Voici ce que des reporters russes ont réalisé comme documentaire pour les chaînes de TV russes
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Voici ce que des reporters russes ont réalisé comme documentaire pour les chaînes de TV russes
Solliès-Pont (83): Smain accusé d’avoir égorgé une octogénaire dans son fauteuil roulant
De lundi à mercredi, les jurés varois seront confrontés à un crime crapuleux assez lamentable, qui s’est produit le 6 juillet 2013 à Solliès-Pont.
Ce jour-là, en fin d’après-midi, les secours se sont déplacés dans un groupe d’immeubles résidentiels, où une octogénaire venait d’être découverte à son domicile, baignant dans son sang. Encore consciente, Simone, 82 ans, avait été égorgée dans son fauteuil roulant.
Hospitalisée à Sainte-Anne, elle a confié aux gendarmes qu’elle avait été agressée par S. M., un jeune voisin qu’elle connaissait depuis l’enfance, pour lui voler le peu d’argent qu’elle avait chez elle, moins de 20 €.
Dans ses premiers aveux, S. M., 21 ans alors, a confirmé qu’il s’était bien rendu chez la victime et qu’il lui avait porté un coup de couteau à la gorge, sans trop se souvenir pourquoi ni comment.
Puis qu’il avait pris quelques euros dans le porte-monnaie de la vieille dame, avec lesquels il s’était payé un café et un paquet de cigarettes.
(…) Var Matin
Toulouse (31): condamné pour viol, il sort et récidive un an plus tard
"J’étais tellement terrifiée qu’aucun son ne pouvait sortir de ma bouche". Témoignage poignant d’une jeune victime de viol. Le procès de son agresseur (photo) a débuté hier devant la cour d’assises de Toulouse.
Le 26 novembre 2013, à Cornebarieu, cette jeune femme alors âgée de 18 ans, est sortie tôt, très tôt, prendre son bus qui l’amène au lycée. Il était 6 h 20 lorsque, dans cette froide nuit d’automne, elle a été accostée par un homme. "À l’instinct, j’ai compris qu’il allait se passer quelque chose", explique la victime, assistée de Me David, à la barre.
Son agresseur l’a alors saisie, puis l’emmenant dans une sombre impasse, lui a ordonné de se déshabiller. Il lui a ensuite imposé, un couteau à la main, une fellation, puis une pénétration, éjaculant au sol. Un indice précieux pour les enquêteurs. L’agresseur, déjà condamné pour un viol en 2001 et donc fiché au FIJAIS (fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles), a ainsi été rapidement identifié par les gendarmes.
Dans le box, l’homme de 36 ans, défendu par Mes Valayer et Boucharinc, visage fermé et tatoué, survêtement bleu et lunette de soleil, paraît distant, comme absent de son propre procès. Il a reconnu le viol. "Une pulsion", a-t-il expliqué aux enquêteurs, ne pouvant donner plus de détail à ces questions: "Pourquoi cette victime ? Pourquoi ce jour-là ?" La personnalité de cet individu pose question. Sorti de détention en février 2012, il aura fallu seulement un an pour que cet homme, décrit comme "gentil et serviable" par une ancienne compagne, récidive. [...]
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