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  • La valeur n'attend pas le nombre des années...

    Le robot jardinier français qui a séduit Google

    C'est l'invention d'un jeune Français de 14 ans, Eliott Sarrey, qui vient d'atteindre le stade des demi-finales de la Google Science Fair, un concours mondial où le géant californien détecte les futurs grands talents scientifiques. Et le robot jardinier pourrait viser plus haut.

    En février, quand il décide de s'inscrire au concours mondial des "géotrouvetou" version Google, Eliott Sarrey n'est qu'un élève français de 4ème, comme des milliers d'autres. Si ce n'est que ce jeune garçon adore les sciences, au point d'avoir imaginé un robot jardinier, et d'avoir envie de le présenter au "Google Science Fair". Résultat, son robot a été sélectionné pour faire partie des 90 demi-finalistes, et fin juillet, il pourrait rejoindre le club fermé des 20 projets finalistes sélectionnés par Google.

    L'idée du robot-jardinier est géniale : les personnes peuvent le piloter à distance, par smartphone comme un simple jeu sur mobile, et lui demander d'effectuer des tâches dans leur jardin. " Et si on pouvait réellement obtenir des légumes avec son smartphone" ? se demandait Eliott Sarrey à propos de son robot, qu'il a baptisé "Bot2Karot", cela ne s'invente pas... A partir de cette idée simple, Eliott a conçu un prototype en 3 mois, jusqu'à l'épreuve du 7 juillet, où le jury a sélectionné le robot, et en attendant le 4 août et l'annonce des 20 finalistes qui iront "pitcher" leur projet devant les équipes de Google, en plein coeur de la Silicon Valley. Voila encore un petit Frenchie que les Américains pourraient bientôt nous voler!

     

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  • Les bébés bien pesés...

    Withings conçoit des applications et produits intelligents pour prendre soin de vous et de vos proches,  facilement et autrement.

    En augmentant les capacités d'un objet par des ressources réseau, Withings donne accès à des capacités de calcul et de stockage infinies sans coût supplémentaire, transformant ainsi les objets en appareils intelligents et connectés. Depuis 2009, Withings a étendu ces avantages à une large gamme d’appareils qui facilitent la vie quotidienne. En utilisant vos téléphones portables et ordinateurs en tant que passerelles et en ouvrant sa plateforme à un vaste écosystème, Withings fonctionne désormais en toute transparence avec une centaine d'applications et d'appareils partenaires pour offrir aux utilisateurs un suivi de leur santé à 360° et un bien-être total.

    Cédric Hutchings

    Directeur général de Withings

    Cédric peut compter sur huit ans d'expérience dans le marketing de produits technologiques grand public.

    Après avoir rejoint Inventel comme chef de produit où il gérait le lancement de passerelles résidentielles sans fil, il a occupé chez Thomson le poste de directeur marketing des produits domestiques, responsable du développement des offres résidentielles.

    Ingénieur formé à l'École centrale de Paris et titulaire d'un Master du Massachusetts Institute of Technology (MIT), Cédric a été distingué « meilleur chef de produit » du groupe Thomson en 2006. Chez Withings, Cédric assure le développement commercial, la direction générale et le marketing.

    Eric Carreel

    Président de Withings

    Éric a démarré sa carrière dans la recherche institutionnelle en tant que chercheur dans le domaine de la radio.

    Il a ensuite co-fondé Inventel dont il est resté président de 2002 à 2005, et a été reconnu comme l'un des architectes majeurs du triple play en Europe. Après le rachat d'Inventel par Thomson, Éric est devenu directeur technique de la division produits domestiques de Thomson, tout en créant et dirigeant le groupe Advanced Product Development.

    Éric est ingénieur diplômé de l'École supérieure de physique et de chimie industrielles de la ville de Paris (ESPCI) et docteur-ingénieur de l'université Paris VI. Il est l'auteur d'une cinquantaine de brevets et dirige la vision et l'innovation chez Withings.

    Les investisseurs

    Pèse-enfant intelligent

    Suivez de près la croissance de votre enfant en toute confiance.

    Le Pèse-enfant intelligent est la toute première balance pour bébés et tout-petits connectée.

    Des données décisives à surveiller

    La courbe de croissance est en effet l'un des seuls moyens objectifs d'évaluer la santé d'un bébé.

    Elle permet également de détecter à un stade précoce les problèmes d'obésité ou de dénutrition.

    Ultra précis pour les poids plumes

    Avec ses cellules de pesée LY12 en aluminium spécifiques et ses graduations de 10 g, le Pèse-enfant intelligent offre la plus haute précision pour les moins de 25 kg.

    Toutes nos balances sont équipées de la technologie Position Control™ , qui vous alerte si votre bébé est trop agité afin d'éviter toute erreur de mesure.

    Notre manifeste

    Notre avenir proche est plus grand que nature.

     Des innovations majeures ont déjà changé pour toujours la manière  dont nous agissons au quotidien. Nous pouvons en faire plus, plus souvent.

     Notre pouvoir s'intensifie. Nous sommes enthousiastes et positifs.

     Beaucoup reste à venir.

     Nous sommes bien placés pour le dire car nous avons la fierté  d'être les pionniers du monde du bien-être connecté.

     Vous voulez rejoindre la révolution ?

     Ne laissez pas de place à la certitude.

     Remettez en question les façons de faire.

     Donnez au « contrôle de soi » un nouveau sens.

     Améliorez le bien-être de toute votre famille.

     C'est ce que nos appareils intelligents permettent de faire, en toute transparence.

    Withings vous aide à prendre soin de ce qui compte pour vous.

    Où nous trouver ?

    Nous avons des bureaux à Issy-les-Moulineaux, en banlieue parisienne, mais aussi à Boston, Massachusetts (États-Unis) et à Hong Kong, en Chine.

     

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  • Epilepsie : un bébé guéri grâce à une réplique 3D de son cerveau

    L’impression en 3D d’une réplique exacte du cerveau d’un enfant de 5 mois a permis de soigner son épilepsie. Des médecins de Boston, aux Etats-Unis, sont à l’origine de cette percée technologique.

    A 5 mois, Gabriel s’est vu retirer un hémisphère du cerveau. Grâce à l’impression 3D de celui-ci, ses chirurgiens n’ont connu aucune complication. L’émission " Detours " du site d’actualité technologique The Verge a rencontré les protagonistes de cette incroyable aventure.

    Une réplique parfaite du cerveau

    L'an dernier, Erin Mandeville se rend pour la première fois au Boston Children’s Hospital (Massachusetts, Etats-Unis) avec son fils de 5 mois. Elle s’inquiète de le voir souffrir de spasmes. En fait, ce n’est que la première d’une longue série de crises d’épilepsies, qui mettent son fils en danger. En retard sur son développement cognitif et moteur, l’enfant est dans une situation préoccupante. C’est alors que les médecins envisagent une solution radicale, mais extrêmement complexe : l’hémisphérectomie. Cette opération consiste à retirer ou désactiver un hémisphère dysfonctionnel du cerveau.

    Mais l’équipe médicale propose une approche encore jamais testée à la mère de Gabriel : grâce à une série de scanner et d’IRM et avec une imprimante 3D, ils sont capables de reproduire très exactement le cerveau de l’enfant,  Imprimée dans un plastique mou, d’une épaisseur de 16 microns par couche, cette réplique parfaite distingue en couleur les vaisseaux sanguins. Elle permet aux médecins de s’entraîner à " l’une des opérations les plus difficiles dans la chirurgie de l’épilepsie pédiatrique ", selon l’aveu du Dr Joseph Madsen, directeur du programme d’épilepsie au Boston Children’s Hospital.

    Un entraînement pré-opératoire

    Avant d’opérer le petit Gabriel, l’équipe médicale s’entraîne à de nombreuses reprises sur cette réplique du cerveau. " La préparation chirurgicale par la simulation permet aux chirurgiens d’atteindre leur but bien plus vite. Nous ne pouvons pas nous préparer à toutes les possibilités, mais nous pouvons écarter un bon nombre de complications ", précise le Dr Peter Weinstock, directeur du Simulator Program, développé par l’hôpital.

    Les chirurgiens montrent également aux parents de l’enfant comment l’opération se déroulerait. En salle d’opération, il ne leur a fallu que 10 heures pour soigner Gabriel.

    A présent âgé de 18 mois, il ne souffre plus de crises d’épilepsie. " Son cerveau s’est déjà rebranché ", confie sa mère. " Il commence à rattraper toutes les étapes clé qu’il a ratées - et il se lève tous les matins avec le sourire. "

    En un an d’existence, le projet " Simulator Program " a, quant à lui, permis de réaliser 100 impressions, dont 20 % ont donné des résultats en salle d’opération.