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mec - Page 41

  • Le feront-ils?

    Angela Merkel pour l'expulsion des réfugiés condamnés

    Suite aux agressions sexuelles commises à Cologne le soir de la Saint-Sylvestre, Angela Merkel s'est prononcée ce samedi en faveur d'un durcissement des règles d'expulsion de demandeurs d'asile condamnés par la justice allemande.

    La chancelière allemande Angela Merkel s'est prononcée samedi en faveur d'un très net durcissement des règles d'expulsion de demandeurs d'asile condamnés par la justice en Allemagne, en l'autorisant même pour ceux condamnés à une peine avec sursis.

    "Si les réfugiés ont commis un délit", cela doit "avoir des conséquences, (...) cela veut dire que le droit (de séjour) doit s'arrêter s'il y a une peine de réclusion ou même avec sursis", a déclaré Mme Merkel, tirant les leçons des agressions sexuelles intervenues le soir de la Saint-Sylvestre à Cologne (ouest), qui impliqueraient des demandeurs d'asile.

    Lors d'une réunion à Mayence (sud-ouest), la direction du parti conservateur de la chancelière CDU s'est mise d'accord pour demander que la perte du droit d'asile en Allemagne soit plus systématique en cas de délit. Cette position doit désormais être discutée avec l'autre grand parti présent dans la coalition gouvernementale à Berlin, les sociaux-démocrates du SPD.

    "Il est important que là où la loi n'est pas suffisante, elle soit modifiée", a affirmé, lors d'une conférence de presse, Angela Merkel, y voyant là aussi "l'intérêt de la grande majorité des réfugiés".

    1,1 million de demandeurs d'asile sont arrivés en 2015

    Pour l'heure, selon la loi allemande, l'expulsion d'un demandeur d'asile n'a lieu qu'après une condamnation à au moins trois ans de prison, mais à la condition que sa vie ou sa santé ne soient pas menacées dans son pays d'origine.

    L'Allemagne a vu affluer en 2015 1,1 million de demandeurs d'asile et les violences du Nouvel An à Cologne ont créé un choc dans le pays, faisant croître les critiques à l'égard de la politique d'ouverture aux demandeurs d'asile suivie depuis septembre par Mme Merkel.

    Oui, le feront-ils?

    Et en France..... parce que il y a eu des viols dans les centres..... et on vous la caché!

    Bon d'accord, j'ai perdu l'info exacte et la référence.... j'avais lu qu'ils avaient eu la grosse conn. de mélanger une famille de réfugiés chrétiens avec des réfugiés musulmans... et, devinez ce qui arriva?

    C'est pour cela que j'ai décidé de changer la destination du blog pour vous répercuter tous les articles que je lis quotidiennement et qui prouvent la manipulations des journalistes qui sont à plus de 85% en France.

    Achetez Valeurs Actuelles de cette semaine, vous serez édifié-es!

     

  • Lisez pour comprendre le bitcoin

     

    http://www.contrepoints.org/2015/09/16/221958-qui-gere-le-bitcoin

  • Lucibel présente le Li-Fi pour transmettre de l’information sans fil grâce à la lumière

    Le constructeur de luminaire français Lucibel dévoile un prototype de luminaire Li-Fi bidirectionnel et haut débit permettant de transmettre des données dans fil via la lumière. Une alternative au Wi-Fi.

    Le Li-Fi, une technologie utilisant les faisceaux des éclairages LED pour surfer sur Internet

    Plus intéressante que le Wi-Fi, le Li-Fi bidirectionnel et haut débit est une nouvelle technologie qui est actuellement à l’état de prototype. Elle est proposée par la société Lucibel et devrait permettre de transmettre de l’information sans fil à l’aide de la lumière.Le Li-Fi serait plus puissant que le Wi-Fi et permettrait d‘obtenir des connexions haut débit grâce à la lumière.

    Un premier prototype vient d’être présenté au sein du siège de Sogeprom et pourrait prochainement être déployé dans des écoles, des universités ou des hôpitaux et des établissements financiers. Au niveau du grand public, il permettrait d’établir des connexions très haut débit, y compris sur des terminaux mobiles tels que des smartphones et des tablettes, sans avoir recours aux connexions Wi-Fi telles que nous les utilisons actuellement.

    Une technologie qui présente plusieurs avantages

    Cette technologie Li-Fi présente plusieurs avantages, elle est déjà plus rapide que le Wi-Fi actuellement en service, la source lumineuse nécessaire pour disposer d’un connexion Internet est simple à mettre en place et cette technologie ne produit pas d’ondes électromagnétiques, qui peuvent être nocives pour la santé. De plus, la technologie Li-Fi permet d’éviter la saturation des réseaux Wi-Fi en proposant un nouveau canal de distribution de l’information numérique. Le principal inconvénient de cette nouvelle technologie réside dans le fait que le réseau Li-Fi ne traverse certes pas le corps, mais pas les murs non plus, ce qui nécessitera de disposer d’un récepteur et d’un émetteur, qui actuellement son assez encombrants.

    Un prototype de luminaire bidirectionnel et haut débit, développé par la société de luminaire Français Lucibel, vient d’être dévoilé ce vendredi au siège de la société Sogeprom, constructeur immobilier parisien. Une première en France. Jusqu’à présent, les solutions proposées n’étaient qu’unidirectionnelles et principalement utilisées pour la géolocalisation, indique Edouard Lebrun, le directeur du projet Li-Fi de Lucibel. Ce dernier précise que le Li-Fi est plus sûr que le Wi-Fi, ne passant pas par des ondes radio qui pourraient être nocives pour la santé.

    Lucibel devrait commercialiser les premières solutions Li-Fi dès l’année prochaine. Les premiers tests réalisés par Lucibel ont permis d’atteindre des débits descendants de 10 Mbits/s et des débits montants compris entre 5 et 10 Mbits/s. La technologie Li-Fi ou Lite Fidelity est une technologie de transmission de données numériques via la lumière, qui a été créée en 2007 par Lucibel.

     

  • Première mondiale:

    du muscle " normal " à partir de cellules souches embryonnaires

    Une méthode pour obtenir des fibres musculaires et des cellules souches satellites à partir de cellules souches embryonnaires a été mise au point par une équipe soutenue par l’AFM-Téléthon.

    Cette avancée majeure pour les maladies neuromusculaires vient d’être publiée le 3 août 2015 dans Nature Biotechnology.

    Pour la première fois au monde, l’équipe d’Olivier Pourquié de l’Institut de Génétique et de Biologie Moléculaire et Cellulaire (IGBMC) d’Illkirch et de l’Université d’Harvard aux Etats-Unis, a mis au point une méthode pour fabriquer des fibres musculaires et des cellules satellites.

    "Grâce à notre méthode qui ne demande aucune manipulation génétique, nous obtenons des fibres musculaires qui se contractent, mais aussi des cellules souches satellites"

    Jusqu’à présent, les chercheurs savaient obtenir les différents éléments des fibres musculaires, les myoblastes , à partir de biopsies puis les amener à se différencier en fibres musculaires. Mais au prix de rendements faibles et imparfaits (en particulier, sans activité contractile). Avec le protocole développé par l’équipe d’Olivier Pourquié, il est désormais possible d’obtenir des fibres musculaires qui se contractent et de véritables cellules musculaires satellites, lesquelles permettent la formation des muscles et la régénération musculaire, comme dans un muscle " normal ".

    Fort de ce succès, les chercheurs ont greffé sur des souris modèles de la myopathie de Duchenne les cellules souches satellites obtenues (à partir de cellules souches de souris). Un mois après, le muscle traité présentait des fibres exprimant de la dystrophine normale, prouvant que ces cellules greffées sont bien capables de régénérer les fibres musculaires " malades ".

    Le protocole a également été testé sur des cellules souches embryonnaires obtenues à partir de souris modèles de la myopathie de Duchenne et a permis d’obtenir des fibres musculaires " malades ".

    Ces cellules musculaires, " normales " ou " malades ", obtenues à partir d’une source inépuisable de cellules souches, sont un outil supplémentaire pour les chercheurs afin d’étudier les mécanismes de formation des cellules musculaires, tester de nouveaux candidats-médicaments mais aussi démontrer l’efficacité de futures thérapies.

    Pour en savoir plus: Differentiation of pluripotent stem cells to muscle fiber to model Duchenne muscular dystrophy. Olivier Pourquié, et al. Nature Biotechnology, 8/3/2015 doi:10.1038/nbt.3297

    http://www.afm-telethon.fr/actualites/premiere-mondiale-muscle-normal-partir-cellules-souches-embryonnaires-3912

     

  • Les robots vont-ils prendre nos emplois?

    L’automatisation du travail va-t-elle enrichir les riches et condamner les pauvres?

    Par Sandy Ikeda [*]

    Cela pourrait arriver bientôt, annonce Paul Solman, l’économiste pour PBS NewsHour. Il en discute avec Jerry Kaplan, l’auteur d’un nouveau livre qui combine luddisme et appréhension des inégalités.

    Paul Solman: "Et l’éternelle peur des travailleurs déplacés, affirme Kaplan, est finalement, irrévocablement sur nous.

    Jerry Kaplan: Que va-t-il arriver à ceux qui n’ont pas ou ne peuvent pas acquérir les compétences nécessaires dans la nouvelle économie?

    Paul Solman: Eh bien, que va-t-il leur arriver?

    Jerry Kaplan: Nous allons voir des inégalités de revenus encore pire. Et à moins de prendre des actions humanitaires, la vérité est qu’ils vont vivre dans la misère, être affamés, et mourir.

    Paul Solman: Kaplan nous offre ces sombres prédictions dans un nouveau livre, Humans Need Not Apply. Il est au courant, évidemment, que l’automatisation a remplacé le travail humain depuis plus de 200 ans, depuis des décennies, en éliminant les travaux relativement bien payés dans les usines aux États-Unis, et que la création d’emplois a largement compensé cette perte, mais selon lui, cela touche à sa fin. "

    Je n’ai pas lu le livre de Kaplan, mais vous pouvez vous faire une idée de la problématique à l’aide de cette vidéo.

    La crainte est qu’à l’inverse du passé où les travailleurs déplacés pouvaient apprendre de nouvelles compétences dans d’autres industries, les "machines à penser" les plus avancées pourront bientôt remplacer des emplois hautement qualifiés, rendant de plus en plus difficile la recherche d’un emploi offrant un salaire décent. Tandis que l’argumentation luddite présuppose une quantité de travail fixe dans l’économie, la crainte est maintenant que tout emploi nouvellement créé sera tout simplement rempli par des machines plus intelligentes.

    Cette nouvelle variante semble différente, mais il s’agit essentiellement du même faux raisonnement luddite, et ce à deux niveaux. Premièrement, s’il est vrai que les machines se substituent souvent au travail humain à court terme, à long terme l’automatisation consiste à assister le travailleur. En second lieu, le but essentiel de l’économie n’est pas de créer du travail pour lui-même, mais bien de mettre en place des entreprises qui prospèrent en satisfaisant les besoins et désirs des consommateurs.

    Bien que je comprenne que les solutions offertes par Kaplan soient plutôt pro-marché, les médias traditionnels ont souligné les aspects les plus alarmistes de sa thèse. Les Solmans du monde entier aimeraient voir l’État réagir avec des règlementations limitant ou interdisant la mise en place d’intelligences artificielles – ou au moins en subventionnant les énormes changements nécessaires sur le marché de l’emploi.

    Remplacement à court terme, appoint à long terme

    Heureusement, Henry Hazlitt nous a déjà offert une explication claire, soigneuse et sympathique des conséquences de l’innovation sur l’emploi dans son célèbre livre, L’Économie politique en une leçon. Faisons un bref résumé du chapitre nous intéressant, "La machine maudite":

     (Comme le note Hazlitt, toutes les innovations ne permettent pas d’économiser du travail. Certaines permettent juste d’améliorer la qualité de la production, mais laissons ça de côté. Laissons également de côté le problème bien réel que constitue l’accélération artificielle de l’automatisation par l’augmentation du salaire minimum).

    Supposons qu’une personne possédant une entreprise de fabrication de manteaux investisse dans une nouvelle machine fabricant le même nombre de manteaux mais nécessitant moitié moins d’ouvriers. (Posons pour l’instant que tous les ouvriers travaillent 8 heures par jour et gagnent le salaire moyen du secteur). Ce qu’on voit aisément, c’est, disons, 50 personnes au chômage; ce qu’on ne voit qu’avec plus de difficultés, ce sont les personnes qui seront embauchées pour construire la nouvelle machine. Si toutefois la nouvelle machine réduit le coût de fabrication, alors vraisemblablement moins de 50 ouvriers sont nécessaires pour sa fabrication. S’il faut, par exemple, 30 personnes, il semblerait y avoir toujours une perte nette de 20 emplois au total.

    Mais l’histoire ne s’arrête pas ici. Si le fabricant ne baisse pas le prix de ses manteaux, Hazlitt énumère trois possibilités qui s’offrent quant à l’utilisation des profits résultants. Il peut les utiliser pour réinvestir dans sa propre entreprise, investir dans une autre entreprise, ou tout simplement les utiliser pour consommer. Quoiqu’il fasse, cela signifie plus de production et donc plus d’emploi ailleurs.

    De plus, la concurrence entre les fabricants de manteaux conduira probablement ses concurrents à adopter la même machine et à produire plus de manteaux. Acheter plus de machines signifie plus de travail dans l’industrie de fabrication de machines, pendant que l’augmentation de la production de manteaux conduira à une baisse des prix.

    Acheter plus de machines nécessitera probablement d’embaucher plus de travailleurs pour les utiliser ou les maintenir en état de fonctionnement, et la baisse des prix signifie que les consommateurs auront d’autant plus de moyens d’acquérir des biens de consommation, y compris des manteaux.

    L’effet global est une augmentation de la demande de travail et du nombre d’emplois, ce qui est confirmé historiquement dans de nombreuses industries. Bien sûr, si vous faites partie des 50 travailleurs initialement mis au chômage, vous avez manqué le plus gros de l’histoire.

    Contrairement à ce qui est affirmé, les choses ne sont pas bien différentes dans le cas de l’intelligence artificielle.

    Les machines pourraient bien remplacer des travailleurs sur le court terme, mais sur le long terme elles assistent les employés et augmentent leur productivité. Il est vrai que les nouvelles machines seront plus avancées et feront plus de choses que les anciennes, mais ce n’est pas vraiment une surprise; c’est toujours ce que les nouvelles machines ont fait.

    Comme je l’ai déjà écrit dans "The Breezes of Creative Destruction", cela prend généralement plusieurs années pour qu’une innovation –même quelque chose aujourd’hui omniprésent comme les smartphones– se diffuse dans l’économie. Ce qui donne du temps pour s’adapter, apprendre de nouvelles compétences, voir de nouveaux horizons. Hazlitt admet que tout le monde ne s’adaptera pas à la nouvelle situation, éventuellement à cause d’un âge avancé ou d’une infirmité. Il répond:

     " Il est juste –et en fait, c’est essentiel pour une complète compréhension du problème– que l’on reconnaisse la condition de ces gens, qu’on étudie avec la plus grande sympathie et que l’on s’attache à voir si l’on ne pourrait pas faire servir une partie des bénéfices réalisés grâce à ce progrès particulier, à aider les victimes qu’il a faites, à leur trouver un nouveau travail utile dans un autre secteur de la production“.

    Je suis presque certain que Hazlitt voulait dire que des actions et organisations libres et volontaires devraient prendre en charge ce rôle bienveillant.

    En tout cas, ce qui se produit au niveau d’une seule industrie se déroule également à travers toutes les industries. Le processus que Hazlitt décrit fonctionnera tout aussi longtemps que le marché sera laissé libre de s’ajuster. Utiliser l’État pour volontairement entraver le changement pourrait sauver les emplois que l’on voit, mais il détruira alors tous ces emplois que l’on ne voit pas – ou pire.

    Plus d’emploi, moins de travail, plus de bien-être

    Être capable de gagner sa vie est probablement une condition nécessaire au bonheur. Et le progrès économique signifie effectivement que l’on passe de moins en moins de temps à travailler.

    Bien qu’il soit difficile de calculer précisément combien d’heures par semaine nos ancêtres travaillaient – et certains affirment que les individus dans les sociétés préindustrielles avaient plus de temps libre que les ouvriers dans l’industrie – les meilleures estimations nous montrent que le temps de travail hebdomadaire aux États-Unis est passé de 70 heures en 1850 à 40 heures aujourd’hui. Est-ce une mauvaise chose? Est-ce que travailler moins a conduit l’humanité vers la misère? À la lumière du bilan d’une économie laissée relativement libre, c’est une bien étrange question.

    Regardez, par exemple, cette vidéo par le scientifique suédois Hans Rosling sur la machine à laver de sa mère. C’est une magnifique illustration du fait que cette machine, sophistiquée en son temps, a permis à sa mère de lire avec lui, ce qui l’a aidé à devenir un scientifique accompli.

    J’ai dernièrement diné avec une personne qui a récemment été renvoyée et dont le mari avait un travail épanouissant mais mal rémunéré. Malgré ce revenu familial relativement faible, elle a été capable de voyager à New York pendant un week-end pour assister à un concert de U2, prendre un cours dans un luxueux studio de yoga à Manhattan, et partager un repas végétalien avec un vieil ami. Nos grands-parents en auraient été abasourdis!

    Comme le présente le journaliste britannique Matt Ridley dans son livre The Rational Optimist,

    "L’innovation transforme le monde, mais seulement parce qu’elle aide la division du travail, et favorise la division du temps. Mettons de côté guerres, religions, famines et poésie pour le moment. C’est un grand thème de l’histoire: cette métastase des échanges, spécialisations et inventions appelée par la "création" du temps".

    Le plus grand succès de l’économie de marché n’est pas les emplois qu’elle a créés (même s’ils sont bien réels), mais le temps qu’elle nous offre pour nous permettre de nous épanouir et d’accomplir des choses que personne ne pensait possible.

    Si l’utilisation de robots accroît la productivité du travail, augmente la production, et augmente la quantité, la qualité et la diversité des biens que nous pouvons consommer – et diminue le nombre d’heures que nous avons à travailler – que trouver à y redire? Est-il problématique d’avoir moins à travailler et plus de temps pour améliorer son bien-être et celui d’autrui?

    Dans un système où les individus sont libres d’innover et de s’adapter aux innovations, il y aura toujours assez de travail pour quiconque en désire; nous n’avons juste pas besoin de travailler aussi dur qu’eux.

     [*] Sandy Ikeda est professeur d’économie à Purchase College, SUNY (États-Unis), et est l’auteur deThe Dynamics of the Mixed Economy: Toward a Theory of Interventionism.

    Traduction Contrepoints de " Will Robots Put Everyone Out of Work?"

    Contrepoint.org

  • Hips : système de parking intelligent pour places handicapés

    Faciliter l’accès à n’importe quelle place réservée aux personnes handicapées d’une ville via un système de détection de stationnement connecté et une application. C’est le projet Hips, pour Handicap Intelligent Park System.

    Comment accéder facilement à une place réservée proches d’un lieu recherché? Comment également visualiser celles disponibles? La solution Hips a été pensée pour répondre à de telles questions. Développée par des étudiants de première année de l’Etna (la nouvelle alternance en informatique), elle a d’ailleurs remporté le prix " Jeune pousse " du Défi H, un concours où s’affrontent, à travers des projets innovants, différentes équipes d’élèves issus de grandes écoles ou d’universités françaises et mobilisées pour lutter contre le handicap. Innovant le projet Hips l’est mais pas original, puisque son principe rappelle l’application (gratuite) parking.handicap.fr.

    Un succès qui n’est pas une fin en soi mais une première étape comme l’explique, Adrien Alexandre, un des membres de Hips: "Comme notre projet est concret et qu’il fonctionne, cela fait plusieurs mois que l’on envisage de le faire passer à une autre dimension. Avec l’obtention de ce prix, on va donc monter prochainement une start-up. On sait que Hips peut intéresser les institutions publiques et attirer des entreprises comme les parkings privés. Pour le moment, nous avons déjà entamé des collaborations avec les mairies d’Ivry-sur-Seine et d’Issy-les-Moulineaux, en région parisienne".

     

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