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Société - Page 280

  • Le présitante, le nouveau dictateur après flamby

    Oradour-sur-Macron

    Il faisait chaud et beau, les calvities précoces ou tardives rissolaient sèchement, en cette fin de matinée.

    Le 10 juin 44, si j’en crois la rumeur, il avait d’abord fait lourd, puis le ciel s’était dégagé. Il faut de la chaleur et beaucoup de soleil pour donner à une division SS l’idée de tout passer par le feu — les vivants et les morts.

    Belle idée d’avoir gardé les ruines en l’état. Lisbonne de même n’a jamais voulu rebâtir le couvent des Carmes, mis à bas par le tremblement de terre du 1er novembre 1755 — celui même dont Candide tire la preuve que tout n’est peut-être pas pour le mieux dans le meilleur des mondes.

    En ce 10 juin 2017, les cameramen escaladaient les tas de pierres pour obtenir le plan le plus significatif sur le président de la République qui remontait les rues du village dévasté, escorté par une noria d’élèves venus de toute la France (1).

    Comme personne ne peut me soupçonner de macronisme aigu, et que d’aucuns me reprochent de ne pas avoir hurlé avec les lèche-culs entre les deux tours de la présidentielle, j’ai d’autant plus de liberté pour dire que le discours que prononça samedi dernier le président de la république était un bon discours. Qu’il ait été écrit, dit-on, par Sylvain Fort (2) importe guère, et l’ex-nègre que je suis sait reconnaître de la belle ouvrage.

    Il y est question d’Histoire, forcément, mais surtout de transmission.

    "Voyez ces ruines qui sont derrière vous, déjà la pluie et le soleil après tant de décennies ont effacé les traces noires de l’incendie dévastateur. L’herbe du Limousin a repoussé dans ce sanctuaire, l’impact des balles tirées ce jour-là sur les hommes, les femmes, les enfants s’est poli sur ces murs et se confond avec l’érosion de la pierre.

    "Il en va de même la mémoire, elle aussi forcément s’érode.

    "Ce qui se transmet risque de s’affadir, sans cesse nous devons raviver la flamme et lui redonner sens. C’est pourquoi j’ai voulu que vous soyez présents ici, présents au côté des enfants d’Oradour et de Limoges, vous, centaines d’enfants des écoles de France, pour que la mémoire soit transmise dans sa substance par la vision des ruines, des tombes, des noms.

    Je sais que cette journée restera pour vous un moment singulier, parce que vous aurez vu ces lieux de vos yeux, parce que vous aurez serré la main du dernier rescapé. C’est ainsi que se perpétue le fil de l’histoire. J’ai voulu que vous deveniez vous aussi des témoins".

    Ce que j’ai entendu là — peut-être la présence de Jean-Michel Blanquer est-elle pour quelque chose dans l’enchaînement de mes idées —, c’est une condamnation de l’enseignement de l’Histoire tel qu’il est censé être pratiqué au nom des programmes de Najat Vallaud-Belkacem (en grand danger d’être définitivement enterrée dans les poubelles de l’histoire par les habitants de Villeurbanne, dimanche prochain — sans doute vendra-t-elle le pied-à-terre qu’elle avait cru bon d’y acheter pour prouver son attachement à un terroir auquel elle n’appartenait pas). Et une réhabilitation d’une Histoire chronologique, de ce "récit" (et non, pas "roman" !) historique que les programmes de Darcos avaient voulu mettre en place, et que condamnent si fort les pédagos d’Aggiornamento et autres officines du désastre. Réhabilitation d’une Histoire de la transmission des savoirs, faisant de nous, selon le mot de Bernard de Chartres, "des nains sur des épaules de géants" — nani gigantum humeris insidentes, comme on dit vulgairement.

    (J’ai d’autant plus de plaisir à renvoyer le lecteur à cet article qui a déjà deux ans que le Point.fr a cru bon de me remercier — pour cause d’enthousiasme insuffisant à la vague aujourd’hui en marche. Je suis d’ailleurs un tout petit pion dans le rééquilibrage des médias: Paris Première, France 2 ou Europe 1 font le ménage en grand pour complaire à un président dont on ne sait s’il a demandé le grand nettoyage, ou si les rédactions anticipent ses desiderata supposés. La démocratie est un combat, la courtisanerie est une reddition…)

    J’ai passé l’année à faire cours sur la Mémoire — c’était l’un des deux sujets mis au concours des IEP de province. L’année à rappeler à mes étudiants de Bac + 1 — une classe qui n’est pas composée d’héritiers, loin de là — qu’ils sont les derniers maillons, à ce jour, d’une très longue chaîne, et que comme l’a fort bien résumé Laurent Wirth, s’il y a un droit à la mémoire — pour les martyrs d’Oradour comme pour tous ces sacrifiés de tant de guerres, de tant de journées qui ont fait la France (eh non, ce n’est pas une vision réactionnaire! C’est la construction de la nation au sens le plus noble du terme — "Ô soldats de l’an II !"), il y a surtout un devoir d’Histoire.

    Et ce ne sont pas des hommes de droite qui l’expliquent, mais Pierre Vidal-Naquet ou Pierre Nora, qui valent bien les petits coqs du pédagogisme et leurs éructations hystériques. De vrais historiens qui protestent contre l’abus des lois mémorielles, qui permirent à des associations quelque peu partisanes de traîner en justice Olivier Pétré-Grenouilleau, parce qu’il tenait sur l’esclavage un discours vrai mais peu conforme à la loi Taubira. Liberté pour l’Histoire! ont demandé un bon nombre d’historiens — de gauche principalement, car la science n’a pas de couleur politique. Le "politiquement correct" n’a rien à voir avec l’enseignement de cette discipline à hauts risques.

    Ni lois mémorielles, ni "roman" national. Il ne s’agit pas non plus de faire de l’Histoire comme dans le Tour de France de deux enfants, où l’on exaltait l’Histoire et ses mythes pour préparer la revanche. Mais il faut retisser un récit, suivi, chronologique, qui permette aux générations présentes et à venir de penser leur futur en regardant prudemment en arrière. Un coup d’œil dans le rétro n’a jamais empêché d’aller droit — bien au contraire. Savoir d’où nous venons incite à mieux définir où nous allons. La vraie pédagogie, c’est celle-là, et il n’y en a pas d’autre.

    Célébrer Oradour, avec ou sans trémolos malruciens de circonstance, c’est tisser du lien avec le passé, avec les hommes et les femmes du passé; c’est savoir d’où nous sommes issus — et il n’est pas tout à fait indifférent que ce soit de ce passé et non d’un autre. Savoir que la France n’est pas seulement un enchaînement de plaines et de montagnes, mais un paysage sculpté par des générations, légué aux générations à venir comme une œuvre collective qu’il convient de reconnaître, posséder, célébrer.

    Il faut nécessairement réécrire les programmes d’Histoire de la dernière réforme — ou simplement en revenir à ceux de 2008, qui n’étaient pas mauvais, quitte à les amender çà et là. Et s’en tenir là une bonne fois pour toutes. Retrouver le fil de la continuité française, de la geste héroïque française, afin de redonner confiance en la nation — sous peine que les jeunes déboussolés aillent se chercher des exemples héroïques dans quelque Orient compliqué.

    Jean-Paul Brighelli

    (1) Je signale à ce propos au rédacteur qui a publié sur le site de l’Elysée le discours de l’événement que Riom s’écrit avec un "m", et non un "n"…

    (2) Nous avons un point de contact: j’ai jadis servi de nègre à Pierre Brunel, qui fut son patron de thèse

    http://blog.causeur.fr/bonnetdane/oradour-sur-macron-001699.html

     

  • Un tweet à savoir

     C'est presque émouvant de voir un de mes anciens clients rentrer au #Gouvernement ??

     

    — Maîtresse Gilda (@Maitresse_Gilda) May 17, 2017

     

    C'est toujours rassurant de savoir qu'on a des politiciens qui aiment se faire fouetter par des putes sado-transsexuelles.

     

  • Délirant: avec eux, la France va, encore plus, plonger!!!

    https://youtu.be/HmtUTpWmdK0

     

    https://youtu.be/F8iXtWtsSaQ

     

    https://youtu.be/fHtmEf0FlJ8

     

    https://youtu.be/tYuloLLJBek

     

    https://youtu.be/r-uVn006Lbg

  • CQFD

    Rares sont les médias et politiciens qui osent révéler la véritable cause du terrorisme islamique.

    À chaque fois qu’une nouvelle attaque djihadiste frappe des innocents en Occident, les médias et les politiciens n’ont de cesse de blâmer la " mauvaise intégration ", la "auvreté, la "marginalisation", le "racisme" et quoi d’autre encore !

    Pour une raison quelconque, il ne leur arrive jamais de se demander si le terrorisme islamique a quelque chose à voir avec l’Islam et le nombre croissant d’adeptes de cette religion particulière dans nos pays. Est-ce qu’ils oublient quelque chose? Pourrait-il y avoir une connexion?

    L’islam et la violence?

    Avec une équipe de chercheurs, la Danoise Tina Magaard a analysé minutieusement les textes des 10 plus grandes religions du monde, en recherchant des liens possibles avec la violence. La  conclusion de Tina Magaard est claire : " Les textes religieux de l’Islam demandent à ses partisans de commettre des violences et de se battre à un degré beaucoup plus élevé que toute autre religion. Les textes en Islam sont nettement distincts de ceux des textes d’autres religions dans la mesure où ils accordent un appel beaucoup plus important à la violence et à l’agression contre les adeptes d’autres religions. Il y a aussi des incitations directes à la terreur. Cela a longtemps été un tabou dans la recherche sur l’Islam, mais c’est un fait qu’il nous faut reconnaître" explique-t-elle.

    Au cours de leurs recherches, Tina Magaard et son équipe ont trouvé dans le Coran des centaines d’appels à la lutte contre les adeptes d’autres confessions. " S’il est vrai que beaucoup de musulmans considèrent le Coran comme les paroles de Dieu qui ne peuvent être ni reformulées ni interprétées, nous avons un problème", constate Tina Magaard.

    La recherche en Allemagne par le Centre allemand de recherche en sciences sociales (WZB) confirme les soucis de Tina Magaard : 75 pour cent des musulmans en Europe pensent que le Coran doit être suivi à la lettre. Est-ce que la quantité croissante de mosquées et d’imams qui prêchent ces textes a quelque chose à voir avec l’augmentation du terrorisme islamique?

    Les musulmans sont-ils vraiment plus violents?

    Comment donc la lecture du Coran et la pratique de l’Islam influencent-t-elles les gens? Une étude approfondie, impliquant des entretiens avec 45 000 personnes, dirigée par l’ancien ministre allemand de la Justice, Christian Pfeiffer, met ces sujets en lumière. Les nombreuses entrevues ont montré que l’islam se distingue en étant la seule religion qui, plus ses fidèles deviennent religieux, plus ils deviennent enclins à la violence. " Même lorsque d’autres facteurs sociaux ont été pris en compte, il restait une corrélation significative entre la religiosité et la volonté d’utiliser la violence ", a déclaré Christian Pfeiffer, ajoutant qu’il avait été épouvanté par les résultats de la recherche, car ces résultats soutenaient les critiques de l’immigration musulmane formulées par Thilo Sarrazin et d’autres. (Thilo Sarrazin est un politicien allemand, ex-membre du conseil d’administration de la banque Deutsche Bundesbank, ancien sénateur, qui s’est fait connaître par la publication de son livre sur l’immigration musulmane en Allemagne, dans lequel il dénonce la politique d’immigration menée par son pays "Deutschland schafft sich ab " [L’Allemagne est en train de se supprimer]).

    Le nombre croissant d’écoles coraniques pourrait-il avoir quelque chose à voir avec le fait que la jeunesse musulmane d’Europe est de plus en plus radicalisée? Peut-être : 80 pour cent des jeunes Turcs aux Pays-Bas ne voient " rien de mal " dans la conduite du djihad contre les mécréants. 27 pour cent de tous les jeunes français et 14 pour cent de tous les jeunes britanniques de moins de 25 ans éprouvent de la sympathie pour l’organisation islamique terroriste génocidaire. Ces chiffres incluent fort probablement la grande majorité des jeunes musulmans dans ces deux pays.

    Au lieu de spéculations sur les sans papiers et de discussions théoriques sur la cause du terrorisme islamique, des chercheurs canadiens de l’Université de la Colombie-Britannique et de l’Université de Waterloo ont décidé d’avoir des entretiens avec des terroristes survivants afin de connaître en direct ce qui les motive. En parlant avec les terroristes, il est clairement apparu que ces derniers n’avaient pas été poussés par des facteurs socio-économiques dans la société tels qu’un faible revenu, un manque d’éducation, un sentiment de marginalisation ou tout simplement l’ennui. Les chercheurs ont au contraire constaté que les terroristes avaient été convaincus par leur religion et par ce qu’elle exigeait de ses fidèles. "Aucun des sujets n’a suggéré directement ou indirectement que c’était de se sentir marginalisés socialement ou économiquement qui les poussait vers une voie aussi extrême", affirment les auteurs de cette étude, Lorne L. Dawson, Amarnath Amarasingam et Alexandra Bain.

    " Les études académiques ont attribué trop d’importance à ces facteurs, à savoir les problèmes et les frustrations dans la vie des jeunes hommes qui se tournent vers l’Islam extrémiste et, finalement, vers la violence terroriste. Sur la base de nos entretiens avec des combattants étrangers (plus d’entrevues que personne d’autre n’en a faites), nous pensons qu’il faudrait accorder plus d’attention et d’importance aux affirmations répétées des avantages positifs qu’offre le djihadisme", ajoutent les auteurs de l’étude. Comme l’a dit un terroriste lors d’une interview: " Le zèle du djihad m’a toujours frappé lorsque je me trouvais dans ma chambre en train de lire le Coran dans une version anglaise ".

    "Nous sommes motivés par notre religion, par notre Coran et par la Sunnah, et nous n’avons pas honte de ça", a déclaré un autre terroriste. (La Sunnah est la transmission orale des enseignements du prophète Mohamet).

    http://conservativepapers.com/