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occitanie - Page 165

  • Macrouille, pochetron

    Manu (Macron) paye sa tournée au PMU! Grand malaise au bar…

    Manu voudrait qu’on lui "dise les choses"… Le problème c’est que les copains, au bar, "zont" beau être au PMU du coin, ils sont bien plus fins que ce que le représentant du monde de la finance peut croire.

    Allez, les gars, quoi… dites quelque chose au président!

    Et là… rien.

    Les gus, au comptoir, silencieux et muets comme des carpes.

    Faut dire que quand Manu vient avec ses gros bras, et qu’on se fait embarquer à la première incartade, disons-le, cela n’appelle pas aux confidences au président

    Vous remarquerez à quel point les gens sont mutiques. Ils ne veulent pas parler.

    Macron, lui, est venu faire son cirque. Il faut parler pour que nos mamamouchis puissent poursuivre leur spectacle.

    Vous remarquerez aussi la puissance du peuple.

    Vous remarquerez que si nous cessons de jouer, les acteurs se trouvent bien seuls et bien nus sur scène.

    La plus grande des révolutions est celle de la désobéissance civile.

    Chaque citoyen doit tout simplement refuser de jouer le rôle qui lui est dévolu.

    Cela peut sembler simple, ça l’est. Cette vidéo montre la puissance du refus calme, posé, d’un peuple de servir la soupe au Président.

    Résultat? Comme les clients du PMU se refusent à lui servir la soupe, Manu est obligé de servir à boire… pour délier les langues.

    Cela en dit long, très long sur la popularité de nos mamamouchis.

    Charles SANNAT

    Il parait que pour éviter du bordel, la plupart des clients étaient des militans Larem… eux, ils sont déjà en adoration de leur idole, ils savent tout de lui, jusqu'à la couleur de ses calçons… donc, y zont plus rien à lui demander… sauf peut-être:

    “Grand Macrouille, vite, dis-nous, c'est quand ta nouvelle taxe? On nest tellement zeureux de savoir ce que tu fais pour nous, qu'on est bien zavides de savoir“…

    Quoique, le mot “avide“ est un peu compliqué pour leur vocabulaire… la plupart des Français doivent se ballader un dictionnaire en poche pour comprendre le Français parlé par les premiers de la classe.

  • Celtes, Gaulois, Francs: nos ancêtres les Français

    Notre hors-série Nos ancêtres les Français sort cette semaine! Pour l’occasion, Valeurs actuelles a choisi de se pencher sur les peuples celte, gaulois, francs, qui ont les premiers constitué la nation française et l’ont fait grandir pendant des siècles, au grès des guerres et des alliances.

    En ces temps de polémique incessante sur notre identité et nos origines, Valeurs actuelles a choisi d’aller droit au but. A savoir, à la genèse du peuple de France. Si " Nos ancêtres les Gaulois ", formule popularisée par un historien du XIXe siècle, est désormais proscrite des livres d’histoire pour des raisons idéologiques, elle ne cesse pourtant de signifier, pour nombre de nos compatriotes, un point d’ancrage leur permettant de se définir et de se sentir membres d’un même pays.

    C’est Vercingétorix le premier qui est mis à l’honneur dans nos pages, une manière de lui rendre justice, lui qui a fini par être mis à l’index des programmes d’histoire. Notre passé gaulois a pourtant compté dans la formation du roman national. Alors, tout, vous saurez tout sur nos fameux ancêtres casqués et chevelus, des mégalithes de Carnac (- 3500 avant J.C.) au baptême de Clovis (qu’on estime remonter à l’an 498 de notre ère). Et vous serez surpris de trouver chez les Celtes les balbutiements de notre civilisation, avec ses banquets, sa pratique de la chasse et même … ses centres commerciaux! De premières halles ayant été retrouvées à Lacoste en Gironde.

    Après avoir rendu à Astérix le joyeux hommage qu’ils lui doivent, nos journalistes reviennent sur le mode de vie des Gaulois, leur pratique de la religion, leur histoire et leur confrontation avec le peuple romain. Les conditions de leur reddition, ou plutôt de la fusion de leur culture avec celle de l’envahisseur sont également abordées. Cette étude du consensus gallo-romain, aux origines latines de la France, avec des évocations des villes de Nîmes et d’Arles permet de mieux apprendre tout ce que les descendants de Romains nous ont légué.

    Que savez-vous, enfin, des bijoux, et des animaux que nos ancêtres vénéraient? Comment mangeaient-ils? Plongez aussi au cœur de la signification des symboles celtes, et de ces quelques mots qu’ils nous ont légués. Avec Bainville, Lavisse, Renan pour appui, plongez aux origines de notre histoire. Qui étaient les Francs, Clodion, ou Childéric? Et lorsque l’on parle d’" invasions barbares ", de quoi est-il exactement question? L’histoire de Clovis, celle du vase de Soissons, les origines de la loi salique, le rôle de Saint-Martin, évêque de Tours dans la conversion du roi des Francs: tout ceci est abordé dans ce nouveau hors-série d’une richesse exceptionnelle. Découvrez enfin dans ce numéro les merveilles de l’orfèvrerie mérovingienne, le parcours de Saint-Rémi, les origines chrétiennes de notre pays.

    Un numéro foisonnant, essentiel, pour comprendre l’Europe, la France, nos racines. 9,90€. Aujourd’hui en vente en kiosque et dans notre boutique en ligne.

    Valeurs Actuelles.com

  • Devoir de Mémoire

    Mon grand’oncle Léon Mellard, frère de ma grand’mère Rosa, a laissé un journal de campagne, commencé le 28 août 1914, date de son départ de chez ses parents à Lievin (Pas de Calais) et terminé le 03 mars 1916. Il est décédé trois jours plus tard.

    Ce journal a été rendu à sa famille; dans ce journal sont évoqués à maintes reprises, sa mère Élisabeth,  ses sœurs Élise, Marie, Rosa, son frère Pierre (décédé lui aussi, en juillet 1915, il l’apprend par sa mère à cette date), la femme de Pierre, Suzanne.

    De sa position il montre un souci constant pour sa famille, mais surtout pour sa fiancée Hélène dont il ne reçut, pendant ces 19 mois,  qu’une unique lettre le 08 octobre 1914, datée du 24 septembre,  Le questionnement est de plus en plus pressant, angoissé la concernant, au fur et à mesure que le temps passe ; il sait que le nord a été envahi par les allemands, il apprend les évacuations, les retours de populations, etc., les vrais et faux bruits qui ne le rassurent pas ; « vite, vite que Liévin soit délivré et que j’ai des nouvelles d’Hélène, Vite, Vite, Vite » il n’a pour lui que le recours à la religion, il est très croyant et pratiquant ; messes, vêpres et salut font partie de son quotidien; il communie; il invoque la protection de Dieu et de la vierge Marie.

    Ce récit va de la narration de ses déplacements, essentiellement en train, parfois en ambulance, à ses activités liées à sa condition de soldat (Caporal) sur le terrain c’est-à-dire les corvées, les manœuvres et les marches, le front en première ou deuxième ligne, le repos, les permissions –il en aura deux-, le quotidien sans confort, couchage, nourriture. Il se plaint très rarement; le ton  semble parfois monotone, mais plus souvent coloré, et des expressions reviennent: quelle misère, quelle guigne, je m’ennuie, je m’ennuie, vivement la paix.

    Il apprend la manière de transmettre la pensée avec les cartes qu’il recopie (une page et demi), la veille de son départ pour les tranchées,  il apprécie certains paysages, quand la nourriture s’améliore, le confort d’un lit d’hôpital. Reviennent aussi souvent ses démarches auprès de la sous-préfecture pour savoir où est sa famille, les listes d’évacués, auprès de l’autorité militaire pour savoir où sont affectés ses amis.

    Son dernier écrit, c’est une courte lettre datée  du 03 mars 1916; il l’a écrite assis sur mon sac dans la tranchée sous une toile de tente car il n’y a pas d’abri, et il pleut, quelle misère; le canon gronde bien fort et il y a fusillade au bois où était Pierre...... C'est bombardé chaque jour...... Priez bien je compte sur vous...

    Martine D. - Octobre 2018

    https://mellard1916.blogspot.com/

  • La preuve que les vegans sont des crétins confirmes

    Une pub dans le métro de Paris contre le massacre des rats".Ils ne sont pas une menace, ils ont le droit de vivre".

    "Les rats ne sont pas nos ennemis". C’est le message de l’association Paris Animaux Zoopolis, qui a lancé une campagne d’affichage dans le métro, à Paris. Une opération "destinée à remettre en cause l’image négative des rats, issue de préjugés, et à contester l’empoisonnement des rats à Paris". Devant la présence accrue des rongeurs dans ses rues et dans ses espaces verts, la Ville de Paris a mis en place en 2017 un plan d’action pour les éradiquer, "dans l’intérêt de l’hygiène et de la santé publique.

    Une opération de dératisation que l’association dénonce comme un "massacre". Les rats ne sont pas une menace, ils ne sont pas sales ni dangereux. Ils ont le droit de vivre", explique Philippe Reigné, le cofondateur de l’association, qui pointe du doigt "l’hypocrisie institutionnelle de la Ville de Paris et de la préfecture de police".

    Ces mesures sont prises sous couvert d’arguments sanitaires totalement infondés. […] Nous devons apprendre à cohabiter avec les animaux. Ils sont aussi légitimes que nous à vivre en ville".

    Source magazine Closer, BFM TV et RTL

     

  • La vraie histoire de la France des années 30 Vs 2018

    Puisque Macron veut parler des années 30, allons-y, et tant pis pour lui !

    J’ai bien aimé la comparaison faite par Macron entre la situation européenne actuelle, en proie à la lèpre nationaliste, et sa situation dans les années trente.

    Je n’ai pas aimé la comparaison pour elle-même mais pour l’erreur fondamentale qu’elle contient et qui permet de ridiculiser le locataire de l’Élysée.

    Évoquer la lèpre nationaliste revient à assimiler Marine Le Pen et Marion Maréchal, dictateurs en jupons, à Hitler et Mussolini.

    Or, je ne vois pas ces dames actuellement parader au pas de l’oie, en uniforme, bras tendu avec brassard et croix gammée.

    Je n’ai pas vu non plus de meeting du Rassemblement national dans un grand stade avec marche aux flambeaux, prestation de serment et forces de l’ordre couteau à la hanche et brodequins aux pieds.

    Les rédacteurs des discours du locataire de l’Élysée font des comparaisons intenables entre les deux époques en tentant de stigmatiser les actuels opposants nationalistes de France.

    Ils sont en plein contresens historique en affirmant que la volonté hégémonique et expansionniste des dictatures des années trente, en Europe, Allemagne et Italie, en Asie, le Japon, seraient à l’œuvre dans les partis nationalistes de 2018, car c’est tout le contraire qui nourrit les mouvements nationaux du XXIe siècle.

    Dans les années trente, il s’agissait de passer les frontières pour voler les richesses du voisin.

    En 2018, il s’agit de fermer les frontières pour que les peuples d’Europe ne se fassent pas voler leurs richesses au sens large : richesse en avoirs mais aussi richesse culturelle, richesse intellectuelle, richesse en liberté d’être, richesse en tranquillité et en bien-vivre ensemble entre gens de bonne compagnie, richesse de lire, travailler, écrire, étudier et sortir le soir sans se faire tirer dessus ni se faire égorger par les musulmans et les mafias macronienne et merkellienne.

    Le plus drôle, c’est que l’individu de l’Élysée, dont on nous dit pourtant qu’il aurait fait "les grandes écoles", ne semble même pas être capable de saisir le tissu d’âneries qu’on lui fait lire devant les micros et sur les plateaux TV.

    Les conseillers de l’Élysée se seraient montrés beaucoup plus judicieux à établir un parallèle entre les dirigeants des démocraties européennes des années trente et les actuels putatifs démocrates détenteurs du pouvoir en France.

    Dans ce dernier lot, je mets toute la classe politique LREM et ses obligés pour des postes à pognon de dingue du Modem, les mous du coude Républicains comme Juppé, Bertrand, Raffarin, Pécresse, les sans-parti de la bonne pensée, etc., les socialistes et hamonistes et même jusqu’à certains Insoumis qui, nonobstant leur appellation, se révèlent on ne peut plus soumis.

    Pourtant les points de similitude ne manquent pas entre les démocrates et démocraties actuels et les dictatures et les démocrates de l’époque.

    En 1933, en Allemagne, les juifs et les magasins juifs étaient attaqués sans relâche par les SA de Röhm.

    En 2018, en France, les juifs et les magasins  juifs font l’objet d’un génocide à bas bruit de la part  des troupes musulmanes de Macron.

    En 1933, en Allemagne, le bureau de la propagande autorisée interdisait toute voix divergeant de la ligne éditoriale officielle.

    En 2018, en France, Macron a désormais interdit de dire les vérités qui dérangent, notamment sur les musulmans qui ont déclaré la guerre au pays.

    En 1933, en Allemagne, des bandes de nazis occupaient les rues, traquant et bastonnant tous ceux qui ne leur revenaient pas.

    En 2018, en France, les bandes musulmanes et les bandes tout court de Macron traquent et bastonnent impitoyablement les Français qui ne leur reviennent pas, les dépouillant de tout ce qu’ils ont de valeur sur eux.

     

    En 1933, en Allemagne, les homosexuels étaient pourchassés, traqués, bastonnés en pleine rue par les tenants du pouvoir.

    En 2018, en France, il en va de même. Les musulmans protégés du pouvoir en place n’hésitent plus, tous les jours, à manifester violemment leur homophobie et lesbophobie par des tabassages en règle pour déviationnisme coranique. Sans que la justice, complice, n’y fasse rien, qui laisse tout ce petit monde bien en liberté pour mieux terroriser la France comme en Algérie dans les années 90.

    Autant prévenir dès aujourd’hui tous les membres des associations qui sont révoltées par ces agissements : en pays musulman, les homosexuels sont jetés des toits et les femmes libérées sont lapidées.

    Ils échappent encore au pire à ce jour en France, mais avec Macron en 2022, ils devraient savoir maintenant leur avenir, il leur faudra choisir dans les urnes entre un destin final avec LREM et ses affidés et un destin normal avec Marine et Marion, peut-être même dès 2019 pour un coup d’arrêt européen au totalitarisme musulman et dès 2020 pour un arrêt local de l’avancée de la peste brune dans leur commune.

    En 1933, en Allemagne, il était vain pour tout juif ou opposant qui s’était fait molester et voler en pleine rue au vu et au su de tous, police comprise, de porter plainte et d’espérer réparation de la part des tribunaux et la condamnation des auteurs des razzias et exactions.

    En 2018, en France, il en va de même, voyous, truands, assassins qui vous volent, tabassent, violent sont à nouveau libres dans la rue le soir même, prêts à recommencer.

    Les plaintes, quand elles sont seulement prises en compte, n’aboutissent jamais, les réparations ne sont jamais recouvrées et les juges manifestent plus d’indulgence pour les auteurs des agressions que pour les victimes.

    De 1933 à 1938, les politiciens de France et de Grande-Bretagne ont constamment baissé leur pantalon devant Hitler et Mussolini alors qu’une guerre préventive évitait toute la suite et n’aurait jamais obligé d’appeler au secours les Américains.

    En 2018, Macron et Merkel baissent constamment pavillon, pour rester poli, devant les bandes d’allogènes qui s’arment dans les banlieues, qui cassent et brûlent les lieux de culture et d’épanouissement, comme les écoles, les gymnases, les médiathèques.

    Avant, très bientôt, d’être obligés d’appeler au secours les armées libres de Pologne et de Hongrie qui, seules, demain, seront capables d’éradiquer la peste brune musulmane et mafieuse qui gangrène l’Europe et son économie.

    En 1938, c’est Daladier et Chamberlain qui livrent la Tchécoslovaquie à Hitler.

    En 2018, c’est Macron et Merkel qui livrent le Royaume françois et le Saint-Empire germanique aux troupes ennemies sarrasines.

    Ainsi, ceux qui rédigent les pensées et discours de l’hôte de l’Élysée, que ce dernier va réciter sans sembler les comprendre devant les journalistes, ont fait un mauvais parallèle et ne sont pas capables  d’appréhender le sens de l’Histoire et de la réalité en marche, bouffis de l’idéologie qui les aveugle.

    Les nationalistes européens de 2018 n’ont d’autre but que de protéger l’Occident d’une guerre contre les allogènes et les Sarrazins qui se comportent vindicativement comme les régimes hitlérien et mussolinien de 1933.

    Les soi-disant démocrates au pouvoir en Europe actuellement, Juncker, Merkel, Macron et les autres ont exactement la même attitude que leurs prédécesseurs des années trente : reculer devant la montée des périls jusqu’à livrer des pays comme la Tchécoslovaquie au fascisme allemand, croyant, comme le dira Churchill, éviter la guerre dans le déshonneur pour finir par avoir et la guerre et le déshonneur.

    Or, Macron, Merkel, Juncker et leur bande, c’est exactement cela, la guerre et le déshonneur, qui laissent l’infiltration de notre Europe par les 5es colonnes de l’ennemi, allant même jusqu’à les soutenir et les armer contre les vrais défenseurs des démocraties de pays qui veulent rester libres : les nationalistes.

    Jean d’Acre

     

    PRENEZ VOS PRÉCAUTIONS

    fin mai jusqu'à fin septembre 2020, cela ira très, très mal en France

    et cela ira mal de septembre 2020 et les 18 mois suivants!

     

  • Prendre exemple sur les Italiens....

    "En Italie, si vous êtes radicalisé, on vous expulse, c’est aussi simple que cela"

    Depuis 2001, l’Italie est le seul grand pays occidental à n’avoir connu aucun attentat terroriste islamiste. Une exception qui perdure grâce à un cocktail unique de répression policière et de facteurs démographiques. Les explications de Lorenzo Vidino, expert du djihadisme à l’Université George-Washington et ancien coordinateur de la Commission italienne d’étude sur la radicalisation.

     […]

    Pourtant, avant même les attentats du 11 septembre 2001, l’Italie était un foyer de l’idéologie djihadiste…

    La mosquée de l’avenue Jenner à Milan était en effet le principal foyer du djihadisme à destination de la Bosnie dans les années 1990. Le premier attentat suicide en Europe a été commis en 1995 à Rijeka (Croatie), par un djihadiste qui venait de là. La mosquée a alors été perquisitionnée et plus de 50 personnes arrêtées. L’Italie a été l’un des premiers pays européens avec la France à ouvrir les yeux sur ce phénomène. Son grand succès a été de faire en sorte que cette mosquée n’attire pas de nouvelles recrues. La pression policière l’a forcée à se refermer sur elle-même.

    Vous avez parlé de la pression policière. En quoi la méthode italienne est-elle différente ou plus efficace?

    Elle cible avant tout ceux qu’on appelle les "mauvais maîtres", les cattivi maestri, ces mentors qui attirent les jeunes sur la voie de la radicalisation. S’ils ne sont pas Italiens, et la grande majorité ne le sont pas, ils sont expulsés systématiquement. C’est la tolérance zéro: si vous êtes radicalisé ou si vous radicalisez d’autres gens, et que vous n’êtes pas Italien, vous êtes expulsé, c’est aussi simple que cela.

    Depuis le 1er janvier 2018, 109 personnes ont été expulsées d’Italie pour menace à la sécurité nationale. Depuis 2015, cela fait plus de 350 personnes expulsées, soit environ deux par semaine. C’est un outil majeur à disposition du gouvernement italien, issu d’une loi passée après les attentats de Londres en 2005. La déportation est décidée par décret ministériel, sans recours suspensif possible. […]

    Le Temps