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société - Page 273

  • Vive la France, vivent les Français, VIVE NOUS!

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  • SANTE: Changez les draps du lit toutes les semaines!

    Il faut bien l’avouer, il y a peu d’endroits sur Terre où l’on est aussi bien que dans son lit ! Se coucher sur un matelas bien confortable entouré de draps doux et propres est en effet une sensation des plus agréables.

    Pourtant, l’étude de Philip Tierno, microbiologiste et chercheur à l’université de News York, devrait vous faire voir votre lit d’un autre œil. Ce dernier s’est en effet penché sur la fréquence idéale pour changer ses draps et ce qu’il y a parfois retrouvé peut faire peur !

    C’est dans une interview accordée au Business Insider que le scientifique s’est confié sur ses travaux. Selon Philip Tierno, un être humain passe en moyenne un tiers de sa vie au lit. Pour y dormir, mais également pour y transpirer puisque chaque année, un lit emmagasinerait 100 litres de sueur en moyenne.

    Mais le scientifique a également relevé d’autres traces peu ragoûtantes en analysant les draps de personnes volontaires pour participer à ses travaux pendant 20 ans.

    Selon Philip Tierno, il est fréquent de retrouver des traces de terre, d’huile, des acariens, du pollen et même parfois des restes de matières fécales animales dans nos draps. Au total, ce sont plus de 16 variétés de microbes qui ont été recensés par le scientifique.

    Fort de ce constat, le chercheur nous conseille donc de changer de draps toutes les semaines et de changer toute sa literie tous les 10 à 15 ans. Si ce n’est pas le cas, il est fort probable de développer des allergies même pour les personnes qui n’ont pas un forcement de prédispositions à la base.

    Le microbiologiste a déclaré que l'accumulation de microbes et de bactéries indésirables devient "signicative" en moins d'une semaine.

    Mais aussi: Tierno affirme que la gravité joue un rôle important dans la processus de souillure des draps: "Tout comme Rome a été enterré par les débris avec le temps et la gravité, la gravité est ce qui enferme toutes les matières dans votre matelas“.

    Il n'est pas le premier à soulever les répercussions pour la santé d'une mauvaise hygiène des draps. Mary Malone, une experte de la lessive chez about.com, a précédemment suggéré que de ne pas changer ses draps pendant de longues périodes de temps pouvait mener à une série de problèmes de santé, tels que des plaies infectées qui s'infectent toujours un peu plus, ou le pied d'athlète et autres champignons.

    Elle a expliqué que lorsque nous dormons, nous continuons de transpirer, ce qui signifie que les fluides corporels sont relâchés.

    "Il est possible de trouver de la salive, de l'urine, des fluides génitaux et des matières fécales dans les fibres", a-t-elle déclaré à ATTN.

    "Le nettoyage peu fréquent des draps et des taies d'oreiller permet aux fluides de s'infiltrer dans les oreillers et les matelas, et ils deviennent alors beaucoup plus difficiles à nettoyer que de (simplement) les jeter dans la laveuse", a-t-elle ajouté.

    Ce texte initialement publié sur le HuffPost Uk a été adapté de l'anglais.

     

    Ouaip's: ça me défrise de lire cela…. quelle souillure, certains s'infligent!

    Plus d'une semaine? cela m'est (très rarement) arrivé…. faudrait que je sois dans un carcan de plâtre et personne pour me changer les draps!

     

  • ... et, menteur, en plus de cela!

    "Putain, il est chiant lui" : François de Rugy se lâche en pleine séance

    Alors qu'il venait de donner la parole au communiste Jean-Paul Dufrègne, le président de l'Assemblée nationale a glissé un commentaire capté par les deux micros du perchoir. Il assure qu'il réagissait à un SMS.

    Rien n'échappe à l'œil des caméras et à l'oreille des micros. Alors que le Parlement est actuellement réuni en session extraordinaire pour voter les lois d'habilitation permettant au gouvernement de réformer le Code du travail par ordonnances, le président de l'Assemblée nationale, François de Rugy, supervise les débats depuis plusieurs jours. Chargé de distribuer (et modérer) les prises de parole, l'écolo-macroniste a lâché un petit commentaire qui n'est pas passé inaperçu mardi après-midi.

    Tandis qu'il venait de donner la parole au député communiste de l'Allier Jean-Paul Dufrègne, François de Rugy a discrètement lâché: "Putain, il est chiant lui". Inaudible dans l'hémicycle, cette remarque a été captée par les deux micros du perchoir... Et s'entend parfaitement bien à la télévision, comme l'a remarqué Politis. Immédiatement relayée sur les réseaux sociaux, la séquence a suscité de très nombreuses réactions d'internautes mécontents de ce qu'ils ont interprété comme du mépris.

    Selon Le Lab d'Europe 1, le député PCF de Seine-Maritime Sébastien Jumel aurait d'ailleurs fait remonter cet incident à la tribune deux heures plus tard. "Je voulais simplement faire un rappel au règlement pour dire que, quelles que soient les interventions des parlementaires, qu'ils soient dans la ligne du gouvernement ou non, le président de l'Assemblée est filmé, considérant qu'un camarade député est “chiant” lorsqu'il parle. Et donc, je n'ose penser que c'est lui dont il s'agissait. Et donc je veux faire un rappel au règlement pour dire que, quelles que soient les opinions défendues dans cet hémicycle, nous puissions valablement les défendre dans l'intérêt des électeurs que nous représentons, des territoires dont nous sommes l'émanation et de la République dont nous sommes la représentation", a-t-il souligné.

    Deux téléphones étaient bien posés sur la gauche de Rugy

    Toujours selon le site d'information politique, François de Rugy aurait immédiatement réagi pour se défendre. "Je tiens à vous dire avec la plus grande solennité que ça ne s'adressait aucunement à un député ni de votre groupe, ni d'un autre groupe, que j'ai informé, d'ailleurs, votre président de groupe, André Chassaigne, dès que j'ai eu connaissance de ces commentaires sur Twitter, qui sont une mauvaise interprétation. En effet, je pensais que mon micro était coupé et je réagissais à un message que j'avais reçu par SMS. Voilà. Donc ça ne visait en aucun cas (Jean-Paul Dufrègne) et jamais je ne me permettrais d'avoir de tels propos, ni aucun président de séance, je pense, à l'égard d'un des collègues de cette Assemblée. Je tiens à ce que les choses soient le plus clair possible. Donc à la limite, je vous remercie de me donner l'occasion de faire cette mise au point au micro. Et j'espère du coup que les commentaires sur Twitter, journalistiques ou autres, ne manqueront pas de s'arrêter immédiatement. J'en doute quelque peu, mais ce n'est pas grave", a-t-il assuré.

    S'il est impossible de savoir ce qui a poussé François de Rugy à perdre son calme, une chose est sûre: deux téléphones portables se trouvaient bel et bien à sa gauche, et il a jeté un coup d'œil dans leur direction.

    http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/2017/07/12/25001-20170712ARTFIG00054-putain-il-est-chiant-lui-francois-de-rugy-se-lache-en-pleine-seance.php

     

  • Protégez-nous! demandent les Français...

    des hurlements dans le silence étourdissant de la macromania by présitante!

    D'après le baromètre de la transformation publié dimanche par le "JDD", le recul de l'islam radical est un sujet prioritaire pour 61% des Français alors que l'emploi ne l'est que pour 30% d'entre eux.

    Les récents attentats en Grande-Bretagne ont semble-t-il exacerbé le besoin de sécurité chez les Français. Le recul de l'islam radical est en effet un sujet prioritaire pour 61% d'entre eux. Un thème qui arrive très loin devant celui des retraites (43%), de l'école (36%), de l'emploi (36%) ou même du pouvoir d'achat (30%), d'après le baromètre de la transformation réalisé par l'Ifop pour No Com et le JDD, que l'on retrouve dimanche dans les colonnes de l'hebdomadaire.

    70% des Français adhèrent à la transformation. Mais ce n'est pas tout ce que ce sondage révèle. Si les Français adhèrent à la transformation à 70%, ils estiment à 37%, fin juin, qu'il est nécessaire de préserver le pays tel qu'il est pour en protéger l'identité. Un chiffre en hausse puisqu'un mois plus tôt, ils étaient 31% à être de cet avis.

    Besoin de courage et de justice dans les réformes. Par ailleurs, les sondés sont de moins en moins nombreux à penser que la transformation va avoir des effets positifs sur leurs conditions de vie : 59% après l'élection présidentielle, seulement la moitié désormais. Une donnée peu encourageante pour un gouvernement qui procède, entre autres, à la réforme du code du travail et à la moralisation de la vie publique. Les réformes, justement, doivent être menées avec courage, justice et égalité, selon un tiers des Français interrogés pour ce sondage.

    Une satisfaction, beaucoup de points noirs. Si l'université est jugée satisfaisante pour 51% des sondés, la lutte contre la pauvreté, l'agriculture, l'immigration, la délinquance, l'aide à la création d'emplois, les hôpitaux ou encore le système de retraites sont, en revanche, pointés du doigt.

    Les Français se montrent donc très exigeants vis-à-vis de l'Etat. Pour Pierre Giacometti, à l'origine de ce baromètre, "la transformation, on le voit, est déjà sous la pression de la preuve".

     

  • ... et pendant ce temps-là: on installe les migrants, on les nourrit grassement, on les habille et nous pillent, violent, volent, tuent

    Sans toit, cette pupille de l'État vit sous sa tente

    Lucie Maquaire, 19 ans, a perdu ses deux parents lorsqu’elle était encore mineure. Après de nombreuses démarches, aucun propriétaire n’accepte de louer un logement à cette jeune Vendéenne, pupille de l'État.

    "Ça fait cinq mois que j’ai planté ma tente dans la Vallée verte, à La Roche-sur-Yon (Vendée). C’est devenu mon chez-moi. Je la déplace tous les jours, je ne veux pas que les gens croient que je squatte. Je fais des missions en intérim qui pourraient déboucher sur un CDI. Un collègue m’emmène et me ramène, car je n’ai pas le permis. Je dois nettoyer les ateliers de coffrage ou de bardage de ferrailles. J’aurai aimé reprendre les études, mais ce futur contrat pourrait m’apporter de la stabilité. Avec mes ressources, je pourrais me payer un loyer.

    Impossible de louer un appartement

    Sauf qu’aucun propriétaire ne veut s’engager, car j’ai simplement 300 € de ressources fixes par mois, les salaires de mes petits boulots varient. L’État se porte garant pour moi, mais les propriétaires se méfient. J’ai démarché une quinzaine d’agences, des particuliers. Des amis m’ont souvent proposé de m’héberger, mais ça me gênait d’y rester. Au foyer de jeunes travailleurs, ça s’est mal passé. On m’a conseillé d’appeler le 115, et je ne m’y sens pas du tout en sécurité.

    J’ai même ouvert un dossier pour un logement HLM, mais on m’a répondu que je ne gagnais pas assez et que je n’étais pas prioritaire, car je n’ai pas d’enfant. Sauf que dans la vie, pour avoir un travail, il faut un permis et un logement, donc de l’argent. Et pour un logement, il faut du travail…

    " On ne m’a pas donné toutes les clés en main "

    J’ai perdu mon père en 2012 et ma mère en 2014. Ma petite sœur, mon petit frère et moi avons été placés en foyer à La Roche. J’ai eu des relations compliquées avec les éducateurs. Je faisais un bac en spécialité musique, mais mon piano a été pris par les services. J’ai lâché les études progressivement. Comme je suis pupille de l’État, j’aurais pu consulter un avocat pour connaître mes droits, commencer à faire des démarches. On me l’a toujours refusé car j’étais mineure.

    J’ai le sentiment qu’on ne m’a pas donné toutes les clés en main pour m’en sortir. J’ai décidé de tout faire seule, pour gagner mon indépendance. J’ai refusé un contrat jeune majeur de l’ASE (1), même si cela garantissait un financement pour une formation ou l’insertion professionnelle. Mais je voulais avoir un logement à moi, pas en famille d’accueil. À 18 ans, j’ai vécu à droite, à gauche. Sans jamais m’arrêter de travailler.

    " Mon histoire semble banale "

    Avant de savoir que je pouvais toucher une partie de la retraite de mes parents, les nombreuses administrations se sont renvoyées la balle entre elles, avant que cela ne débouche sur du concret. J’ai démarché les assistantes sociales, la CAF, l’Aide sociale à l’enfance, le Centre communal d’action sociale, la Mission locale, sans trouver de perspectives stables. Il y a tellement de situations complexes ici, mon histoire semble banale aux éducateurs. Aujourd’hui, la seule chose qui me manque, c’est un logement stable. Jusqu’à ce qu’une personne accepte de m’en louer un… "

    (1) L’Aide sociale à l’enfance. Un contrat jeune majeur peut être proposé à un jeune majeur, jusqu’à ses 21 ans. L’hébergement peut se faire chez des assistantes familiales départementales, en hôtel, en foyer, voire en appartement.

    http://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/data/3986/reader/reader.html?t=1499273512842#!preferred/1/package/3986/pub/5453/page/9

  • Dans les choux, le présitante!

    On regarde Macron avec indulgence, mais au Conseil Européen il s’est ramassé totalement

    Vincent Hervouët: "Macron a un peu d’air parce qu’il a créé la surprise aux élections et a obtenu une majorité dans la foulée, donc on regarde sa jeunesse avec une forme d’intérêt et d’indulgence. Pour autant, est-ce qu’au dernier conseil européen, la France a réussi à faire avancer ses pions? Est-ce que par exemple sur le dumping chinois, nos alliés nous ont suivi pour essayer d’hérisser quelques barrières? Pas du tout. On s’est ramassé totalement!"

    – LCI, 7 juillet 2017, 10h33

    "On peut ainsi voir que, de la coupe aux lèvres, il y a de la séduction sur papier glacé, de la panoplie – hier en sous-marinier, aujourd’hui en maître du monde – à la réalité de l’action, au-delà de la posture, il y a un gouffre! On est dans un état de grâce, c’est vrai. Il redonne de l’espoir aux gens qui ont une idée fédéraliste de l’Europe vers de plus grands transferts de souveraineté vers l’Allemagne sans doute.

    Mais, pour autant, son action s’inscrit peu dans les faits. L’exemple le plus symptomatique: Emmanuel Macron va voir Donald Trump – qui reviendra la semaine prochaine une 2ème fois le 14 juillet – Il va le voir et a annoncé qu’il espérait "ramener à la raison" sur la question du réchauffement climatique le président américain. On se demande lequel des 2 est le plus fou quand il dit ça. Parce que, Donald Trump est très surprenant, il est difficile de prévoir ce qu’il va dire et ce qu’il va faire, mais imaginer que 2 jours à Hambourg suffisent à le convaincre de se renier sur ce qu’il a dit après Taormine, le dernier sommet où il avait dénoncé l’accord de Paris, c’est faire preuve de beaucoup d’optimisme."