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occitanie - Page 171

  • Macrouille : un Président très occupé… à ne rien faire

    En cette rentrée 2018, Emmanuel Macron es extrêmement occupé à des petits riens coûteux et inutiles au regard de tout ce qu’il faudrait mettre en œuvre pour voir la France regagner du terrain en compétitivité, prospérité et liberté.

    Calendrier politique chargé en ce début du moins de septembre 2018. Qui oserait dire que le gouvernement ne fait rien ? C’est tout le contraire et ça décoiffe! Voyez plutôt: on s’attend à tout moment à ce que le président de la République rende sa décision finale concernant le prélèvement à la source et l’on s’attendait de façon tout aussi imminente à l’annonce d’un remaniement ministériel devenu inévitable après la démission-spectacle de Nicolas Hulot de son poste de ministre de l’Écologie1.

    Sujets d’importance, "choix cruciaux", qui mobilisent la presse et qui demandent à l’évidence réflexions profondes, consultations nombreuses et calculs politiques complexes. Emmanuel Macron et son Premier ministre y ont passé le week-end, nous dit-on.

    Rien de fondamental pour l’avenir du pays

    Et pourtant, une fois que tout ceci aura été fait – peu importe le sens des décisions prises, peu importe les noms qui accéderont au portefeuille ministériel – rien de vraiment fondamental pour l’avenir de la France n’aura été accompli. (Mais ce rien nous aura quand même coûté beaucoup d’argent.)

    Là est le drame de l’action politique telle qu’elle se joue chez nous depuis trop longtemps. Un nouveau Président arrive sur la scène nationale avec l’ambition de tout changer suite à l’enlisement crépusculaire de son prédécesseur. Au rayon des exceptions très malheureuses qui confirment la règle), tous ont prétendu réveiller la France, tous ont tenté au début de faire adopter quelques réformes indispensables pour la remettre au diapason avec les principaux pays comparables.

    Capitulation en rase campagne

    Finalement, pour différentes raisons, tous ont capitulé en rase campagne dans l’année qui a suivi leur élection pour ne plus s’occuper ensuite que de sujets périphériques ou frivoles quand ce n’était pas de sujets carrément nocifs pour le développement du pays :

    Chirac s’est cassé les dents sur les retraites du secteur public et a fini ses mandats en s’occupant d’arts premiers et en inscrivant le principe de précaution dans la Constitution. Sarkozy s’est pris la crise de 2008 dans la figure, ce n’était certes pas vraiment de sa faute, mais le tournant politiquement correct de la solution keynésienne, dont les effets délétères de long terme se font encore sentir sur nos comptes publics, n’a pas été long à prendre. Sa fin de mandat a surtout consisté à courir après le FN en vue de sa réélection.

    Quant à Macron, il a annoncé le printemps. Après le très pluvieux quinquennat Hollande, c’était bien le moins, encore qu’on ait davantage eu droit à des incantations appelant à l’avènement d’un monde nouveau qu’à un programme précis de mesures à prendre pour dégraisser le mammouth étatique et aider la France à rebondir. Eh bien, le printemps macronien est très silencieux et c’est à peine si l’on voit une hirondelle passer à l’horizon.

    Macron après l’affaire Benalla

    Ce que l’on a vu passer, en revanche, c’est l’affaire Benalla. Pas une affaire d’État selon moi, mais une affaire tellement représentative de l’outrecuidance des puissants ! Aucune loi de moralisation de la vie publique, même signée en grande pompe à la télévision comme ce fut le cas, ne pourra faire oublier que les " affaires " s’enchaînent dans le nouveau monde comme dans l’ancien. Après Ferrand, après Saal, après Kohler, après Nyssen, j’en oublie sans doute, l’image de Macron ne pouvait qu’en sortir très écornée.

    En réalité, on a bien vu une petite hirondelle: la fin du recrutement des cheminots au statut dans le cadre de la réforme, par ailleurs trop timide, de la SNCF. Mais si dans un premier temps, l’exécutif est sorti victorieux de son bras de fer avec les syndicats d’extrême-gauche sur ce point hautement symbolique malgré une longue grève de trois mois, je pense que l’affaire Benalla est aussi tombée à point nommé pour offrir rapidement une formidable revanche aux pans les plus archaïques de l’opposition à Macron : mettre un coup d’arrêt à toutes velléités gouvernementales de toucher à d’autres statuts de la fonction publique.

    Le gouvernement toujours sous le choc

    On peut le dire, c’est réussi. L’été a passé, mais le gouvernement semble toujours sous le choc. D’autant mieux réussi que nous entrons prochainement en période électorale. Tout comme nous autres automobilistes avons tendance à lever le pied lorsque nous entrons dans une zone de contrôles radar, l’exécutif déjà fort peu disruptif avant l’été aborde les mois à venir avec des prudences de chat échaudé qui craint l’eau froide.

    Les élections européennes se tiendront en effet le 26 mai 2019. Elles suscitent rarement un grand enthousiasme, l’abstention y est élevée (57 % en 2014), mais elles ont déjà été préemptées par les partis politiques, notamment la France insoumise, comme un " référendum anti-Macron " qui va permettre à chacun de compter ses troupes à la faveur du scrutin proportionnel. Qui aura le titre de premier parti de France, où en sera le parti présidentiel, qui sera le premier opposant ? Voilà ce qui intéresse dorénavant toute notre classe politique, gouvernement compris.

    On mesure aujourd’hui qu’Emmanuel Macron disposait de plus d’une année pour lancer des réformes importantes pour la France sans avoir à se préoccuper outre mesure des contraintes politico-électorales. Et l’on constate dans le même temps qu’il a gaspillé toutes ses cartouches en discours, en com’ et en réformettes qui n’ont pas fondamentalement changé les choses :

    Nous avons toujours un État parmi les plus dépensiers du monde (57 % du PIB), très endetté (pas loin de 100 % du PIB) et toujours plus avide d’impôts et de cotisations sociales (45 % du PIB) pour boucler un budget 2019 acrobatique dont la réduction radicale du déficit s’éloigne avec la fin de la petite période d’embellie sur la croissance que la France a connue fin 2017.

    Nous avons toujours un chômage durablement accroché à 3,7 millions de chômeurs en catégorie A et à plus de 5,9 millions pour les catégories A, B et C (chiffres à fin juin 2018 en France entière).

    Nous avons toujours un système de santé et un système éducatif hyper étatiques et coûteux qui ne remplissent plus leurs missions et qui ne prennent pas franchement le chemin de les remplir en desserrant le carcan au lieu de le consolider.

    Le prélèvement à la source, dont les inquiétants cafouillages politiques, techniques et philosophiques sont très bien expliqués ici, est particulièrement emblématique de l’activisme de façade qui occupe ce gouvernement depuis le début.

    Alors qu’il y a tout lieu de simplifier la démente fiscalité française et ses mille et une niches, alors qu’il y va du dynamisme de notre économie de réduire son poids confiscatoire parallèlement à des coupes effectives dans les dépenses, la mesure envisagée, présentée par Gérald Darmanin comme le nec plus ultra du modernisme fiscal, n’est jamais qu’un changement de calendrier de prélèvement, en aucun cas une vraie simplification de l’impôt et certainement pas l’amorce d’une baisse.

    En fait, le dossier en lui-même est déjà un poste de coûts supplémentaires : si Macron décide d’arrêter les frais, l’État aura quand même dépensé 300 millions d’euros pour préparer sa mise en place, dont 10 millions en communication. S’il décide de poursuivre, la gestion des bugs qui se profilent promet une jolie facture supplémentaire. Comme pour l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, l’incurie prolongée de l’État nous plonge de force dans un fiasco insoluble. Payer ou payer, voilà l’alternative.

    Quant au remplaçant de Nicolas Hulot, nul doute qu’Emmanuel Macron aura consacré beaucoup de temps et d’énergie pour trouver l’oiseau rare qui lui permettra de redevenir crédible auprès des écologistes (et de Juliette Binoche) tout en restant "en même temps" un petit peu crédible quand même auprès des chasseurs et des agriculteurs. Apprendre qu’il ait pu songer à Daniel Cohn-Bendit, choix évidemment totalement médiatique, n’est pas pour donner l’impression qu’Emmanuel Macron saura prendre de la hauteur scientifique sur les sujets concernés, notamment le glyphosate et le nucléaire.

    L’enlisement à prévoir

     

    En cette rentrée 2018, Emmanuel Macron est donc extrêmement occupé à des petits riens coûteux et inutiles au regard de tout ce qu’il faudrait mettre en œuvre pour voir la France regagner du terrain en compétitivité, prospérité et liberté.

    Avec les élections européennes qui se profilent maintenant après le gros coup de semonce de l’affaire Benalla, il est à craindre que le quinquennat Macron entre dorénavant dans l’enlisement caractéristique de ceux qui n’ont pas ou pas assez réformé avant et qui se trouvent privés par leur propre faute de pouvoir de le faire ensuite.

    Dans ce contexte, la sortie du Président sur les "Gaulois réfractaires au changement", remarque plutôt mal reçue par les intéressés, serait moins à lire comme une critique que comme une excuse (plausible à bien des égards) pour justifier l’immobilisme réel de ce gouvernement en apparence toujours sur la brèche.

    Depuis, Nicolas Hulot a été remplacé par François de Rugy. ↩

    Contrepoints.org

  • A propos d’Agnès Saal…

    Elle est tellement moche, la pauvre fille, que je ne mets pas sa photo afin de vous éviter de gerber votre petit-déjeuner....

    Agnés Saal avait dix ans quand elle quitta la Tunisie… et, encore une fois, j’ ai connu son père qui vendait des tissus au souk de Tunis! Ma tante maternelle était sa cliente et moi, à 15 ans j’étrennais mes premiers pantalons en "Mako" toile très à la mode

    Le vieux grigou mesurait le tissu avec son bras en guise d’aune, et en prime il était plutôt laid; héritage qu’il a cédé à sa mocheté de fille.

    Venant d une famille de boutiquiers juifs autochtones de Tunisie, dits "Touanssa", sa mère, d’origine Livournaise, comme tous ces gens, juifs, ayant quitté Livourne dés le 18e siècle pour tenter fortune en Tunisie, appartenait sans doute à cette communauté plus favorisée  intellectuellement et socialement, connue sous le nom de "Grana".

    Epouser un "Touanssa", encore au début du 20e siècle à Tunis c’était une mésalliance, durement ressentie pour la jeune fille. On mariait ainsi les "vieilles filles" de 25 ans, variété alors de bréhaigne…en général à un Touanssa riche.

    Les parents  de la beauté devaient être dans ce cas… Je tique juste sur le terme "banquiers" Les  grandes banques françaises  existaient déjà à Tunis (BNCI, Générale….) je pense plutôt à des usuriers  qui prêtaient à gros intérêts, trés courant… ou à de vulgaires employés de banque, mais ça fait mieux de dire "banquiers".. genre des  Rothschild micromodèle…

    Une famille  dont on ne sait pas le nom, des Disegni , ou des Lumbroso, ou encore des Castro… patronymes très courants chez ces Grana. Et à dix ans, vogue vers la France… Les transferts de dinars étant interdits  vers la France -et le dinar servant alors de torche-cul accessoire, en 1967-, on comprend, nous les initiés, que les parents de Miss Méditerranée avaient transféré depuis un moment des  Francs, des Lires, des deutschmark  vers la France… ce qui leur assura d’éloigner la misère.. et de payer de brillantes études à fifille, parce que, avec une telle tronche, faut avoir d’autres ressources que le charme pour avoir des mômes…

    Ainsi, cette VOLEUSE réussira après un tout petit passage à vide, après ses jugements et condamnations (6 mois avec sursis !) tout de même, à se faire non seulement oublier, mais récupérer son rang de "Haut Fonctionnaire" et à ce propos, comment ça se passe du côté de la chancellerie de la Légion d’honneur?

    Parce que l’indélicate (c’est mignon, cette trouvaille) est tout de même Officier de la légion d’honneur, et chevalier de l’Ordre national du mérite

    Je me suis bien renseigné: normalement c’est la radiation pure et simple!

    Affaire a suivre,. Au moins avec Bennallah, on n’a pas eu ce problème, du moins à l’Elysée, devenu une vaste mare à crapauds  et grenouillades on en est arrivés a un tel niveau de mépris des lois, de mépris violenteur des Français que des crachats du Style  Nyssen, du genre Saal, se multiplient de plus en plus, et dans l’indifférence générale.

    Je terminerais mon coup de gueule en vous faisant cadeau de  l’explication du nom Juif, touanssa, prélévée sur mon encyclo. des noms juifs du Maghreb… très savoureuse :

    "SAAL ou SAHAL: ces noms viennent de l’arabe sâhal signifiant facile, complaisant“.

    Il n’est pas interdit de se marrer…

    Note de Claude

    Edifiant… La voleuse aurait bénéficié d’une  seconde promotion:

     

    https://www.valeursactuelles.com/politique/une-autre-promotion-avantageuse-pour-agnes-saal-98586

     

    http://resistancerepublicaine.eu/2018/08/31/macron-recompense-la-voleuse-agnes-saal-elle-devient-haut-fonctionnaire/

     

    Quelle saaleté (ou sahaleté), celle-là!

     

     

  • République macrouille des coquins

    Macron récompense la voleuse Agnès Saal: elle devient haut fonctionnaire

    Chronique des copains et des coquins. Les mêmes avec Macron et Hollande. Tout est normal.

    "Agnès Saal, condamnée et recasée discrètement par Matignon", titre Valeurs actuelles..

    Discrètement, discrètement, ce n’est plus le cas, les réseaux sociaux bruissent, les Français grognent, et il faut avouer qu’il y a de quoi… Agnès Saal avait escroqué le Centre Pompidou qu’elle avait dirigé de 2007 à 2014 et l’INA qu’elle avait présidé de 2014 à avril 2015 en se faisant payer des notes de taxi dépassent l’entendement ( 47639 euros pour 10 mois !  ) bien qu’elle ait bénéficié d’une voiture avec chauffeur… Elle avait été condamnée à une amende, 3 mois de prison avec sursis et une suspension de 6 mois de la fonction publique, ce qui n’avait pas empêché qu’elle soit réintégrée au Ministère de la Culture en 2016 ( bravo Hollande ) et encore moins qu’elle vienne de recevoir une belle promotion puisqu’elle intègre carrément le corps des hauts fonctionnaires à partir de demain… Agnès Saal avait été nommée officier de la légion d’honneur en janvier 2015… Nommée comme haut fonctionnaire à l’égalité, la diversité et la prévention des discriminations… Tiens, tiens… Elle doit en savoir des choses, elle doit en rendre, des services, pour pouvoir passer ainsi à travers les gouttes et être récompensée de ses vols… Voici ce que nous publiions il y a deux ans, quand elle avait été ré-intégrée au Ministère de la culture:

    Parmi les postes qui étaient à pourvoir, le choix s’est porté sur une mission rattachée au secrétariat général du ministère, consistant à piloter la double démarche de labellisation "égalité professionnelle" et "diversité" engagée par le ministère. Un poste jusqu’ici occupé par une ancienne directrice régionale des affaires culturelles.

    Son rôle sera de passer en revue l’ensemble des procédures de recrutement, d’avancement, de prime, de mutation, etc., pour pouvoir déposer un dossier de labellisation auprès de l’Afnor, entre décembre 2016 et mars 2017. " C’est une mission plutôt cohérente avec ses engagements antérieurs ", souligne-t-on Rue de Valois, où la tâche est qualifiée d’"importante".

     

    http://www.lemonde.fr/actualite-medias

     

    http://resistancerepublicaine.eu/2016/07/05/

     

    C’est donc la suite logique de son parcours. On savait que la diversité pouvait mener à la discrimination positive, on ne savait pas que, en sus, elle pouvait pousser vers les sommets une voleuse. Et pas n’importe quelle voleuse, une voleuse d’argent public.

    Mais elle a quelques atouts dans sa manche: Elle est née à Tunis… On sait la fascination de Macron pour la diversité… Elle s’occupe de diversité et de discrimination positive… Je trouve qu’elle ressemble un peu à Brigitte Macron, un rapport? Bon, je plaisante, mais au point où on en est… tout est possible. Plus prosaïquement, elle a travaillé avec pas mal de socialauds bien placés ( sur lesquels elle connaît sans doute pas mal de choses ): Catherine Trautman, Jean-Noël Jeanneney,  Catherine Tasca,  et surtout sa copine Aurélie Filipetti ( je brûle? ) qui l’avait nommée à la tête de l’INA. Et une enquête avait même été diligentée au Ministère de la Culture pour identifier le vilain délateur qui avait rendu public le pot-aux-roses… Elle en a des amis…

    Il semble qu’une autre enquête contre elle ait été ouverte pour des sommes encore plus faramineuses, mais la voleuse a argué qu’en utilisant un taxi elle faisait faire faire des économies à ses employeurs, puisqu’un chauffeur ne travaille que 35 h par semaine et que la pauvre Cosette a besoin d’être véhiculée jour et nuit, week-end compris… Bon elle a aussi avoué en passant que ses enfants ont quelque peu profité de la manne… Péché véniel aux yeux de Macron, naturellement.

    Dans une tribune publiée dans Libération le 10 juin 2015, trois des anciens "patrons" d’Agnès Saal, Jean-Noël Jeanneney (ancien président de la BnF), Alain Seban (ancien président du Centre Pompidou) et Dominique Wallon (ancien directeur général du CNC), dénoncent son "lynchage", témoignant de ses compétences professionnelles et " de son engagement sans limites en faveur de l’intérêt collectif ".

    Le 4 juin 2015, le parquet de Créteil indique qu’Agnès Saal est suspectée d’avoir fait usage de taxis pour des motifs " non exclusivement professionnels " lors de son précédent poste en tant que directrice générale du Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou.

    D’après Renaud Revel, dans un billet publié le 23 juin 2015 sur son blog Immédias, hébergé par Lexpress.fr, les enquêteurs chargés de l’affaire auraient recensé près de 400 000 euros de notes de taxi durant ses sept années à la direction du Centre Pompidou. Ces notes de frais seraient toujours en cours de vérification25. Selon le Centre Pompidou, interrogé par Le Figaro, " le chiffre avancé par L’Express n’est pas exact26 ", mais il ne souhaite pas intervenir davantage, la procédure étant en cours26. Toujours selon ce journal, le montant serait plutôt de 90 000 euros pour sept ans dont 38 000 euros pour la période allant de janvier 2013 et avril 2014.

    Début janvier 2016, elle est exclue par décret de la fonction publique pour 2 ans, dont 6 mois ferme sans traitement.

    Le 11 avril 2016, elle est convoquée devant le tribunal correctionnel dans le cadre d’une procédure de " plaider-coupable ", accusée " d’avoir détourné 23 788,46 euros (hors taxes) de fonds publics entre mai 2014 et avril 2015 " lorsqu’elle était présidente de l’INA. Les courses en taxi bénéficiaient essentiellement à ses enfants28. Agnès Saal est condamnée à 150 jours-amende (à 30 euros par jour, soit 4 500 euros d’amende) et 3 000 euros de dommages-intérêts au profit d’Anticor29 auxquels s’ajoutent trois mois de prison avec sursis pour des faits similaires lorsqu’elle était directrice du centre Georges Pompidou30.

    Wikipedia

    J’y pense. Fleur Pellerin a été virée en février 2016, or elle avait demandé le remboursement des sommes dépensées et la mise au placard de Saal à qui elle avait demandé de démissionner…  et avait saisi la justice. Un rapport?    C’est peu dire que cette nomination lève le coeur de nombre de commentateurs, sans parler des retraités qui ont bossé toute leur vie sans voler un centime et qui voient la récompense pour les voleurs et les coups de bâton pour les gens honnêtes. Vous avez dit égalité?

     

    Comment peut-on demander des efforts aux Français alors que ceux qui abusent du système sont récompensés? Il n’y a qu’un seul mot: le dégoût #AgnesSaal https://t.co/9sdixdXDQC

        — Michaël Pilater (@mikapilater) 30 août 2018

     

     

  • FRANCE: république bananière!!!

    On soigne gratuitement les pouilleux du monde entier: résultat, ce sont les Français qui trinquent puisqu'il n'y a plus d'argent en caisse!

    Pauvre femme: elle allait coûter un pognon de dingue à la sécu!!!

     

    Besançon : renvoyée des urgences, elle fait une fausse couche chez elle

    Le 17 août dernier, une jeune femme, enceinte de trois mois et en train de faire une fausse couche, a été renvoyée chez elle par les urgences de l’hôpital de Besançon, sans aucun suivi. Elle a dû expulser seule à son domicile le fœtus mort. 

    Les faits se sont déroulés le 17 août dernier à Besançon dans le Doubs. Enceinte de trois mois, une jeune femme, du nom de Magdalena Cocatrix, se rend aux urgences après avoir perdu beaucoup de sang pendant la nuit. Après trois heures d’attente, la jeune femme est finalement prise en charge et une échographie révèle qu’elle est en train de faire une fausse couche et que son bébé est malheureusement mort.

    Seulement, au lieu de continuer à être suivie par le personnel médical de l’hôpital, la jeune femme est renvoyée chez elle. " Le personnel m’a précisé que je pouvais rentrer chez moi et que le fœtus sortirait tout seul petit à petit", a-t-elle confié à L’Est Républicain. 

    "Elle a dit que nous n’avions qu’à le mettre à la poubelle".

    Sur le chemin du retour, la jeune femme ne se sent pas bien : " J’ai pris le tram et les contractions ont commencé. J’avais atrocement mal. A peine arrivée chez moi, j’ai senti qu’une petite masse était expulsée. Mon pantalon était recouvert de sang. Je me suis enfermée à la salle de bains et me suis dévêtue avant d’aller dans la baignoire vide. J’ai recueilli mon bébé dans les mains. Il mesurait environ 7 cm et était entier, formé. J’ai encore poussé 20 minutes pour rejeter le placenta. J’avais peur d’une infection et d’une hémorragie massive ".

    Alerté, son compagnon, Alain, appelle alors les urgences pour que les secours viennent aider sa femme mais obtient une réponse négative. Non, les secours ne se déplaceront pas. " La personne au bout du fil m’a dit que l’hôpital n’en ferait rien et que nous n’avions qu’à le mettre à la poubelle ! ", confie le compagnon de Magdalena. "Comment peut-on dire une chose pareille?, s'interroge-t-il.

    " Pourquoi ne m’ont-ils pas gardé à l’hôpital“?

    Finalement, c’est le médecin généraliste de la jeune femme qui l’a suivie pendant plusieurs jours après sa fausse couche. Aujourd’hui en bonne santé, la jeune femme est en colère : " Pourquoi ne m'ont-ils pas gardée à l'hôpital, proposé une solution pour accélérer le processus ou un curetage, et donné un soutien psychologique", interroge-t-elle dans L’Est Républicain.

    Sollicitée par le quotidien qui a relaté l’histoire, la direction de l’hôpital a répondu : " La lecture de ce témoignage douloureux, que nous regrettons de n’avoir pas reçu directement, nécessite de recueillir des éléments précis sur les conditions de prise en charge de cette patiente pour lui fournir toutes les informations qu’elle recherche. Dans ce but, Mme Cocatrix peut prendre contact avec la direction de l’établissement dès qu’elle le souhaitera".

    Encore mieux, dans l'est républicain on apprend qu'elle s'était dirigée vers les urgences gynéco obstétricales

     

  • "C’est une vaste fumisterie":

    la colère monte au sein de La République en marche

    "C’est une vaste fumisterie" : la colère monte au sein de La République en marche

    Beaucoup de membres de LREM critiquent l'opacité des décisions du bureau exécutif autour de Castaner.©ANNE-CHRISTINE POUJOULAT AFP

    Une partie de la base de LREM s’agace de la concentration et de l’exercice vertical du pouvoir depuis Paris, et déplore un fossé qui se creuse avec le "sommet" du parti.

    Si La République en marche revendique quelque 400 000 adhérents, sans obligation de cotisation, sa structure paraît toujours fragile après deux ans d’existence, à l’image de l’important turn-over au sein des référents départementaux, les "préfets" du parti.

    Le lancement d’ambitieux chantiers il y a un an, puis l’adoption d’une nouvelle gouvernance, n’ont pas permis de contrecarrer un essoufflement militant certes logique en année post-électorale, mais dont l’ampleur est jugée inquiétante par certains cadres sur le terrain, notamment hors des grandes métropoles.

    "Aucune info", "pas de discussion"

    Exemple : alors que tous les partis réunissent leurs militants en cette fin d’été, LREM a décidé de faire l’impasse. Pourtant, le mouvement d’Emmanuel Macron aurait pu saisir l’occasion d’enfin rassembler son "Conseil", à savoir le "Parlement" du parti, dont les statuts exigent qu’il soit convoqué deux fois par an.

    Cet organe de 800 membres environ, symbole supposé de démocratie interne, est laissé inerte depuis son intronisation en novembre dernier. "Ça ne vit pas du tout. On a du mal à concevoir notre rôle", témoigne un animateur d’un comité local et membre de ce Conseil.

    "C’est une vaste fumisterie. Le Conseil s’est réuni une fois pour élire Christophe Castaner et c’est tout". Jean-Baptiste Ducatez, animateur local du Conseil de LREM dans le Rhône

    "Aucune info", "pas de discussion", "je m’attendais à ce qu’il y ait plus de contacts", cinglent d’autres membres de cette instance. "Le mouvement ne vit pas", martèle un cadre parisien. "Les gens qui sont venus pendant la campagne étaient là pour faire élire un président. Maintenant, il y a beaucoup de comités locaux où c’est encéphalogramme plat"

    Un mouvement 2.0 "très dématérialisé"

    La dizaine de cadres locaux se plaignent à l’unisson de l’absence de relation avec le "QG", c’est-à-dire le siège parisien, en particulier pour ceux implantés dans des territoires où les députés ne font pas office de facilitateurs.

    "Il nous manque un numéro de téléphone qui réponde", illustre ainsi Michel, un animateur de province, pestant contre l’adresse mail générique mise à disposition. "On est sur un mouvement très 2.0, très dématérialisé et c’est déstabilisant".

    Des moyens financiers limités (1.000 euros en moyenne par département) qui obligent à "la débrouille" voire "à mettre la main au portefeuille", et l’impossibilité d’avoir accès au fichier des adhérents locaux entravent la mobilisation au sein des comités, argue-t-on encore.

    Tous les militants sollicités critiquent également l’opacité des orientations prises au sein du bureau exécutif, l’équipe dirigeante autour de Castaner, qui se réunit en moyenne un lundi sur deux à Paris. "Il n’y a aucun compte rendu, aucun relevé de décisions", souligne un cadre parisien, avant d’ajouter : "Au bout d’un moment, je pronostique un rejet. La base sera brutale".

     

    Tous ces morveux qui croyaient changer le monde....

    j'en ai vu et entendu d'autres... qui s'y croyaient... qui s'y voyaient....

    la mare aux caïmans.... pas facile d'y entrer!

     

     

  • Cocoriiiiiiiiiico Toulouse!

    Le CHU de Toulouse en tête du palmarès 2018 des meilleurs hôpitaux de France

    Le CHU de Toulouse arrive en première place du classement 2018 des établissements de santé publics et privés,

    Le Centre hospitalier universitaire de Toulouse est encore une fois à la première place du classement des meilleurs hôpitaux de France.

    Le palmarès 2018 des meilleurs hôpitaux de France publié jeudi 23 août 2018 par Le Point place le Centre hospitalier universitaire (CHU) de Toulouse en tête.

    Comme chaque année depuis 22 ans, l’hebdomadaire d’information établit le classement des meilleurs hôpitaux et cliniques de France". 1 400 établissements en médecine, obstétrique, chirurgie et psychiatrie pour 73 spécialités sont passés au banc d’essai, donnant lieu à 118 classements des meilleurs établissements publics et privés", explique le média, qui a également publié un article sur sa méthodologie.