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société - Page 94

  • L’épidémie a démarré cinq semaines avant l’alerte sanitaire

    Selon une étude menée par le médecin-chef du département d’imagerie médicale à l’hôpital Albert-Schweitzer de Colmar (Haut-Rhin), le Covid-19 circulait dès le 16 novembre dans la commune alsacienne. Le récent afflux de touristes chinois dont la ville a profité, vraisemblablement provoquée par une émission de téléréalité chinoise, pourrait expliquer cette

    Une deuxième étude, dirigée par la CNRS, arrive à la même conclusion. "Les courbes montrent que l’épidémie a démarré cinq semaines avant l’alerte sanitaire. La région aurait franchi le seuil épidémique dès le 27 janvier, soit avec une première vague jusqu’au 17 février…“.

    Peut-on ainsi lire. Or, le rassemblement évangélique n’a commencé que le lendemain, le 18 février.

    La science a parlé. Pointé du doigt depuis le début de l’épidémie de Covid-19 en France, le rassemblement évangéliste de Mulhouse (Haut-Rhin), auquel avaient pris part 2 500 fidèles, à la mi-février, ne serait finalement pas le point de départ de la contagion dans l’Hexagone, mais seulement une étape dans la chaîne de transmission du virus. C’est ce que rapporte Paris Match ce jeudi 21 mai, se basant sur deux éloquentes études scientifiques.

    Corrélation ne veut pas dire causalité

    Les premiers indices à la disposition des autorités sanitaires pouvaient en effet laisser penser que le rassemblement religieux avait eu un rôle prépondérant dans la diffusion du coronavirus. Quelques jours après les retours des fidèles, le 21 février, dans leurs régions respectives, en métropole comme en Outre-mer, les chiffres des contaminations avaient explosé, notamment dans la région Grand Est. La corrélation était alors vite faite. Pour autant, la causalité n’était pas prouvée.

     

  • Récit de mon ahurissant aller et retour en avion Toulouse-Paris

    16 mai

    6 h 10: arrivée à l’aéroport de Toulouse. Toute les entrées du parking sont fermées sauf une. Donc tout le monde doit appuyer sur le même bouton! Super le "geste barrière"!

    Les lumières sont éteintes. Impossible de voir où je marche, seul le panneau de sortie me guide comme un phare. Très bien pour se fouler la cheville! Heureusement le parking est vide. Idem à l’aérogare. Il n’y a qu’un seul vol aujourd’hui. Après la sécurité, étrangement bien plus légère que d’habitude, rien à boire! Les distributeurs sont… vides!

    7 h 10: embarquement. L’hôtesse me parle, dégoûtée. Elle se plaint que le retour des vols à la normale est prévu pour… mars 2021! Et à Noël 2020, ce sera 70%! Elle explique que l’air des avions est renouvelé et filtré en permanence, avec le même système de désinfection que les blocs opératoires, et que faire rouler les métros en clouant les avions au sol est démentiel, et va coûter des milliers d’emplois et des milliards à l’État. Et donc à nous tous… Elle conclut: "gouvernement de merde débile".

    7 h 30: embarquement terminé. Un tiers des sièges sont occupés. Limite des 100 km oblige, et donc perte d’exploitation, estimée par l’hôtesse pour ce vol aller et retour à  30 000 euros. "C’est l’État qui paye" comme disait le percepteur Macron…

    7 h 50: Panne informatique nationale du réseau Air France! 10 mn de retard "au moins". Pays du tiers-monde disait quelqu’un?

    En attendant, je suffoque dans ce maudit masque (totalement inutile dans un avion presque vide me dit l’hôtesse, en ajoutant: "mais vous devez le garder sinon on vous débarque a dit la DGAC ").

    Ça tombe bien, un membre de ma famille y a des responsabilités… Il va m’entendre.

    8 h 33: le "système informatique national" est toujours en panne. Ils attendent qu’une personne compétente soit envoyée… de Bombay ?

    Devant moi un couple d’Anglais. Ils vont rater leur correspondance pour rentrer à Londres sur autorisation spéciale de leur gouvernement après avoir été bloqués deux mois en France… "Never again in this mad country! "…

    9 h 30: l’avion part enfin. La plupart des passagers ont enlevé leur masque. Les gens étouffaient. Les hôtesses (qui s’ennuient, car plus de service à bord) font semblant de ne rien voir, l’odeur étrange qui flottait dans l’avion (désinfection du système de filtration? Désinfection des zones de service par une hôtesse?) s’est renforcée de façon très notable et donne la migraine.

    10 h 30: arrivée à Paris Charles de Gaulle… Toujours rien à boire et aucun contrôle de température (contrairement au départ), alors que rien n’indique d’où je viens. Je me retrouve dans le (léger) flot des passagers de plusieurs avions qui entrent en salle de livraison des bagages. Le gouvernement raconte toujours n’importe quoi. Le plus grand aéroport d’Europe est presque vide comparé à "avant". C’est presque angoissant.

    La police vérifie les attestations à la sortie, mais de façon cool. Pas d’excès de zèle. Mais il faut dire aussi que les papiers que je présente ne sont pas de nature à souffrir la moindre discussion… ouf! Dehors! Je peux retirer le masque, bien que je sois l’un des seuls à le faire. Les "résistants" se sourient sous les regards désapprobateurs de la faune locale.

    11 h: Pour commander un Uber c’est une vraie galère. 25 minutes d’attente. Il doit venir d’ailleurs pour aller à l’aéroport, il n’y en a plus en attente comme d’habitude, parce qu’il n’y a plus assez de clients. Le chauffeur pleure, littéralement, au sens propre, qu’il a tout perdu et repart vivre en Tunisie. Il y trouvera facilement du travail, me dit-il, en précisant qu’il veut repartir très vite avant que la crise de l’emploi en France ne pousse ses compatriotes à faire de même! Le Coronavirus serait-il le déclencheur d’un début de "retournement" de l’immigration?

    12 h 05: arrivée vers chez mon client, que manger? Tout est fermé et pas de vente à emporter en vue.

    Je suis frappé de voir qu’ici de nombreuses personnes seules dans leur véhicule portent un masque… Ça me semble d’une stupidité absolue… On est censé se contaminer soi-même dans sa propre voiture? J’avais bien vu ça une ou deux fois dans ma campagne, mais cela faisait l’objet de ricanements généralisés.

    En dehors de ça, la région parisienne semble beaucoup plus cool et beaucoup moins stressante que d’habitude… étonnant … Tant mieux!

    13 h: au boulot!

    17 h 35: Arrivé dans un des hôtels de Roissy Charles-de-Gaulle. Dans le hall je reste incrédule devant le remplissage du tableau d’affichage des arrivées et des départs: il semble pourtant que les frontières sont fermées… Il y a quelqu’un qui ment quelque part, pour changer…

    Impossible de rentrer aujourd’hui, puisqu’il n’y a qu’un seul vol Paris-Toulouse le matin, ces jours-ci. Je dois donc repartir demain… Merci beaucoup à ce gouvernement qui me fait dépenser de l’argent supplémentaire. La chambre pourrait être calme et silencieuse. Mais la climatisation fait un boucan d’enfer et il n’est pas possible de la couper. Je proteste auprès de la réception. On m’indique que c’est pour aérer la pièce vu que les fenêtres ne s’ouvrent pas et qu’il est impossible de la couper "pour que le virus ne puisse pas stagner". C’est du n’importe quoi, en somme l’hôtel confirme que le confinement, c’est dangereux… Je ris jaune… La nuit sera bruyante.

    19 h 00: Pour manger à l’hôtel, une seule possibilité. Faire la queue pendant environ une heure devant un guichet pour commander une pizza, puis aller faire la queue de l’autre côté du hall à un autre guichet pour prendre la pizza. Tout le monde se croise dans tous les sens et sans masque, visiblement les gens, tout comme moi, ne le supportent plus, deux pompiers et quatre agents de sécurité adossés à un bar (fermé) regardent tout cela en rigolant… La peur du virus serait-elle enfin en train de disparaître?

    Je remarque une très importante présence de touristes américains. J’avoue une certaine surprise, je ne comprends pas trop. Il y a encore quelque chose de bizarre là-dedans.

    23 h 40: cherche colt S&Wmagnum 44 ou fusil cal 12 à canon scié pour exploser un climatiseur. Faire offre, merci.

    17 mai

    7 h 50: Mal de gorge et de tête; si cette saleté de climatisation ne tournait pas à fond! Si j’étais parano je me dirais " ça y est, c’est la zone rouge, je va être mouru! ".

    Métroval, le métro interne de CDG fonctionne toujours. Un wagon est bondé… je suis seul dans l’autre. Va comprendre…

    Contrairement à Toulouse hier, la police est présente pour contrôler les attestations, avant même le départ, au niveau des contrôles de sécurité…

    Les toilettes du terminal sont repoussantes… les chasses d’eau électroniques ne fonctionnent plus.

    Sur le tableau sont affichés tous les vols intérieurs d’Air France pour la journée… 8! Je repense à l’hôtesse d’hier… cette compagnie suffoque! Ceci dit le Covid en est-il le seul responsable? Avant même l’embarquement, 40 minutes de retard sont annoncées!

     

     

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    9 h 28: l’hôtesse d’embarquement proteste "bon sang mais c’est quoi ça! Le logiciel ne se lance pas. On a 10 vols par jour! Entre ça et la panne générale d’hier, on va pouvoir répondre normalement?

    "Oupsss… pas rassurant. Ils se demandent dans quel ordre faire l’embarquement. Je sors ma carte d’handicapé et je vais m’asseoir dans l’avion pendant qu’ils débattent… de comment ils font pour les autres passagers…

    Les " Sky priority " ne sont plus reconnus. Ils râlent pour avoir des dédommagements. J’attends loooooongtemps dans l’avion les premiers passagers. Le retard s’accumule…

    10 h 30: Enfin l’avion se met en mouvement. Encore moins de monde qu’hier: à peine 50 passagers… Votre argent décolle…

    11 h 30: Toulouse! Premier geste: foutre ce maudit masque dans ma poche. C’est pas demain la veille que je remettrai une pareille merde! D’ailleurs il est visible, à ce seul critère, que je ne suis plus à Paris. Cet affreux accessoire est bien moins présent, puis disparaît totalement une fois l’agglomération quittée. Bonjour le Tarn-et-Garonne (3 morts "officiels" du Covid-19 dont deux "expédiés" du Grand Est, et un qui est "classé" mort Covid parce qu’il était en "quatorzaine" de surveillance lorsqu’il est tombé de son échelle et s’est brisé le crâne en montant sur son toit)…

    Tel était le récit de l’incroyable équipée d’un forestier dans le terrible et dangereux monde de la zone rouge!

    En conclusion: tout ça est un vrai foutoir. L’incompétence et les " flottements " du gouvernement se sont répercutés dans un pays entier qui ne sait plus sur quel pied danser. Il n’y a pas de pilote dans l’avion. Dites M. Poutine, vous faites quoi dans deux ans?

    Franck Buhler

    https://ripostelaique.com/recit-de-mon

     

  • Confirmation: on le savait!

    N'empêche, c'est tout à fait dégueulasse!

    Covid-19: des centres du Samu ont refusé d’hospitaliser nombre de résidents d’Ehpad

    Le sujet est tabou. Il illustre l’échec des pouvoirs publics à protéger l’ensemble de la population française de la même façon face au coronavirus.

    Jusqu’à présent, au sommet de l’Etat, on s’était d’ailleurs toujours abstenu de communiquer sur des pratiques de ce type. Il n’empêche, aujourd’hui, les acteurs de terrain interrogés par Marianne sont unanimes: pendant près d’un mois, jusqu’à la dernière semaine de mars, certains centres de régulation du Samu ont refusé d’hospitaliser nombre de résidents d’Ehpad.

    Réduisant ainsi leurs chances de réchapper du Covid-19. "Dans beaucoup de nos établissements, le Samu ne venait plus, raconte Isabelle Jallais, déléguée FO au sein du groupe d’établissements de santé privés Korian. J’ai eu des collègues infirmières en pleurs au téléphone. Avec des résidents qui mouraient dans leur chambre et pour lesquels on ne pouvait rien…"

    Florence Arnaiz-Maumé, secrétaire générale du Synerpa, le syndicat professionnel des Ehpad privés, confirme elle aussi: "Dans le Grand Est, en Bourgogne-Franche-Comté, pendant trois semaines, puis en Ile-de-France et dans d’autres régions, certes moins longtemps, le 15 a refusé d’hospitaliser nos résidents à de très nombreuses reprises. Ce n’est allé mieux qu’à partir du 21 mars, quand Olivier Véran a enfin réalisé ce qui se passait et a tapé du poing sur la table contre les ARS (agences régionales de santé)… "

    Pour une fois qu'il sert à quelque chose!

    news.yahoo

     

    Perso, des gens du Samu ont détérioré le cavalier qui ferme ma place de parking en y reculant dessus… j'ai appelé pour faire agir leur assurance….

    la personne que j'ai eu au téléphone m'a dit: non, ce n'est pas vrai! il n'y a aucun dégât sur le parechoc de la voiture…

    Elle était outrée que j'insiste…. “on ne peut pas venir en aide à toute la misère du monde!" m'a-t-elle dit en fin de non-recevoir

    Résultat: j'en suis de ma poche… ce n'est pas parce qu'ils viennent en aide aux gens, qu'ils doivent tout se permettre!

    Cela me rappelle des employés de l'AFM qui, parce qu'ils avaient ce nom d'assoc. sur leur bulletin de salaire, s'imaginaient qu'ils étaient bons, braves et généreux. Et non!

    Ceux-là étaient des fumistes faisant prendre leur vessie pour des lanternes!

    Il ne suffit pas d'envoyer un chèque pour s'imaginer humains, généreux, etc…

    La façon de donner vaut mieux que ce que l'on donne, dit l'adage.

    Beaucoup trop de gens ne possèdent aucune politesse du cœur!

     

  • Lrem voleurs? on le savait!

    Tewfik, ex-collaborateur de Véran, voulait palper sur les masques

    Selon Mediapart, un ex-collaborateur d’Olivier Véran a essayé de toucher une commission en plaçant auprès du ministère une offre de masques. Faut savoir qu’ils sont tous comme ça…les politicards et les proches!

    Et ce sont nos impôts qui entretiennent toute cette mafia. Donc, mi-mars, en pleine pénurie de masques, on pense ‘profit’… Des pourris de chez pourris!

    Le problème, c’est qu’une fois pris, ils démissionnent et ont une promotion. C’est la prime au délit!

    https://www.bfmtv.com/societe/un-ancien-collaborateur

    Pourquoi ne suis-je pas surpris? Il faut dire qu’on s’habitue à toutes ces magouilles et malhonnêteté de la part de la sphère politique. Tewfik Derbal, cette horrible bique, assistant parlementaire d’Olivier Véran en 2017, devenu entre-temps le collaborateur d’une autre députée LREM, ne voyait pas le problème de toucher une commission… Tous ceux qui tournent autour des ministères sont comme des chiens à flairer les bonnes affaires sans état d’âme!

    Le mec démissionne et sera placé dans un autre poste plus discret dès le mois prochain… J’en ai marre des politiciens.

    J’en ai marre de ces escrocs qui sont toujours protégés, à l’instar du citoyen lambda. Parmi tout ceux qui gravitent autour du monde politique actuel, vous avez: des “chances pour la France - CPF“, des véreux, des mafieux, de la racaille qui veut pédaler avec des dentelles autour du col! Un grand ménage est à faire, ça devient plus que nécessaire.

    Ils ne font pas de la politique pour nos beaux yeux mais pour se servir au passage et être "dans le gruyère". Il y a tellement d’avantages, tellement d’argent facile, tellement de passe-droits. Et nous, pendant ce temps là, on a uniquement les trous du gruyère!

    Il manquerait plus que l’on pleurniche en plus… Mais il y a de plus en plus de trous, et bientôt, il y aura plus rien à becqueter. Je suis persuadé que sans tous ces avantages, il y aurait beaucoup moins de ‘vocations.

    Il n’y a pas de trous dans le gruyère? C’est l’emmental, mon cher Watson…

    Jerôme Moulin

    https://ripostelaique.com

  • Les mâles blancs doivent mourir!

    pas les CPF! lire le précédent article

    Un homme "malade, cancéreux, âgé, inoffensif" de 90 ans est mort dans sa cellule sans avoir pu bénéficier du dispositif de libération lié au coronavirus

    Le 5 mai, il devait plaider sa cause mais la mort a emporté le 22 avril, dans sa 90e année José Luis Garcia. Le vieil homme avait été condamné, le 31 octobre 2017, à dix ans de réclusion pour tentative de meurtre par la cour d’assises de l’Ain. L’affaire remonte à avril 2014. À un appentis cristallise les tensions entre José Luis Garcia et son voisin, les deux hommes s’estimant propriétaire de cette minuscule remise, le premier à tort.

    Le voisin avait d’ailleurs vissé une planche pour lui en interdire l’accès. Et cela, l’octogénaire, qui avait alors 83 ans, ne l’a pas supporté. Le 6 avril, il se saisit de son fusil chargé en cartouches à sanglier et envoie une volée de plombs à son voisin, le blessant au bras gauche, au visage et au thorax. Sans un poteau de bois qui arrête miraculeusement une partie des projectiles, la victime aurait été mortellement touchée. Mais elle perd un œil.

    (….) Le Progrès