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occitanie - Page 169

  • Pitoyable, indécent, grotesque!

    "Faut pas refaire des bêtises, hein ?" : Macron sermonne un jeune ex-braqueur à Saint-Martin

    Invitant le jeune homme "costaud comme tout" à participer à la reconstruction de Saint-Martin, le président de la République a voulu s'assurer que celui-ci avait mis son passé de braqueur derrière lui, en lui intimant de ne "pas refaire de bêtises".

    Emmanuel Macron le répète désormais à l'envi, il souhaite "retourner au contact des gens". En chute dans les sondages depuis des mois, le chef de l'Etat en quête de popularité a visiblement dans l'idée de faire taire les critiques sur son attitude jugée hautaine. "J’aime profondément être avec mes concitoyens, à portée de visage et d’embrassades ou d’explications", soutient-il ainsi dans les colonnes du Journal du dimanche le 30 septembre. "On a besoin d'être au contact, d'être naturel", insiste-t-il encore.

    Liant la parole aux actes, le président de la République est allé à la rencontre des habitants à l'occasion de sa visite à Saint-Martin. Dans une séquence filmée par les caméras de BFMTV ce 30 septembre, il s'est notamment retrouvé face à un jeune qui, selon ses propos, se trouve être un braqueur repenti. "Il faut des jeunes comme toi pour faire les travaux, pour reconstruire. Les jeunes comme toi là, t'es costaud comme tout", lance-t-il au jeune homme torse nu, sans hésiter à lui toucher l'épaule. "Faut pas rester comme ça, et pas refaire des bêtises, hein? Les braquages c'est fini", poursuit Emmanuel Macron, en s'assurant de la parole de son interlocuteur, les yeux dans les yeux. "Tu me l'as dit, tu n'oublies pas ?", conclut le chef de l'Etat avant de prendre dans ses bras la mère du jeune homme.

     

  • Macrouille en rade!

    Macron à l’ONU : un discours dans le vide

    Emmanuel Macron a délivré sa vision du monde, qui est celle du chef d’État d’une puissance faible.

    Par Jean-Baptiste Noé.

     « Nous assistons à une nouvelle instabilité du monde » déclare Emmanuel Macron devant l’ONU pic.twitter.com/bAjeMuE9Vn

     — BFMTV (@BFMTV) 25 septembre 2018

    C’est face à une salle assez vide qu’Emmanuel Macron a délivré un discours de quarante-cinq minutes à l’ONU, une enceinte où des milliers de chefs d’État ont défilé et qui n’a que très peu de prise sur le cours de la diplomatie mondiale. Dans un discours lourd, souvent incompréhensible, à la hauteur de sa pensée complexe qui est le reflet de l’écriture absconse de Paul Ricoeur, Emmanuel Macron a délivré sa vision du monde, qui est celle du chef d’État d’une puissance faible.

    En appeler au multilatéralisme contre l’unilatéralisme n’a rien de nouveau. Il visait Donald Trump, sans le nommer, qui avait parlé un peu avant lui. On était très loin des embrassades de la visite d’État à Washington. Taper sur Trump n’est pas nécessairement une marque de courage. C’est une manière de se situer dans le camp du Bien. En appeler au multilatéralisme est la stratégie des puissances faibles et petites, qui n’ont pas d’autre choix pour peser sur la scène mondiale. Pas sûr que la Chine, la Russie et les États-Unis s’intéressent à cela.

    C’est surtout le discours d’un chef d’État sans vision et sans stratégie. Il y aurait pourtant beaucoup à dire, et surtout à faire. Le Pacifique, par exemple, où la France est présente et qui est une zone hautement stratégique. Il faudrait davantage parler de la Nouvelle-Calédonie et de sa place dans la puissance française. De la Syrie aussi, où la France s’est isolée alors qu’elle était centrale.

    Macron en perte de vitesse

    Face aux vagues migratoires. L’accueil certes, mais les peuples sentent bien que ce n’est plus la solution. Macron était le chouchou de l’Europe. Le voilà devancé par Matteo Salvini et le chancelier Kurz. Il est désormais asphyxié dans le continent qui devait être sa gloire. Alors il lui reste la tribune de l’ONU, comme un acteur qui veut se persuader qu’il a encore du talent. Mais l’ONU n’intéresse pas grand monde et n’a pas beaucoup de pouvoir.

    Sa bureaucratie est ravie d’être mise sur le devant de la scène, mais son secrétaire général est invité plus par politesse que par obligation. C’est peut-être cela, le plus cruel, pour Emmanuel Macron. Les projecteurs ne le regardent plus. La lumière n’imprime plus. D’autres rock stars de la scène politique lui ont volé la vedette.

    Emmanuel Macron a prononcé l’éloge funèbre de Johnny Hallyday. Le chanteur avait réussi à durer face à tous ceux de sa génération et plus encore. Pour Macron, il semble n’avoir été que le président d’un été. Son regard figé et inquiet à la fin du discours est celui d’un comédien qui regarde dans les yeux de l’autre s’il existe encore. Le plus cruel pour lui est que son discours à l’ONU n’intéresse plus grand monde.

    contrepoints.org

  • La variole du singe: en France?

    ou orthopoxvirose simienne, ou monkeypox est due à un virus du même genre que celui de la variole humaine. Il sévit dans le centre de l’Afrique tropicale. Le virus enzootique dans les forêts ombrophiles d’Afrique centrale et occidentale peut se transmettre à l’homme, causant un syndrome dont les manifestations cliniques sont analogues à celles de la variole (éruption pustuleuse, fièvre, symptômes respiratoires entraînant parfois la mort). La maladie est grave: 1 à 10% des malades en meurent en Afrique). Elle peut être confondue avec la variole, et le diagnostic différentiel clinique n’existe pas. Seule l’analyse en laboratoire peut confirmer sa présence.

    En septembre 2018, le Royaume-Uni a notifié deux cas distincts de variole du singe infectant des personnes ayant récemment voyagé au Nigéria. Il s’agit des premiers cas de variole du singe chez l’homme signalés dans l’Union européenne (UE). Les deux cas étaient symptomatiques lors d’un voyage aérien vers le Royaume-Uni. Au 17 septembre 2018, aucun cas supplémentaire n’avait été détecté dans l’UE (UE).

    La notification des cas importés en Europe n’est pas inattendue en raison de la circulation du virus de la variole du singe en Afrique occidentale et centrale. Le risque de nouvelles introductions de la variole du singe en Europe dépend de l’ampleur de la circulation du virus au Nigeria et dans d’autres pays d’Afrique occidentale et centrale. Dans l’ensemble, la probabilité d’importation de la variole du singe en Europe reste très faible, mais de nouveaux cas liés à des voyages dans les États membres de l’Union européenne/de l’Espace économique européen (UE/EEE) ne peuvent être exclus. […]

    Le risque individuel d’infection par contact avec un patient atteint de varicelle dépend de la nature et de la durée du contact. Les membres de la famille, les contacts étroits (p. ex. le voisin immédiat à bord de l’avion) ou les personnes qui ont prodigué des soins aux patients, y compris les travailleurs de la santé (TS) qui n’ont pas appliqué de mesures préventives, présentent un risque modéré d’infection. […]

     " It is important to emphasise that monkeypox does not spread easily between people and the overall risk to the general public is very low " – read our news story on the confirmed case of monkeypox in England: https://t.co/IBLmrfQ92r

        — Public Health England (@PHE_uk) 8 septembre 2018

    European Centre for Disease Prevention and Control

    En Serbie, le Ministère de la santé a annoncé des mesures de surveillance renforcée aux frontières suite à l’apparition des premiers cas de variole du singe dans les pays d’Europe de l’Ouest.

    Le Ministère de la santé, l’Institut pour la Santé publique ainsi que d’autres services et institutions de santé mettront en œuvre toutes les mesures nécessaires de surveillance et de prévention afin d’éviter l’apparition de la maladie dans ce pays, précise le communiqué du Ministère.

    Informer.rs

  • Les cadres HLM se forment dans des hôtels 5 étoiles

    En attendant une véritable réforme, on espère que les cadres des coopératives solidaires socialement responsables apprécient le champagne et les petits fours des hôtels de luxe.

    Par Laurent Pahpy. - Un article de l’Iref-Europe

    Les 161 coopératives d’habitations à loyer modéré (HLM) sont des organismes parapublics qui gèrent plus de 75 000 logements locatifs sociaux et mettent en chantier plusieurs milliers de logements par an pour l’accession sociale. La fédération est présidée par Marie-Noëlle Lienemann, sénatrice socialiste et ancienne ministre qui cumule de multiples mandats.

    D’après leur site Internet, ces gestionnaires prônent les "valeurs coopératives", à savoir la démocratie, la solidarité et la responsabilité sociale.

    Comme tous les organismes gestionnaires du parc public, les coopératives bénéficient d’un grand nombre de subventions et de primes de l’État, des conseils départementaux, des régions, des intercommunalités et du " 1 % employeur ". Elles obtiennent des prêts à taux avantageux de la Caisse des dépôts et consignations alimentée par le détournement fiscal des livrets A et des assurances-vie des Français. Elles sont aussi exonérées, entre autres, de taxe foncière et de l’impôt sur les sociétés et leur taux de TVA tombe à 5,5 %.

    Le siège de l’ARECOOP, situé à deux pas des Champs-Élysées, n’est semble-t-il pas assez prestigieux pour les administrateurs, dirigeants et collaborateurs des coopératives d’HLM en apprentissage sur le " prêt social " ou l’" accession sociale ". Les formations ont lieu à l’hôtel Ambassador et à l’hôtel Régina, situés en plein cœur de Paris, respectivement quatre et cinq étoiles.

    Le logement "social" : un échec dramatique

    Dans une vaste étude réalisée en 2011, l’IREF a montré l’inefficacité et les multiples scandales associés à la gestion publique de près de 5 millions de logements HLM.

    Ces habitations n’ont de " sociales " que le nom. En 2013, d’après l’INSEE, plus de la moitié des ménages en location au revenu inférieur à 1 100 €/mois/unité de consommation (les 20 % des Français les plus pauvres) logeait dans le parc privé et non en HLM. À l’inverse, près de 147 000 familles gagnant plus de 2 800 €/mois/unité de consommation (les 20 % des Français les plus riches) bénéficiaient d’un logement "social". Parmi elles, des députés comme Alexis Corbière et même la nouvelle ministre des Sports Roxana Maracineanu.

    70% des Français pourraient prétendre à un logement social. La Cour des comptes estimait en 2006 que près d’un locataire sur deux n’avait aucune raison d’habiter dans une HLM. Le clientélisme politique règne dans l’attribution des appartements.

    L’IREF a dénombré près d’un employé d’organisme de gestion pour 59 logements. Les coûts de gestion correspondent à plus de 20% des loyers payés par les occupants (ce qui inclut les luxueuses formations à l’hôtel Regina).

    En 2012, l’INSEE estimait le nombre de SDF à 141 500, en progression de 50% par rapport à 2001. La Fondation Abbé Pierre rappelle que quatre millions de Français sont mal logés.

    Alors que la politique du logement coûte à la collectivité près de 20 milliards d’euros par an, elle se révèle être un échec dramatique depuis plus d’un demi-siècle.

    Mettre fin au dirigisme et au clientélisme

    Face à ces piteux résultats, on pourrait s’attendre à ce que les bailleurs sociaux fassent profil bas et que les pouvoirs publics éliminent leurs interférences néfastes sur le marché.

    La loi Elan qui devrait être votée prochainement est encore trop loin du compte. Si elle simplifie quelques normes de construction et tente de rationaliser la gestion des bailleurs sociaux, elle ne s’attaque pas aux racines du mal de la pénurie de logements et l’aggravera en poursuivant le contrôle des loyers.

    L’IREF appelle à libérer le marché immobilier pour favoriser la construction et mettre fin à la gabegie du logement "social". Pour cela, l’assouplissement des lois de zonage PLU, le rééquilibrage des contrats de bail, la privatisation des HLM et la diminution de la fiscalité immobilière qui est la plus élevée d’Europe sont des pistes à suivre.

    En attendant une véritable réforme, on espère que les cadres des coopératives solidaires socialement responsables apprécient le champagne et les petits fours des hôtels de luxe.

     

  • Des gendarmes attaqués …

    avec des pierres, des explosifs et des fioles d’acide par l’ultragauche: aucune interpellation

    Hautes-Alpes: les tensions retombent après des affrontements entre forces de l’ordre et militants pro-migrants

    Les affrontements qui se sont déroulés dans les Hautes-Alpes, samedi après-midi vers 16 heures, à la frontière franco-italienne ont duré près de deux heures. Près de 150 activistes de l’ultra gauche ont tenté de passer la frontière par les bois, au-dessus du golf de Montgenèvre, pour en découdre visiblement avec les forces de l’ordre, environ 90 gendarmes, positionnés notamment à proximité du poste frontière. Selon une source proche du dossier, " aucune interpellation n’a été réalisée".

    Les gendarmes mobiles qui ont essuyé " des jets de bouteilles d’acide et de pierres de la part de personnes aux visages dissimulés et certaines vêtues de noir ont riposté par des grenades lacrymogènes et assourdissantes ", explique à La Provence un gradé qui parle " d’actions de guérilla bien organisées, parfois à moins de cinq mètres des forces de l’ordre. Certains ont projeté des bombes artisanales".

    Ces affrontements qui n’ont pas fait de blessé, indiquent les autorités, se sont déroulés en marge d’un rassemblement de cinq jours sous la bannière "Passamontagna" (cagoule normalement utilisée pour se protéger du froid) qui a regroupé entre 400 et 500 "No border" (anti-frontières) notamment acquis à la cause pro-migrant, en majorité des Italiens mais également des Français, des Espagnols, des Allemands, des Hollandais et des Autrichiens.

    Leur campement implanté sur la commune de Clavière en Italie s’est vidé progressivement dimanche matin. Côté Italien, plusieurs dizaines de personnes ont tenté de s’en prendre dans la journée de vendredi, au commissariat et à la gare de la ville de Bardonecchia. Des incidents qui ont éclaté avec les forces de maintien de l’ordre italien n’ont pas entrainé de dégât ni de victime. Aucun débordement n’a été constaté dimanche à la frontière franco-italienne, toujours surveillé par un important dispositif des forces de l’ordre.

    Dans un communiqué paru dimanche, la préfecture des Hautes-Alpes a condamné " ces violences avec la plus grande fermeté " et a salué " le professionnalisme et le sang-froid " des gendarmes qui sont intervenus samedi. Une enquête judiciaire a été ouverte par le parquet de Gap concernant les affrontements de samedi, et confiée à la gendarmerie.https://www.laprovence.com/actu/en-direct/5163858/hautes-alpes-la-tension-retombe-a-montgenevre.html

    Déjà, le 22 avril, au col de Montgenèvre, "des militants antifascistes avaient permis le passage en France d’une vingtaine de migrants" (Le Parisien)

    La question est: Combien de temps nos forces de l’ordre vont endurer tout ce cirque? Avant la bavure qui sera le déclencheur d’événements que l’Histoire qualifiera de "guerre civile".

     

     

  • Et un examen psychiatrique pour les antifas

    ... qui ont tout cassé à Angers, jamais?

    Des black blocs, nouveau nom des antifas, ont tout cassé à Angers samedi dernier. Vitrines de banque, incendie dans l’une d’elles, projectiles balancés sur les forces de l’ordre…

    6 personnes interpellées qui s’en sortiront comme d’habitude fort bien. Les milices fascistes de Macron ont tous les droits.

    Masqués, cagoulés… Parce que, chez les antifas, on est courageux, mais pas téméraire. On attaque dans le dos, comme Méric, on casse tout et on se tire en courant, histoire de laisser les con-tribuables payer.

    Et pourquoi ces antifas étaient-ils furieux?

    Parce qu’un bar identitaire, l’Alvarium, va ouvrir à Angers.

    L’ouverture d’esprit, le culte du débat et de la différence ne sont pas les vertus cardinales des antifas (sauf la différence raciale et religieuse de leurs amis musulmans). On le savait, mais ça fait du bien de le rappeler, des fois qu’il y ait encore beaucoup de doux rêveurs les prenant pour des enfants du Bon Dieu, comme les jurés et jugés qui ont condamné Esteban et Samuel.

    Dégrader l’Alvarium ne leur suffisait pas, il fallait qu’ils fassent peur à toute la population et à la Mairie. C’est une forme de pression indirecte, bien sûr, sur les autorités. Autorités très proches d’ailleurs des antifas puisque la réponse d’une adjointe du Maire est lumineuse, elle renvoie dos à dos la violence des antifas avec la prétendue violence des Identitaires… Ils ne taguent pas, ils ne frappent pas, mais ils sont violents. Si elle le dit…

    Jeanne Behre-Robinson se refuse à tout commentaire. " Nous condamnons toute forme de violence, se borne-t-elle à répondre. Mais s’ils se sentent menacés, ils sont eux aussi dans une forme de violence…

    https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/angers-49000/angers-alvarium-une-fermeture-administrative-5893425

    Et puis, ces casseurs, selon Ouest France, étaient seulement une poignée, à ne pas confondre avec les doux et pacifiques manifestants qui défilaient au son du Rap (tiens, Médine, le retour)… Manifestants qui sont allés manifester plus loin, tranquillement, pendant que les casseurs mettaient la rue à feu et à sang.

    Selon Ouest-France, la mobilisation devait être "festive", les casseurs constituant "une minorité" dans les rangs des manifestants. Le journal décrit un cortège composé de familles et de personnes de tous âges défilant au "son du ska, du rap et de chants antifascistes, [faisant] flotter des drapeaux anarchistes rouge et noir du CNT [Confédération nationale du travail] et de l’Alternative libertaire". Lorsque les heurts ont éclaté, selon le quotidien régional, les manifestants pacifistes se sont éloignés du cortège de trouble-fêtes.

    Deux France cohabitent. Deux France irréconciliables. Et l’une, en sus, défend le parti de l’étranger, défend les étrangers, fussent-ils délinquants. Ils seront avec les étrangers face à nous le jour où ça pètera.

    On voit de moins en moins comment les nôtres pourraient supporter ces horreurs pendant des années.

    Pour le moment ils encaissent. Les égorgements, les coups de poignard, les persécutions judiciaires, les condamnations, les amendes, les agressions, les menaces; la mort sociale avec la perte d’emploi comme c’est arrivé au jeune identitaire qui avait brandi une banderole au col de l’Echelle….

    Jusqu’à quand cela va-t-il durer?

    Et les Français indécis qui doivent payer, toujours plus, pour les dégâts commis par les antifas et les émeutiers musulmans, ils vont se taire pendant combien de temps? Ils sont nombreux à fuir les quartiers, les villes pourries… mais jusqu’où et jusqu’à quand pourront-ils éviter de vivre les deux pieds dans la merde macronienne?