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occitanie - Page 128

  • Le désastre de l'école en France

    Allez lire l'article, il est bien plus long et très édifiant!

     

    France: une enseignante témoigne sans langue de bois du désastre de l’éducation des enfants musulmans

     

    Dreuz, 15 février 2017

    Une enseignante répond à un commentateur sur le blog d’Ivan Rioufol qui prétend que les petits immigrés ou fils d’immigrés sont discriminés à l’école.

    Je suis enseignante (prof d’histoire-géo-éducation civique) depuis plus de 20 ans. J’ai exercé dans 5 collèges de banlieue, dont deux Zep et un établissement classé zone violence.

    J’ai donc vu passer dans mes classes (de la 6e à la 3e) plus de 4 000 jeunes de banlieues, que j’ai eu à charge d’instruire, d’encourager et d’accompagner, avec une bienveillance et une abnégation qui ne m’ont jamais fait défaut.

    Vous prétendez que les populations des banlieues sont "mises au garage dès le collège et le lycée "?

    Que "le socle d’une société épanouie est l’éducation" et, de ce fait, vous insinuez que les minorités ne reçoivent aucune instruction dans notre pays?

    Quelle vaste blague! Non: quelle aberration, quelle mauvaise foi, quelle vision erronée et mensongère de la réalité!

    Mes élèves des cités reçoivent la même instruction que tous les petits Français de souche. Leur instruction est gratuite (sans compter les aides et prestations diverses censées aider ces familles mais qui sont systématiquement dépensées pour tout autre chose que l’école…)

    Si, au terme d’un parcours scolaire la plupart du temps désastreux, le corps enseignant se voit contraint de leur proposer une orientation professionnelle en fin de 3e, c’est qu’on ne peut pas raisonnablement proposer à un adolescent de 15 ans d’envisager de poursuivre des études de médecine alors qu’il n’a toujours pas daigné apprendre à compter (et à parler correctement le français). Ignorez-vous l’importance de la résistance à l’apprentissage du français dans nos écoles?

    Le français est pour eux une "langue étrangère", la langue des "mécréants" comme ils aiment à me le répéter.

    Voici le fruit de ma réflexion, après 20 années d’expérience au contact de votre soi-disant "génération sacrifiée":

    Je suis en première ligne pour témoigner des moyens financiers, humains et techniques mis à dispositions de ces jeunes depuis des décennies (oui, des millions dépensés dans les collèges et lycées pour ces populations).

    Je vous signale, à titre d’exemple, que le collège où je travaille actuellement met à leur disposition permanente 14 TNI d’une valeur totale de 100 000 euros – un dans chaque classe -, deux salles informatiques contenant 50 PC avec connexion internet, une bibliothèque magnifique sur deux étages, des dizaines d’heures de soutien hebdomadaires et tutorats en tous genres (qui coûtent beaucoup d’argent à l’État car payées en heures supplémentaires), un service de restauration quasi gratuit, des voyages scolaires (musées, voyages en Espagne, en Italie, en Angleterre et en Allemagne, pris en charge par le foyer socio-éducatif) etc, etc, etc. Je continue?

    Les autres enfants de la commune (qui ne vivent pas dans la cité) sont loin d’avoir ce genre de privilèges.

    Malgré tout, ces jeunes des banlieues (comme vous les appelez) n’ont que la haine de la France à la bouche. Leur seule référence est "le bled". Leur seul désir: imposer leur culture en remplacement de notre culture nationale. Ils ne s’en cachent même plus: ils le revendiquent comme une fierté.

    Leur communautarisme rend inopérant toute tentative d’instruction et d’intégration.

    Quel que soit le sujet que j’aborde, en Histoire, en géographie ou en éducation civique, je ne rencontre de leur part que mépris et hostilité vis-à-vis de notre passé, de nos valeurs, de notre vision de la démocratie. Je n’ose même plus prononcer le mot "laïcité" en classe, de peur de les voir me vomir dessus ou pire, m’insulter.

    La plupart des collègues ont abdiqué depuis longtemps.

    Hélas, j’ai cru un temps, comme vous, qu’il était possible de leur transmettre connaissances, sagesse et foi en l’avenir de notre communauté nationale.

     

    J’ai renoncé. Je suis tous les jours confrontée aux discours les plus intolérants qui m’aient été donnés d’entendre: propos haineux à l’égard des Français, des juifs, des femmes, des homosexuels… L’évocation du terrorisme fondamentaliste les fait sourire (dans le meilleur des cas) quand ils ne font pas ouvertement, en classe, l’apologie de l’État islamique et de la charia.

    Notre Histoire ne les intéresse pas. Ils ne sentent aucun passé, ni aucun point commun avec les "sous-chiens" et les "faces de craie" comme ils nous appellent.

    Retournez donc à l’école ne serait-ce que pour un petit stage d’une journée… vous seriez mortifié.

    Et vous réfléchirez peut-être à deux fois avant d’écrire de telles inepties.

    © lu en commentaire d’un article d’Yvan Rioufol et publié par Gaïa pour www.Dreuz.info

    Julien Martel

     

    https://ripostelaique.com/soutien-a-cedric-villani-qui-a-ose-lier-echec-scolaire-et-immigration.html

  • Ben, voilà!

    La France doit défendre son héritage chrétien contre le cancer musulman

    Les musulmans sont en droit de défendre les racines musulmanes de leurs pays en dépit des évidences historiques et anthropologiques et les dégâts dévastateurs de l’islam tandis que les Européens ne peuvent pas en faire autant.  Des origines qu’ils doivent cacher pour ne pas heurter les susceptibilités de cette population importée réputée pour son incurie intellectuelle, son fanatisme, son ignorance, son obscurantisme, sa culture monolithique et son amnésie historique.

    Et pourtant, sans les historiens et archéologies européens, jamais l’humanité n’aurait découvert l’histoire glorieuse de l’Irak, la Syrie, la Perse, l’Égypte, les Égyptiens et l’Afrique du Nord.

    L’Europe berceau de deux des plus illustres civilisations, la grecque et la romaine,  n’ose pas se référer à ses racines chrétiennes. La France elle-même a été enfantée par la chrétienté.

    Comme s’il s’agissait d’un passé noir que l’on ne veut pas étaler, peur de l’assumer, on le nie et on le cache du regard de l’histoire, à moins que l’on ne veuille pas froisser la sensibilité des " nouveaux " Européens importés des pays majoritairement musulmans. Un choix qui est en train de basculer l’Europe chrétienne et gréco-romaine dans les fonds abyssaux de l’histoire.

    Dès qu’une voix s’élève pour défendre l’identité chrétienne de l’Europe, elle provoque un tollé général et une vague d’indignation comme si c’était un sacrilège que de rappeler une réalité historique incontestable.

    On doit taire cet héritage chrétien et le passer en pertes et profits. Un voile est mis sur l’histoire de l’Europe à l’image du voile des femmes musulmanes.

    Un sujet tabou que Chirac s’était empressé d’enterrer à l’époque où l’on avait voulu l’inscrire dans la Charte européenne. Il aurait certainement changé d’avis si l’on avait proclamé aussi les racines musulmanes de l’Europe.

    Elle ne doit rien à l’islam. Et ce n’est pas la présence de l’islam en Andalousie et pas sur tout le territoire espagnol qui aurait servi de catalyseur à sa renaissance non plus. L’Europe est sortie de son Moyen Âge contrairement à l’islam qui n’est jamais sorti du sien depuis 1 441ans, à la différence de l’Église qui s’est recentrée sur son rôle d’Église. L’islam n’y est pas encore et jamais il ne se résoudra à séparer le temporel de l’intemporel, c’est signer son propre arrêt de mort.

    Il n’est pas chez lui en Europe. Mais on ne fait rien pour le cantonner à son seul domaine cultuel. On lui laisse les coudées franches pour imposer sa propre vision de l’histoire et son mode de vie au nom de la prééminence de son système de valeurs sur tous les autres.

    L’Europe n’a pas à lui dérouler le tapis rouge et à chercher à le ménager. C’est un conquérant et doit être traité sans ménagement ni réserve.

    Il faut une Europe décomplexée, forte et unie autour des valeurs communes sinon c’est le glas pour elle.

    Ce n’est pas de la haine que de ne pas céder aux desseins hégémoniques de l’islam et ce n’est pas de la haine non plus que de revendiquer haut et fort l’identité chrétienne de l’Occident.

    L’Occident c’est l’Occident et l’Orient musulman c’est l’ Orient musulman, qui ne n’aurait jamais connu la lumière sans les chrétiens d’Orient.

    Salem Benammar

    https://ripostelaique.com/la-france-doit-defendre-son-heritage-chretien-pour-contrer-le-cancer-musulman.html

  • Suède: le premier pays qui tombe

    Lettre d’adieu à une Suède islamisée: les mots d’une femme qui fuit l’enfer pour aller vivre en Hongrie

    A ne pas manquer, Identité française, Immigration

    Lettre d’adieu à une Suède islamisée: les mots d’une femme qui fuit l’enfer pour aller vivre en Hongrie

    Exclusivité Résistance républicaine. L’article peut être reproduit avec le lien d’origine et la mention: écrit et traduit pour Résistance républicaine par Jules Ferry.

    La Suède est  en train de payer lourdement sa tolérance aveugle et son relativisme culturel face à l’islam. La colonisation musulmane est en train de gangrener le pays.

    Certains décident de partir pour fuir l’enfer.

    Voici l’introduction du webmagazine suédois "Katerina" qui publie cette lettre, témoignage effrayant de la Suède vue de l’intérieur:

    J’ai choisi  [la rédactrice du magazine]  de publier cette lettre d’adieu à la Suède. Celle qui en est l’auteur a récemment publié le texte sur Facebook, et je souhaitais que ses mots soient plus largement diffusés. Car ils sont nuancés, équilibrés, tristes, et absolument pas outranciers comme on le reproche souvent aux critiques du système suédois défaillant.

    En effet, beaucoup de gens ressentent la même tristesse dans leur cœur aujourd’hui, en 2019, alors que la situation en Suède devient insupportable à bien des égards.

    Cela résume ce que beaucoup de citoyens suédois ressentent aujourd’hui.

    J’ai déjà publié l’interview d’un couple qui a déménagé à Marbella, mais je pense qu’il est utile de relayer  davantage la parole de ceux qui décident de partir. Peut-être qu’ils peuvent contribuer au réveil des  politiciens. On peut toujours espérer.

     

    Le message de  Mercedes Wahlby.

    "Nous parlons de quitter la Suède depuis cinq ans et nous venons d’acheter un appartement à Budapest"

    Ce n’est pas le cœur léger ni sans une certaine angoisse que nous avons pris cette décision. Nous parlons de quitter la Suède depuis au moins cinq ans, en évoquant la question dans tous les sens. Mon mari d’origine suédoise a été le plus motivé. Au fil des années, j’ai essayé de trouver des tonnes d’excuses pour retarder cette décision.

    J’ai toujours espéré que cela finirait par s’arranger en Suède. Mais année après année, j’ai pu constater que les choses empiraient et j’ai peu d’espoir que cette évolution négative puisse être inversée. Je pense que c’est trop tard et que cela n’arrivera pas de mon vivant.

    Je ne peux plus vivre avec cet énorme stress mental, l’insécurité grandissante, les assassinats, les coups de feu, les exécutions, les explosions, les viols, les viols collectifs, les  vols, les cambriolages des habitations, les passages à tabac, les feux de voitures, les incendies dans les écoles, les grands criminels qui, après un séjour en prison relativement bref, se retrouvent libres et  circulent librement parmi nous, la sécurité sociale de plus en plus démantelée, le manque de personnel soignant, d’enseignants, de logements pour personnes âgées, le manque de soins pour les personnes âgées, le nombre croissant de retraités pauvres, les municipalités en instance de faillite ou en  faillite avérée, toutes ces zones interdites [no-go zones]  nommées avec d’autres mots dans le discours officiel, le  manque de forces de  police à qui il faut une heure et demie ou deux heures  pour se rendre sur les lieux d’un crime en cours, ou bien qui finalement ne font pas le déplacement du tout, ces politiciens menteurs, quelle que soit leur couleur politique et les prétendus médias bien-pensants, l’étouffement de la pensée dissidente, la diminution de la liberté d’expression, de la démocratie et bien sûr -ceci  n’étant pas la raison moindre-  l’islamisation actuelle et généralisée du pays…

    Si j’avais voulu cette forme d’Etat, j’aurais eu le choix entre 53 pays différents !

    Je n’en peux plus d’entendre ou de lire quotidiennement que c’est comme cela dans la nouvelle Suède et que qu’il faut accepter et se satisfaire de  la situation.

    Je n’en peux plus d’entendre les conseils de la police, progressivement complétés par de nouvelles recommandations, comme  verrouillez les portes de la voiture en conduisant, ne sortez pas seule le soir et la nuit, n’allez pas  courir seule dans les bois, ne restez pas dans les ruelles sombres ou les rues, ne portez pas de montres coûteuses ou de bijoux en or, ne portez pas certains types de vêtements, ne montez pas dans certains taxis ou ne vous  promenez pas seule en ville le soir ou la nuit, ne répondez pas aux accusations et ne regardez pas certains hommes dans les yeux pour que cela ne soit pas interprété comme une invitation, etc.

    En d’autres termes, restez entre les quatre murs de la maison!

    J’ai l’impression de vivre dans une prison, de ne pas pouvoir respirer librement, de devoir constamment me poser les bonnes questions, être aux aguets avec mon environnement et regarder par-dessus mon épaule.

    Je suis une citoyenne franco-suédoise depuis de nombreuses années. Je vis en Suède depuis 1972. Je me considère bien intégrée et assimilée. Mon mari a souvent répété, dans le cadre de nos discussions sur l’émigration, que je suis plus suédoise que lui. Il a probablement raison, car j’ai aimé la Suède d’avant et l’ai considérée comme ma patrie.

    La Suède m’a donné beaucoup plus que la France. Tôt dans ma jeunesse, la Suède m’a donné le bonheur. J’y ai aussi trouvé deux merveilleux amours. J’ai eu l’occasion de faire des études dès mon plus jeune âge. J’ai travaillé dur, j’ai eu une carrière et j’ai bien travaillé pendant toutes ces années. J’ai pris ma retraite à 67 ans, mais j’ai continué d’assumer des tâches jusqu’à l’âge de 69 ans. J’ai remboursé toutes mes dettes, y compris les dettes d’études, payé des impôts élevés et contribué davantage au contrat social que je ne l’ai utilisé.

    Pour moi, la Suède est plus qu’un pays avec des paysages magnifiques et merveilleux tels que les hautes montagnes où j’ai passé trois semaines en 1992, les cottages rouge et blancs, les soirées en plein l’été où vous dansez autour du majstången, (fête autour du mât enrubanné/

    arbre de mai) et chantez "Les petites grenouilles". Pour moi, la Suède, c’est aussi la culture suédoise dont nos politiciens, entre autres, nient l’existence.

    La Suède, ce sont les Vikings, leur Ásatrú [culte de divinités tels qu’Odin et Thor],  leurs ravages, jusque dans mon ancienne patrie, la France et plus particulièrement la Normandie, où j’ai mes racines. La Suède, c’est aussi  ses  grands rois tels que Gustave Iᵉʳ Vasa, Charles XII (Carl de Suède), Gustave VI Adolphe de Suède, ses auteurs comme A. Strindberg, S. Lagerlöf, W. Moberg, A. Lindgren, ses artistes comme A. Zorn, B. Liljefors.

    La Suède est A. Nobel, les nombreuses inventions suédoises dont la liste est  longue. La Suède, c’est Skansen avec ses vieux cottages d’antan, où vous pouvez sentir les ailes de l’histoire, son artisanat avec, par exemple, le soufflage de verre, la broderie de paysage, la filature de laine et de lin, le nouage et bien plus encore.

    Au cours des dernières années, j’ai fait des recherches sur un départ dans un nouveau pays. La France est considérée depuis plusieurs années comme une alternative, et  l’Espagne, l’Italie, l’Angleterre, la Belgique et les Pays-Bas ne sont attractifs que d’un point de vue linguistique.

    Le Danemark a longtemps été une opportunité, mais il a ses propres problèmes, même si sa situation n’est pas  aussi grave qu’ici en Suède,  en partie pour d’autres raisons. En dehors de l’UE, il est trop tard pour nous. Nous sommes trop âgés.

    Quant aux pays du Groupe de Visegrád [la Hongrie, la Pologne, la République tchèque et la Slovaquie], plus j’entendais et lisais des choses négatives à leur sujet, plus j’étais intéressée pour enquêter moi-même sur le contenu des allégations. Nous avons visité la Pologne l’année dernière et cette année la Hongrie.

    Je suis restée à Budapest pendant 35 jours et je m’y suis sentie bien.

    Entre autres choses, je me suis sentie en sécurité.

    Chaque jour, je prenais le bus et le métro même tard le soir et la nuit. Pas de problèmes. Je n’oserais jamais faire cela à Stockholm. J’ai vu un peuple sympathique et serviable, fier de son pays, de ses origines et de son drapeau. Devant le Parlement, il y a par exemple un mât avec le drapeau hongrois et  au moment où le drapeau est levé, il est honoré par deux soldats.

    Je ne suis pas  naïve. Je ne pense pas que tout en Hongrie soit parfait. Par exemple, j’ai vu qu’il y avait de la pauvreté, qu’il y avait des personnes âgées qui mendiaient dans les rues et sur les places, probablement parce que leur pension n’était pas suffisante. J’ai vu qu’il y avait des toxicomanes et j’ai entendu dire qu’il y avait des problèmes avec un certain type de personnes comme celles qui traînent devant nos épiceries. Je comprends également que la Hongrie, qui subit de fortes pressions pour ne pas dire une extorsion de fonds de la part de l’UE, sera un jour obligée de faire ce que veut l’Union européenne, mais j’espère que je ne serai plus en vie.

    MERCEDES WAHLBY

     

    Cet article a été publié en suédois sur Facebook et dans le webmagazine; il n’existe à notre connaissance pas de version en français, à ce jour, autre que le présent texte présenté sur RR.

    En suédois:

    https://www.facebook.com/politikfakta/posts/2433593973398990

    http://katerinamagasin.se/vi-har-i-fem-ars-tid-diskuterat-att-lamna-sverige-och-har-nu-kopt-lagenhet-i-budapest/

    Ici en hongrois:

    https://badog.blogstar.hu/2019/08/29/a-level-magyarul/82969/

     

     

    http://resistancerepublicaine.eu/2019/09/09/lettre-dadieu-a-une-suede-islamisee-les-mots-dune-femme-qui-fuit-lenfer-pour-aller-vivre-en-hongrie/

  • Il voit double, le pauvre!

    ... ou plutôt, le riche...

    Val-de-Marne. Le député Jean-Jacques Bridey, LREM, ancien maire de Fresnes, se faisait rembourser deux fois ses notes de frais

    Le député LREM, qui s’est fait rembourser deux fois de nombreux repas en 2016 et 2017 évoque "une simple erreur d’inattention sur quelques doublons". MENTEUR, VOLEUR, ESCROC...

    Jean-Jacques Bridey, l’ancien maire (PS) de Fresnes et député LREM n’est plus seulement soupçonné d’avoir indûment perçu 100 000 euros grâce au cumul de ses différents mandats et d’avoir laissé des frais de bouches dispendieux à la société d’économie mixte locale d’aménagement de Fresnes (Semaf) — qu’il a présidé de 2001, date de sa première élection municipale, jusqu’en juillet 2017, à la fin de son mandat de maire.

    L’ancien maire, proche d’Emmanuel Macron, s’est aussi fait rembourser deux fois, en 2016 et 2017, des notes de frais contractés au restaurant " À la marée ", un établissement de Rungis qu’il fréquentait régulièrement. Une fois par la Semaf et une deuxième fois par la mairie de Fresnes.

    En mars 2016, la mairie de Fresnes et la Semaf ont toutes deux remboursé 724,20 euros – soit 1448,40 € in fine – pour un déjeuner (le 14 mars, trois couverts, 303,80 euros) et deux dîners (le 2 mars, trois couverts, 215,60 euros et le 23 mars, deux couverts, 204,80 euros). Le rituel est le suivant: quelques coupes de champagne (14 € l’unité) en guise d’entrée en matière, suivies d’huîtres, de gambas, de Saint-Jacques, de poissons fins… Le tout souvent accompagné d’une bouteille ou de plusieurs verres de vin.

    Contacté, Jean-Jacques Bridey assure qu’il va "rembourser". L’ancien maire minimise les faits ("On ne va pas en faire un fromage!") c'est toi qui pue! évoquant " une simple erreur d’inattention sur quelques doublons " sans pour autant en expliquer la raison.

    (…) Le Parisien

     

  • Ne soyez plus naïfs-ves!

    Villeurbanne: le déséquilibré poignardait les Français et épargnait les musulmans !

    L’islam a encore tué. La nouvelle victime est un jeune de 19 ans, un " mécréant " dont le seul tort était de ne pas être musulman. Le coupable, un Afghan, un tueur shooté au discours de haine du Coran, un demandeur d’asile censé fuir les persécutions, mais venu pour ensanglanter nos rues. Huit personnes ont également été blessées.

    Évidemment, on s’empresse de nous dire que c’est un déséquilibré et qu’il n’a pas crié "Allahu akbar". Éternelle culture du déni et maquillage de la sanglante vérité. Il est tellement plus facile de persécuter les patriotes et les Identitaires que de protéger le peuple français. Ce nouveau crime, nos élus en sont les complices.

    C’est l’islam qui tue, mais ce sont les Identitaires qu’on accuse d’incitation à la haine. Un grand classique de la soumission et du renoncement.

    "Il était déterminé à tuer, il a choisi ses victimes sur son parcours, il est revenu en frapper au sol", assure un agent qui était sur les lieux.

    Et selon un témoin de la scène, l’agresseur aurait répondu à ceux qui l’entouraient: "Ils ne lisent pas le Coran!".

    Pendant que Macron ne se déplace plus sans ses légions de gendarmes mobiles et de CRS, depuis la crise des Gilets jaunes, les Français sont abandonnés à la violence de racailles musulmanes qui tuent, violent ou agressent quotidiennement au nom d’Allah.

    Personne n’a oublié Laura et Mauranne, 20 et 21 ans, l’une égorgée, l’autre éventrée par un barbare clandestin qui aurait dû être expulsé depuis des années.

    Car l’assassin était un Maghrébin clandestin arrêté 8 fois depuis 2005 et jamais expulsé !

    https://ripostelaique.com/vous-avez-tous-sur-les-mains-le-sang-de-laura-et-mauranne-poignardees-par-un-musulman.html

    Personne n’a oublié les enfants juifs massacrés devant leur école à Toulouse.

    Personne n’a oublié le patron décapité par son employé musulman, ni le prêtre Hamel égorgé en pleine messe, ni le jeune couple de policiers, égorgé chez lui devant son enfant de 3 ans.

    Personne n’a oublié les tueries de masse à Charlie Hebdo, au Bataclan, à Nice, ni les nombreux soldats et policiers attaqués dans les rues. Tous ces  crimes ont été commis au nom d’Allah, au nom de la religion de paix et d’amour.

    La barbarie dans nos rues, ce sont nos élus qui l’ont importée. Car l’insécurité est d’origine immigrée à plus de 80%. Les 2/3 des détenus sont musulmans, selon Jack Lang.

    Il y a plus de 1 000 agressions gratuites par jour contre les mécréants. En France, on meurt pour un regard ou une cigarette refusée. On meurt parce qu’on a croisé un fou d’Allah ou parce qu’on est tombé sur une bande de racailles décidées à se faire un Blanc. On peut aussi mourir d’une balle perdue dans un règlement de comptes à la kalachnikov.

    En cinquante ans la criminalité a été multipliée par cinq. Tout le monde a peur.

    Les élus ont peur et courtisent le vote musulman en courbant l’échine.

    Les policiers ont peur car le pouvoir capitule, par crainte des émeutes.

    Les enseignants, les personnels soignants, les femmes, les enfants ont peur, au travail, dans les transports, dans la rue ou à l’école.

    Même les juges ont peur des représailles. L’autorité de l’État s’est liquéfiée au nom du vivre-ensemble, alors que nos immigrés rejettent nos valeurs et notre culture. Plus la situation s’aggrave, plus nos élites en redemandent!

    70% des Français ne se sentent plus en sécurité nulle part.

    Et que fait Macron ?

    Autour du président Macron, une sécurité renforcée pour assurer sa protection rapprochée

    Rappelons tout d’abord qu’il a renforcé sa protection rapprochée, laquelle est passée de 77 membres à 130! L’insécurité quotidienne, c’est réservé au peuple.

    https://www.valeursactuelles.com/politique/terrorisme-macron-double-ses-propres-effectifs-de-securite-89539

    Au plus fort de la crise des Gilets jaunes, en décembre 2018, pas moins de 600 policiers et gendarmes protégeaient le bunker élyséen de notre Président terrorisé!!

    Il ouvre les frontières toujours plus largement, en signant le Pacte de Marrakech dans le dos du peuple, aggravant ainsi une insécurité devenue démentielle. La France devient le pays le plus dangereux d’Europe, avec la plus grosse concentration d’immigrés du continent.

    Il abandonne le projet de construction de 15 000 places de prison jugé indispensable pour réduire la surpopulation carcérale et prendre en compte les 100 000 peines de prison ferme jamais exécutées faute de place.

    Des 15000 places promises par Macron, on est d’abord tombé à 7000 places faute de crédits. Et aujourd’hui nous en sommes à 2 000, qui ne verront jamais le jour puisque Bercy vient encore de diminuer le budget de l’administration pénitentiaire de 200 millions.

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/prisons-surpeuplees-budgets-en-baisse-20190830

    Ma génération, celle des baby-boomers, a connu la France paradisiaque des années 70. Un pays riche et prospère, sans chômage, sans immigration extra-européenne, sans la moindre insécurité et sans guerre. Une génération bénie.

    Mais en l’espace de deux générations, nos élus en ont fait un pays ruiné et de plus en plus dangereux, au point que l’ex-ministre de l’Intérieur prédit une guerre civile dans les cinq ans si rien ne change.

    Le résultat de cette immigration-invasion est devant nos yeux et on mesure à quel point le multiculturalisme est enrichissant.

    Car chaque jour c’est bien l’islam qui tue, pas le Saint-Esprit. On ne tue pas au nom du Christ, de Bouddha ou de la déesse Kali. On tue au nom d’Allah et lui seul. Tout simplement parce que c’est écrit dans le Coran.

    Ceux qui ne l’ont pas lu, comme l’inénarrable Juppé, n’ont qu’un seul droit. Celui de se taire, au lieu de vanter les mérites d’une religion qui va désintégrer la nation.

    Voilà quarante ans que le pays est abandonné, livré à une immigration dévastatrice. Des millions de citoyens ont vu leur quotidien détruit par l’immigration. Des milliers de familles juives ont fui le 9-3 par peur de cet antisémitisme musulman que nos élites bien-pensantes ont peur de désigner.

    Soumission et lâcheté de nos élus sont le terreau de la violence islamique. Tous ces élus capitulards ont les mains rouges du sang des victimes.

    Chaque matin, on peut découvrir des titres comme celui-ci, paru aujourd’hui.

    "Trois agressions à l’arme blanche se sont déroulées en 72 heures sur le secteur de Montpellier, devant une discothèque, dans une salle de concert et à proximité de la gare Saint-Roch".

    C’est cela, la France multiculturelle paradisiaque de Macron. Et soyons assurés que tout va empirer.

    "La France, une vieille pute qui ne demande qu’à se faire baiser. On se torche le cul avec le drapeau français".

    Pendant que nos soldats meurent en combattant les jihadistes en Afrique et au Moyen-Orient, voilà ce qu’on peut lire sur la toile,  preuve que l’intégration est réussie! La menace, elle est davantage dans les banlieues radicalisées qu’au Sahel.

    Comment une religion qui s’est répandue par l’épée et entend imposer son modèle monoculturel, pourrait-elle s’intégrer? Dans tous les pays où l’islam est en choc frontal avec d’autres religions, il est l’agresseur.

    https://www.islam-et-verite.com/222674-2/

    Par leur lâcheté sans nom, nos élus sèment les germes de la guerre civile et creusent les fondations du grand califat mondial dont rêvent les islamistes.

    https://lesobservateurs.ch/2016/07/29/une-guerre-civile-europeenne-inevitable-dici-2025-paul-weston/

    Tout le reste, économie, chômage, réformes… n’est que broutille comparé à la menace islamiste qui va tout emporter.

    Jacques Guillemain

    https://ripostelaique.com/villeurbanne-le-desequilibre-poignardait-les-francais-et-epargnait-les-musulmans.html

  • Quartiers défavorisés : le plan d’attaque du gouvernement

    Par Auteur valeursactuelles.com

    Les ministres de la Cohésion des territoires, Julien Denormandie, et de l'Éducation, Jean-Michel Blanquer, ont dévoilé la liste de 80 quartiers appelés à être des "cités éducatives".

    Endiguer l’échec scolaire dans les quartiers défavorisés est-t-il possible? Le gouvernement semble y croire, et a dévoilé, jeudi 5 septembre, à Clichy-sous-Bois la liste des 80 quartiers défavorisés labellisés "cités éducatives", comme le relève le journal Le Monde. Issu du rapport Borloo, le dispositif vise notamment à améliorer la réussite à l’école. Un des moyens de cette réussite: l’intensification de la prise en charge extrascolaire.

    100 millions d’euros sur trois ans

    Sur les 80 "cités éducatives" présentées, une vingtaine de communes de la région d’Île-de-France ont été retenues par le dispositif. On y compte La Courneuve en Seine-Saint-Denis, Villiers-le-Bel dans le Val-d'Oise ou encore Trappes dans les Yvelines.

    L’enveloppe est conséquente: 100 millions d’euros sur trois ans pour financer des actions scolaires et périscolaires.  Avec ces cités éducatives, le gouvernement souhaite  intensifier les prises en charge éducatives des enfants à partir de 3 ans et des jeunes jusqu’à 25 ans, avant, pendant, autour et après le cadre scolaire", en créant un  écosystème favorable". Une idée qui n’est pas originale. Jean-Louis Borloo l’avait en réalité empruntée à une initiative expérimentée à Grigny (Essonne) en 2017. Le projet alors était de limiter le décrochage scolaire et de mieux suivre le parcours des, étudiants en ayant recours à des professionnels -dans le cadre de stages par exemple- ou à des travailleurs sociaux intervenant dans les cours.

    Et le communautarisme? et la drogue? et les femmes emballées? les trafics?

    C'est un emplâtre sur une jambe de bois!