déclaré que les résultats étaient inattendus. " J’étais au départ plutôt sceptique, car je ne pensais pas que nous allions trouver une concentration significative dans ce court laps de temps, sans parler de l’importance du temps de trajet ", a déclaré Volz. " Nous avons donc été surpris deux fois, ce qui était vraiment inhabituel ".

    Impact sur le développement du fœtus, infertilité et risque de cancer

    Au cours de la dernière décennie, Volz a étudié comment divers produits chimiques affectent la trajectoire de développement précoce. En utilisant des poissons zèbres et des cellules humaines comme modèles, le laboratoire de Volz étudie depuis 2011 la toxicité d’une nouvelle classe de retardateurs de flamme appelés esters organophosphorés.

    Nous ne savons que peu de choses sur la toxicité de ces esters organophosphorés — dont le TDCIPP fait partie, mais il faut savoir qu’ils ont remplacé les anciens produits chimiques ignifuges, qui persistaient plus longtemps dans l’environnement et prenaient plus de temps à se métaboliser.

    En utilisant le poisson zèbre comme modèle, Volz a découvert que le TDCIPP empêche un embryon de se développer normalement. D’autres études ont rapporté une forte association entre le TDCIPP et l’infertilité chez les femmes suivant des traitements de fertilité.

    Sachant que son utilisation est encore répandue dans les véhicules, Volz s’est demandé si l’exposition totale d’une personne était liée à la durée du trajet. Les étudiants de premier cycle de l’UC Riverside ont fait d’excellents sujets d’étude, car la majorité d’entre eux effectuent de longs trajets quotidiens en voiture.

    L’équipe de recherche comprenait des collaborateurs de l’Université Duke et était financée par les National Institutes of Health (NIH) ainsi que l’USDA National Institute of Food and Agriculture.

    Les participants comprenaient environ 90 élèves, dont chacun avait des temps de trajet variant de moins de 15 minutes à plus de deux heures aller-retour. Tous ont reçu des bracelets en silicone à porter en continu pendant cinq jours. La structure moléculaire du silicone le rend idéal pour capturer les contaminants en suspension dans l’air.

    Étant donné que le TDCIPP n’est pas chimiquement lié à la mousse, il est expulsé au fil du temps et se retrouve dans la poussière (qui est inhalée), selon Aalekyha Reddam, un étudiant diplômé du laboratoire Volz.

    Une forte corrélation avec le temps de trajet

    Plusieurs esters organophosphorés ont été testés, mais le TDCIPP était le seul à montrer une forte association positive avec le temps de trajet. " Votre exposition au TDCIPP est d’autant plus élevée que vous passez de temps dans votre véhicule ", a déclaré Reddam.

    Bien que Volz et son équipe n’aient pas prélevé d’échantillons d’urine pour vérifier que le produit chimique a migré dans le corps des participants, ce dernier point est pour eux une certitude. " Nous supposons que c’est le cas en raison de la difficulté à éviter l’ingestion et l’inhalation de poussière ", a déclaré Volz. De plus, d’autres études ont examiné l’accumulation de TDCIPP dans l’urine, mais pas en fonction de la durée du trajet.

    À l’avenir, l’équipe de recherche aimerait répéter l’étude avec un plus grand groupe de personnes, dont les âges seraient plus variés. Ils aimeraient également étudier les moyens de protéger les automobilistes contre cette exposition, ainsi qu’à d’autres composés toxiques.

    Jusqu’à ce que des méthodes de réduction plus spécifiques puissent être identifiées, l’équipe encourage à épousseter fréquemment l’intérieur des véhicules et à suivre les lignes directrices de l’Environmental Protection Agency des États-Unis pour réduire l’exposition aux contaminants.

    Jusqu’à ce que des alternatives plus sûres soient identifiées, des recherches supplémentaires sont nécessaires pour bien comprendre les effets du TDCIPP sur les navetteurs.

    "Si nous avons pu obtenir des résultats significatifs en seulement cinq jours, qu’est-ce que cela signifie pour une exposition chronique à long terme, pour les personnes qui effectuent de longs trajets tout au long de l’année, durant des décennies?", s’interroge Volz.

    Source : Environment International

     

  • Marianne, malgré elle!

    Mila met à nu l’imposture et la couardise des féministes

    Ah Mila! Si elle n’existait pas, il aurait fallu l’inventer!

    En deux messages Instagram, elle a fait plus pour la lutte contre l’islamisation de la société française, et le désaveu des politiques qui appartiennent "aux forces de progrès", que dix ans de combat à Riposte Laique!

    Il suffit de prendre en compte les réactions de quelques femmes formidables de gôche qui ont bien voulu s’exprimer (Najat qui annonce son retour pour bientôt, n’a pas encore osé le faire…)

    Il y a d’abord Clémentine Autain, et Caroline De Haas.

    Ah Clémentine! Elle n’a pas changé! Depuis son viol dans sa prime jeunesse, par quelqu’un qu’il ne faut pas stigmatiser, elle est émue dès qu’entre dans le jeu de la séduction, un peu de cette magie de l’Orient, et ce parfum des Mille et Une Nuits….

    Comment dire? Comment décrire? Elle ne trouve plus les mots! Ça doit être ça l’amour… Le grand, le vrai, le beau, celui avec un grand A.

    Alors elle se tait…

    Caroline de Haas est aussi fidèle à elle-même. À notre connaissance, elle n’a pas fait de rencontres similaires à sa copine Clémentine, mais c’est son éducation par une mère trop catholique, son passage par les Petits frères des Pauvres et chez les Scouts Unitaires, qui semblent l’avoir traumatisée, voir anesthésiée.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Caroline_de_Haas

    Elle sait, pour l’avoir vécu de l’intérieur, que ces cathos sont des Blancs privilégiés, qui doivent être combattus comme Satan et la bête immonde, afin  que le monde puisse rayonner du sourire et de la générosité de tous ces gens venus du sud de la Méditerranée, ou de l’Orient lointain,

    "Walla t’insulte le prophète!", "Nike ta mère", "Ta gueule la pute", " On va te faire tourner sale chienne", apportent pour elle une véritable fraîcheur dans les codes de la séduction. C’est un renouveau empreint de modernité qui est une formidable opportunité pour renouveler, "l’esprit et la dialectique" du langage amoureux au XXIe siècle.

    Toutefois, le charme n’agit que si ces mots sont prononcés "avec l’accent"…

    Vous savez, cet accent chaud,  inimitable et irremplaçable du Maghreb, tout en gentillesse, en finesse, en délicatesse, en douceur, en suggestion, en simplicité, qui n’impose jamais, qui n’agresse jamais, et qui est chargé d’humour et d’autodérision.

    Quand on pense qu’il y a encore des gourdes qui sont restées un peu coincées (elle en a connu chez les Petits frères des Pauvres et aux scouts…) qui succombent à l’accent italien, ou sud-américain… Elles ne savent pas ce qu’elles ratent!

    Comme dirait l’ami Tariq Ramadan, (un homme qui aime les femmes), "la modernité", c’est eux et le Coran. Alors que "le modernisme", c’est la dépravation du modèle occidental qui va périr de sa décadence.

    https://www.lefigaro.fr

    Et puis, il y a celles qui sont plus "officielles", comme Martine Aubry ou Ségolène Royal, qui ont été ministres quand même… et qui pensent encore avoir des chances pour pouvoir briguer la Présidence…

    Ségolène Royal, la bravache qui fut ministre de l’Environnement dans le gouvernement Bérégovoy, ministre déléguée à l’Enseignement scolaire du gouvernement Lionel Jospin auprès du ministre de l’Éducation nationale, ministre déléguée à la Famille et à l’Enfance 39 auprès de la ministre de l’Emploi et de la Solidarité, Martine Aubry puis Élisabeth Guigou, et qui a surtout inventé " la Bravitude "!

    Elle ne mâche jamais ses mots, la Ségolène!

    "Il y a une liberté de critiquer les religions mais moi je refuse de poser le débat sur la laïcité à partir des déclarations d’une adolescente de 15 ans [Mila a 16 ans, NDLR] parce que ce n’est pas à partir de comportements comme ceux-là qu’on peut poser sérieusement la question de la laïcité", ajoutant, avec le côté maîtresse d’école et donneuse de leçons qu’on lui connaît: "Critiquer une religion, ça n’empêche pas d’avoir du respect. Ça n’empêche pas d’avoir de l’éducation, de la connaissance, d’être intelligent par rapport à ce qu’on dit (…)

    Une adolescente, qui est peut-être encore en crise d’adolescence, si elle avait dit la même chose sur son enseignant, sur ses parents, sur sa voisine, sur sa copine, qu’est-ce qu’on aurait dit? On aurait dit simplement: "un peu de respect".

    Et oui, avec Ségolène, il faut revenir aux choses sérieuses! Il faut poser le débat dans un cadre plus vaste – 1) la crise d’adolescence 2) le rapport aux parents 3) le rapport aux enseignants 4) le rapport aux voisins, 5) le rapport aux copines… tout sauf l’islam. 20/20 à l’ENA!

     Pour Ségolène qui ne mentionne pas une seule fois le mot islam, il est absolument évident et irréfutable que Mila aurait subi le même sort si elle avait manqué de respect à ses parents, ses enseignants, ses voisins, ses copines. Et si quelqu’un n’est pas d’accord: qu’il se taise. C’est qu’il n’y connaît rien.

    Qui peut encore nier sa solidarité féminine, et son combat contre "toutes les haines et tous les racismes"?

    Quant à Martine Aubry, fille de Jacques Delors, ancien président de la Commission européenne,  elle qui fut ministre du Travail, de l’Emploi et de la Formation professionnelle de 1991 à 1993, puis ministre de l’Emploi et de la Solidarité de 1997 à 2000, qui a instauré la CMU (pour les nouveaux venus) et qui est l’épouse de Jean-Louis Brochen, l’avocat des Barbus,

    http://www.juif.org

    qui a déclaré le 31 janvier 2020 au conseil municipal de Lille,

    " Dans une période où beaucoup se sentent attaqués, je pense à l’augmentation de l’attaque contre les musulmans, l’attaque contre les juifs dans notre pays, on a aussi intérêt peut-être à retenir ses propos. On a le droit de critiquer une religion, mais peut-être a-t-on intérêt aujourd’hui, alors que l’on humilie et on touche des hommes et des femmes qui pratiquent une religion, quelle qu’elle soit, peut-être aussi que chacun peut se dire, qu’il vaut peut-être mieux éviter ce type de propos".

    https://youtu.be/4pfWxQsNBoY

    J’ai une question pour Martine Aubry, est-ce qu’il vaut mieux, peut-être, ne pas proférer de menaces de mort? Peut-être pas finalement…

    Toutes ces femmes de gauche formidables ont raison: le problème, ce ne sont pas les menaces de mort, ce n’est pas l’islam, ce sont les propos de Mila. L’islam, on n’en parle pas: on ne parle que de " l’insolence " de cette adolescente aux cheveux bleus.

    George Orwell n’aurait pas fait mieux.

    Le journal L’obs, demande opportunément "Où sont les voix de gauche?" – Nous à Riposte Laique, on a la réponse: les élections approchent, elles ne peuvent pas parler, elles lèchent XXXX des muz.

    https://www.nouvelobs.com

    Vive la France!

    Albert Nollet