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politique - Page 199

  • Brigitouille tacle macrouille

    Les gardes du corps de la présidence de la République sont censés, ou en tout cas les institutions seraient en droit au moins de l’espérer, être muets comme des carpes.

    Il se passe au Palais des choses qui relèvent bien évidemment de la raison d’État et des intérêts supérieurs de notre nation, de notre pays et de son peuple.

    L’exercice du pouvoir peut parfois conduire à des prises de décisions qui n’ont évidemment pas vocation à être étalées à la une des journaux.

    Voir des membres de la sécurité présidentielle " baver " auprès des journalistes n’est pas très rassurant et n’augure rien de bon, tant cela signifie le mépris porté par les sans-dents aux puissants qu’ils devraient être fiers de servir.

    Que l’on soit " pro " ou " anti " Macron, le service de sécurité se doit d’être muet.

    Mais c’est vraisemblablement le prix à payer quand nous avons à la tête d’un pays un jeune homme qui semble manquer cruellement de maturité et de sagacité dans ses choix de communication et d’affichage qui semblent choquer même au plus haut niveau des services de sécurité de la République.

    “Il faut arrêter les conneries maintenant !”

    " Le président de la République s’est pris une “tannée” de la part de son épouse en colère, révèle sur Twitter un journaliste, qui cite un officier de sécurité de l’Élysée.

    Une " tannée ". (sauf que dans mon pays, une tannée est une tabassée, une branlée, des coups quoi!) Brigitte Macron a récemment et bruyamment engueulé son mari et chef de l’État, accablé par les affaires, les déconvenues politiques et une popularité en chute libre, a révélé le journaliste Frédéric Helbert, sur Twitter, mercredi.

    " Selon une top source, il y a quelque temps, à l’Élysée, le président de la République a subi une véritable engueulade, une ‘déculottée’, venues de son épouse Brigitte Macron, qui a tout passé en revue (Benalla, etc.). ‘Ça gueulait si fort derrière la porte qu’on a tout entendu’ (membre #GSPR) ", rapporte-t-il, en citant un membre du groupe de sécurité de la présidence de la République.

    Ne pas faire de bêtise est un choix !

    Le président se perd totalement dans la démagogie et la communication de très bas étage.

    Poser, de cette façon-là, avec ce genre de personne " pas-tibulaire "… mais presque comme disait Coluche, est une insulte à tous les Français, quel que soit leur positionnement sur la palette des couleurs et des origines qui travaillent durement, dignement, et ne se permettraient jamais de devenir braqueur. Voler l’orange du marchand pour nourrir son enfant n’a rien à voir avec le fait de braquer avec une arme. Dans bien des supermarché, quand un pauvre bougre se fait prendre avec le paquet de nouilles le moins cher, les gendarmes sont rarement appelés. Il n’en va pas de même quand l’objet du délit est le dernier jeux vidéo à la mode. Tout le monde sait faire la différence.

    Il n’y a aucun racisme à désigner un bandit pour ce qu’il est. Un bandit. Un homme de bien pour ce qu’il est… un homme de bien. Couleurs et origines n’ont rien à voir la-dedans.

    Il était utile que notre petit mamamouchi reprenne vertement un jeune garçon tout chose qui avait eu l’outrecuidance de lui dire " salut Manu ", pour se faire ainsi mettre des doigts sur les photos par des repris de justice minables.

    Sans doute une certaine idée de la fonction présidentielle toute personnelle de notre cher mamamouchi et de ses conseillers… Dont il devrait envisager également le remaniement et plus que sérieusement. (Je postule Manu… mais ce ne sera pas pour dire des choses sympas. Notre collaboration devrait durer dans les… 5 minutes, montre en main.)

    Macron n’est pas le chanoine de Latran qui devrait pardonner à tous.

    Macron est le président et incarne ce que l’on appelle le pouvoir temporel. C’est assez différent.

    Mais comme Macron aime " tous les enfants de France (ok) même ceux qui n’ont pas eu le choix de ne pas faire de bêtise (pas ok du tout) ", il se comporte comme un curé, et encore, un curé qui n’a pas fait beaucoup d’études de théologie politique.

     L’homme n’a pas le choix de certaines de ses conditions, mais il a toujours le choix de ses choix. À tel point que Dieu nous juge sur nos choix, le jugement de Dieu n’est pas collectif, le jugement de Dieu est individuel. Dieu ne socialise pas les échecs ou les erreurs. Cela appartient à chacun de nous.

    Nous sommes seuls face à Dieu.

    D’ailleurs, justement… voici une petite phrase que j’avais en stock et que j’étais à peu près sûr de pouvoir caser rapidement.

    " Malheur à toi, pays dont le roi est un enfant ". Ecclésiaste 10.16

    Comme disait " l’autre "… vaste programme!!

    Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !

    Charles SANNAT

    Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique.

    Source Valeurs Actuelles

    " À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes " (JFK)

     

    " Liberté? Egalité? Fraternité? Hilarité! "

    on est mal payé mais....

     

     

  • Faisons cesser ce scandale indécent!!!

    Oui, les fonctionnaires de l’Assemblée nationale ont des salaires mirobolants!

    Les salaires et les primes inexpliquées à l’Assemblée nationale: un récit édifiant!

    Un article de l’Iref-Europe

    Après la publication de notre étude sur les privilèges choquants des fonctionnaires de l’Assemblée nationale, Europe 1, le 07/06, puis Le Parisien du 25/06, avaient également mené leur propre enquête sur nos révélations. Ils concluaient tous deux sur des chiffres comparables aux nôtres quant aux salaires (primes incluses) des agents de la Chambre basse.

    Deux autres rapports ont été commandés cet été, mais cette fois en interne de l’Assemblée nationale. L’un devait proposer une réforme ambitieuse pour supprimer ces avantages mirobolants, et l’autre, le rapport Vigier, fournir des éclaircissements sur les mêmes zones d’ombre que nous n’avions pu pénétrer.

    Le poids des syndicats de fonctionnaires a eu raison du premier, qui a été enterré. Le second est incomplet, l’institution ayant délibérément fait de l’obstruction. Pourtant, ces deux rapports "officiels" reprenaient, ou complétaient, notre étude et appelaient à davantage de transparence! Et puis, l’accalmie.

    Plus rien sur ce sujet dans les medias… jusqu’au 27 septembre. Le 27 septembre 2018, Challenges publie un article dans lequel un journaliste déclare avoir enquêté au Palais Bourbon auprès de deux députés, dont les noms ne sont pas révélés, pour découvrir la vérité sur les fonctionnaires de l’Assemblée. Le récit est édifiant et les résultats confirment nos travaux.

    Des salaires élevés, des primes nombreuses et en partie inexplicables

    L’article révèle des salaires élevés, jusqu’à 2,5 fois supérieurs à la norme générale dans la fonction publique d’État.

    "Les secrétaires perçoivent, en moyenne, près de 6 000 euros nets par mois et les agents (accueil, logistique) environ 4 800 euros […], un employé du restaurant ou un gardien tourne à 4 200 euros, autant que le salaire moyen des cadres du privé toutes catégories confondues".

     Sans oublier que les deux secrétaires généraux perçoivent 19 000€ nets par mois et les 19 grands directeurs 16 000€! Soit de 2 120€ à 5 120€ nets de plus que le président de la République.

    Nous y découvrons aussi que treize sortes de primes coexistent, telles que

    " l’indemnité de doctorat, pour les titulaires d’une thèse. Ou celle qui gratifie de 375 euros mensuels les chauffeurs de personnalités politiques".

    Challenges révèle encore que les fonctionnaires peuvent obtenir 25 jours de congés supplémentaires qui s’ajoutent à leurs 5 semaines dues. Pis, certains " stakhanovistes et des tire-au-flanc " font en sorte de ne jamais assumer de travail de nuit tout en bénéficiant des primes attachées aux heures nocturnes. Ce que nous avions dénoncé en juin dernier!

    Enfin, et nous l’avions également dévoilé lorsque nous avions révélé le rapport interne (toujours non public) des deux secrétaires généraux de l’Assemblée nationale, les retraites s’élèvent à 7000€ par mois pour un administrateur, 3 500€ pour une secrétaire et 2900€ pour un chef d’agents. Ce qui est plutôt conséquent, en comparaison de la retraite moyenne française (1300€).

    Pourtant, ces chiffres ne semblent choquer ni le premier questeur, François Bachelier, ni un conseil du président de l’Assemblée qui n’y voit "rien d’incongru". À croire qu’ils ne vivent pas dans le même monde que le nôtre. Ahurissant!

    Cette enquête confirme nos travaux

    L’enquête de Challenges confirme notre étude, comme celle du Parisien et d’Europe1. Si certains salaires sont ici plus faibles que ceux que nous avions énoncés, globalement nos conclusions et calculs concordent. L’Assemblée nationale refusant de fournir un taux de prime par catégorie, nous avions appliqué un taux moyen à tous. Elle confirme également notre dénonciation de la distribution infondée des primes de nuit et des avantages en congés. Tous la perçoivent, qu’ils aient ou non bien effectué ces heures.

    Ainsi convergent les conclusions de toutes les enquêtes citées : celle des deux députés, celle du journaliste de Challenges et celle de l’IREF. Toutes démontrent donc, entre autres, que les secrétaires ont des taux de primes plus élevés que ceux des agents, que certaines primes de nuit sont totalement indues et les avantages en congés, non justifiés.

    Notre étude exploratoire, que l’ancien président du Palais Bourbon n’avait pas hésité à qualifier de mensongère, était donc en réalité très proche de la vérité. Elle aura, sans doute, permis à certaines langues de se délier et à certains observateurs de poser les bonnes questions.

    Contrepoints.org



  • Des folles furieuses punies

    Quatre militants du collectif 8 Mars pour "tou·te·s" (sic) – aujourd’hui dissous – ont été condamnés mardi pour diffamation à l’encontre de la maire PS du XXe arrondissement, Frédérique Calandra. Ils devront verser 2 000 euros de frais de justice et 2 000 euros de dommages et intérêts. Le tribunal les a en outre condamnés à 500 euros d’amende avec sursis, chacun. Les militants ont fait appel, tandis que la sociologue Sylvie Tissot et la journaliste Rokhaya Diallo, aussi visées, ont été relaxées.

    Les faits remontent à 2015. Rokhaya Diallo(1) avait été invitée par une adjointe de la maire à des débats sur l’égalité femmes-hommes. Frédérique Calandra, membre fondateur du Printemps républicain, avait demandé que l’invitation soit annulée. Le collectif 8 Mars, dans un texte publié en ligne, avait alors réagi alors en affirmant que l’édile était raciste.

    Henri Braun, l’avocat d’une partie des prévenus, explique : "Ce qui est intéressant, c’est que le fait de dire que Calandra a commis un acte de censure n’est pas diffamatoire. Le tribunal a simplement considéré que le fait qu’elle ait des propos et attitudes racistes n’était pas prouvé." Pour Cecil Lhuillier, l’un des militants, "on a été condamnés uniquement pour un passage de notre texte, alors que Calandra nous attaquait sur plusieurs. On a fait appel, parce que devoir verser 4 000 euros, ça fait quand même cher le mot!"

    Bien fait, idiotes et abru.t.i.e.s!

    1: c'est l'abrutie qui a demandé que l'intérieur des pansements soient noirs! .... comme elle, bien sûr!

     

  • Pitoyable, indécent, grotesque!

    "Faut pas refaire des bêtises, hein ?" : Macron sermonne un jeune ex-braqueur à Saint-Martin

    Invitant le jeune homme "costaud comme tout" à participer à la reconstruction de Saint-Martin, le président de la République a voulu s'assurer que celui-ci avait mis son passé de braqueur derrière lui, en lui intimant de ne "pas refaire de bêtises".

    Emmanuel Macron le répète désormais à l'envi, il souhaite "retourner au contact des gens". En chute dans les sondages depuis des mois, le chef de l'Etat en quête de popularité a visiblement dans l'idée de faire taire les critiques sur son attitude jugée hautaine. "J’aime profondément être avec mes concitoyens, à portée de visage et d’embrassades ou d’explications", soutient-il ainsi dans les colonnes du Journal du dimanche le 30 septembre. "On a besoin d'être au contact, d'être naturel", insiste-t-il encore.

    Liant la parole aux actes, le président de la République est allé à la rencontre des habitants à l'occasion de sa visite à Saint-Martin. Dans une séquence filmée par les caméras de BFMTV ce 30 septembre, il s'est notamment retrouvé face à un jeune qui, selon ses propos, se trouve être un braqueur repenti. "Il faut des jeunes comme toi pour faire les travaux, pour reconstruire. Les jeunes comme toi là, t'es costaud comme tout", lance-t-il au jeune homme torse nu, sans hésiter à lui toucher l'épaule. "Faut pas rester comme ça, et pas refaire des bêtises, hein? Les braquages c'est fini", poursuit Emmanuel Macron, en s'assurant de la parole de son interlocuteur, les yeux dans les yeux. "Tu me l'as dit, tu n'oublies pas ?", conclut le chef de l'Etat avant de prendre dans ses bras la mère du jeune homme.

     

  • Macrouille en rade!

    Macron à l’ONU : un discours dans le vide

    Emmanuel Macron a délivré sa vision du monde, qui est celle du chef d’État d’une puissance faible.

    Par Jean-Baptiste Noé.

     « Nous assistons à une nouvelle instabilité du monde » déclare Emmanuel Macron devant l’ONU pic.twitter.com/bAjeMuE9Vn

     — BFMTV (@BFMTV) 25 septembre 2018

    C’est face à une salle assez vide qu’Emmanuel Macron a délivré un discours de quarante-cinq minutes à l’ONU, une enceinte où des milliers de chefs d’État ont défilé et qui n’a que très peu de prise sur le cours de la diplomatie mondiale. Dans un discours lourd, souvent incompréhensible, à la hauteur de sa pensée complexe qui est le reflet de l’écriture absconse de Paul Ricoeur, Emmanuel Macron a délivré sa vision du monde, qui est celle du chef d’État d’une puissance faible.

    En appeler au multilatéralisme contre l’unilatéralisme n’a rien de nouveau. Il visait Donald Trump, sans le nommer, qui avait parlé un peu avant lui. On était très loin des embrassades de la visite d’État à Washington. Taper sur Trump n’est pas nécessairement une marque de courage. C’est une manière de se situer dans le camp du Bien. En appeler au multilatéralisme est la stratégie des puissances faibles et petites, qui n’ont pas d’autre choix pour peser sur la scène mondiale. Pas sûr que la Chine, la Russie et les États-Unis s’intéressent à cela.

    C’est surtout le discours d’un chef d’État sans vision et sans stratégie. Il y aurait pourtant beaucoup à dire, et surtout à faire. Le Pacifique, par exemple, où la France est présente et qui est une zone hautement stratégique. Il faudrait davantage parler de la Nouvelle-Calédonie et de sa place dans la puissance française. De la Syrie aussi, où la France s’est isolée alors qu’elle était centrale.

    Macron en perte de vitesse

    Face aux vagues migratoires. L’accueil certes, mais les peuples sentent bien que ce n’est plus la solution. Macron était le chouchou de l’Europe. Le voilà devancé par Matteo Salvini et le chancelier Kurz. Il est désormais asphyxié dans le continent qui devait être sa gloire. Alors il lui reste la tribune de l’ONU, comme un acteur qui veut se persuader qu’il a encore du talent. Mais l’ONU n’intéresse pas grand monde et n’a pas beaucoup de pouvoir.

    Sa bureaucratie est ravie d’être mise sur le devant de la scène, mais son secrétaire général est invité plus par politesse que par obligation. C’est peut-être cela, le plus cruel, pour Emmanuel Macron. Les projecteurs ne le regardent plus. La lumière n’imprime plus. D’autres rock stars de la scène politique lui ont volé la vedette.

    Emmanuel Macron a prononcé l’éloge funèbre de Johnny Hallyday. Le chanteur avait réussi à durer face à tous ceux de sa génération et plus encore. Pour Macron, il semble n’avoir été que le président d’un été. Son regard figé et inquiet à la fin du discours est celui d’un comédien qui regarde dans les yeux de l’autre s’il existe encore. Le plus cruel pour lui est que son discours à l’ONU n’intéresse plus grand monde.

    contrepoints.org

  • La variole du singe: en France?

    ou orthopoxvirose simienne, ou monkeypox est due à un virus du même genre que celui de la variole humaine. Il sévit dans le centre de l’Afrique tropicale. Le virus enzootique dans les forêts ombrophiles d’Afrique centrale et occidentale peut se transmettre à l’homme, causant un syndrome dont les manifestations cliniques sont analogues à celles de la variole (éruption pustuleuse, fièvre, symptômes respiratoires entraînant parfois la mort). La maladie est grave: 1 à 10% des malades en meurent en Afrique). Elle peut être confondue avec la variole, et le diagnostic différentiel clinique n’existe pas. Seule l’analyse en laboratoire peut confirmer sa présence.

    En septembre 2018, le Royaume-Uni a notifié deux cas distincts de variole du singe infectant des personnes ayant récemment voyagé au Nigéria. Il s’agit des premiers cas de variole du singe chez l’homme signalés dans l’Union européenne (UE). Les deux cas étaient symptomatiques lors d’un voyage aérien vers le Royaume-Uni. Au 17 septembre 2018, aucun cas supplémentaire n’avait été détecté dans l’UE (UE).

    La notification des cas importés en Europe n’est pas inattendue en raison de la circulation du virus de la variole du singe en Afrique occidentale et centrale. Le risque de nouvelles introductions de la variole du singe en Europe dépend de l’ampleur de la circulation du virus au Nigeria et dans d’autres pays d’Afrique occidentale et centrale. Dans l’ensemble, la probabilité d’importation de la variole du singe en Europe reste très faible, mais de nouveaux cas liés à des voyages dans les États membres de l’Union européenne/de l’Espace économique européen (UE/EEE) ne peuvent être exclus. […]

    Le risque individuel d’infection par contact avec un patient atteint de varicelle dépend de la nature et de la durée du contact. Les membres de la famille, les contacts étroits (p. ex. le voisin immédiat à bord de l’avion) ou les personnes qui ont prodigué des soins aux patients, y compris les travailleurs de la santé (TS) qui n’ont pas appliqué de mesures préventives, présentent un risque modéré d’infection. […]

     " It is important to emphasise that monkeypox does not spread easily between people and the overall risk to the general public is very low " – read our news story on the confirmed case of monkeypox in England: https://t.co/IBLmrfQ92r

        — Public Health England (@PHE_uk) 8 septembre 2018

    European Centre for Disease Prevention and Control

    En Serbie, le Ministère de la santé a annoncé des mesures de surveillance renforcée aux frontières suite à l’apparition des premiers cas de variole du singe dans les pays d’Europe de l’Ouest.

    Le Ministère de la santé, l’Institut pour la Santé publique ainsi que d’autres services et institutions de santé mettront en œuvre toutes les mesures nécessaires de surveillance et de prévention afin d’éviter l’apparition de la maladie dans ce pays, précise le communiqué du Ministère.

    Informer.rs