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société - Page 274

  • Si la presse gauchiasse en parle… c'est que cela va très mal!

    Paris: les femmes chassées des rues dans le quartier Chapelle-Pajol

    Des femmes de ce quartier de l’est parisien se plaignent de ne pas pouvoir se déplacer sans essuyer des remarques et des insultes de la part des hommes.

    Ce sont plusieurs centaines de mètres carrés de bitume abandonnés aux seuls hommes, et où les femmes n’ont plus droit de cité. Cafés, bars et restaurants leur sont interdits. Comme les trottoirs, la station de métro et les squares. Depuis plus d’un an, le quartier Chapelle-Pajol (Xe– XVIIIe), a totalement changé de physionomie: des groupes de dizaines d’hommes seuls, vendeurs à la sauvette, dealeurs, migrants et passeurs, tiennent les rues, harcelant les femmes.

    Révoltées, les habitantes du quartier ont décidé de lancer une vaste pétition pour dénoncer la situation. Et un quotidien de plus en plus oppressant. Celui des jeunes filles, qui ne peuvent plus sortir seules, porter une jupe ou un pantalon trop près du corps sans recevoir une bordée d’injures: l’une d’elles raconte avoir subi un jet de cigarette allumée dans les cheveux.

    Depuis plus d’un an, le quartier Chapelle-Pajol (Xe- XVIIIe), a totalement changé de physionomie

    "Des réflexions incessantes"

    "Nous avons toutes droit à un traitement insupportable ", souligne Nathalie, 50 ans, qui revendique trente années dans le quartier, et un climat " inédit " ces derniers mois: " Ce sont des injures, des réflexions incessantes. L’ambiance est angoissante, au point de devoir modifier notre itinéraire, notre tenue vestimentaire. Certaines ont même renoncé à sortir de chez elles ". A l’image de cette vieille dame de 80 ans, agressée sexuellement alors qu’elle rentrait dans son immeuble, et désormais retranchée dans son appartement.

    "Un repaire masculin"

    Aurélie, une jeune femme de 38 ans, avoue ne pas reconnaître le quartier où elle vit depuis 15 ans, rue Perdonnet (Xe): " Le simple fait de circuler est devenu problématique. Le café, en bas de chez moi, un bistrot autrefois sympa, s’est transformé en repaire exclusivement masculin et en permanence bondé: j’ai droit à mon lot de remarques lorsque je passe devant, d’autant plus qu’ils boivent énormément: il y a quelques jours, le simple fait de me mettre à ma fenêtre a déclenché un flot d’injures, et j’ai dû m’enfermer dans mon appartement. Il y a quelque temps encore, j’empruntais le boulevard de la Chapelle depuis Stalingrad, même tard le soir… C’est impensable aujourd’hui ".

    Le métro Chapelle, Laure l’évite soigneusement. Comme la place du même nom: " Ces dernières semaines, j’ai été prise au milieu d’une bagarre de vendeurs à la sauvette. Affolée, je me suis mise à crier, et deux d’entre eux ont sorti des couteaux pour me menacer. J’ai cru que ma dernière heure était arrivée. Et ça fait des mois que ma fille de 12 ans ne va plus seule au collège, ni nulle part dans le quartier, d’ailleurs ".

    Porter plainte aurait peu d’effet

    Comment lutter contre le phénomène ? Les femmes de La Chapelle le savent: porter plainte aurait peu d’effets. Alors, d’un commun accord, et sur les conseils de Nadine Mezence, adjointe à l’égalité hommes-femmes du maire (PS) du XVIIIe, elles ont décidé d’organiser prochainement une marche exploratoire. Ensemble, elles parcourront tous les lieux du quartier où elles sont indésirables. Puis, rendront compte, aux pouvoirs publics de leurs observations… En espérant être entendues. A la mairie d’arrondissement, on assure que leurs remarques seront examinées avec la plus grande attention.

    110 opérations de police depuis le mois de janvier

    La question du harcèlement des femmes, et notamment celle de la présence de dizaines de migrants rue Pajol, sera évoquée ce lundi en conseil d’arrondissement par l’élu (LR), Pierre Liscia. Tandis qu’au cabinet du maire (PS) du XVIIIe, Eric Lejoindre, on reconnaît la complexité de la situation: " Les femmes ont un sentiment de vulnérabilité devant cette violence, souvent associée à l’alcoolisation, mais la réponse publique est essentiellement policière".

    Précisément, depuis lancement du dispositif " Barbès respire ", au mois de janvier, par le préfet de police avec déploiement de renforts sur le secteur, 110 opérations ont donné lieu à plus de 19 000 évictions de vendeurs à la sauvette et 884 personnes ont été arrêtées. Mais les habitantes, elles, veulent des opérations de plus vaste ampleur pour retrouver leur sérénité perdue…

    "Les femmes, une espèce en voie de disparition au cœur de Paris " Désormais, notre quartier est abandonné aux seuls hommes: plus une femme dans les cafés. Pas un enfant dans le square Louise-de-Marillac. Certaines d’entre nous se terrent chez elles ".

    Les habitantes de la Chapelle-Pajol viennent de rédiger une pétition, intitulée " Les femmes, une espèce en voie de disparition au cœur de Paris ", qu’elles espèrent voir parapher par de nombreux soutiens et victimes avant de l’envoyer à la mairie, à la préfecture de police et au procureur de la République. Leur demandant de " faire enfin respecter lois et règlement dans les endroits où se fixent les trafiquants, de diligenter des enquêtes sur les filières et de renforcer le nombre de moyens policiers affectés au secteur.

    " Il y a les insultes dans toutes les langues, les vols, l’alcoolisme de rue. Les trafics qui s’enracinent, et les employés de ces trafics, qui nous signifient chaque jour que nous sommes indésirables, nous et nos enfants. Cela doit cesser. "

    http://www.leparisien.fr/paris-75018/harcelement-les-femmes-chassees-des-rues-dans-le-quartier-chapelle-pajol-18-05-2017-6961779.php

     

  • Adieu ma France! adieu MA ville Rose!

    Le plus grand édifice religieux de Toulouse sera… la mosquée du Mirail

    La mosquée du Mirail doit ouvrir ses portes d’ici fin 2017. Elle sera le plus grand lieu de culte à Toulouse, devant la cathédrale Saint-Étienne. Visible depuis les rames du métro, en direction de la station Basso-Cambo, à Toulouse, le chantier de la mosquée du Mirail touche à sa fin.

    Surplombée d’un minaret de 22 mètres de hauteur tourné vers La Mecque et dotée d’un dôme de 13 mètres de diamètre, le quartier du Mirail prendra un visage encore plus oriental dès la fin de l’année.

    D’une capacité revendiquée de 4 000 personnes, elle deviendra l’édifice religieux pouvant accueillir le plus de fidèles à Toulouse. Cette capacité serait ainsi supérieure à la mosquée As-Salam ou celle toujours en chantier à Empalot. Plus significatif, sa capacité sera plus de deux fois supérieur à la cathédrale Saint-Etienne, vieille de plus de mille ans, pouvant contenir 1 200 fidèles. La Basilique Saint-Sernin, d’une capacité de 1 000 places et bâtie au XIe siècle.

     

  • Enfoiré!

    Narbonne (11) : Abdelhak vend l’appartement d’une vieille dame malgré elle

    A 81 ans, Renée est devenue une proie facile. Au moment des faits, en 2013, elle était seule, sans enfant, avec une sœur pour unique famille.

    Renée possédait un appartement sur le quai de l’Escoute. Mais une mauvaise rencontre lui a fait perdre son bien : elle est devenue… locataire de l’appartement qu’elle possédait. La somme de la vente a disparu soit 179 000 euros dont 100 000 euros auraient été mis sur un compte ouvert au Maroc.

    En octobre 2013, la sœur de la victime fait un courrier au procureur de la République : elle signale la présence de deux hommes qui rôdent autour de sa sœur, depuis 2011. Renée est psychologiquement faible, elle vient de perdre son fils âgé de 52 ans. Des voisins voient les meubles de l’appartement être déménagés.

    Un homme en particulier gravite autour de la vieille dame. Il s’agit d’Abdelhak, 63 ans. Il a déclaré devant le tribunal correctionnel de Narbonne, vendredi dernier, qu’il aimait beaucoup cette femme.

    Plus assez d’argent pour se loger

     La mère du prévenu et Renée sont voisines, elles prennent le café ensemble. De fil en aiguille, Abdelhak s’était rendu utile. Le médecin traitant le voyait souvent avec Renée, il était aussi prétendument un " intermédiaire " entre sa sœur et les autres interlocuteurs. Notamment, on retrouve le mis en cause chez le notaire pour formaliser la vente de l’appartement en mars 2013.

     

  • Envoyé par une amie

    Les autorités de Hambourg, la deuxième plus grande ville d'Allemagne, ont commencé à confisquer les habitations privées pour atténuer la pénurie de logements - qui a été fortement aggravée par la décision du chancelier Angela Merkel d'autoriser plus de deux millions de migrants dans le pays ces dernières années.Les fonctionnaires de la ville ont saisi les propriétés commerciales et les ont transformées en refuges migrants depuis la fin de 2015, lorsque Merkel a ouvert les frontières allemandes à des centaines de milliers de migrants d'Afrique, d'Asie et du Moyen-Orient. Maintenant, cependant, la ville exproprie des logements résidentiels appartenant à des particuliers.

    Dans un mouvement sans précédent, les autorités de Hambourg ont récemment confisqué six unités résidentielles dans le district de Hamm, près du centre-ville. Les unités, appartenant à un propriétaire privé, ont besoin d'être réparées et sont vacantes depuis 2012. Un fiduciaire nommé par la ville réhabilite maintenant les propriétés et les loue - contre la volonté du propriétaire - aux locataires choisis par la ville. La porte-parole du district, Sorina Weiland, a déclaré que tous les coûts de rénovation seront facturés au propriétaire des propriétés.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-05-14/germany-confiscating-homes-use-migrants

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    http://www.24hgold.com/francais/actualite-or-argent-nouveau-monde-la-propriete-privee-en-danger-zerohedge.aspx?article=10891332724H11690&redirect=false&contributor=Liliane+Held-Khawam&mk=2

    la nouvelle a été traduite;.. super...

    juste lire un bout si cela vous chante, c'est grave , puisque l'on nie la proprieté privée

    je résume : une chanceliere au grand coeur, ouvre les bras aux migrants, on ne sait pas où les loger

    donc on saisit les appartements vacants ( on fait payer les rénovations au propriétaire.. on ne dit pas si au moins, on lui versera les loyers ), éventuellement après délation

    à la fin de l'article il y a un détail assez inquiétant...

    Un rapport étrange a fortement circulé ce week-end: le Sénat autoriserait la police à pénétrer dans des maisons privées pour loger des réfugiés, même contre la volonté du propriétaire. Je pensais que ce n’était que la satire, puis un malentendu, parce que la Loi fondamentale, l’article 13, déclare: "La maison est inviolable".

     "J’ai donc cherché la source de cet étrange rapport et l’ai trouvé. Il y a une" proposition "que la Chancellerie du Sénat (Senatskanzlei) a apparemment diffusé parmi les sénateurs. La Chancellerie du Sénat est un autre nom pour le bureau du maire. Le secrétaire permanent est Björn Böhning (SPD) …

    " La proposition est claire: la police peut entrer dans une propriété privée sans une ordonnance du tribunal afin de rechercher des logements pour les réfugiés lorsqu’ils sont menacés d’itinérance. Vous pouvez le faire" sans le consentement du propriétaire ". Et non seulement la police devrait être autorisée à le faire, mais aussi les organismes de réglementation.

    " Cette proposition délicate " a attiré l’attention du public. Seul le secrétaire général du FDP de Berlin Sebastian Czaja a pris la parole et a prévenu une "préparation ouverte à la violation de la constitution". En interne, il aurait fallu des protestations. La "proposition" a soudainement disparu de la table. Est-ce complètement disparu ou va-t-il revenir?

    C'est déjà le cas en Italie depuis un an.

    Certains brûlent leur maison; d'autres retirent fenêtres et volets, lavabo et wc, etc….

    en fait comme Macaroni est sponsorisé par les patrons du Médef, il est tout à fait d'accord pour faire rentrer de la main d'oeuvre qui fera tomber le montant du SMIG....

    et pendant ce temps-là, trop de cons de Français qui ont voté pour lui vont pouvoir pleurer toutes les larmes de leur corps où quitter la France....

    car, si le smig baisse, tous les salaires vont baisser.... CQFD

     

  • Les déçus d’En Marche pourraient créer un parti concurrent… MDR

    Et ça continue, continue, continue.... 5 ans de boxom à prévoir!!!

     

    Ils partirent 13.000 et n’arrivèrent que 577! Les déçus d’En Marche n’ont pas tous vu venir la tenaille très verticale du parti et certains sont bien décidés à contester les règles du jeu en créant un “En Marche” pirate. Ils ont contre eux l’échéance très courte de dépôt des candidatures…

    Les déçus d’En marche sont remontés contre le bidouillage de Delevoye

    On sait que Jean-Paul Delevoye a présidé la commission d’investiture d’En Marche.

    Cet ancien président du Conseil Économique, Social et Environnemental, ancien ministre, ancien député, ancien sénateur, ancien maire, ancien conseiller régional, bref, le candidat du renouveau, a repris les bonnes méthodes de désignation qui ont fait leur preuve: un entre-soi opaque où des critères réputés transparents se transforment en machine à légitimer l’investiture des anciens et des apparatchiks.

    La méthode devrait être destructrice pour un parti conduit par un chantre du “renouvellement des élites jusqu’au bout”: tous ceux qui ont cru aux promesses du gourou comprennent maintenant qu’elles n’engageaient que ceux qui les ont entendues.

    Selon les mauvaises langues victimes d’une procédure qu’ils n’ont manifestement pas bien comprises, la déception est forte et prête à critiques. Ils assurent même que les noms qui sortiront de la cocotte minute jeudi prochain ne répondront pas aux critères annoncés la main sur le cœur par Emmanuel Macron, Richard Ferrand et Jean-Paul Delevoye réunis: il n’y aurait ni assez de femmes ni assez de gens nouveaux sur les listes définitives. On vérifiera avec attention cette assertion dans quarante-huit heures.

    Les anciens élus font-ils partie de la société civile?

    En attendant, il reste un flou: des gens comme Olivier Véran, plausible prochain ministre de la santé, suppléant en 2012 de la députée de Grenoble Fioraso et devenu député, de 2012 à 2015, à la faveur de la nomination de celle-ci comme ministre, font-ils ou non partie de la société civile qui disposerait de la moitié des investitures du mouvement jupitérien En Marche?

    Selon Richard Ferrand, non. Selon Jean-Paul Delevoye, le lumineux chargé des investitures, oui.

    Bien entendu, la réponse n’est pas neutre. Elle risque en effet de plomber ou non le quota de “nouveaux” proposés par En Marche, et d’augmenter d’autant la file des déçus.

    Une subtile maîtrise du calendrier

    Initialement, En Marche devait annoncer ses investitures dès le lendemain du second tour. Puis… l’annonce a été repoussée à jeudi. Les candidats investis ont certes tous été informés (confidentiellement) de cette investiture, et auraient dû acheter (selon nos informations) la mallette du candidat (vendue plusieurs milliers d’euros, selon des pratiques initiées… au Front National). Mais leur nom est tenu secret.

    Pourquoi repousser la date de dévoilement? En partie pour imiter au maximum le temps de riposte des déçus. Les candidatures doivent en effet être déposées en préfecture entre lundi et vendredi prochain. C’est très court pour se “retourner” quand on découvre qu’on n’en sera pas mais qu’on veut quand même structurer un mouvement collectif.

    Vers un parti pirate d’En Marche?

    Sans surprise, donc, les promesses citoyennes d’En Marche font leurs premiers déçus officiels. Ceux-ci étaient séduits par le côte bottom up du mouvement: l’aspiration des idées du bas vers le haut. Le passage à la présidence jupitérienne tue ce mouvement ascendant et clôt le chapitre participatif du mouvement. Une fois arrivé au pouvoir, Emmanuel Macron jette le masque et ne cache plus sa préférence pour l’impulsion venue du haut.