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politique - Page 202

  • le 2 poids 2 mesures, bien sûr

    Ancienne membre du Conseil constitutionnel et ministre, Noëlle Lenoir dénonce le 2 poids 2 mesures entre le racisme anti-blanc et les autres racismes

    Présidente du Cercle droit et débat public, Noëlle Lenoir, ancienne ministre de Jacques Chirac et ancienne membre du Conseil constitutionnel, estime que la " provocation publique à la commission d’un crime ou d’un délit", qualification retenue par le parquet de Paris à l’encontre du rappeur Nick Conrad, auteur de chanson accompagnée d’un clip "Pendez les Blancs", ne va pas assez loin. Et que celui-ci doit être poursuivi pour racisme.

    Voici la tribune de Noëlle Lenoir:

    Imaginons qu’un groupe de rockers à la peau blanche diffuse un clip intitulé "Pendez les Noirs", s’ouvrant sur l’image d’un homme à la peau noire ensanglanté au bout d’une corde, et rythmé par ces paroles  Je rentre dans des crèches, je tue des bébés noirs, attrapez-les vite et pendez leurs parents, écartelez-les pour passer le temps, divertir les enfants blancs de tout âge petits et grands. Fouettez-les fort faites-le franchement, que ça pue la mort que ça pisse le sang et ainsi de suite…

    S’interrogerait-on un instant sur le caractère raciste de cette exhortation? Hésiterait-on sur l’applicabilité des dispositions de l’article 24 de la loi du 1881 punissant ceux qui "provoquent à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance à une race"? Ou sur l’applicabilité du cinquième alinéa du même article réprimant l’apologie des atteintes volontaires à la vie et des atteintes volontaires à l’intégrité de la personne (ici avec circonstance aggravante de racisme conformément à l’article 132-76 du Code pénal)? Ou des dispositions du Code pénal sur l’apologie du terrorisme (article 421-2-5) ou de l’article sur l’incitation à s’armer contre une partie de la population (article 412-8), là encore avec circonstance aggravante de racisme? Disserterait-on sur la distinction à faire entre les débordements des paroles d’une chanson et un appel au meurtre? Minimiserait-on cet appel en relevant que ce groupe de rock n’avait jusqu’alors qu’une faible audience? Prétendrait-on que l’écho fait à un tel clip est idéologiquement orienté? Qu’exprimer sa frayeur et son dégoût reviendrait à stigmatiser injustement les hommes et les femmes qui ont la peau blanche?

    Répondre par un non ferme et énergique à ces questions va de soi aux juristes et analystes que nous sommes. Pourquoi n’est-ce pas la réaction unanime? Pourquoi tente-t-on de nous faire avaler que le clip de Nick Conrad rappellerait les chansons de Brassens? Qu’il serait une revanche contre "les hommes blancs et éduqués qui ont le pouvoir de tout dire"? Ou encore que ce clip mériterait "une distanciation grâce à l’art" (sic !)? Non, les "hommes blancs et éduqués" n’ont pas le pouvoir de tout dire. Nous sommes tous tenus de respecter le droit. Il doit être clair pour tous, ainsi que l’énonce l’article 4 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, que " la liberté consiste à faire tout ce qui ne nuit pas à autrui". Enfin, quel art – si art il y a dans ce clip – pourrait justifier l’impunité de celui qui appelle à tuer des enfants parce qu’ils ont la peau blanche? (…)

    En racialisant la réprobation et la répression, on institutionnaliserait un "deux poids deux mesures" qui, pour être du racisme à rebours, n’en serait pas moins du racisme et se rendrait en l’occurrence complice d’une épouvantable invitation à tuer.

    www.lepoint.fr

     

  • Le 17 novembre 2016, j'écrivais cela:

    ... qui avait raison????

     

    Le zoo humain -1 - Macron

    (titre d'un livre de Desmond Morris que j'ai adoré. Vous devriez le lire, on en apprend beaucoup sur la nature humaine!).

    Après l'étude très précise et détaillée de l'Ancien Tarot de Marseille –voir mon site: joyce-voyance.com dans lequel vous trouvez des fichiers d'entraînement à la voyance- j'ai étudié, entre-autres choses, la voyance sur visage (photo ou télé) d'un personnage en vue.

    J'espère que je n'aurais pas de souci provenant de ces gens-là, mais, comme ils se mettent avec arrogance en avant et qu'ils ou elles sont devenus des personnages publics, et que la liberté d'opinions en France est notre bien le plus précieux et chéri, je me lance.

    Il m'arrive, de temps en autres de “regarder“ afin de “voir“ un autre aspect d'une personne publique. Je dois dire que ce que je “vois“ me permet souvent de me dire: j'avais bien “vu“ en constatant le comportement du ou de la ci-devante.

    Comme le titre l'indique, je “vois“ sur les visages d'icel ou icelle, des ressemblances de zoologie et je “sens“ des comportements psychologiques. C'est la vérité profonde de ces gens-là. Vous aurez l'occasion de le confronter pour peu que vous fassiez un copier-coller de ces portraits, à conserver précieusement et longtemps, dans un dossier de votre ordinateur.

    Comme toute la médiacratie frétille de bêtises diverses et avariées sur le dernier pingouin qui s'est mis en vedette, je vais vous indiquer ce que j'ai “lu“ sur la tête de Macron.

    J'y ai vu deux animaux qui se superposent parfaitement.

    Dommage que je ne sache pas dessiner… (on ne peut pas être parfaite en tout). Mais, je suis tranquille, cela va faire florès sur le net.

    Les thuriféraires de ces gens ne vont pas être contents et risquent de me dézinguer. Je les avertis d'avance que, se moquer d'une personne âgée atteinte d'une très grave maladie, n'est pas très glorieux et c'est même dégueulasse.

    Comme TOUS les gens qui sont des politiques, Macron porte la tête d'un aigle d'un certain genre.

    Et, en sur-impression celle…. d'un âne.

    Pour moi, l'aigle est l'arrogance, la rouerie, l'ambition forcenée et vicieuse, la lucidité mauvaise, la méchanceté.

    L'âne est quelqu'un de nul dans presque tous les domaines, c'est quelqu'un d'entêté, de borné, qui n'en fait qu'à sa tête, qui se fourvoie dans des chemins idiots, qui ne soutient pas ses amis et peut même leur envoyer…. un coup de pied de l'âne.

    Ce faisant, il pourrait se contenter de taper sur ses ennemis…. non, non, il le fait AUSSI sur ses amis.

    Déjà, être l'aigle, ce n'est pas très glorieux mais parfois, l'aigle en question n'est pas très aigle… je veux dire, qu'il y a des aigles moins. Macron est un aigle plus, plus.

    C'est un âne plus, plus, plus, plus et c'est peu dire.

     

  • Brigitouille tacle macrouille

    Les gardes du corps de la présidence de la République sont censés, ou en tout cas les institutions seraient en droit au moins de l’espérer, être muets comme des carpes.

    Il se passe au Palais des choses qui relèvent bien évidemment de la raison d’État et des intérêts supérieurs de notre nation, de notre pays et de son peuple.

    L’exercice du pouvoir peut parfois conduire à des prises de décisions qui n’ont évidemment pas vocation à être étalées à la une des journaux.

    Voir des membres de la sécurité présidentielle " baver " auprès des journalistes n’est pas très rassurant et n’augure rien de bon, tant cela signifie le mépris porté par les sans-dents aux puissants qu’ils devraient être fiers de servir.

    Que l’on soit " pro " ou " anti " Macron, le service de sécurité se doit d’être muet.

    Mais c’est vraisemblablement le prix à payer quand nous avons à la tête d’un pays un jeune homme qui semble manquer cruellement de maturité et de sagacité dans ses choix de communication et d’affichage qui semblent choquer même au plus haut niveau des services de sécurité de la République.

    “Il faut arrêter les conneries maintenant !”

    " Le président de la République s’est pris une “tannée” de la part de son épouse en colère, révèle sur Twitter un journaliste, qui cite un officier de sécurité de l’Élysée.

    Une " tannée ". (sauf que dans mon pays, une tannée est une tabassée, une branlée, des coups quoi!) Brigitte Macron a récemment et bruyamment engueulé son mari et chef de l’État, accablé par les affaires, les déconvenues politiques et une popularité en chute libre, a révélé le journaliste Frédéric Helbert, sur Twitter, mercredi.

    " Selon une top source, il y a quelque temps, à l’Élysée, le président de la République a subi une véritable engueulade, une ‘déculottée’, venues de son épouse Brigitte Macron, qui a tout passé en revue (Benalla, etc.). ‘Ça gueulait si fort derrière la porte qu’on a tout entendu’ (membre #GSPR) ", rapporte-t-il, en citant un membre du groupe de sécurité de la présidence de la République.

    Ne pas faire de bêtise est un choix !

    Le président se perd totalement dans la démagogie et la communication de très bas étage.

    Poser, de cette façon-là, avec ce genre de personne " pas-tibulaire "… mais presque comme disait Coluche, est une insulte à tous les Français, quel que soit leur positionnement sur la palette des couleurs et des origines qui travaillent durement, dignement, et ne se permettraient jamais de devenir braqueur. Voler l’orange du marchand pour nourrir son enfant n’a rien à voir avec le fait de braquer avec une arme. Dans bien des supermarché, quand un pauvre bougre se fait prendre avec le paquet de nouilles le moins cher, les gendarmes sont rarement appelés. Il n’en va pas de même quand l’objet du délit est le dernier jeux vidéo à la mode. Tout le monde sait faire la différence.

    Il n’y a aucun racisme à désigner un bandit pour ce qu’il est. Un bandit. Un homme de bien pour ce qu’il est… un homme de bien. Couleurs et origines n’ont rien à voir la-dedans.

    Il était utile que notre petit mamamouchi reprenne vertement un jeune garçon tout chose qui avait eu l’outrecuidance de lui dire " salut Manu ", pour se faire ainsi mettre des doigts sur les photos par des repris de justice minables.

    Sans doute une certaine idée de la fonction présidentielle toute personnelle de notre cher mamamouchi et de ses conseillers… Dont il devrait envisager également le remaniement et plus que sérieusement. (Je postule Manu… mais ce ne sera pas pour dire des choses sympas. Notre collaboration devrait durer dans les… 5 minutes, montre en main.)

    Macron n’est pas le chanoine de Latran qui devrait pardonner à tous.

    Macron est le président et incarne ce que l’on appelle le pouvoir temporel. C’est assez différent.

    Mais comme Macron aime " tous les enfants de France (ok) même ceux qui n’ont pas eu le choix de ne pas faire de bêtise (pas ok du tout) ", il se comporte comme un curé, et encore, un curé qui n’a pas fait beaucoup d’études de théologie politique.

     L’homme n’a pas le choix de certaines de ses conditions, mais il a toujours le choix de ses choix. À tel point que Dieu nous juge sur nos choix, le jugement de Dieu n’est pas collectif, le jugement de Dieu est individuel. Dieu ne socialise pas les échecs ou les erreurs. Cela appartient à chacun de nous.

    Nous sommes seuls face à Dieu.

    D’ailleurs, justement… voici une petite phrase que j’avais en stock et que j’étais à peu près sûr de pouvoir caser rapidement.

    " Malheur à toi, pays dont le roi est un enfant ". Ecclésiaste 10.16

    Comme disait " l’autre "… vaste programme!!

    Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !

    Charles SANNAT

    Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique.

    Source Valeurs Actuelles

    " À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes " (JFK)

     

    " Liberté? Egalité? Fraternité? Hilarité! "

    on est mal payé mais....

     

     

  • Faisons cesser ce scandale indécent!!!

    Oui, les fonctionnaires de l’Assemblée nationale ont des salaires mirobolants!

    Les salaires et les primes inexpliquées à l’Assemblée nationale: un récit édifiant!

    Un article de l’Iref-Europe

    Après la publication de notre étude sur les privilèges choquants des fonctionnaires de l’Assemblée nationale, Europe 1, le 07/06, puis Le Parisien du 25/06, avaient également mené leur propre enquête sur nos révélations. Ils concluaient tous deux sur des chiffres comparables aux nôtres quant aux salaires (primes incluses) des agents de la Chambre basse.

    Deux autres rapports ont été commandés cet été, mais cette fois en interne de l’Assemblée nationale. L’un devait proposer une réforme ambitieuse pour supprimer ces avantages mirobolants, et l’autre, le rapport Vigier, fournir des éclaircissements sur les mêmes zones d’ombre que nous n’avions pu pénétrer.

    Le poids des syndicats de fonctionnaires a eu raison du premier, qui a été enterré. Le second est incomplet, l’institution ayant délibérément fait de l’obstruction. Pourtant, ces deux rapports "officiels" reprenaient, ou complétaient, notre étude et appelaient à davantage de transparence! Et puis, l’accalmie.

    Plus rien sur ce sujet dans les medias… jusqu’au 27 septembre. Le 27 septembre 2018, Challenges publie un article dans lequel un journaliste déclare avoir enquêté au Palais Bourbon auprès de deux députés, dont les noms ne sont pas révélés, pour découvrir la vérité sur les fonctionnaires de l’Assemblée. Le récit est édifiant et les résultats confirment nos travaux.

    Des salaires élevés, des primes nombreuses et en partie inexplicables

    L’article révèle des salaires élevés, jusqu’à 2,5 fois supérieurs à la norme générale dans la fonction publique d’État.

    "Les secrétaires perçoivent, en moyenne, près de 6 000 euros nets par mois et les agents (accueil, logistique) environ 4 800 euros […], un employé du restaurant ou un gardien tourne à 4 200 euros, autant que le salaire moyen des cadres du privé toutes catégories confondues".

     Sans oublier que les deux secrétaires généraux perçoivent 19 000€ nets par mois et les 19 grands directeurs 16 000€! Soit de 2 120€ à 5 120€ nets de plus que le président de la République.

    Nous y découvrons aussi que treize sortes de primes coexistent, telles que

    " l’indemnité de doctorat, pour les titulaires d’une thèse. Ou celle qui gratifie de 375 euros mensuels les chauffeurs de personnalités politiques".

    Challenges révèle encore que les fonctionnaires peuvent obtenir 25 jours de congés supplémentaires qui s’ajoutent à leurs 5 semaines dues. Pis, certains " stakhanovistes et des tire-au-flanc " font en sorte de ne jamais assumer de travail de nuit tout en bénéficiant des primes attachées aux heures nocturnes. Ce que nous avions dénoncé en juin dernier!

    Enfin, et nous l’avions également dévoilé lorsque nous avions révélé le rapport interne (toujours non public) des deux secrétaires généraux de l’Assemblée nationale, les retraites s’élèvent à 7000€ par mois pour un administrateur, 3 500€ pour une secrétaire et 2900€ pour un chef d’agents. Ce qui est plutôt conséquent, en comparaison de la retraite moyenne française (1300€).

    Pourtant, ces chiffres ne semblent choquer ni le premier questeur, François Bachelier, ni un conseil du président de l’Assemblée qui n’y voit "rien d’incongru". À croire qu’ils ne vivent pas dans le même monde que le nôtre. Ahurissant!

    Cette enquête confirme nos travaux

    L’enquête de Challenges confirme notre étude, comme celle du Parisien et d’Europe1. Si certains salaires sont ici plus faibles que ceux que nous avions énoncés, globalement nos conclusions et calculs concordent. L’Assemblée nationale refusant de fournir un taux de prime par catégorie, nous avions appliqué un taux moyen à tous. Elle confirme également notre dénonciation de la distribution infondée des primes de nuit et des avantages en congés. Tous la perçoivent, qu’ils aient ou non bien effectué ces heures.

    Ainsi convergent les conclusions de toutes les enquêtes citées : celle des deux députés, celle du journaliste de Challenges et celle de l’IREF. Toutes démontrent donc, entre autres, que les secrétaires ont des taux de primes plus élevés que ceux des agents, que certaines primes de nuit sont totalement indues et les avantages en congés, non justifiés.

    Notre étude exploratoire, que l’ancien président du Palais Bourbon n’avait pas hésité à qualifier de mensongère, était donc en réalité très proche de la vérité. Elle aura, sans doute, permis à certaines langues de se délier et à certains observateurs de poser les bonnes questions.

    Contrepoints.org



  • Des folles furieuses punies

    Quatre militants du collectif 8 Mars pour "tou·te·s" (sic) – aujourd’hui dissous – ont été condamnés mardi pour diffamation à l’encontre de la maire PS du XXe arrondissement, Frédérique Calandra. Ils devront verser 2 000 euros de frais de justice et 2 000 euros de dommages et intérêts. Le tribunal les a en outre condamnés à 500 euros d’amende avec sursis, chacun. Les militants ont fait appel, tandis que la sociologue Sylvie Tissot et la journaliste Rokhaya Diallo, aussi visées, ont été relaxées.

    Les faits remontent à 2015. Rokhaya Diallo(1) avait été invitée par une adjointe de la maire à des débats sur l’égalité femmes-hommes. Frédérique Calandra, membre fondateur du Printemps républicain, avait demandé que l’invitation soit annulée. Le collectif 8 Mars, dans un texte publié en ligne, avait alors réagi alors en affirmant que l’édile était raciste.

    Henri Braun, l’avocat d’une partie des prévenus, explique : "Ce qui est intéressant, c’est que le fait de dire que Calandra a commis un acte de censure n’est pas diffamatoire. Le tribunal a simplement considéré que le fait qu’elle ait des propos et attitudes racistes n’était pas prouvé." Pour Cecil Lhuillier, l’un des militants, "on a été condamnés uniquement pour un passage de notre texte, alors que Calandra nous attaquait sur plusieurs. On a fait appel, parce que devoir verser 4 000 euros, ça fait quand même cher le mot!"

    Bien fait, idiotes et abru.t.i.e.s!

    1: c'est l'abrutie qui a demandé que l'intérieur des pansements soient noirs! .... comme elle, bien sûr!

     

  • Pitoyable, indécent, grotesque!

    "Faut pas refaire des bêtises, hein ?" : Macron sermonne un jeune ex-braqueur à Saint-Martin

    Invitant le jeune homme "costaud comme tout" à participer à la reconstruction de Saint-Martin, le président de la République a voulu s'assurer que celui-ci avait mis son passé de braqueur derrière lui, en lui intimant de ne "pas refaire de bêtises".

    Emmanuel Macron le répète désormais à l'envi, il souhaite "retourner au contact des gens". En chute dans les sondages depuis des mois, le chef de l'Etat en quête de popularité a visiblement dans l'idée de faire taire les critiques sur son attitude jugée hautaine. "J’aime profondément être avec mes concitoyens, à portée de visage et d’embrassades ou d’explications", soutient-il ainsi dans les colonnes du Journal du dimanche le 30 septembre. "On a besoin d'être au contact, d'être naturel", insiste-t-il encore.

    Liant la parole aux actes, le président de la République est allé à la rencontre des habitants à l'occasion de sa visite à Saint-Martin. Dans une séquence filmée par les caméras de BFMTV ce 30 septembre, il s'est notamment retrouvé face à un jeune qui, selon ses propos, se trouve être un braqueur repenti. "Il faut des jeunes comme toi pour faire les travaux, pour reconstruire. Les jeunes comme toi là, t'es costaud comme tout", lance-t-il au jeune homme torse nu, sans hésiter à lui toucher l'épaule. "Faut pas rester comme ça, et pas refaire des bêtises, hein? Les braquages c'est fini", poursuit Emmanuel Macron, en s'assurant de la parole de son interlocuteur, les yeux dans les yeux. "Tu me l'as dit, tu n'oublies pas ?", conclut le chef de l'Etat avant de prendre dans ses bras la mère du jeune homme.