... qui ont tout cassé à Angers, jamais?
Des black blocs, nouveau nom des antifas, ont tout cassé à Angers samedi dernier. Vitrines de banque, incendie dans l’une d’elles, projectiles balancés sur les forces de l’ordre…
6 personnes interpellées qui s’en sortiront comme d’habitude fort bien. Les milices fascistes de Macron ont tous les droits.
Masqués, cagoulés… Parce que, chez les antifas, on est courageux, mais pas téméraire. On attaque dans le dos, comme Méric, on casse tout et on se tire en courant, histoire de laisser les con-tribuables payer.
Et pourquoi ces antifas étaient-ils furieux?
Parce qu’un bar identitaire, l’Alvarium, va ouvrir à Angers.
L’ouverture d’esprit, le culte du débat et de la différence ne sont pas les vertus cardinales des antifas (sauf la différence raciale et religieuse de leurs amis musulmans). On le savait, mais ça fait du bien de le rappeler, des fois qu’il y ait encore beaucoup de doux rêveurs les prenant pour des enfants du Bon Dieu, comme les jurés et jugés qui ont condamné Esteban et Samuel.
Dégrader l’Alvarium ne leur suffisait pas, il fallait qu’ils fassent peur à toute la population et à la Mairie. C’est une forme de pression indirecte, bien sûr, sur les autorités. Autorités très proches d’ailleurs des antifas puisque la réponse d’une adjointe du Maire est lumineuse, elle renvoie dos à dos la violence des antifas avec la prétendue violence des Identitaires… Ils ne taguent pas, ils ne frappent pas, mais ils sont violents. Si elle le dit…
Jeanne Behre-Robinson se refuse à tout commentaire. " Nous condamnons toute forme de violence, se borne-t-elle à répondre. Mais s’ils se sentent menacés, ils sont eux aussi dans une forme de violence…
https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/angers-49000/angers-alvarium-une-fermeture-administrative-5893425
Et puis, ces casseurs, selon Ouest France, étaient seulement une poignée, à ne pas confondre avec les doux et pacifiques manifestants qui défilaient au son du Rap (tiens, Médine, le retour)… Manifestants qui sont allés manifester plus loin, tranquillement, pendant que les casseurs mettaient la rue à feu et à sang.
Selon Ouest-France, la mobilisation devait être "festive", les casseurs constituant "une minorité" dans les rangs des manifestants. Le journal décrit un cortège composé de familles et de personnes de tous âges défilant au "son du ska, du rap et de chants antifascistes, [faisant] flotter des drapeaux anarchistes rouge et noir du CNT [Confédération nationale du travail] et de l’Alternative libertaire". Lorsque les heurts ont éclaté, selon le quotidien régional, les manifestants pacifistes se sont éloignés du cortège de trouble-fêtes.
Deux France cohabitent. Deux France irréconciliables. Et l’une, en sus, défend le parti de l’étranger, défend les étrangers, fussent-ils délinquants. Ils seront avec les étrangers face à nous le jour où ça pètera.
On voit de moins en moins comment les nôtres pourraient supporter ces horreurs pendant des années.
Pour le moment ils encaissent. Les égorgements, les coups de poignard, les persécutions judiciaires, les condamnations, les amendes, les agressions, les menaces; la mort sociale avec la perte d’emploi comme c’est arrivé au jeune identitaire qui avait brandi une banderole au col de l’Echelle….
Jusqu’à quand cela va-t-il durer?
Et les Français indécis qui doivent payer, toujours plus, pour les dégâts commis par les antifas et les émeutiers musulmans, ils vont se taire pendant combien de temps? Ils sont nombreux à fuir les quartiers, les villes pourries… mais jusqu’où et jusqu’à quand pourront-ils éviter de vivre les deux pieds dans la merde macronienne?