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occitanie - Page 268

  • La fermeté envers les assasins de la gauchiasse...

    Attentat de Nice: pour Valls, l’expulsion des étrangers condamnés pour violences "est la solution de facilité"

    En pleine polémique sur la vidéosurveillance à Nice, Manuel Valls, invité de BFMTV et RMC lundi, réaffirme sa confiance en Bernard Cazeneuve, "un homme intègre, un homme d’Etat, un ministre de l’Intérieur formidable", selon le chef du gouvernement.

    "Je n’ai aucun doute sur Bernard Cazeneuve", affirme encore Manuel Valls, pour qui cette "polémique politique vise à déstabiliser le gouvernement" .

    Manuel Valls a été interrogé par ailleurs sur le fait que le Tunisien Mohamed Lahouaiej Bouhlel, l’auteur de l’attentat, avait été condamné pour violence volontaire mais demeurait toujours en France.

    Appoline de Malherbe: "Est-ce qu’il faut que les étrangers condamnés pour violences restent".

    Manuel Valls: "Ca veut dire qu’il faut expulser tous les étrangers condamnés pour violences. [...] C’est la solution de facilité. Et quand il s’agit d’un binational? Ou quand il s’agit d’un Français qui commettra des attentats ? Toute forme de violence doit être condamnée". [...] CQFD: attendez-vous a encore des centaines de morts!

     "Un étranger condamné pour violences peut, dans certains cas, être expulsé. Je ne confonds pas une condamnation de six mois avec sursis avec le terrorisme. Le plus difficile à combattre est que nous ayons plusieurs centaines d’individus prêts à passer à l’acte“. Ferme ta gu. et travaille à nous protéger!

     

  • Voici comment la gauchiasse protège les Français....

    Nice: Un complice albanais du terroriste laissé libre en mai malgré une mesure d’expulsion

    L’un des deux Albanais suspectés d’avoir fourni le pistolet au tueur avait été arrêté le 2 mai et était sous le coup d’une mesure de reconduite à la frontière.

    On sait déjà que Mohamed Lahouaiej Bouhlel, le terroriste de Nice, avait déjà interpellé à deux reprises par la police municipale – en août 2015 pour "dégradation de biens publics" (panneaux de circulation) et en janvier 2016 pour agression sur un automobiliste. Mais il n’est pas le seul… Le couple d’Albanais suspecté d’avoir apporté un soutien logistique au tueur – et notamment le pistolet qui a servi au massacre – était lui aussi déjà connu des services de police.

    C’est ce que révèle une main courante de la police municipale, que Le Point s’est procurée et publie en exclusivité. Dans ce document (n° 2 016 018 602), il est mentionné que l’homme, Artan H., avait été arrêté – en compagnie d’un autre individu – pour une banale infraction au Code de la route le 2 mai dernier. Il se trouvait à bord d’une voiture immobilisée. " Le véhicule, en panne de batterie, est stationné, mais les vitres ne se referment pas ", note l’agent. Interrogé, comme le veut la procédure, l’officier de police judiciaire " demande la surveillance du véhicule par une caméra CSU " (NDLR: le centre de supervision urbain de Nice qui pilote les 1 250 caméras de la ville). Il précise également: "Étant donné que les vérifications sont sans suite, le contrevenant récupère son véhicule“.

    Le document précise qu’Artan H est né le 30 janvier 1978 en Albanie et qu’il faisait l’objet, ce 2 mai 2016, d’une fiche de reconduite à la frontière. Las, indique la main courante, le 3 mai, "sur ordre de l’OPJ, les deux individus sont laissés libres".

    Et n’ont donc pas été expulsés du territoire français. Pourquoi? Une question dont la réponse ne manquera pas de relancer la polémique…

    Le Point

  • Vivent les VRAIES femmes de France, libres et indépendantes!

     

     

  • La France notre beau pays, vue par les Russes

    Voici ce que des reporters russes ont réalisé comme documentaire  pour les chaînes de TV russes

     

  • Immonde! espèce de protozoaire

    Solliès-Pont (83): Smain accusé d’avoir égorgé une octogénaire dans son fauteuil roulant

    De lundi à mercredi, les jurés varois seront confrontés à un crime crapuleux assez lamentable, qui s’est produit le 6 juillet 2013 à Solliès-Pont.

    Ce jour-là, en fin d’après-midi, les secours se sont déplacés dans un groupe d’immeubles résidentiels, où une octogénaire venait d’être découverte à son domicile, baignant dans son sang. Encore consciente, Simone, 82 ans, avait été égorgée dans son fauteuil roulant.

    Hospitalisée à Sainte-Anne, elle a confié aux gendarmes qu’elle avait été agressée par S. M., un jeune voisin qu’elle connaissait depuis l’enfance, pour lui voler le peu d’argent qu’elle avait chez elle, moins de 20 €.

    Dans ses premiers aveux, S. M., 21 ans alors, a confirmé qu’il s’était bien rendu chez la victime et qu’il lui avait porté un coup de couteau à la gorge, sans trop se souvenir pourquoi ni comment.

    Puis qu’il avait pris quelques euros dans le porte-monnaie de la vieille dame, avec lesquels il s’était payé un café et un paquet de cigarettes.

    (…) Var Matin

     

  • Toulouse, c'est ma ville... on n'y est plus en sécurité. La faute à qui?

    Toulouse (31): condamné pour viol, il sort et récidive un an plus tard

    "J’étais tellement terrifiée qu’aucun son ne pouvait sortir de ma bouche". Témoignage poignant d’une jeune victime de viol. Le procès de son agresseur (photo) a débuté hier devant la cour d’assises de Toulouse.

    Le 26 novembre 2013, à Cornebarieu, cette jeune femme alors âgée de 18 ans, est sortie tôt, très tôt, prendre son bus qui l’amène au lycée. Il était 6 h 20 lorsque, dans cette froide nuit d’automne, elle a été accostée par un homme. "À l’instinct, j’ai compris qu’il allait se passer quelque chose", explique la victime, assistée de Me David, à la barre.

    Son agresseur l’a alors saisie, puis l’emmenant dans une sombre impasse, lui a ordonné de se déshabiller. Il lui a ensuite imposé, un couteau à la main, une fellation, puis une pénétration, éjaculant au sol. Un indice précieux pour les enquêteurs. L’agresseur, déjà condamné pour un viol en 2001 et donc fiché au FIJAIS (fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles), a ainsi été rapidement identifié par les gendarmes.

    Dans le box, l’homme de 36 ans, défendu par Mes Valayer et Boucharinc, visage fermé et tatoué, survêtement bleu et lunette de soleil, paraît distant, comme absent de son propre procès. Il a reconnu le viol. "Une pulsion", a-t-il expliqué aux enquêteurs, ne pouvant donner plus de détail à ces questions: "Pourquoi cette victime ? Pourquoi ce jour-là ?" La personnalité de cet individu pose question. Sorti de détention en février 2012, il aura fallu seulement un an pour que cet homme, décrit comme "gentil et serviable" par une ancienne compagne, récidive. [...]

     

    http://www.fdesouche.com