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occitanie - Page 264

  • Les bretons aussi.....

     Rennes. Affrontements entre jeunes Rennais et jeunes immigrés

    (Breizh-info.com) – De violents affrontements se sont déroulés rue Saint-Michel – la célèbre " rue de la Soif " – à Rennes, jeudi 11 août 2016, en fin de soirée. Ils ont opposés un groupe d’une quinzaine de jeunes Rennais à une grosse vingtaine de jeunes immigrés, dont une partie identifiée comme étant des "migrants" et/ou mineurs isolés étrangers.

    Ces jeunes "migrants" se livrent depuis des mois  – et cela s’accélère ces dernières semaines – à des vols, des trafics de drogue, des cambriolages, des rackets, dans le centre-ville de Rennes. Se cachant parfois derrière de fausses identités, de faux âges, ils profitent des largesses du droit français; c’est ainsi que la plupart d’entre eux, même arrêtés, même pris en flagrant délit,  sont relâchés ou condamnés à des peines mineures.

    Bien entendu, ils ne sont jamais expulsés, qu’ils soient mineurs – leur statut leur permet d’éviter à l’expulsion – ou majeurs. Dans ce dernier cas, des associations bien-pensantes se mobilisent systématiquement pour empêcher leur expulsion en usant de tous les recours juridiques pour ce faire.

    Jeudi soir, alors qu’un groupe de migrants se livrait à nouveau à des provocations et à des agressions de riverains en centre-ville, des jeunes Rennais sont intervenus pour leur demander de cesser leurs exactions. Ce qui n’a pas manqué de déclencher une bagarre qui a duré quelques minutes. Au cours de la confrontation, plusieurs chaises de terrasses ont volé en l’air. Au final,  les "migrants" ont dû battre en retraite.

    Au cours de la bagarre, deux jeunes Rennais ont été blessés par un de ces migrants qui était armé d’un tournevis. Le calme est finalement revenu, sans que la police n’intervienne.

    Plusieurs riverains qui assistaient à la scène sont allés voir le groupe des jeunes autochtones pour les féliciter: "On n’en peut plus", dira l’un d’entre eux. "C’est dommage d’en arriver là, mais si la police et la justice ne font plus leur travail pour protéger les citoyens, d’autres s’en chargeront".

    Dans la nuit du 10 au 11 août, trois mineurs isolés étrangers – ou se prétendant comme tels – ont été interpellés en flagrant délit de cambriolage, avenue du Sergent Maginot. Après des tests effectués, il s’avère qu’ils sont en réalité majeurs. Rien de surprenant, comme nous l’ont confirmé des policiers du cru.

    [cc] Breizh-info.com, 2016 dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine

    http://www.breizh-info.com/2016/08/13/47933/rennes-affrontement-immigres-rennais-immigration

  • Ouvrez les yeux!

    Retour sur 7 erreurs d’interprétation face au terrorisme qui risquent de coûter cher si nous n’ouvrons pas les yeux.

    Par Jean-Baptiste Noé.

    7 sophismes dangereux sur le terrorisme

    Sur la vague terroriste qui touche actuellement la France, sept erreurs sont couramment faites qui empêchent de bien percevoir le type de terrorisme que nous affrontons.

    1ère erreur : ne pas voir que les terroristes actuels sont de cultures différentes des autres terroristes

    Ce n’est pas la première fois que l’Europe est confrontée à une vague terroriste. La vague nihiliste à la fin du XIXe siècle, avec l’assassinat de nombreuses personnalités politiques (dont l’impératrice d’Autriche, le roi d’Italie et le Président de la République), les années de plomb en Italie, le terrorisme irlandais et basque. Ce qui change aujourd’hui, c’est que les terroristes actuels ne sont pas issus de la culture européenne, même si la plupart de leurs membres sont nés en Europe. De même, l’idéologie qui active le terrorisme, l’islamisme, est née en dehors de l’Europe. En dehors aussi bien de ses frontières que de sa culture.

    Or, nous avons trop souvent tendance à analyser ce terrorisme sous l’angle de notre critère culturel, alors même qu’il est par essence autre que nous. C’est ce que faisait remarquer récemment Rémi Brague : nous pensons l’islam avec les critères du christianisme. C’est d’autant plus une erreur que l’islam est né d’une hérésie chrétienne, en opposition à l’orthodoxie chrétienne.

    Pour le combattre, il est donc d’abord essentiel de comprendre cette différence radicale. L’islamisme n’a rien en commun avec la culture européenne, et les islamistes ne sont pas le fruit véreux de notre culture, comme pouvaient l’être les gauchistes de la Fraction armée rouge. Les islamistes pensent et agissent différemment de nous.

    2ème erreur : croire que l’inculture est le moteur du terrorisme

    Beaucoup disent que c’est l’inculture qui produit le terrorisme. Ce qui sous-entend que si les terroristes étaient cultivés, ils ne se livreraient pas aux massacres qu’ils commettent. Je crois que ceci est une erreur d’analyse : l’inculture n’est pour rien dans ce phénomène. Ce qui signifie que le combat contre le terrorisme islamiste ne se gagnera pas par l’école, avec des cours de morale républicaine et des saluts au drapeau.

    L’islamisme n’est pas né en France, mais dans la zone arabe, au tournant du XXe siècle. Ses penseurs sont issus de la classe bourgeoise civilisée et éduquée. Dans les pays musulmans, ce sont souvent les élites urbaines cultivées qui soutiennent les mouvements islamistes. C’est vrai en Iran comme en Turquie. Ben Laden était un homme éminemment cultivé, tout comme les mollahs iraniens.

    Que les soldats de l’islamisme ne soient pas les personnes les plus intellectuelles qui soit, peut-être, mais cela n’enlève rien au fait que l’islamisme est un véritable mouvement de réflexion intellectuel, qui veut régénérer l’islam, le réformer et le purifier. Il possède tout un corpus intellectuel et de véritables références. Du reste, l’inculture est toujours relative : les terroristes de Nice et du Bataclan savaient lire et écrire, ce qui n’était probablement pas le cas de leurs grands-parents. Au regard des générations, ce sont eux qui sont cultivés, pas leurs aïeux, et ce sont pourtant eux qui mènent ces actions terroristes. C’est grâce à leur culture qu’ils peuvent mener ces actions terroristes : comme ils savent lire, ils peuvent surfer sur les sites internet djihadistes et ils peuvent planifier leurs voyages en Syrie.

    Du temps du marxisme, on expliquait que c’était la pauvreté qui causait les révolutions, alors que celles-ci étaient toujours menées par les classes bourgeoises. Aujourd’hui, on explique que c’est la pauvreté intellectuelle qui est cause de l’islamisme, mais cette approche sociologique est toute aussi fausse.

    3ème erreur : la rationalité gagne toujours, l’irrationalité perd

     

    On se plait à croire que les islamistes sont des fous et qu’en les éduquant ils reviendront à plus de rationalité et donc qu’ils arrêteront leurs crimes. Là aussi, c’est accumuler plusieurs erreurs.

    D’une part, être cultivé n’empêche pas de commettre des crimes. En Europe, nous avons l’exemple des SS et des cadres communistes, qui tout cultivés qu’ils étaient, ont pu encadrer les camps de la mort et conduire à la mort des millions de personnes.

    D’autre part, si la rationalité gagnait toujours cela ferait longtemps que la plupart des mesures proposées par les libéraux auraient été appliquées (comme la privatisation de l’école publique et de la Sécurité sociale). Comme l’a très bien démontré Étienne de La Boétie, il y a en l’homme une préférence pour la servitude volontaire, parce que la servitude est confortable et qu’elle rend irresponsable. La liberté est, elle, très exigeante.

    Enfin, les islamistes ne sont pas fous. Ils suivent une certaine logique, qui est celle de leur discours et de leur pensée. S’ils suivent un chemin de mort, ils n’en sont pas moins dans une certaine rationalité.

    4ème erreur : nous sommes en guerre contre le terrorisme

    Le terrorisme est une arme. On n’est pas en guerre contre une arme, mais contre ceux qui la manient. On n’est donc pas en guerre contre le terrorisme, mais éventuellement contre les terroristes. Du reste, je ne crois pas que nous soyons en guerre.

    À l’époque des Brigades rouges, personne ne disait que l’on était en guerre contre le terrorisme. Il y a certes des actes terroristes en France et en Europe, mais cela ne fait pas une guerre. Il est vrai qu’à employer le mot guerre dans des sens multiples, sa véritable signification se perd. On parle ainsi de guerre contre le chômage ou de guerre contre la pauvreté, mais ce sont des images, non une véritable guerre.

    Pour horribles que soient les morts du terrorisme, nous sommes loin des chiffres d’une véritable guerre. La Première Guerre mondiale a fait 1,8 million de morts en France, soit 1 150 morts par jour. En un jour, il y a eu plus de morts en France que par toutes les attaques terroristes des dix dernières années. En 1914, la France a connu 492 000 morts, et ce sont 179 000 soldats qui sont tombés à Verdun. Nous sommes sur des ratios qui n’ont rien à voir avec la fusillade du Bataclan ou l’attentat de Nice.

    La bataille de France (mai-juin 1940) a causé la mort de 120 000 soldats. La guerre d’Algérie, a causé 25 000 morts chez les militaires français, soit 10 par jour.

    Voilà de véritables guerres, à quoi il faut ajouter les bombardements de ville et les déplacements de populations civiles. La Syrie connaît une guerre, nous non. Ou peut-être pas encore.

    5ème erreur : on peut réécrire le Coran

    Pour les musulmans, le Coran est dieu. Le Coran n’est pas l’œuvre d’un homme, comme l’est par exemple la Bible, mais d’Allah, qui l’a dicté à Mahomet. À ce titre, on ne peut pas changer Dieu. Les paroles de morts et de combats qui sont dans ce livre ne peuvent pas être supprimées ou effacées par les hommes puisqu’elles ne sont pas leur création. Toute la théologie musulmane repose sur le fait que le Coran est issu directement d’Allah. Changer cela, ce n’est pas réformer l’islam, c’est le détruire. On peut ne pas tenir compte de ces phrases, ou les interpréter dans un sens différent, mais nullement les supprimer.

    6ème erreur : croire que l’État peut seul assurer notre sécurité

    Le terrorisme fonde son attaque sur la rapidité et la surprise. Bâtir des palissades ne nous protègera jamais des attaques du terrorisme. Nous ne demandons pas à l’État qu’il nous protège du terrorisme, mais qu’il éradique les terroristes. Il est illusoire de croire que mettre davantage de soldats et de policiers dans les rues évitera les attaques. Il faut retrouver une capacité de mouvement en attaquant les terroristes là où ils sont. Cela, l’armée française a très bien su le faire pendant la bataille d’Alger avec les parachutistes de Massu.

    C’est la même action qu’il faut mener aujourd’hui, la torture en moins, fondée sur le renseignement et le ratissage minutieux des quartiers. Le renseignement français actuel fait d’ailleurs très bien son travail puisqu’il est capable de repérer tous les terroristes potentiels : ceux qui ont commis les crimes étaient fichés.

    Ensuite, doit se poser la question de l’armement des milices privées. Dans une situation d’exception comme la nôtre, ceux qui ont le droit de posséder des armes, notamment les chasseurs et les membres de clubs de tir, devraient pouvoir mettre leurs compétences en ce domaine au service de la sécurité de leurs concitoyens.

    7ème erreur : l’occultation du sacrifice

    Je reprends ici la pensée de René Girard, qui m’apparaît fondamentale pour comprendre le moment que nous vivons. Le sacrifice est en effet au cœur de toutes les civilisations humaines, et les religions archaïques consistent à éliminer le bouc-émissaire, chargé de tous les maux, par le sacrifice, afin de restaurer l’ordre de la société. Les sociétés archaïques supposent donc le sang et la condamnation, puisqu’il est nécessaire de désigner le bouc émissaire et le tuer.

    Les islamistes sont exactement dans cette perspective-là. Les boucs émissaires sont pour eux les juifs, les chrétiens, les mauvais musulmans, tous ceux dont ils estiment qu’ils souillent le monde et qu’il est nécessaire de tuer pour restaurer l’harmonie du monde.

    Ce que démontre brillamment l’œuvre de René Girard, c’est que le christianisme détruit la logique du bouc-émissaire, car ici la victime, le Christ, est innocent. On quitte donc le monde des religions archaïques pour entrer dans la modernité de la foi. Le cycle de la violence est brisé. L’harmonie du monde ne pourra plus être restaurée par la violence, en tuant des boucs émissaires, mais autrement ; par exemple par la discussion politique ou l’échange économique.

    Nous sommes, nous Européens, chrétiens ou non, les héritiers de cette façon de voir le monde : tuer un innocent nous répugne, comme nous répugne l’assassinat du père Hamel. Mais pour les islamistes, tuer est la seule façon de restaurer l’ordre du monde : ils sont restés dans cette conception archaïque dont nous essayons de nous détacher depuis deux mille ans. À Saint-Étienne du Rouvray, il y avait deux visions du martyre. Pour la vision archaïque des islamistes, les martyrs sont ceux qui donnent la mort, car ainsi ils restaurent l’harmonie. Pour la vision moderne des chrétiens, les martyrs sont ceux qui sont tués de par leur innocence, et cette mort engendre la vie.

    Nous revenons ainsi à notre première erreur : ne pas comprendre que les islamistes ne sont pas nous, qu’ils sont autres. Ils n’ont pas la même vision de la vie et de l’homme. Alors que nous sommes dans une conception moderne et nouvelle de l’humanité, eux sont dans une conception archaïque. De là la grande incompréhension, de là aussi la raison profonde du combat qu’ils mènent contre nous.

    contrepoints.org

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  • isco: Cazeneuve ose appeler cela une rixe entre Corses et maghrébins!

    Immigrants légaux, illégaux, racisme, xénophobie, islamophobie, islam, islamisme, modérés, extrémistes, radicalisés, déradicalisés, détraqués, déprimés, Allah akbar, mosquée, imam, imam, mosquée…. Ouf…Ras le bol!

    Tous ces mots ont envahi le vocabulaire déjà très restreint, de nos medias et de nos gouvernants. On les a appris par cœur. On sait d’avance la chanson qui va nous être interprétée et on a décidé de ne plus l’entendre.

    Ça commence à bien faire. On en a une overdose.

    Nous, quand on apprend ou qu’on entend ou qu’on lit, aux infos, qu’il y a eu des Français agressés, tués (de préférence au couteau ou à la machette ou à la hache) ou explosés, on veut la Vérité.

    Et la Vérité, est toujours la même, d’une simplicité effarante, d’une logique imparable:

    Un ou des musulmans (ou arabo-musulmans) ont tué au cri d’Allah, de bons Français, innocents qui se baladaient tranquillement dans la rue ou qui se baignaient sur une plage corse ou, encore, écoutaient la messe dans une église.

    Les Français ne sont pas idiots. Les Français sont excédés. Les Français savent que le poison mortel qui les guette aujourd’hui, s’appelle musulman et islam.

    Et si les gouvernants et leurs medias croient nous faire prendre des vessies pour des lanternes, on veut leur dire, ici, que nous en avons plus qu’assez de les entendre protéger ces barbares d’un autre âge avec leurs mots choisis quand ce ne sont pas par des actes judiciaires.

    Quand un musulman tue, agresse, blesse, on veut entendre dire que c’est un musulman qui a commis cet acte criminel. Quels que soient son état d’esprit, sa situation sociale, ses motivations, on s’en contrefout. Il a agressé, il a blessé, il a tué, il est coupable et il doit être condamné comme l’est n’importe quel quidam Français dans ce pays où la loi l’exige mais ils n’ont pas à cacher la nationalité ni la religion du criminel puisqu’ils ne le font pas lorsqu’il s’agit d’un individu qui n’est pas musulman.

    Cacher la religion de l’assassin ne fait qu’exacerber notre colère. Parce qu’il n’est plus un secret pour personne que les musulmans tuent les infidèles au nom d’Allah quoiqu’en disent ceux qui ont une vision erronée de l’islam. On veut parler, ici, de ces musulmans qui se disent modérés ou qui nient les appels au crime écrits dans leur livre.

    Ainsi, au fallacieux prétexte que nous engloberions, à tort, TOUS les musulmans dans cette révélation, on laisse la bride sur le coup de ces adeptes d’Allah qui recommencent se sachant intouchables.

    Le fait est que, depuis trop longtemps, ces immigrés musulmans haineux se sentent impunis et cela les encourage à attenter à la vie des Français, en toute liberté. Les contorsions de nos élus et de nos medias pour relater leurs forfaits les font bien rire. Et nous, ça nous rend furieux.

    Aujourd’hui, les medias français font les gros titres d’une " rixe entre Corses et maghrébins ".

    Une rixe? Voilà un nouveau mot pour ne pas nommer un attentat ou une agression de la part de musulmans.

    Pourquoi pas, tant qu’ils y sont, parler de vendetta? Nous ne sommes plus au temps de Colomba et les Corses ne sont pas tous des Orson qui s’ignorent. Les Corses n’aspirent qu’à vivre en paix sur leur île.

    Mais voilà, les musulmans sont – aussi – en Corse.

    Et c’est dans une crique habituellement tranquille du Cap, qu’en plein mois d’août, période invasive de l’île par les pinzuttis, qu’une dizaine de musulmans sont installés. Jusque-là, vous nous direz, quoi de plus normal?

    Sauf que leurs femmes se baignent en burqa.

    Des touristes prennent en photo le paysage (ou l’incongruité de la scène!). Les musulmans contrariés leur lancent des pierres.

     

    Les jeunes corses qui habitent le village sont descendus à " la marine " regardent la scène.

    Ils sont immédiatement pris à partie et insultés par le groupe de musulmans qui les agressent au couteau, harpon et autre hache.

    L’un deux ayant été blessé, les autres gamins se sont précipités pour prévenir les parents qui ont pris, eux aussi, des coups de couteau et de harpon pendant que les femmes voilées crevaient les pneus de leurs véhicules avec – encore – des couteaux.

    Sisco est un adorable petit village. Les habitants, informés de l’attaque des enfants par les musulmans, sont arrivés en force dans la crique.

    Une maman témoigne: " C’était une scène de guerre! ".

    Et Cazeneuve ose appeler ça, une rixe? " Une violente rixe dont l’enquête devra déterminer les circonstances et les motifs "?

    Non, Monsieur. C’était un guet-apens. Dans leurs sacs les musulmans avaient plusieurs armes blanches qu’ils se sont empressés de sortir et dont ils ont usé contre des jeunes Français désarmés.

    Nous n’acceptons plus ces phrases à l’emporte-pièce qui essayent de noyer le poisson quand le poisson n’est qu’un fugu musulman que les Français évitent comme la peste. Mais ce sont eux qui viennent nous chercher. Jusque dans les recoins les plus isolés de notre France. Ils ne sont que provocation.

    Si les musulmans veulent qu’on respecte leurs coutumes, ils doivent d’abord respecter les nôtres. A notre époque où les gens ont plus l’habitude de se baigner à poil qu’habillés, il est tout à fait normal que des femmes en burqa pataugeant dans l’eau intriguent et forcent les regards.

    Si vous ne voulez pas que l’on regarde vos femmes, cachez-les! Allez prendre vos bains de mer à minuit! Mais ne venez pas emmerder les braves gens avec vos simagrées religieuses.

    S’il fut un temps où les immigrés musulmans se tenaient tranquilles et vivaient sans nous causer de problème, il y a déjà trop longtemps, voire plusieurs années, qu’ils sont redevenus ce qu’ils étaient il y a 14 siècles, avec leur haine pour les Chrétiens et les Juifs – et les Français en particulier puisqu’il s’agit, avant tout, de leurs actes criminels dans notre pays.

    Souvenez-vous. Nous avons tout d’abord eu l’épisode " des regards ". Oui, il aurait fallu marcher avec une canne blanche à la main ou les regarder avec les yeux fermés! Même en étant sur un autre trottoir, ces jeunes musulmans se sentaient " agressés " par nos regards. C’était devenu l’excuse de masse pour agresser physiquement, voire tuer, en toute impunité, ceux qui les " blessaient avec les yeux ".

    Et ils s’en sont servis de ces regards! Du Nord au Sud et d’Est en Ouest, on ne comptait plus le nombre de victimes qui avaient eu l’outrecuidance de les " regarder ".

    Et puis, il y a eu l’interdiction. L’interdiction de nommer – seulement nommer – l’islam. Les Français devaient se taire, avaler toutes leurs fantaisies sinon ils étaient immédiatement traduits en justice. Et de cette lubie de nos gouvernants et de la justice, ils s’en sont servis, à qui mieux-mieux, les musulmans contre les Français.

    Aujourd’hui, ils sont passés à l’étape supérieure.

    Aujourd’hui, ils tuent. Ils tuent dans les rues, dans les églises, dans nos maisons.

    Et ils tuent sur nos plages.

    Jusqu’à quand?

    Danièle Lopez

    Source:

     

    Un commentaire parmi d'autres

    " S’il fut un temps où les immigrés musulmans se tenaient tranquilles et vivaient sans nous causer de problème,  " dites vous

    J’entends souvent ce genre de réflexions. Il faut lui tordre le coup!

    Pourquoi ne causaient ils pas de problème?

    Tout simplement parce que le rapport de force n’était pas en leur faveur. Alors ils filent doux, rasent les murs. Se font discret

    Alors ils attendent

    lls attendent, et font des gosses, beaucoup de gosse toujours des gosses qui s’ajoutent aux nouveaux coreligionnaires qui arrivent en flux continu…

    Et quand ils atteignent un nombre conséquent – même si ça reste une minorité – alors commencent les problèmes entre eux et les autochtones. Des problèmes qui vont crescendo.. Toujours

    Et la minorité grossit, grossit de plus en plus. Générant de plus en plus de problèmes . Toujours.

    Et les muzz ne changent jamais de stratégie puisque c’est le programme du coran et qu’il doit être réalisé

    C’est ainsi depuis 14 siècles partout ou l’islam s’installe…

    Un autre commentaire

    Les corses ne sont pas racistes, ils sont anti-parasites, ils ne veulent pas que la Corse disparaisse, minée comme les banlieues du continent par cette maladie que constitue le communautarisme le plus éloigné de notre civilisation, allergique à la France et aux français!!!!Le Premier Ministre M Valls tente de faire culpabiliser les corses sur leur éventuel racisme…. Que monsieur Valls s’occupe de Bartolone!!!

    Ce sont des personnages comme Bartolone qui ont fait du 93, de l’Ile de France et de la France un territoire livré au communautarisme barbare!!!

    Un mot sur l’auto-défense: seule l’absence de justice est génitrice d’auto-défense…

     

     

  • Non! je ne suis pas Corse... mais je dis bravo aux VRAIS mecs français!

    Tension en Corse au lendemain d'affrontements à la hachette dans une crique

    Tension en Corse au lendemain d'affrontements à la hachette dans une crique

    Les affrontements ont fait 4 blessés à Sisco. (CC/Pierre Bona)

    500 personnes étaient rassemblées ce dimanche matin à Bastia, une poignée d'heures après de violents affrontements sur la commune de Sisco qui ont obligé les forces de l'ordre à se déployer en nombre.

    Que s'est-il passé samedi soir à Sisco ? Une "violente rixe", selon les termes du ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve, a éclaté dans une crique entre des riverains et une dizaine de personnes extérieures à la commune, "dans des circonstances et pour des motifs que l'enquête devra déterminer avec précision", obligeant les forces de l'ordre à se déployer en nombre (100 policiers et gendarmes) pour ramener le calme.

    4 personnes, dont une femme enceinte, ont été hospitalisées à Bastia. Leur pronostic vital n'est pas engagé. Trois véhicules ont par ailleurs été incendiés. La section de recherches d'Ajaccio a été saisie de l'enquête.

    Bernard Cazeneuve "condamne avec force ces violences" et assure de la "mobilisation de ses services dans le cadre de l'enquête conduite par l'autorité judiciaire, pour faire toute la lumière sur ces faits intolérables et en interpeller les auteurs".

    500 personnes à Bastia

    Pour le reste, il faut s'en référer avec toute la prudence nécessaire au récit des témoins. Comme cette jeune fille, une mineure, qui s'exprimait au mégaphone ce dimanche matin devant les 500 manifestants rassemblés dans le centre de Bastia.

    L'affrontement, relate-t-elle, aurait éclaté alors que plusieurs femmes qui se baignaient en burkini (cette tenue de plage qui recouvre le corps et les cheveux) étaient prises en photo par des touristes. Des insultes auraient alors été proférées par un groupe de jeunes gens d'origine maghrébine. Plusieurs hommes plus âgés, d'origine maghrébine, seraient alors arrivés, munis de hachettes, s'en prenant à un groupe de jeunes Corses âgés de 15 à 18 ans qui étaient sur la plage, toujours selon ce témoignage.

    "Mon frère a été tabassé, il est choqué pour toujours", déclare la manifestante. Des parents des jeunes gens seraient à leur tour intervenus et deux d'entre eux ont été blessés avec des harpons, indique la jeune fille. "Le ton est monté [...], les gens du village sont descendus". Par la suite, les pneus de plusieurs de leurs voitures auraient été éclatés par des femmes maghrébines, tandis que les villageois renversaient une voiture et incendiaient deux autres véhicules appartenant à des membres de la communauté maghrébine.

    "Vous n'avez qu'à venir nous voir à Lupino" - un quartier périphérique, populaire et métissé de Bastia -, aurait lancé l'une des personnes d'origine maghrébine.

    Dispersion dans le calme

    Ce dimanche en fin de matinée, les manifestants ont été reçus à la préfecture de Bastia. A la sortie, dans une ambiance très tendue, la foule a commencé à scander "Aux armes, on va monter parce qu'on est chez nous", et se sont dirigés vers une des cités du quartier Lupino, dont les gendarmes mobiles bloquaient l'entrée.

    Le maire de Sisco, Ange Vivoni, a lancé un appel au calme à sa sortie de la préfecture :

    "Vous pouvez monter, mais restez calme", a-t-il dit.

    Après s'être rassemblées devant la mairie, au pied d'un immeuble de Lupino et devant l'hôpital de Bastia, plusieurs centaines de personnes se sont dispersées dans le calme, au niveau de la cité des Monts, rapporte "Corse Matin". Les forces de l'ordre ont tiré des gaz lacrymogènes devant l'hôpital après avoir reçu des projectiles.

    Le président du Conseil Exécutif de Corse Gilles Simeoni et celui de l'Assemblée de Corse, Jean-Guy Talamoni, ont lancé un "appel au calme et au refus de toute réaction inappropriée" condamnant "les comportements provocateurs et des actes violents de la part de personne extérieures à la commune", accompagnés "selon les témoins d'une revendication explicitement communautariste".

    Dans un tweet, le président du conseil départemental de Haute-Corse, François Orlandi a demandé que cette "agression inacceptable" soit "sanctionnée". Mais "l'appel au calme et au sang-froid est nécessaire pour éviter que les amalgames stigmatisent toute une communauté qui souhaite vivre en paix dans une île où elle travaille depuis des décennies et où, souvent, ses enfants sont nés", écrit-il.

    http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20160814.OBS6295/tension-en-corse-au-lendemain-d-affrontements-a-la-hachette-dans-une-crique.html

     

    https://www.facebook.com/jocorsicasun/posts/1036948776420694

     

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  • La vérité en Corse

    Pearl De Montferre

    Récapitulatif de Sisco : message de la maman d'un jeune corse agressé....

    """Ce soir Nos enfants sont en état de choc!
    Ils étaient tranquilles a la crique comme chaque jour, armés de leur ... Serviette de plage.

    Le tord de nos enfants, aujourd hui, est : qu ils étaient entrain de regarder de loin de leur rocher, une population musulmane (environ 10 pers) prenant le bain en burka, lorsque ces dernières ont commence a caillasser des touristes qui prenaient le paysage en photo (ils se sont sentis visés par l objectif)

    Nos enfants spectateurs de cette scène ont été vite pris pour cible.
    Ils ont été insultés car ils regardaient..
    De là, les agresseurs sont partis dans leur direction armés de haches
    Couteaux et harpons.
    Ils ont mis un coup de crosse sur la tête du plus petit gabarit d entre eux ( c est important de le préciser)
    et le copain de ma fille, sous ses yeux, a esquiver un coup de couteau dans le ventre...

    Un Blessé, les autres Affolés, tous sont partis appeler au secours , mon mari et les 2 papas sont arrives en premier sur les lieux pour régler la situation...
    Les femmes voilées ont pris les pneus de notre voiture a coup de couteaux...
    Les hommes ont commencé à vouloir mettre un coup de couteau a mon mari, puis on blesse a coup de harpon le papa du petit déjà blessé.

    C est a ce moment que le reste du village est arrive en renfort ..
    Une scène de guerre!

    Alors qu on remette tout bien a sa place ce soir, car la bande de mes enfants plus calmes, plus gentils plus fairplay ... Il n y a pas !

    Et ces individus sont venus la pour provoquer avec dans leurs sac un attirail d armes blanches!

    Que je n entende pas que cette histoire soit du racisme!

    Et la bande de jeunes corses, sont des ados sans histoires aucunes !
    Ce soir toute leur bande est en état de choc
    Il est hors de question que nous laissons faire ça gratuitement a nos enfants .

    Alors chers Journalistes essayez de ne pas renverser la situation
    De trouver des titres a l "usu"
    Ceux de ce soir ...
    si vous ne voulez pas faire monter la violence déjà au top de toutes mes imaginations!
     
     
  • La rose qui tue et qui pue!

    L’Amérique latine nous fait une fois de plus la démonstration du poison social qu’est le socialisme démocratique, l’idéologie qui a permis à Bernie Sanders d’accumuler plus de 13 millions de voix aux élections primaires. Le socialisme – qu’il soit ou non démocratique – n’est pas seulement destructeur pour l’économie d’une nation, comme l’Histoire a pu nous le prouver à maintes reprises au cours du vingtième siècle, il est aussi un poison écologique. Après l’effondrement global du socialisme à la fin des années 1980, nous avons pu apercevoir ce qui arrive à l’environnement d’un pays sous un système socialiste qui interdit les profits privés des décennies durant. En un mot, les conséquences en sont catastrophiques, comme nous avons pu le lire dans Ecocide in the USSR.

    Le monde a pu apprendre que les pays socialistes ont laissé s’écouler leurs eaux usées non traitées dans leurs rivières, leurs fleuves et leurs lacs des décennies durant. La Volga a en effet été si polluée que les bateaux étaient équipés de signes interdisant de jeter des mégots de cigarette dans l’eau de peur qu’en raison de son contenu chimique, elle ne prenne feu. La pollution générée par les usines n’était jamais contrôlée, les poissons mourraient en masse, et l’Académie polonaise des sciences a rapporté qu’au début des années 1990, la moitié des Polonais vivaient dans une zone de désastre écologique.

    L’ancienne théorie selon laquelle la poursuite de profit au sein d’une économie non-régulée est la cause principale de pollution a été réfutée. Contrairement aux nations capitalistes qui tiennent les pollueurs légalement responsables pour les dommages causés, dans les nations socialistes, les politiciens qui sont responsables de la pollution générée par les entreprises nationalisées ne sont absolument pas tenus responsables. La propriété des ressources nationales au gouvernement signifie que personne ne les possède, et lorsque les ressources sont mises en commun, elles finissent par être sur-utilisées, abusées et exploitées. L’absence de droits de propriété et d’un système de responsabilité légale est la recette parfaite d’un désastre écologique, chose qu’ont prouvé et que continuent de prouver les pays socialistes. 

    Lorsqu’un terrible accident a causé l’explosion mortelle d’une plateforme pétrolière dans le Golfe du Mexique, la société privée British Petroleum a immédiatement établi un fonds de 20 milliards de dollars qui a été utilisé pour le versement de dommages et intérêts. Mais quand le gouvernement du Mexique génère des désastres environnementaux et humains dans le Golfe du Mexique, il se contente de ne rien faire et de mettre en avant son immunité souveraine. Au cours des cinq premiers mois de 2015, Pemex, le complexe pétrolier nationalisé du Mexique, a causé trois explosions catastrophiques qui ont fait de nombreux morts et blessé, et pollué air et eau. Le gouvernement mexicain s’est empressé de dire qu’il n’y avait pas eu de fuite de pétrole, une déclaration que des images satellites fournies par Greenpeace Mexico ont suffi à qualifier de mensonge en montrant clairement une marée noire de 5 kilomètres de long.

    La couverture télévisée des Jeux olympiques de Rio est sur le point de nous faire preuve des terribles problèmes de pollution auxquels fait face le Brésil, géré depuis de nombreuses années par le parti travailliste social-démocrate, qui proclame fièrement le socialisme révolutionnaire comme étant son idéologie première. En plus d’avoir généré la pire pauvreté au monde, le gouvernement brésilien a transformé ses plages autrefois très belles en véritables fosses septiques.

    Le 2 août, un article écrit par Gareth Davies pour le Daily Mail a mentionné les résultats d’une étude de pollution menée à Rio la veille des Jeux Olympiques :

    Il a été recommandé aux athlètes de ne pas mettre la tête sous l’eau.

    La concentration de virus dans la baie de Guanabara, où aura lieu l’épreuve du triathlon, est 1,7 million de fois plus élevée que dans les eaux les plus polluées des Etats-Unis et d’Europe.

    Dans certaines baies, il y a tellement de déchets qu’il est impossible de voir l’eau, et des rats se sont installés sur les piles de déchets flottantes.

    Un corps ainsi qu’un bras humain ont récemment été vus flotter dans la baie de Guanabara.

    Les sables des plages ont aussi une concentration de virus très élevée.

    A Gloria Marina, où auront lieu les épreuves de voile, la concentration de virus est plusieurs milliers de fois plus élevée que dans les eaux les plus polluées des Etats-Unis.

    Les marées d’eaux fétides et usées sont assez communes sur la plage d’Ipanema.

    De vastes îles de déchets en décomposition peuvent être aperçues à marée basse. Ce sont les immeubles résidentiels des bords de plages qui en sont responsables.

    De nombreuses rivières sont noires de pollution.

    Ce genre de cauchemar est devenu assez commun dans les autres nations d’Amérique latine adeptes d’un socialisme démocratique. Le Venezuela souffre d’une déforestation massive et son lac Maracaibo est pollué par plus de 40.000 litres d’eaux usées par seconde provenant des deux millions de résidences qui bordent le lac. Plus de 800 sociétés, dont beaucoup sont liées à l’industrie pétrolière nationalisée du pays, sont autorisées à rejeter des déchets industriels dans le lac. Le lac Valencia est aussi très pollué, et la société pétrolière du gouvernement, PDVSA, aurait rempli plus de 15.000 fosses pétrolières de déchets contaminés, des déchets qui suinteront inévitablement dans les nappes phréatiques. 

    L’une des leçons que les partisans de Bernie Sanders devraient apprendre est que le socialisme démocratique ne détruira pas seulement leur avenir économique, mais aussi leur environnement naturel. Le socialisme est, partout, un désastre économique et environnemental.

     

    Pour les polonais: c'est vrai... les numérations formules sanguines des polonais étaient très "perturbées" à cause de la pollution: pour la même formule en France, on aurait pensé à quelque chose de "grave"... les polonais envoyaient le plus possible leurs enfants à la campagne le WE et pendant les vacances (ou en France, chez des correspondants…) pour leur assurer un peu de temps de vie non pollué.

    Venezuela: le fameux paradis... les gens meurent de faim... Les animaux du zoo de la capitale meurent de faim aussi, ou autre option, sont mangés par la population...

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